Mercredi 1 avril
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/Avr
21:02
Bon Anniversaire
Nous sommes vendredi après-midi.Il est 15 heures et je viens de sortir du boulot.Je suis content car je suis en vacances pour dix jours.J'ai laissé les clés du magasin à ma collègue qui se chargera du bon fonctionnement de celui-ci pendant cette grosse semaine.Puisque ma femme, Emma ne fini pas, elle, avant 18 heures, j'ai le temps de rentrer et de me reposer, car j'en ai bien besoin. A la maison 20 minute plus tard, je m'allonge sur le canapé et m'endors comme une masse.Je ne sortirais de cette sieste répapatrice que 2 heures plus tard, à cause de mon téléphone. C'est Emma qui m'appelle pour me dire qu'elle allait être un peu en retard ce soir. Pas de problème.Je ne suis pas dupe et sais pertinemment qu'elle me prépare un petit quelque chose pour me souhaiter un bonne anniversaire.J'ai eu 28 ans trois jours auparavant et nous n'avons rien fait de particulier, du fait de nos emplois du temps un peu chargés. Elle me conseilla même, si je le pouvais, d'aller faire un tour en début de soirée pour ne rentrer qu'aux alentours de 20 heures. Pas de problème là encore, cela me permet de passer voir un ami que j'ai souvent au téléphone mais que je n'arrive jamais à capter.Il est toujours en vadrouille. Après l'avoir appellé, et réussi à fixer une heure de rendez-vous, je me "refais une beauté" avant d'y aller. Une demi-heure plus tard, je suis à Saint-Lazare, lieu du rencard et j'attend Thierry. Thierry est l'un des deux-trois rares amis que j'ai conservé en sortant de l'école, il y a maintenant plus de sept ans. A cette époque, au lycée, nous étions dans la même classe, pendant deux ans.Nous avons évidemment fait toutes les âneries que des jeunes, intelligents et doués scolairement, mais que l'éducation nationale vieillissante n'a pas su captiver, pouvaient faire ensemble. Nous étions sept jours sur sept en duo et c'est pour cette raison que nous ne nous sommes pas perdu de vue après tant d'années.Bien sur nous ne nous voyons plus tous les jours, mais nous essayons de ne pas dépasser les 6 mois d'absences.Cette fois, cela fait presque quatre mois que nous nous sommes dit "à la prochaine". C'était chez une de ses nombreuses copines, qui nous avaient invités à manger un plat mauricien.Elle même ne l'étant pas du tout. Thierry avait beaucoup d'amies, car il travaillait dans ce monde, à la fois, étrange et fascinant qu'est la mode. Il est "visuel merchandising" dans un grand groupe de vêtements féminin. Vous faites le mélange: la mode, les filles légères, le physique attirant de Thierry et sa libido toujours croissante.Vous mélangez le tout et vous obtenez des soirées toujours sympathiques en sa compagnie. Ce soir là, c'était chez Cathy, une pseudo modèle, gentillement sexy. Il y avait également, Dounia, une belle demoiselle, sûrement d'origine maghrébine et Alexandra, la meilleure amie de Cathy, si j'ai bien compris à l'époque. Ce que je savais, d'après ce que m'avait raconté mon pote, c'est que Dounia, belle brune au teint mate et à la cambrure fortement enivrante, le trouvait très à son goût, mais que lui préfèrait largement Cathy et son physique relativement classique. Comme il était un chaud lapin, je ne me faisais aucunes illusions sur le terme de cette soirée.Ça allait finir probablement en mélangisme, ou carrément en partie à cinq.Cela ne me déplaisait pas du tout, bien au contraire, mais dans ces moments là, j'ai toujours une petite pensée pour Emma, qui, si elle n'a rien contre ces aventures, préfère, et moi-aussi, que nous soyons ensemble, dans ces instants là, pour nous amuser tous les deux. Mais ce léger remord ne dure qu'un temps et après avoir bien mangés, bien discutés et surtout bien bus, c'est le plus naturellement du monde que Thierry avait baissé son pantalon pour se faire sucer par la première qui le voudrait. Evidemment, Dounia ne s'est pas fait priée et s'est littéralement jetée sur son sexe pour le prendre dans sa bouche et lui appliquer une fellation du tonnerre, comme si cela avait été prévu depuis le début. Pris dans l'ambiance et pour ne pas avoir l'air idiot, je me suis approché de Cathy, qui était complêtement saoule, pour la tripoter un peu, puis beaucoup, pour finalement la mettre à poil, pour qu'elle se sente plus à l'aise. Pendant qu'elle me suçait à mon tour, je me suis penché vers Alexandra, pour la toucher aussi, mais elle, n'avait pas l'air très chaude quand à participer à notre petite bringue. "Laisse-là et occupes-toi plutot de moi" me lança Cathy, qui avait beau être saoule mais n'en perdait pas le nord pour autant.Alors j'ai ignoré sa copine et suis occupé d'elle, comme elle me le demandait. Pendant que je la baisais, je voyais que Thierry, qui laminait violemment les fesses de Dounia en levrette, me jetait des regards interrogatifs, ayant l'air de me demander:" alors, elle est bonne ou pas ?". J'ai fais en sorte de prendre des positions differentes de façon à ce que nous soyons côte à côte. Il prenait plaisir à faire l'amour à sa partenaire mais je sentais quand même qu'il en prendrait plus si nous nous échangions nos belles du soir. Je me suis retiré de Cathy et lui ai présenté son cul.Il ne s'est pas fait prié, lui non-plus pour sauter sur l'occasion et lui faire un va-et-vient endiablé, sous les yeux de Dounia, qui semblait un peu déçu de voir partir son étalon s'occuper d'une autre. L'ayant remarqué, je me suis senti "obligé de combler" ce manque affectif, alors je me suis dévoué pour la baiser. Cette soirée à durée des heures et des heures, sous les yeux d'Alexandra qui, si elle ne voulait pas participer, ne se privait pas de se toucher un peu devant ce spectacle. Ces filles, je ne les ai jamais revu, probablement que Thierry non-plus, mais je m'en souvient très bien. Nous nous sommes enfin trouvés dans la gare comble de monde en ces heures de pointes.Nous décidons de fuir la cohue et d'aller boire un verre dans café du quartier. Nous nous sommes racontés les quatre mois qui sont écoulés depuis ce fameux diner. Rien de bien palpitant il faut l'avouer.C'est comme tout le monde, je pense, la routine prend toujours un peu le dessus.Métro, boulot, dodo et tous les petits à cotés de racontés, je lui propose de passer ce soir à la mauson, en lui expliquant qu'Emma avait sûrement préparée une petite réception pour mon anniversaire, qu'il n'avait pas oublié de me féter trois jours avant. Il accepta.Nous avons avalés notre dernière gorgée et nous sommes partis en direction de chez moi. Comme il était presque 20h30, je pense que j'avais assez flânné pour ce soir. Une nouvelle demi-heure plus tard, nous sommes en bas de l'immeuble. En levant la tête, je vois qu'il y a du monde à la maison.Je m'interroge tout de même sur l'identité de mes futurs convives, mais laisse libre cours à l'effet de surprise.Sachant qu'Emma adore faire des surprises, je lui fais entièrement confiance. Cette confiance prend quand même des airs d'étonnements lorsque j'ouvre la porte et vois pour la première fois les invités. D'un premier coup d'oeil, ils doivent être une petite dizaine mais je n'en connais que trois ou quatre. Emma me tombe dans les bras en me souhaitant bonne anniversaire, suivi de tout le monde. Je fais le tour pour saluer tout le monde et par la même, présenter Thierry. Il y a neuf personnes exactement. Je n'en connais que cinq. J'aperçois notamment Jean-Michel et Léa, notre couple d'amis libertins rencontrés lors de nos soirées du même type, avec qui nous avions noués de bons rapports.Il y a également Julie, une amie délurée d'Emma, et son copain, que je ne connaissais pas, mais il y a surtout Anna, cette superbe métisse franco-argentine que nous avions rencontrés, elle-aussi, en boite, avec Jean-Michel et Léa. Nous l'avions revus trois-quatre fois et à chaque fois que nous faisions l'amour tous ensemble, il y avait comme une alchimie qui se produisait et cela donnait un résultat détonnant. Emma savait très bien qu'elle m'avait beaucoup plu et que cela me ferait plaisir qu'elle soit là. Ce qui, en passant, mettait de bonnes bases quand au déroulement des festivités.Etant donné qu'il n'y avait exclusivement que des personnes rencontrées en soirées échangistes, j'imaginais très bien que cela finirait en orgie.Connaissant ma femme, je n'en attendais pas moins d'elle. Les trois autres gens étaient des amis d'Anna , justement.Il y avait un beau black, et un couple, partenaires habituels de ses folles nuits parisiennes. Le repas, servi en buffet, se passa assez vite et , comme il y a quatre mois, c'est surtout l'alcool qui coulait plus abondemment. Je sentais que l'ambiance commençait à se chauffé comme il le faut en voyant Jean-Michel et Léa se frotter tendrement sur notre canapé. Elle passa carrément un palier lorsque Thierry, qui s'était bien acclimaté, s'est placé derrière Julie, la copine d'Emma, pour lui carresser le sexe, la main dans la petite culotte.Ce qui ne paru pas déranger son copain qui semblait apprécier cela même. Alors la fête commença réellement et au bout de dix minutes, à peine, tout le monde était à poil, ou quasi comme tel et faisait l'amour en s'emmêlant les uns aux autres, les femmes passant de bite en bite et les hommes léchant chatte après chatte tout en se faisant sucer par la première bouche voluptueusement féminine qui se présentait. Anna était en train de s'empaler sur moi quand ce fut à nouveau le moment de changer de partenaire. C'était au tour d'Emma de venir gouter à mon sexe.Je ne l'avais pas encore touché de la soirée lorsqu'elle s'assit sur moi,excitée comme pas deux et suintante de plaisir.Il ne manquait plus qu'elle et elles seraient toutesà mon tableau de chasse de la soirée. "Alors, il te plais mon cadeau?" me demanda-t-elle en donnant des coups de reins qui accentuaient le désir. "Oui" ai-je répondu tout simplement, trop occupé à ne pas jouir tout de suite. "J'espère que tu ne t'est pas déja épuisé car çe n'est que le début, tu en es conscient?" me redemanda Emma. "Ha bon!?tu as prévu autre chose que ça?' lui ai-je demandé d'un air malicieux. "Oooh que oui, insista-t-elle, et nous allons commençer tout de suite". Elle se retira et me leva pour me poster au milieu des corps emboités par terre. Je voyais Thierry se déchainer, avec Jean-Michel, sur la copine d'Anna.Lui qui adorait la sodomie, il semblait servit avec elle. "Je vais jouer à un jeu avec toi, ce soir, me dit Emma.Je vais te bander les yeux et chaque filles devra te faire subir les pires sévices, sans que tu saches qui en est l'auteur." Ce jeu me plaisait avant même d'avoir commencé.La première posa ses lèvres sur mon sexe, dur comme de l'acier.Je ne voyais absolument rien.Je ne pouvais pas deviner qui me léchait avec tant d'ardeur, mais c'était divin. En même temps,une deuxième se colla à mon dos, toute poitrine en avant, pour me carresser le corps.C'était difficile de mettre un visage à ces attouchements, mais il me semble quà la grosseur de ces seins, c'était Julie qui me les prodiguait. Qu'importe, c'était bon et là était l'essentiel. Une deuxième bouche vint me lécher les testicules avant d'enrouler sa langue autour de mon gland. Si c'était Julie qui était derrière moi, elle se fit elle aussi remplacée et je sentit une main sur mon coup qui m'obligea à me pencher un peu.Elle m'écarta un peu les jambes et commença à me lécher l'anus, tout en malaxant vigoureusement mes fesses et en me rentrant de temps en temps un doigt pour bien m'exciter. Les imaginer tous autour de moi, à me regarder, pendant que je les entendais continuer faire l'amour me rendais de plus en plus fou.J'étais à deux doigts d'exploser dans la bouche de l'experte qui m'avalait avec précision. Tout à coup, quelque chose de beaucoup plus épais que le doigt qui me fouillait timidement se présenta à mon petit orifice. "Qu'est-ce que..." Mais Emma me coupa. "Tut tut tut, pas de , mais, qui tiennent.C'est MON jeu, alors les règles ont changés. Je n'étais plus debout au milieu de la pièce, mais penché en avant par une main plus pressante que tout à l'heure, qui m'a obligé à poser les mains sur le canapé. "C'est mon godemichet qu'ils sont en train de te fourrer dans le cul, me dit Emma.Pour bien t'écarter ton petit trou et te baiser, tous, les uns après les autres.Ça aussi, ce n'est pas un beau cadeau?" "Si, lui ai-je répondu difficilement, occupé à encaisser un bon calibre.Ça me fait plaisir salope.Tu aimes ça voir ton mari se faire enculer!" "Oui et on va tous te passer dessus, ne t'en fais pas, je suis équipée pour.Mais je veux aussi que tu saches que ceux qui ne serons pas occupés à te baiser, je vais leur présenter aussi mon cul pour qu'ils me le défonce.Ça te plait comme idée, viçieux?" "Ouiiii" je lui ai répondu, pendant que je me faisais perforer l'anus. Elle avait tout prévu depuis le début.Je suis sûre que c'est un des amis d'Anna, bisexuel comme quasiment tout le monde ici, qui était en train de me baiser. Pendant que les queues se suivèrent en moi, j'entendais Emma gémir.Comme je pouvais la toucher, je savais qu'elle était juste à côté de moi, sur le dos et je l'imaginais les jambes en l'air, bien écartées, pour pouvoir offrir sa petite rose à son assaillant, pendant qu'un deuxième montait sur elle pour lui faire bouuffer sa bite.Je n'en pouvais plus.C'était trop bon. "A mon tour maintenant.Je vais me venger un peu de ce qu'il m'a fait subir ce salaud".Cette voix, c'était la voix d'Anna qui, affublée du gode-ceinture d'Emma, était prête à me l'enfoncer.Je crois qu'ils mettaient toutes et tous passés dessus et il ne devait rester plus qu'elle.Je suis persuadué que même ce pervers de Thierry m'avait baisé sans rien dire. Je ne le savais pas bisexuel mais le connaissant et sachant que pour lui, un trou c'est un trou, j'aurais du mal à croire qu'il n'y soit pas passé. "Vas-y, je veux te voir l'enculer aussi fort qu'il te l'a fait" lança Emma. Et s'adressant à l'un des gars: "Vas lui coller ta queue dans la bouche.Il va te montrer très gentillement comment il suce et avale bien." Je me retrouvais à sucer un bon gros sexe en même tant qu'Anna se défoulait sur mon cul en me donnant des tapes sur les fesses. "Tu aimes ça salope, hein?Tu aimes que je t'encule fort comme ça" me cria Anna. "Oui, il a l'air d'aimer ça." C'était la voix de Thierry qui se manifestait enfin. "Il fallait me le dire que t'aimais te faire baiser autant que tu es un vicelard.C'est comme ta femme, pourquoi tu m'as caché que c'était une bouffeuse de bites pareille?" Je ne pouvais pas répondre ayant la bouche pleine. Quelqu'un m'ota mon bandeau et , le temps que mes yeux se réadapteent à la lumière, je vis que la grosse queue que je suçais et léchais depuis une bonne vingtaine de minutes appartenait à ce salaud de Jean-Michel, qui semblait apprécié énormément. Mais je vis surtout Thierry qui enculait Emma, empalée sur la bite du copain de Julie et suçant un des amis d'Anna, comme s'il baisait une de ses putes telles que Dounia ou Cathy. "Regarde la, ta salope de femme, cette putain.Regarde comme elle jouie sous mes coups de reins.Vraiment tu dois bien t'amuser avec une cochonne comme elle." me dit-il tout sourire.Il enculait ma femme qu'il n'avait vu que deux ou trois fois dans sa vie, après m'avoir baisé aussi et cela le rendait heureux. Ceux, comme Julie, Léa ou le beau black, qui se les tapait, qui étaient restés parterre, nous ont rejoint, tout le monde s'est retiré et ils se sont tous mis autour d'Emma et moi, qui gisions sur le canapé à nous embrasser amoureusement, pour que les hommes jouissent leurs litres de foutre sur nos deux visage recouvert entièrement de sperme. Après nous être nettoyés, nous avons tous bus un coup, à nouveau, pour reprendre des forces et comme il n'était même pas encore minuit, nous avons remis ça à une exception près cette fois, c'est moi qui me l'est suis toutes et tous fait. Quel anniversaire...
Nous sommes vendredi après-midi.Il est 15 heures et je viens de sortir du boulot.Je suis content car je suis en vacances pour dix jours.J'ai laissé les clés du magasin à ma collègue qui se chargera du bon fonctionnement de celui-ci pendant cette grosse semaine.Puisque ma femme, Emma ne fini pas, elle, avant 18 heures, j'ai le temps de rentrer et de me reposer, car j'en ai bien besoin. A la maison 20 minute plus tard, je m'allonge sur le canapé et m'endors comme une masse.Je ne sortirais de cette sieste répapatrice que 2 heures plus tard, à cause de mon téléphone. C'est Emma qui m'appelle pour me dire qu'elle allait être un peu en retard ce soir. Pas de problème.Je ne suis pas dupe et sais pertinemment qu'elle me prépare un petit quelque chose pour me souhaiter un bonne anniversaire.J'ai eu 28 ans trois jours auparavant et nous n'avons rien fait de particulier, du fait de nos emplois du temps un peu chargés. Elle me conseilla même, si je le pouvais, d'aller faire un tour en début de soirée pour ne rentrer qu'aux alentours de 20 heures. Pas de problème là encore, cela me permet de passer voir un ami que j'ai souvent au téléphone mais que je n'arrive jamais à capter.Il est toujours en vadrouille. Après l'avoir appellé, et réussi à fixer une heure de rendez-vous, je me "refais une beauté" avant d'y aller. Une demi-heure plus tard, je suis à Saint-Lazare, lieu du rencard et j'attend Thierry. Thierry est l'un des deux-trois rares amis que j'ai conservé en sortant de l'école, il y a maintenant plus de sept ans. A cette époque, au lycée, nous étions dans la même classe, pendant deux ans.Nous avons évidemment fait toutes les âneries que des jeunes, intelligents et doués scolairement, mais que l'éducation nationale vieillissante n'a pas su captiver, pouvaient faire ensemble. Nous étions sept jours sur sept en duo et c'est pour cette raison que nous ne nous sommes pas perdu de vue après tant d'années.Bien sur nous ne nous voyons plus tous les jours, mais nous essayons de ne pas dépasser les 6 mois d'absences.Cette fois, cela fait presque quatre mois que nous nous sommes dit "à la prochaine". C'était chez une de ses nombreuses copines, qui nous avaient invités à manger un plat mauricien.Elle même ne l'étant pas du tout. Thierry avait beaucoup d'amies, car il travaillait dans ce monde, à la fois, étrange et fascinant qu'est la mode. Il est "visuel merchandising" dans un grand groupe de vêtements féminin. Vous faites le mélange: la mode, les filles légères, le physique attirant de Thierry et sa libido toujours croissante.Vous mélangez le tout et vous obtenez des soirées toujours sympathiques en sa compagnie. Ce soir là, c'était chez Cathy, une pseudo modèle, gentillement sexy. Il y avait également, Dounia, une belle demoiselle, sûrement d'origine maghrébine et Alexandra, la meilleure amie de Cathy, si j'ai bien compris à l'époque. Ce que je savais, d'après ce que m'avait raconté mon pote, c'est que Dounia, belle brune au teint mate et à la cambrure fortement enivrante, le trouvait très à son goût, mais que lui préfèrait largement Cathy et son physique relativement classique. Comme il était un chaud lapin, je ne me faisais aucunes illusions sur le terme de cette soirée.Ça allait finir probablement en mélangisme, ou carrément en partie à cinq.Cela ne me déplaisait pas du tout, bien au contraire, mais dans ces moments là, j'ai toujours une petite pensée pour Emma, qui, si elle n'a rien contre ces aventures, préfère, et moi-aussi, que nous soyons ensemble, dans ces instants là, pour nous amuser tous les deux. Mais ce léger remord ne dure qu'un temps et après avoir bien mangés, bien discutés et surtout bien bus, c'est le plus naturellement du monde que Thierry avait baissé son pantalon pour se faire sucer par la première qui le voudrait. Evidemment, Dounia ne s'est pas fait priée et s'est littéralement jetée sur son sexe pour le prendre dans sa bouche et lui appliquer une fellation du tonnerre, comme si cela avait été prévu depuis le début. Pris dans l'ambiance et pour ne pas avoir l'air idiot, je me suis approché de Cathy, qui était complêtement saoule, pour la tripoter un peu, puis beaucoup, pour finalement la mettre à poil, pour qu'elle se sente plus à l'aise. Pendant qu'elle me suçait à mon tour, je me suis penché vers Alexandra, pour la toucher aussi, mais elle, n'avait pas l'air très chaude quand à participer à notre petite bringue. "Laisse-là et occupes-toi plutot de moi" me lança Cathy, qui avait beau être saoule mais n'en perdait pas le nord pour autant.Alors j'ai ignoré sa copine et suis occupé d'elle, comme elle me le demandait. Pendant que je la baisais, je voyais que Thierry, qui laminait violemment les fesses de Dounia en levrette, me jetait des regards interrogatifs, ayant l'air de me demander:" alors, elle est bonne ou pas ?". J'ai fais en sorte de prendre des positions differentes de façon à ce que nous soyons côte à côte. Il prenait plaisir à faire l'amour à sa partenaire mais je sentais quand même qu'il en prendrait plus si nous nous échangions nos belles du soir. Je me suis retiré de Cathy et lui ai présenté son cul.Il ne s'est pas fait prié, lui non-plus pour sauter sur l'occasion et lui faire un va-et-vient endiablé, sous les yeux de Dounia, qui semblait un peu déçu de voir partir son étalon s'occuper d'une autre. L'ayant remarqué, je me suis senti "obligé de combler" ce manque affectif, alors je me suis dévoué pour la baiser. Cette soirée à durée des heures et des heures, sous les yeux d'Alexandra qui, si elle ne voulait pas participer, ne se privait pas de se toucher un peu devant ce spectacle. Ces filles, je ne les ai jamais revu, probablement que Thierry non-plus, mais je m'en souvient très bien. Nous nous sommes enfin trouvés dans la gare comble de monde en ces heures de pointes.Nous décidons de fuir la cohue et d'aller boire un verre dans café du quartier. Nous nous sommes racontés les quatre mois qui sont écoulés depuis ce fameux diner. Rien de bien palpitant il faut l'avouer.C'est comme tout le monde, je pense, la routine prend toujours un peu le dessus.Métro, boulot, dodo et tous les petits à cotés de racontés, je lui propose de passer ce soir à la mauson, en lui expliquant qu'Emma avait sûrement préparée une petite réception pour mon anniversaire, qu'il n'avait pas oublié de me féter trois jours avant. Il accepta.Nous avons avalés notre dernière gorgée et nous sommes partis en direction de chez moi. Comme il était presque 20h30, je pense que j'avais assez flânné pour ce soir. Une nouvelle demi-heure plus tard, nous sommes en bas de l'immeuble. En levant la tête, je vois qu'il y a du monde à la maison.Je m'interroge tout de même sur l'identité de mes futurs convives, mais laisse libre cours à l'effet de surprise.Sachant qu'Emma adore faire des surprises, je lui fais entièrement confiance. Cette confiance prend quand même des airs d'étonnements lorsque j'ouvre la porte et vois pour la première fois les invités. D'un premier coup d'oeil, ils doivent être une petite dizaine mais je n'en connais que trois ou quatre. Emma me tombe dans les bras en me souhaitant bonne anniversaire, suivi de tout le monde. Je fais le tour pour saluer tout le monde et par la même, présenter Thierry. Il y a neuf personnes exactement. Je n'en connais que cinq. J'aperçois notamment Jean-Michel et Léa, notre couple d'amis libertins rencontrés lors de nos soirées du même type, avec qui nous avions noués de bons rapports.Il y a également Julie, une amie délurée d'Emma, et son copain, que je ne connaissais pas, mais il y a surtout Anna, cette superbe métisse franco-argentine que nous avions rencontrés, elle-aussi, en boite, avec Jean-Michel et Léa. Nous l'avions revus trois-quatre fois et à chaque fois que nous faisions l'amour tous ensemble, il y avait comme une alchimie qui se produisait et cela donnait un résultat détonnant. Emma savait très bien qu'elle m'avait beaucoup plu et que cela me ferait plaisir qu'elle soit là. Ce qui, en passant, mettait de bonnes bases quand au déroulement des festivités.Etant donné qu'il n'y avait exclusivement que des personnes rencontrées en soirées échangistes, j'imaginais très bien que cela finirait en orgie.Connaissant ma femme, je n'en attendais pas moins d'elle. Les trois autres gens étaient des amis d'Anna , justement.Il y avait un beau black, et un couple, partenaires habituels de ses folles nuits parisiennes. Le repas, servi en buffet, se passa assez vite et , comme il y a quatre mois, c'est surtout l'alcool qui coulait plus abondemment. Je sentais que l'ambiance commençait à se chauffé comme il le faut en voyant Jean-Michel et Léa se frotter tendrement sur notre canapé. Elle passa carrément un palier lorsque Thierry, qui s'était bien acclimaté, s'est placé derrière Julie, la copine d'Emma, pour lui carresser le sexe, la main dans la petite culotte.Ce qui ne paru pas déranger son copain qui semblait apprécier cela même. Alors la fête commença réellement et au bout de dix minutes, à peine, tout le monde était à poil, ou quasi comme tel et faisait l'amour en s'emmêlant les uns aux autres, les femmes passant de bite en bite et les hommes léchant chatte après chatte tout en se faisant sucer par la première bouche voluptueusement féminine qui se présentait. Anna était en train de s'empaler sur moi quand ce fut à nouveau le moment de changer de partenaire. C'était au tour d'Emma de venir gouter à mon sexe.Je ne l'avais pas encore touché de la soirée lorsqu'elle s'assit sur moi,excitée comme pas deux et suintante de plaisir.Il ne manquait plus qu'elle et elles seraient toutesà mon tableau de chasse de la soirée. "Alors, il te plais mon cadeau?" me demanda-t-elle en donnant des coups de reins qui accentuaient le désir. "Oui" ai-je répondu tout simplement, trop occupé à ne pas jouir tout de suite. "J'espère que tu ne t'est pas déja épuisé car çe n'est que le début, tu en es conscient?" me redemanda Emma. "Ha bon!?tu as prévu autre chose que ça?' lui ai-je demandé d'un air malicieux. "Oooh que oui, insista-t-elle, et nous allons commençer tout de suite". Elle se retira et me leva pour me poster au milieu des corps emboités par terre. Je voyais Thierry se déchainer, avec Jean-Michel, sur la copine d'Anna.Lui qui adorait la sodomie, il semblait servit avec elle. "Je vais jouer à un jeu avec toi, ce soir, me dit Emma.Je vais te bander les yeux et chaque filles devra te faire subir les pires sévices, sans que tu saches qui en est l'auteur." Ce jeu me plaisait avant même d'avoir commencé.La première posa ses lèvres sur mon sexe, dur comme de l'acier.Je ne voyais absolument rien.Je ne pouvais pas deviner qui me léchait avec tant d'ardeur, mais c'était divin. En même temps,une deuxième se colla à mon dos, toute poitrine en avant, pour me carresser le corps.C'était difficile de mettre un visage à ces attouchements, mais il me semble quà la grosseur de ces seins, c'était Julie qui me les prodiguait. Qu'importe, c'était bon et là était l'essentiel. Une deuxième bouche vint me lécher les testicules avant d'enrouler sa langue autour de mon gland. Si c'était Julie qui était derrière moi, elle se fit elle aussi remplacée et je sentit une main sur mon coup qui m'obligea à me pencher un peu.Elle m'écarta un peu les jambes et commença à me lécher l'anus, tout en malaxant vigoureusement mes fesses et en me rentrant de temps en temps un doigt pour bien m'exciter. Les imaginer tous autour de moi, à me regarder, pendant que je les entendais continuer faire l'amour me rendais de plus en plus fou.J'étais à deux doigts d'exploser dans la bouche de l'experte qui m'avalait avec précision. Tout à coup, quelque chose de beaucoup plus épais que le doigt qui me fouillait timidement se présenta à mon petit orifice. "Qu'est-ce que..." Mais Emma me coupa. "Tut tut tut, pas de , mais, qui tiennent.C'est MON jeu, alors les règles ont changés. Je n'étais plus debout au milieu de la pièce, mais penché en avant par une main plus pressante que tout à l'heure, qui m'a obligé à poser les mains sur le canapé. "C'est mon godemichet qu'ils sont en train de te fourrer dans le cul, me dit Emma.Pour bien t'écarter ton petit trou et te baiser, tous, les uns après les autres.Ça aussi, ce n'est pas un beau cadeau?" "Si, lui ai-je répondu difficilement, occupé à encaisser un bon calibre.Ça me fait plaisir salope.Tu aimes ça voir ton mari se faire enculer!" "Oui et on va tous te passer dessus, ne t'en fais pas, je suis équipée pour.Mais je veux aussi que tu saches que ceux qui ne serons pas occupés à te baiser, je vais leur présenter aussi mon cul pour qu'ils me le défonce.Ça te plait comme idée, viçieux?" "Ouiiii" je lui ai répondu, pendant que je me faisais perforer l'anus. Elle avait tout prévu depuis le début.Je suis sûre que c'est un des amis d'Anna, bisexuel comme quasiment tout le monde ici, qui était en train de me baiser. Pendant que les queues se suivèrent en moi, j'entendais Emma gémir.Comme je pouvais la toucher, je savais qu'elle était juste à côté de moi, sur le dos et je l'imaginais les jambes en l'air, bien écartées, pour pouvoir offrir sa petite rose à son assaillant, pendant qu'un deuxième montait sur elle pour lui faire bouuffer sa bite.Je n'en pouvais plus.C'était trop bon. "A mon tour maintenant.Je vais me venger un peu de ce qu'il m'a fait subir ce salaud".Cette voix, c'était la voix d'Anna qui, affublée du gode-ceinture d'Emma, était prête à me l'enfoncer.Je crois qu'ils mettaient toutes et tous passés dessus et il ne devait rester plus qu'elle.Je suis persuadué que même ce pervers de Thierry m'avait baisé sans rien dire. Je ne le savais pas bisexuel mais le connaissant et sachant que pour lui, un trou c'est un trou, j'aurais du mal à croire qu'il n'y soit pas passé. "Vas-y, je veux te voir l'enculer aussi fort qu'il te l'a fait" lança Emma. Et s'adressant à l'un des gars: "Vas lui coller ta queue dans la bouche.Il va te montrer très gentillement comment il suce et avale bien." Je me retrouvais à sucer un bon gros sexe en même tant qu'Anna se défoulait sur mon cul en me donnant des tapes sur les fesses. "Tu aimes ça salope, hein?Tu aimes que je t'encule fort comme ça" me cria Anna. "Oui, il a l'air d'aimer ça." C'était la voix de Thierry qui se manifestait enfin. "Il fallait me le dire que t'aimais te faire baiser autant que tu es un vicelard.C'est comme ta femme, pourquoi tu m'as caché que c'était une bouffeuse de bites pareille?" Je ne pouvais pas répondre ayant la bouche pleine. Quelqu'un m'ota mon bandeau et , le temps que mes yeux se réadapteent à la lumière, je vis que la grosse queue que je suçais et léchais depuis une bonne vingtaine de minutes appartenait à ce salaud de Jean-Michel, qui semblait apprécié énormément. Mais je vis surtout Thierry qui enculait Emma, empalée sur la bite du copain de Julie et suçant un des amis d'Anna, comme s'il baisait une de ses putes telles que Dounia ou Cathy. "Regarde la, ta salope de femme, cette putain.Regarde comme elle jouie sous mes coups de reins.Vraiment tu dois bien t'amuser avec une cochonne comme elle." me dit-il tout sourire.Il enculait ma femme qu'il n'avait vu que deux ou trois fois dans sa vie, après m'avoir baisé aussi et cela le rendait heureux. Ceux, comme Julie, Léa ou le beau black, qui se les tapait, qui étaient restés parterre, nous ont rejoint, tout le monde s'est retiré et ils se sont tous mis autour d'Emma et moi, qui gisions sur le canapé à nous embrasser amoureusement, pour que les hommes jouissent leurs litres de foutre sur nos deux visage recouvert entièrement de sperme. Après nous être nettoyés, nous avons tous bus un coup, à nouveau, pour reprendre des forces et comme il n'était même pas encore minuit, nous avons remis ça à une exception près cette fois, c'est moi qui me l'est suis toutes et tous fait. Quel anniversaire...
Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
Mmm j’ai envie je mouille déjà …
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