Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:55

Naturisme au Cap d'Agde PARTIE 1
 
Cet été, j’ai obtenu, de mes parents après un forcing terrible qu’ils m’autorisent à partir deux semaines avec notre voisin Aurélien et ses parents qui sont des adeptes du naturisme. Je suis ravi car avec Aurélien qui a 16 ans comme moi, nous nous entendons à merveille. C’est donc le grand jour: les bagages sont faits et nous voici tous les quatre installés dans le gros 4X4! Après un assez long voyage, nous arrivons au Cap d’Agde dans l’immense camp nudiste, célèbre dans toute l’Europe. Marc et Laure, les parents de mon copain prennent possession de leur bungalow tandis qu’Aurélien et moi plantons une tente devant celui-ci. Bien entendus, nous sommes tous deux nus, je peux donc admirer le joli sexe d’Aurélien que j’ai déjà plusieurs fois pris dans ma bouche mais sa vue me procure toujours un petit tiraillement au niveau de mon bas-ventre que je fais de mon mieux pour maîtriser.

Notre installation terminée, nous allons voir Marc et Laure, eux aussi nus pour les avertir que nous partons nous balader dans le camp. Laure est une femme de 38 ans qui a vraiment un corps superbe, lequel ne me laisse d’ailleurs pas insensible. Aurélien et moi partons donc à la découverte de notre lieu de villégiature! Hélas, les premières visions ne sont pas aussi idylliques que je l’avais espéré: nous croisons beaucoup d’individus d’un certain âge, d’autres bedonnants, d’autres encore franchement moches mais quasiment aucun jeune. Après une bonne demi-heure passée à parcourir les allées, je commence à désespérer, lorsque soudain nous arrivons sur une aire sablonneuse située au milieu des pins, où se trouve un terrain de volley occupé par une dizaine de jeunes garçons de notre âge qui disputent une partie acharnée.

Aurélien et moi nous installons au bord du terrain et admirons le spectacle, sauf que pour nous celui-ci ne se situe pas au niveau des services et des smashs mais plutôt au niveau des joueurs eux-même. La vision de ces corps nus courant et sautant devant nous, de ces sexes se balançant au rythme des déplacements de leurs propriétaires me subjugue. Je repère rapidement deux garçons particulièrement canons; l’un d’eux est assez grand, blond, les cheveux longs, un corps mince dépourvu de toute pilosité et un sexe de belle taille qui se balance entre ses cuisses au-dessus de deux belles boules bien lisses. L’autre garçon est de la même taille, avec de longs cheveux bruns bouclés, un visage assez foncé aux traits délicats qui trahi des origines métisses, un corps très fin et surtout une bite pas possible qui pend très bas sur ses cuisses au-dessous d’un pubis totalement imberbe. D’autres garçons sont aussi très agréables à regarder, mais ce sont surtout les deux précédents qui m’attirent le plus, surtout que le second jette parfois des regards dans notre direction, un large sourire aux lèvres. La vue de ce spectacle ne me laisse pas insensible et je fais d’énormes efforts pour ne pas bander.

— Seb, si on reste là, je sens que je vais avoir une trique d’enfer, me dit soudain Aurélien.

— J’en connais un autre.

— Bon on s’avance plus loin?

— Oui.

Alors que nous nous levons et commençons à nous éloigner, nous entendons:

— Eh, attendez un peu! Vous ne voulez pas jouer?

Aurélien et moi faisons volte-face pour constater que c’est le beau métis qui vient de nous faire cette proposition.

— Si avec plaisir! Répondis-je en souriant.

— Alors venez et mettez-vous chacun dans une équipe, dit-il en souriant.

Aussitôt, Aurélien et moi intégrons la partie, chacun dans une équipe mais après une demi-heure de jeu, un garçon lance:

— Ça suffit pour moi, je suis crevé!

— Moi aussi, renchérit un autre.

— On arrête? Propose un troisième joueur.

— Oui! Terminé pour aujourd’hui, tranche un quatrième.

Nous arrêtons donc notre partie et certains garçons filent rejoindre leur bungalow ou partent s’adonner à d’autres activités. Aurélien et moi restons un moment sur place et engageons la conversation avec d’autres garçons dont Lucas, le métis qui me fait tant flasher et Jens, le beau blond qui s’avère être hollandais, mais dont le français est impeccable. Nous discutons longuement assis dans le sable du terrain. J’essaie de ne pas trop mater les deux garçons de peur que ma queue ne me trahisse et je vois Aurélien qui fait de même. Par instant, Jens promène négligemment sa main sur son sexe qui finit par réagir et prendre un peu de volume. Cette vision me rend dingue et je dois faire des efforts surhumains pour maîtriser un début d’érection que je sens monter. Aurélien lui, n’a visiblement pas réussi à contenir son envie car sa bite se dresse inexorablement et déploie ses 18cm. Lucas qui lui fait face remarque évidemment son état et devant la gène manifeste d’Aurélien dit:

— Ne t’inquiète pas ça, arrive souvent ici. Il n’est pas rare de croiser des mecs bandés, c’est même assez fréquent. Moi-même, ça m’arrive de me balader la queue en l’air.

— Euh, oui, mais quand même ça me gêne un peu.

— Mais je t’assure, il ne faut pas! Renchérit Jens dont la queue est désormais moitié érigée.

— N’empêche que ça me fait un peu bizarre de me retrouver comme ça devant tout le monde, dit Aurélien, dont le visage a viré au rouge.

— C’est ridicule, dit Lucas un grand sourire aux lèvres. Surtout que tu as plutôt une belle queue.

— Ouais, c’est vrai! Renchérit Jens dont la queue s’allonge de plus en plus.

Un peu estomaqué par les dernières réflexions des deux garçons, Aurélien reste coi, moi-même ne sais quoi dire non plus.

— Bon et si on bougeait un peu? Dit Lucas.

— Oui se serait une bonne idée, répondis-je. Vous pourriez nous faire visiter le camp.

— Ok! Allons-y! Lance alors Jens dont la bite est cette fois complètement dressée.

La vue de cette belle hampe de près de 20cm qui est surmontée d’un gros gland rose ne me laisse pas indifférent et je sens ma propre tige se dresser sans que je ne puisse rien y faire. Nous quittons donc l’aire de jeux et nous enfonçons dans la pinède qui s’étend sur des hectares et dans laquelle se trouvent des bungalows. Nous progressons lentement, Jens, Aurélien et moi, précédés de notre érection. Nous croisons plusieurs personnes dont deux garçons avec qui nous jouions précédemment au volley et qui ne manquent pas de mater nos queues dressées. Malgré tout ce que nous avaient affirmé les deux garçons, il semble que toutes les personnes que nous rencontrons ne voient que nos sexes, ça devient carrément gênant.

— Tu as remarqué les regards des gens que l’on a croisé? Demandais-je à Jens.

— Non, qu’est-ce qu’il y a?

— Ben, j’ai l’impression qu’ils ne voyaient que nos sexes, ça me met mal à l’aise.

— Moi aussi, renchérit Aurélien. Surtout que je n’arrive pas à débander.

— Bon, j’ai peut-être une solution au problème, intervint alors Lucas dont la queue commence à prendre des proportions très importantes. Suivez-moi!

Nous quittons le sentier sur lequel nous marchions pour bifurquer au milieu des arbres et après quelques minutes, nous atteignons une petite clairière déserte et assez à l’écart des habitations. Lucas s’arrête et s’assoit dans l’herbe.

— Et maintenant? Demande Aurélien.

— Tu ne m’as pas dit que tu étais ennuyé par ton érection? Demande Lucas en riant.

— Si, mais...

— Eh bien ici, tu peux la faire passer. Nous sommes à l’abri des regards indiscrets. Tu ne veux quand même pas que je t’explique comment, rigola Lucas en empoignant sa queue cette fois totalement en érection.

La bite de Lucas est vraiment fantastique, elle doit faire facilement 23 ou 24cm et est couronnée par un gland d’une largeur phénoménale. Le garçon, commence à masturber lentement son pieu tandis qu’Aurélien, Jens et moi l’imitons.

— Purée, quel engin! Lance Aurélien en pointant un doigt sur la queue de Lucas. J’en ai jamais vu d’aussi grosse.

— Oui, j’ai été bien servi de ce côté là, sourit timidement Lucas gêné du compliment.

— Je peux? Dit Aurélien en avançant sa main vers la hampe majestueuse de Lucas.

Le garçon, retire alors sa main et celle d’Aurélien vient prendre sa place sur sa queue.

— C’est fou, je n’arrive même pas à en faire le tour! Elle est carrément énorme! S’exclame Aurélien dont la main commence à imprimer un lent mouvement de va-et-vient au gourdin qu’elle tient.

Jens et moi n’arrivons pas à ôter notre regard de cette main qui masturbe la matraque de chair de Lucas. Ce dernier a d’ailleurs pris possession de la queue d’Aurélien qu’il branle avec d’amples et lents mouvements. Soudain, la main de Jens se pose sur la mienne puis la retire de ma queue pour prendre sa place, le contact des doigts du garçon sur la peau nue de mon gland m’électrise. À mon tour, je m’empare des 20cm de Jens et entreprend de l’amener vers le plaisir. De temps en temps, je cesse mes mouvements pour venir caresser délicatement la peau nue du gland ou prendre ses jolie couilles dans le creux de ma main, elles sont d’une douceur incroyables!

Maintenant, nous nous masturbons tous mutuellement, cette situation chargée d’érotisme fait que je suis vite au bord de l’explosion, je sens monter un violent orgasme au creux de mes reins et malgré ma volonté de retarder le dénouement, je suis soudain submergé par le plaisir et ma queue expulse de longs jets de sperme sur la main de Jens. Quelques secondes plus tard, je sens à mon tour, un liquide chaud et visqueux se répandre sur ma main qui enserre toujours la bite de Jens. Mon regard se reporte alors sur Aurélien qui vient de lâcher sa semence et qui continue à masturber le pieu de Lucas. Au bout de 30 secondes, Lucas pousse un cri étouffé, son corps se tend et des cataractes de spermes jaillissent de sa tige pharaonique et se déversent sur la main d’Aurélien. Après un petit moment de silence, Jens dit en regardant sa queue à nouveau au repos:

— Je me sens mieux, tu as eu une bonne idée Lucas.

— Oui, c’est vrai ça! Renchérit Aurélien.

— Je savais que ça vous plairait, lança Lucas en riant.

— En tout cas, on recommence quand tu veux! Ajouta Aurélien.

— Ça t’as plu à ce point? Sourit Lucas.

— Oui, j’avais jamais vu, ni touché une queue comme la tienne et franchement ça m’a vraiment fait flipper.

— En effet, dit Jens. La première fois que je l’ai vue, j’ai eu la même réaction, mais par contre moi, je ne l’ai encore jamais touché.

— Et tu en as bien envie? Dis-je en riant.

— Ben un peu, oui. Pas toi?

— Oui, ça me dirait bien.

— Bon les mecs si vous arrêtiez de fantasmer sur ma queue, ce serait sympa, ça commence à devenir gênant. De toute façon, les vacances ne font que commencer et nous aurons bien d’autres occasions de nous amuser avec nos bites, dit Lucas avec un sourire radieux.

— Ok mais la prochaine fois, je m’occuperai de toi, dit Jens en lançant un clin d’œil à Lucas.

Sur ce, nous nous levons et regagnons le sentier principal. Nos queues désormais au repos n’attirent plus les regards et nous avançons tranquillement. Nous atteignons bientôt la plage que nous traversons pour aller plonger dans la mer. Là, nous nous amusons longuement dans l’eau tiède, puis vers midi, nous nous séparons pour regagner nos bungalows respectifs après nous être donnés rendez-vous pour la fin d’après-midi.

— Belle matinée Seb, tu ne crois pas?

— Oui, ça ne pouvait pas mieux commencer!

— Deux supers mecs avec deux queues géniales: le rêve!

— Tu l’as dit, franchement Lucas a un truc d’enfer.

— Oui, mais Jens aussi est plutôt bien gaulé.

— C’est vrai, en plus sa peau est super douce, c’était vraiment génial de la branler.

Nous arrivons maintenant au bungalow où Laure et Marc nous attendent allongés dans des transats, en prenant l’apéro. Laure est carrément excitante avec ses longues jambes superbement galbées en haut desquelles trône une fine toison blonde savamment épilée, ses hanches étroites, sa poitrine haute et ferme, son visage fin et sensuel: vraiment elle est canon.

— Alors, comment s’est passée votre matinée? Demande Laure.

— Très bien, nous avons fait connaissance de plusieurs jeunes très sympas, répondit Aurélien.

— Bon alors c’est parfait, dit Marc.

— Oui, surtout que nous les revoyons cet après-midi.

— Ah? J’aurais pourtant voulu que tu m’accompagnes en ville pour faire quelques courses en début d’après-midi, dit alors son père.

— Pas de problème! Répondit Aurélien.

— Si ça ne t’ennuie pas Seb, après le repas, tu pourrais aider Laure à ranger, comme ça nous gagnerons du temps pour partir et nous serons plus vite de retour.

— Mais avec plaisir.

Le repas terminé, Aurélien et son père nous quittent après s’être vêtus pour se rendre en ville, me laissant seul avec Laure. Nous débarrassons la table et amenons la vaisselle à l’intérieur dans la minuscule cuisine du bungalow, hélas pas équipée de lave-vaisselle. Laure entreprend de laver assiettes, verres, plats et couverts tandis que je suis préposé à l’essuyage. L’exiguïté de la pièce fait que nos corps se frôlent sans cesse, les contacts avec la peau douce de Laure ne me laissent pas indifférent, aussi j’évite de trop la regarder afin qu’elle ne s’aperçoive pas de mon émoi qui malgré tout, commence à devenir visible: en effet, bien malgré moi, mon sexe commence à s’ériger. Je fais mon maximum pour endiguer cette érection, mais sans grand succès. Laure de son côté semble ne pas faire cas de mon état qui pourtant empire de seconde en seconde, jusqu’à ce que ma queue soit totalement dressée. Maintenant, Laure qui a terminé de laver range les couverts et alors qu’elle se penche pour ramasser une fourchette qu’elle a laissé tombé, ses fesses entrent en contact avec mon sexe. Je me recule prestement pour éviter que cette situation délicate ne perdure. Laure qui n’a pas pu ne pas sentir mon sexe tendu contre sa croupe callipyge se relève, range le couvert puis se tourne vers moi et me fixe droit dans les yeux. Je me sens devenir écarlate:

— Excuse-moi Laure, je ne sais pas ce qui m’arrive, bredouillais-je.

— Ne t’excuse pas Seb, dit-elle en souriant.

Puis soudain, sa bouche s’approche de la mienne, nos lèvres se joignent et nos langues s’entremêlent dans un long baiser passionné. Lorsque nos bouches se séparent, Laure, hors d’haleine, me dit:

— Seb, si tu savais comme j’ai envie de toi.

Je reste planté face à elle comme un imbécile ne sachant que dire.

— Tu sais Marc ne me touche presque plus et j’ai vraiment envie de faire l’amour avec toi.

À ce moment là, elle revient se lover dans mes bras, ses seins plaqués contre mon propre torse, ses mains caressent mon dos, mes fesses. Je l’entraîne alors vers la chambre à coucher où nous tombons sur le lit, la bouche de Laure s’empare alors de ma bite dressée et la suce avec frénésie, ses lèvres vont et viennent sur ma hampe, sa langue s’enroule autour de mon gland: c’est délicieux!

— Arrête Laure, je vais jouir.

La bouche de Laure s’arrache de ma bite et aussitôt elle s’installe à califourchon sur moi, prend ma queue et la guide dans son sexe! Laure gémit lorsque je pénètre sa caverne chaude et ruisselante, ma queue est emprisonnée dans cet étroit fourreau dont les muqueuses se contractent et viennent la masser. Laure, le buste droit sur lequel les seins pleins et fermes pointent fièrement, monte et descend à un rythme vertigineux sur ma hampe dressée, son souffle s’accélère, sa respiration se fait haletante, ses gémissements se meuvent en cris de plus en plus forts, je la sens proche de l’explosion. Soudain, son corps se crispe, les parois de son sexe compriment ma bite et elle jouit en poussant un hurlement. Son orgasme déclenche alors mon propre plaisir et mon sexe expédie de longues giclées de foutre dans sa petite chatte déjà inondée. Laure se couche alors sur moi, mon sexe toujours fiché en elle.

— Seb, c’était bon, il y a longtemps que je n’avais pas pris tant de plaisir.

— Tu sais, moi aussi j’ai adoré. Tu m’as fait merveilleusement l’amour. J’aimerais tant que ça continue.

— Mon amour, nous avons encore le temps, ils ne rentreront pas avant deux bonnes heures, me dit-elle avec un sourire gourmand.

Quelques instants plus tard, je m’arrache de son sexe et m’étends à ses côtés. Nos lèvres se joignent à nouveau pour un baiser fougueux. Mes doigts parcourent son corps de rêve, s’attardent longuement sur ses seins, jouent avec les mamelons qui durcissent sous l’effet de cette caresse. Laure quant à elle s’abandonne totalement, les yeux mi-clos, les muscles relâchés, les jambes entrouvertes; je ne me lasse pas de contempler ce corps offert. Bientôt sa main se pose sur mon torse qu’elle caresse délicatement avant de descendre vers mon ventre puis enfin sur mon sexe qui commence à reprendre vigueur. Ses doigts parcourent ma tige, me décalottent et viennent effleurer la peau nue de mon gland. Cette caresse a pour effet de me refaire bander très dur. Alors, la bouche de Laure prend le relais et comme tout à l’heure, elle se lance dans une fellation merveilleuse, mais je n’ai pas envie de jouir de cette manière, je veux encore prendre du plaisir avec le corps de cette femme et lui en donner.

— Attends Laure, j’ai envie de venir autrement.

— Tout ce que tu voudras mon amour, comment veux-tu me prendre? Dit-elle radieuse.

— J’ai voudrais te sodomiser, dis-je en la regardant dans les yeux.

Aussitôt Laure se met à quatre pattes sur le lit. Je viens me placer derrière elle, mon sexe lubrifié de salive contre l’entrée de ses reins et je commence à pousser. Tandis que ma bite pénètre entre ces deux globes merveilleux, Laure pousse des grognements sourds et me guide.

— Ouiii, viens, c’est bon. Continue mon amour.

Encouragé par ces paroles, je m’enfonce totalement dans ce cul merveilleux jusqu’à ce que mon pubis soit collé aux fesses rondes et fermes de Laure.

— C’est bon, j’aime sentir ta grosse queue! Vas-y! Plus fort, mon amour!

Je commence alors à labourer ce cul fantastique, mes mains accrochées sur les hanches fines de ma partenaire qui hurle des obscénités.

— Ouiii! Encore! Plus fort! J’aime sentir ta queue!

Après quelques courtes minutes de pilonnage intensif, Laure relève un peu son buste et mes mains se plaquent sur ses seins qu’elles malaxent, déclenchant de nouveau cris.

— C’est bon, ouiiii! Je vais jouir, mon amour!

À peine ses paroles prononcées, je suis foudroyé par le plaisir et pour la seconde fois ma queue expulse sa semence dans le corps de Laure qui au même moment jouit comme une folle dans un hurlement strident et retombe épuisée et ruisselante de sueur. Je me laisse tomber sur elle ma queue toujours enfoncée entre ses fesses. Je reste de longues minutes, ma tige enserrée par les parois étroites de l’intimité de Laure, avant de me retirer de m’allonger sur le lit à ses côtés.

— Mon amour, c’était fantastique. Il y a tellement longtemps qu’on ne m’avait pas prise de la sorte, j’avais oublié à quel point c’était bon.

— Tu es formidable et tu es tellement belle que je voudrais te faire l’amour toute la journée et toute la nuit.

— Je voudrais tant que nous puissions passer la nuit ensemble, mais tu sais bien que ce n’est pas possible. Par contre nous nous arrangerons pour nous réserver des moments de bonheur, me dit-elle avec un regard torride.

— Mais dis-moi, pourquoi Marc ne te fait-il plus l’amour?

— Il préfère les gamines et passe sa vie chez de jeunes putes, fit-elle visiblement irritée.

— Excuse-moi, je ne voulais pas raviver de mauvais souvenirs.

— Mais non, ce n’est rien. De toute façon, je n’éprouve plus rien pour lui, nous ne restons ensembles que pour Aurélien et sauver les apparences.

Nous restons un long moment silencieux avant que je ne demande à Laure:

— Comment allons nous faire pour nous voir?

— Le camp est grand non? Dit-elle avec un sourire coquin.

— Je crois en effet et il existe des coins tranquilles, répondis-je en pensant à la petite clairière de ce matin.

Soudain, son regard se porte sur le cadran de sa montre:

— Mon Dieu, il est déjà 16h! Vite remettons de l’ordre, ils ne vont pas tarder.

Nous nous affairons à faire disparaître les stigmates de nos ébats. Dix minutes plus tard, c’est chose faite, même si une ou deux taches suspectes ornent encore les draps et nous sortons prendre le soleil devant le bungalow. Alors que nous sommes installés dans les transats, les occupants du bungalow voisin, un couple dans la mauvaise moitié de la cinquantaine, elle, l’air revêche et lui style gros beauf, passe devant nous et nous jettent un regard peu amène tout en marmonnant quelques mots dont nous ne saisissons pas tout, sinon que nous les avions dérangés pendant leur sieste...

— Dis donc, pas aimable les deux croûtons! Lançais-je doucement à Laure.

— En effet! C’est le moins qu’on puisse dire, fit-elle.

— Je crois que tes hurlements ont dérangés la famille «Bidochon» durant sa sieste, sûrement moins coquine que la nôtre, Dis-je en lançant un regard complice à la femme.

— J’espère qu’ils ne feront pas de remarques devant Marc et Aurélien, dit-elle soudain inquiète.

— Mais non, ne t’affole pas, rien que d’imaginer nos ébats, pépère a dû avoir une érection du tonnerre alors il doit espérer que ça recommence demain. Quant à mémère, elle doit se dire qu’elle va peut-être pouvoir en profiter. En plus c’est moins cher que le Viagra! Éclatais-je de rire.

— Toi en tout cas tu n’en as pas besoin de Viagra, mon chou, dit-elle.

— Avec toi personne n’a besoin de stimulant, ma chérie. D’ailleurs regarde! Fis-je en montrant ma queue qui commençait à se redresser.

— Arrête, sinon je sens que je ne vais pas pouvoir me retenir. J’ai super envie de te faire jouir dans ma bouche.

— Ce sera pour demain car je crois qu’ils arrivent.

En effet, Marc et Aurélien viennent de déboucher devant le bungalow, les bras chargés de sacs.

— Alors nous n’avons pas été trop longs? Demande Marc.

— Non, non! Répondit Laure en me lançant un regard qui en disait long.

Marc et Aurélien pénètrent dans le bungalow et rangent leurs achats. Dix minutes plus tard, ils ressortent après avoir pris soin d’ôter leurs vêtements.

— Bon Seb, si on allait rejoindre nos amis?

— Tu as raison, c’est l’heure de notre rendez-vous!

Nous voici donc partis. Lucas et Jens sont au rendez-vous ainsi qu’un troisième garçon qui ressemble étrangement à Lucas. À tout point de vue d’ailleurs, fis-je pour moi-même en voyant le sexe du nouveau venu...

— Voici Freddy, mon cousin! Dit Lucas en se tournant vers Aurélien et moi. Et Voici Aurélien et Seb, ajouta-t-il en se tournant vers le garçon.

— Salut Freddy.

— Salut les gars, répondit-il dans un grand sourire.

— Quel est le programme? Demandais-je.

— Que diriez vous d’une virée sur la plage? Dit Jens.

— Excellent! Dis-je, un peu soulagé d’éviter encore un épisode sexuel car celui avec Laure m’a laissé un peu vidé.

Nous nous rendons donc sur la plage où nous nous installons un peu à l’écart des gens et commençons à bavarder de choses et d’autres. Je remarque la présence de Laure qui est venue bronzer; elle est accompagnée de Marc qui est allongé à ses côtés et qui semble reluquer un groupe de jeunes filles d’environs 17-18 ans. Laure m’aperçoit et me fait un petit signe discret et un sourire qui met le feu en moi tant il est chargé d’érotisme et de promesses.

— On va se baigner? Demande Freddy.

— Oui, j’ai chaud, ça nous rafraîchira, répond Jens.

Nous courons tous vers l’eau et nous plongeons dans la mer d’un bleu azur à une cinquantaine de mètres des premiers baigneurs. Une fois dedans, nous chahutons et nous amusons comme des fous, mais moi qui espérait une fin d’après-midi tranquille, je constate vite que c’est loupé. En effet, les mains se font baladeuses et plusieurs fois celle de Jens, de Lucas, de Freddy et d’Aurélien viennent attraper ma queue. Bien sûr, je ne suis pas en reste et à chaque occasion, je m’empare de la bite de mes amis. Bien sûr celle de Lucas est vraiment énorme mais celle de son cousin Freddy me semble encore plus imposante: une véritable matraque de chair. Pourtant, elle est encore au repos! Seulement, après quelques minutes d’attouchements mutuels, nous sommes tous les cinq archi-bandés et je me rends compte que la bite de Freddy est carrément démente. Ma main qui l’a empoignée est bien loin de pouvoir en faire le tour et sa longueur est phénoménale! Bientôt tous les cinq formons un petit cercle, chacun ayant dans la main la queue de son voisin. Heureusement nous avons de l’eau jusqu’aux épaules et les plus proches baigneurs sont à distance respectable, donc pas de risque d’être ainsi aperçus.

— Bon, maintenant on fait quoi? Demande Jens. Parce que je ne nous vois pas sortir de l’eau dans cet état.

— Ouais, ça risquerait de ne pas passer inaperçu! Surtout pour Freddy et Lucas! Dis-je.

— Je ne vois que la branlette sous-marine pour nous sauver, rigola alors Aurélien.

— Sage solution! Sourit Freddy dont j’avais la queue dans la main.

— C’est parti! Lançais-je en commençant à imprimer de lents mouvements à la formidable queue prisonnière de ma main.

— Le dernier à jouir taille une pipe aux autres! Lance alors Lucas.

— Ok! Répondit Freddy.

Après quelques minutes, le premier à décharger fut Aurélien, suivit de Freddy, de Lucas et de Jens. Pour ma part, la séance avec Laure, m’ayant quand même un peu vidé, je mis quelques minutes des plus à venir entre les mains de Lucas.

— Tu sais ce qui t’attend Seb! Rigola alors Jens.

— Oui, tu vas avoir du boulot! Renchérit Freddy hilare.

— J’espère que tu aimes ça! Ajouta Lucas.

— Ne vous inquiétez pas les mecs! Chacun aura sa récompense, mais peut-être cela peut attendre demain?

— Pas de problèmes! Comme ça nous auront les couilles bien pleines! Rigola Aurélien.

Sur ce nous sortons de l’eau, nos bites soulagés pendant sur nos boules vidées et reprenons nos place sur le sable. Personne sur la plage n’a pu se rendre compte de quoi que ce soit. L’heure de rentrer arrive et nous nous séparons et nous fixons rendez-vous pour le lendemain.

— Seb, n’oublie pas ta promesse! Lance Jens rigolard, en s’éloignant.

Le dîner et la soirée se déroulent calmement. Marc, Laure, Aurélien et moi faisons une partie de cartes durant laquelle la jambe de Laure, assise à côté de moi, reste collée à ma cuisse. Vers 11h nous allons nous coucher et en quelques minutes, je tombe dans les bras de Morphée.

Suite au prochain épisode... enfin si ça vous a plu!


Naturisme au Cap d'Agde PARTIE 2

Le lendemain matin, je me réveille le premier tandis qu’Aurélien dort encore profondément. Je sors de la tente en faisant attention de ne pas le réveiller et me retrouve dehors nez à nez avec Laure qui vient, elle aussi, de se lever. Je la trouve étincelante dans sa nudité!

— Bien dormi Seb?

— Oui et toi?

— Oui, mais j’ai pensé très fort à toi avant de m’endormir. J’aurais tant voulu que ce soit toi à mes côtés dans le lit, me chuchote t’elle.

— Marc dort encore?

— Oui, en vacance il n’émerge jamais avant 10h ou 10h30.

— Alors, vu qu’il n’est que 7h30, nous sommes tranquilles un petit moment, surtout qu’Aurélien n’est pas près de se réveiller, fis-je en lui lançant un clin d’œil.

— Oui, nous pourrions aller faire un petit tour.

— Ok, en plus j’ai repéré un coin tranquille pas loin d’ici.

— Allons-y vite. J’ai trop envie de toi.

Nous nous éclipsons discrètement et nous dirigeons vers la clairière où la veille, nous avions fait notre séance de branlette. En cinq minutes nous sommes arrivés. Après nous être assurés que les lieux étaient déserts, je prends Laure dans mes bras et l’embrasse fougueusement. Lorsque nos lèvres se séparent, Laure tombe à genoux et prend mon sexe tendu entre ses lèvres pulpeuses. Sa langue s’enroule autour de mon gland, ses mains caressent mes boules, puis elle fait coulisser ma queue jusqu'au fond de sa gorge avant de revenir s’occuper de mon gland gorgé de sang.

— Ouiii, Laure, c’est bon! Continue!

Maintenant, je me sers de sa bouche comme d’un sexe, je rentre et je sors d’entre ses lèvres à grands coups de reins, m’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge. Parfois, ma bite s’échappe de cette bouche accueillante, à ce moment là la langue de Laure vient virevolter dessus, la léchant sur toute sa longueur puis elle s’attarde sur le gland avant de me reprendre entre ses lèvres. Cette fellation, vient rapidement à bout de ma résistance et soudain un violent orgasme venu du plus profond de moi me foudroie. Mon corps est alors secoué de spasmes, ma tige gonfle encore et enfin j’explose entre les lèvres de Laure qui avale mon nectar et se relève avec un grand sourire pour venir poser ses lèvres sur les miennes pour un nouveau baiser enflammé, me rendant ainsi un peu de mon sperme.

— Seb, mon amour, j’adore le goût de ta queue, dit-elle en souriant. Je crois que je ne me lâsserai jamais de la sucer.

— Et tu fais ça divinement bien, ma puce, répondis-je en la serrant dans mes bras.

Après quelques minutes passées dans les bas l’un de l’autre, le pubis de Laure plaqué contre ma bite, ses seins contre mon torse, mes mains sur ses fesses et ses mains malaxant les miennes, je sens que ma queue reprend des forces. Laure s’en rend compte également et me sourit.

— Seb, j’ai envie que tu me prennes, ici maintenant, dit-elle en attrapant ma tige qui instantanément, au contact de ces doigts fins, se redresse totalement.

— Viens, dis-je en l’allongeant sur le sol et en me plaçant sur elle.

Ma hampe à nouveau bien dure trouve sans hésiter l’entrée du sexe de Laure et pénètre à l’intérieur. C’est fou, j’ai l’impression d’entrer dans du miel tant cette caverne est accueillante. Laure est totalement inondée et j’ai l’impression que mon sexe coulisse contre des parois huilées. Laure pousse un gémissement lorsque ma bite entre en elle et s’enfonce jusqu’à la garde.

— Oh, ouiii! C’est trop bon! J’aime te sentir en moi.

Je commence alors à la pilonner en imprimant à mon bassin de très amples mouvements sur un rythme assez lent, ma bite se retire presque totalement de ce sexe humide pour y replonger jusqu’à la garde, déclenchant à chaque fois de petits râles de plaisir chez ma partenaire. Parfois, je sors totalement et revient très lentement laissant mon gland quelques instants à l’entrée de sa petite chatte avant de m’enfoncer violemment jusqu’au fond de son vagin.

— Seb, arrête, tu vas me faire mourir, mon amour!

Je continue de plus belle et quelques secondes plus tard, le corps de Laure est pris de convulsions. Il se tend en arc de cercle et un hurlement sauvage sort de sa gorge.

— Ouiii!!! C’est bon, je jouiiiis!

Aussitôt après, j’explose à mon tour entre les douces parois de son vagin à l’intérieur duquel mon sexe libère une bonne quantité de sperme.

— Oh, oui, c’est bon de te sentir venir dans mon petit pussy! Dit Laure en me lançant un regard torride.

— C’est tellement bien d’être en toi, ma chérie, répondis-je avant de l’embrasser.

Nous demeurons encore ainsi un petit moment, puis nous nous relevons. Laure essuie le sperme qui coule le long de sa cuisse et nous nous remettons en route. Sur le chemin, nous croisons un monsieur qui nous jète un drôle de regard auquel nous n’accordons aucune importance sur le moment. Puis après quelques mètres, je me tourne vers Laure:

— Mon amour, je crois que ce monsieur t’a entendu lorsque tu as crié tout à l’heure.

— Tu crois? Fit-elle inquiète.

— Oui, je pense. À cette heure là, le camp est plutôt calme et les bruits portent. Il faudra faire attention la prochaine fois.

— Que veux-tu, ce que je ressens lorsque je t’ai en moi est tellement fort que je n’arrive pas contrôler mes émotions.

Nous arrivons à notre bungalow où nous constatons que personne n’est encore debout. Je file prendre une douche, imité par Laure et je reviens prendre mon petit dej en sa compagnie. Alors que nous terminons, la fermeture de la tente s’ouvre et Aurélien apparaît, le regard encore endormi mais la queue bien droite!

— Salut! Fit-il d’une voix empâtée.

— Salut Aurélien! Bien dormi? Demande Laure qui ne fait aucun cas de l’état de son fils.

— Oui, impeccable. Il y a longtemps que vous êtes levés?

— Non quelques minutes, mentit sa mère.

— Je vais prendre une douche, dit alors Aurélien. À tout de suite.

Le garçon s’éloigne, nous laissant à nouveau seuls, Laure et moi.

— Seb, j’en encore envie de sentir ton sexe me fouiller.

— Je voudrais bien, moi aussi j’ai de nouveau envie de toi.

— C’est trop bon, je ne pourrais plus m’en passer.

— Peut-être ce soir pourrons nous recommencer, mais il faudra être malins et discrets.

— Je vais essayer de m’arranger. Chaque fois que je vois ta queue, j’ai envie de la prendre et je mouille comme une folle! Dit Laure en posant sa main sur mon sexe.

— Arrête Laure, tu vas me faire bander et ton mari peut arriver à chaque instant.

— Je m’en fous, il ne se gêne pas lui avec ses midinettes.

— Mais pense à Aurélien...

— Oui tu as raison, mais promets-moi que ce soir nous referons l’amour.

— Promis ma chérie.

Soudain Marc apparaît sur le seuil du bungalow, l’air aussi endormi qu’Aurélien. Je remarque que son sexe est à moitié érigé.

— Salut! Qu’est ce que vous complotez tous les deux? Lance-t-il en souriant.

— Rien, nous prenons notre petit dej.

Marc se joint à nous après avoir déposé un baiser sur les lèvres de Laure ce qui a pour effet de me rendre un peu jaloux. Bientôt Aurélien est de retour de la douche, sa queue a débandé et pend entre ses cuisses. Il s’installe avec nous et nous terminons notre petit dej. À l’issue de celui-ci, Aurélien m’entraîne pour une balade dans le camp qui nous mène à l’aire de jeu où se trouve le terrain de volley. Nous continuons ensuite notre chemin jusqu’à la plage quasiment déserte, puis nous flânons entre les bungalows au milieu des pins. De temps en temps, nous remarquons un jeune mec qui se promène, parfois nous tombons sur un groupe, certains sont très mignons tandis que d’autres sont franchement repoussants. Bientôt vient l’heure de notre rendez-vous avec Jens, Lucas et Freddy. Nous nous dirigeons donc vers la clairière où ce matin Laure et moi avons fait sauvagement l’amour. Nous arrivons les premiers et nous installons tranquillement. Quelques minutes plus tard, des voix retentissent et nos trois amis font leur apparition!

— Salut les gars! C’est à cette heure-ci qu’on arrive! Lance Aurélien en riant.

— Panne de réveil! Dit Jens.

— Alors Seb, tu es en forme? Demande Lucas.

— Oui pourquoi? Fis-je ingénument, sachant très bien pourquoi il me demandai cela.

— Parce que tu as du boulot, je crois, fit-il en me lançant un clin d’œil.

— Quel boulot?

— Tu ne te rappelles pas? Tu n’aurais pas perdu un concours hier? Répondit-il hilare.

— Franchement, je ne vois pas, fis-je avec un air surpris.

— Il se dégonfle! Petit joueur va, j’en étais sûr! Lança Jens hilare.

— Allez, viens par ici, tu vas voir, répondis-je sur un air de défi.

Jens s’approche de moi, son sexe pendant entre ses cuisses et s’arrête à quelques centimètres de moi. Aussitôt, je prends sa queue entre mes doigts et entreprends de lui donner vie, ce qui est fait en quelques secondes. Mes lèvres s’approchent ensuite du gland offert qui trône au-dessus de sa belle bite et l’avalent. Ma langue court sur celui-ci, agaçant chaque terminaison nerveuse. Jens se crispe sous l’effet de cette caresse. Je fais ensuite coulisser ce beau membre jusqu’au fond de ma gorge tandis que mes mains malaxent les jolies couilles qui pendent sous la hampe dressée. En deux minutes, Jens, dans un cri étouffé se répand dans ma bouche en de longues giclées qui viennent frapper mon palais. J’avale son nectar et lui lance en souriant:

— Alors, je me dégonfle?

— Putain, c’était géant, j’avais jamais ressenti un truc pareil!

— Allez, à qui le tour? Lucas?

— Ok! Dit celui-ci.

Le beau métis prend donc la place de Jens, son sexe est déjà totalement érigé et pointe fièrement ses 24cm en direction de mon visage. Son épaisseur m’interdit de le prendre totalement dans ma bouche, alors ma langue part explorer chaque recoin de son énorme gland tandis que ma main caresse ses belles boules et le bas de sa matraque. Lucas frémit sous cette caresse. Afin de varier les plaisirs, mes lèvres enserrent parfois le bout de son pieu, puis ma langue s’occupe à nouveau du gland. En quelques minutes Lucas a le souffle court, sa respiration se fait rauque, puis son corps est secoué de tremblement et soudain, des cataractes de sperme viennent inonder mon visage!

— C’est grandiose, Seb! Ça n’a rien à voir avec la branlette! Mais toi tu y prends du plaisir?

— Ben tu essaieras et tu me diras! Fis-je en souriant.

C’est maintenant Freddy qui se présente. Sa queue géante surplombe mon visage, elle est vraiment monstrueuse! Plus longue et plus épaisse que celle de Lucas, un véritable membre d’étalon! J’entreprends donc de sucer cette merveilleuse bite et après quelques minutes d’efforts, au demeurant très agréables, de violents jets de sperme jaillissent de cette colonne de chair pour venir souiller mes lèvres et une partie de mon visage! Viens ensuite le tour d’Aurélien qui lui explose au fond de ma gorge en moins d’une minute tant le spectacle l’avait excité. Nous restons un moment assis dans la clairière, sans rien dire puis Lucas dit:

— Seb, j’ai vraiment envie d’essayer. Est-ce que je peux te sucer?

— Mais, je t’en prie! Répondis-je souriant.

Je m’allonge alors sur le dos et Lucas vient s’agenouiller à mes côtés. Il prend d’abord ma queue entre ses mains puis ses lèvres viennent se poser sur l’extrémité de ma tige. Sa langue entame alors un ballet endiablé sur mon gland, pendant que ses mains s’occupent de mes boules. Je m’abandonne aux délices que me procure cette bouche chaude, mon corps frissonne lorsque la pointe de cette langue vient titiller la peau délicate de mon gland. Lucas avale mon sexe jusqu’au fond de sa gorge, le fait coulisser en ses lèvres qui restent bien plaquées contre ma peau. Ses mouvements de va-et-vient et les caresses de cette langue douce et chaude viennent vite à bout de ma résistance et très vite, j’explose dans la bouche du garçon qui avale sans hésiter ma semence.

— C’est vrai que c’est génial de sentir une bite dans sa bouche! En plus j’aime bien le goût du sperme. Je crois que je vais recommencer souvent!

— Moi aussi, j’ai bien envie d’essayer! Dit alors Freddy.

— Et moi donc! Ajouta Jens.

— Eh bien, nous avons toutes les vacances pour ça! Dis-je.

Après cet épisode torride, nous regagnons le sentier et partons disputer une partie de volley avec d’autres garçons du camp. Vers midi, Aurélien et moi retournons au bungalow afin de prendre notre repas en compagnie de ses parents. Lorsque nous arrivons, Laure est seule et s’affaire à mettre la table.

— Ah! Vous voici enfin! Dit-elle. Où étiez-vous?

— Nous faisions un match de volley, répondit Aurélien. Mais où est papa?

— Il est parti faire son jogging il y a environ une heure; je pense qu’il ne devrait plus tarder. Tiens Aurélien, j’ai oublié d’acheter du pain, tu ne voudrais pas y aller?

— Si, fit Aurélien sans grand enthousiasme.

— Seb, tu m’aides à finir de mettre la table?

— Ok.

Aurélien part donc acheter le pain et me laisse seul avec Laure que je soupçonne très fortement d’avoir prémédité son coup. Dès qu’Aurélien a disparu, Laure m’entraîne à l’intérieur. Sitôt la porte refermée, elle se jète contre moi et m’embrasse passionnément. Lorsque nous nous séparons, elle attrape ma queue bandée entre ses doigts et commence à me branler doucement.

— Seb, j’ai envie de toi maintenant, dit-elle d’une voix implorante.

— Arrête Laure, Marc et Aurélien vont arriver.

— Je sais, mais j’ai tellement envie de te sentir en moi.

— Non, on va se faire surprendre. Attends ce soir.

À regret, elle lâche ma tige et nous échangeons à nouveau un baiser enflammé, puis nous éloignons l’un de l’autre. Je vais passer mon sexe sous l’eau froide afin de lui faire reprendre une tenue plus décente et nous terminons les préparatifs du repas. À peine avons nous fini que Marc et Aurélien arrivent ensemble. Marc file se doucher et à son retour nous prenons tranquillement notre repas. Durant celui-ci, la main de Laure qui est assise à mes côtés, face à son mari et Aurélien, s’égare parfois sur ma cuisse et sur mon sexe, ce qui fait que j’ai toutes les peines du monde à ne pas bander.

— Au fait Aurélien, tu ne voulais pas faire de la planche à voile? Lance Laure.

— Si, ça me branche assez.

— Pourquoi n’iriez vous pas en louer une avec ton père? Il y en a dans le camp.

— Oui, c’est une excellente idée? Renchérit Marc. On pourrait y aller cet après-midi, qu’en dis-tu Aurélien?

— Oui, je suis d’accord? Ça te dit Seb?

— Je t’avoue que je suis un peu crevé que je préfère me reposer un peu, répondis-je sur un air volontairement las.

— Pourtant, tu es un pro en planche! Dit Aurélien surpris.

Effectivement, Aurélien sait que la planche à voile est un des mes sports favoris et que je le pratique de façon intensive quasiment toute l’année, ce qui fait que j’ai acquis un excellent niveau, aussi il m’est délicat d’expliquer mon refus.

— Écoute, une autre fois. Aujourd’hui je suis un peu claqué, je me suis réveillé tôt et le match de volley m’a épuisé.

— Oui mais ce serait sympa, tu pourrais me faire voir plein de trucs.

— Je préfèrerais un autre jour...

— Oh, allez...

— Écoute Aurélien, si Seb n’a pas trop envie, tu ne vas pas le forcer. Toi aussi, ça t’arrive d’être fatigué, intervint Laure sur un ton un peu trop agressif.

— Ok, ok, mais alors demain pas question que tu te défiles! Lance Aurélien.

— Promis, demain je viens!

— Je vais donc profiter de cet après-midi pour m’y remettre et demain je te laisse sur place, rigola Aurélien.

— Alors entraîne-toi bien, parce ce que tu en auras besoin, rigolais-je.

Une fois le repas terminé, chacun aide à débarrasser et en un temps record, tout est lavé et rangé. Aurélien et Marc s’apprêtent à partir tandis que je me dirige vers la tente.

— Seb, tu es bien sûr de ne pas vouloir nous accompagner? Demande Marc.

— Non, vraiment, je vais aller faire une petite sieste, répondis-je.

— Bon, alors on y va! Lance Aurélien, pressé de partir naviguer.

— Amusez-vous bien! Vous revenez vers quelle heure? Demande Laure.

— Pas avant 17h! Si tu veux, je te rejoins sur la plage, répond Marc.

— Ok, on fait comme ça!

Alors qu’Aurélien et Marc sont sur le point de partir, je rentre sous la tente et m’allonge sur mon duvet. Quelques courtes minutes après que je me sois étendu, le visage de Laure apparaît dans l’ouverture de la tente, illuminé par un sourire radieux.

— Mon amour, l’après-midi est à nous! Dit-elle avec un sourire gourmand, tout en rampant sous la petite tente pour venir me rejoindre.

— Et qu’est-ce que tu as prévu, ma puce?

— Profiter de toi jusqu’à la dernière goutte bien sûr! Répondit Laure en riant.

— Programme alléchant! On commence quand?

— Mais tout de suite! Dit-elle en s’allongeant sur moi et en posant ses lèvres sur les miennes.

Nous échangeons un long baiser durant lequel nos mains parcourent nos corps puis lorsque nos lèvres se détachent Laure me dit:

— J’ai envie de toi de suite!

— Allons dans le bungalow, ici ça craint un peu, tout le monde peut nous voir!

— Vite! Suis-moi! Dit-elle en se précipitant hors de la tente.

À mon tour, je sors de la tente, la bite bien droite et bien dure et me précipite à la suite de Laure qui offre à ma vue sa croupe splendide dont je compte bien profiter. Je rentre donc dans le bungalow et referme la porte derrière moi. Aussitôt, Laure me prend dans sa bouche et entreprend de me sucer avidement. En moins de deux minutes j’explose entre ses lèvres pulpeuses et Laure avale ma semence.

— Mon amour, j’adore te prendre dans ma bouche et sucer ta jolie queue. Dit-elle dans un grand sourire.

Je l’entraîne alors sur le lit où elle s’allonge, les jambes légèrement entrouvertes, les yeux mis-clos. Je m’installe entre ses jambes et plonge mon visage entre ses cuisses pour aller prendre possession de son sexe avec ma bouche. Ma langue part explorer cette caverne ruisselante, elle agace son clitoris dressé, déclenchant ainsi de petits soupirs de satisfaction chez Laure. Ma langue fouille avidement le sexe de Laure, parcourant ses muqueuses inondées, pendant que mes mains malaxent ses beaux seins aux mamelons durcis. L’orgasme de Laure survient rapidement, elle jouit dans un cri déchirant, le corps tendu à l’extrême, avant de retomber foudroyée sur le lit.

— Mon amour, il y a tellement longtemps que je n’avais pas joui de cette façon, j’avais oublié comme c’était bon.

— J’aime te voir jouir, Laure, j’ai encore envie de te donner du plaisir, ma puce.

— J’ai veux que tu me prennes de toutes les façons.

Je l’enlace tendrement, elle se love au creux de mes bras et nous restons ainsi un long moment. Pendant les heures qui suivent, nous refaisons l’amour plusieurs fois, je ne me lasse pas du sexe accueillant de la jeune femme, ni de sa formidable croupe dans laquelle j’adore plonger ma queue. Après plusieurs orgasmes, nous remettons de l’ordre afin que personne ne s’aperçoive de nos ébats et partons prendre une douche. Lorsque Marc et Aurélien sont de retour, ils nous trouvent sagement installés dans les transats, un livre à la main, seuls les cernes qui soulignent les yeux de Laure trahissent notre après-midi torride, mais Marc ne semble pas les voir.

— Alors, c’était bien?

— Extra! Répondit Aurélien. Et vous, qu’avez vous fait?

— Pas grand chose, j’ai dormi un peu, puis j’ai bouquiné, répondis-je un peu gêné.

— En gros tu t’es emmerdé! Rigola Aurélien.

— Pas du tout, au contraire! Répondis-je un peu trop prestement.

— Et toi ma chérie? Demanda Marc. Tu n’es pas allé à la plage où nous devions nous retrouver?

— Euh, non, j’ai eu un peu la flemme, je suis resté ici à lire, répondit Laure, consciente de son oubli et dont les joues s’empourprent.

— Ah bon, laissa tomber Marc jetant un regard étrange vers son épouse et moi-même.

L’après-midi se termine dans un climat un peu bizarre, je pense que Marc a des soupçons quant aux réelles activités de Laure et moi. Après le repas, je me retrouve un instant seul avec la jeune femme et je lui fais part de mes soupçons.

— Ma puce, je crois que ton mari se doute de quelque chose.

— Oui, moi aussi, il m’a posé des questions étonnantes tout à l’heure, comme s’il cherchait à ce que je me contredise ou à ce que je fasse une gaffe.

— Il va falloir redoubler de prudence.

— Oui, mais de toute façon, je ne l’aime plus et je crois que je vais le quitter.

— Attention, le v’la.

Nous nous écartons rapidement l’un de l’autre.

— Encore à comploter tous les deux? lança-t-il. Un vrai petit couple.

— Très malin, comme réflexion, rétorqua Laure sur air ton peu amer.

— Seb, on va se balader? Demande Aurélien.

— Oui, j’arrive! Répondis-je heureux de pouvoir m’échapper avant que la situation ne s’envenime.

Aurélien et moi, partons sur le sentier d’un pas rapide, à la recherche de Lucas, Jens et Freddy. Après être passés à la plage, au terrain de volley sans voir personne, nous nous dirigeons vers la clairière. Tandis que nous approchons, des bruits parviennent à nos oreilles, nous nous faisons discrets et continuons notre progression dans un silence absolu. Arrivés au bord de la clairière, un drôle de spectacle s’offre à nous: nos trois amis sont en cercle au milieu de celle-ci, chacun avec une bite dans la bouche. Lucas avale la queue de Jens qui lui-même pompe avidement l’énorme bite de Freddy, qui à son tour s’occupe de la matraque de Lucas!

— Alors, on s’amuse bien! Lance Aurélien.

Les trois garçons, qui ne nous avaient pas entendu venir sursautent, les bites quittent les bouches et chacun se redresse face à nous. Devant leurs mines défaites, Aurélien et moi éclatons de rire!

— Salaud, vous nous avez fichus une de ces trouille! Dit Lucas.

— Ouais! Vous mériteriez une bonne leçon, renchérit Jens!

— Allez, vous pouvez continuer, dis-je.

— Vous vous joignez à nous alors? Dit Freddy.

— Avec plaisir, répondit Aurélien.

Sitôt dit, sitôt fait et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me retrouve avec la bite de Lucas dans la bouche tandis que Jens me pompe avidement. Pendant que ma langue et mes lèvres s’occupent de la lourde tige, mes doigts s’insinuent entre les fesses de Lucas et commencent à peser sur l’anneau de ses reins. Quelques instants après, la résistance cède et un doigt pénètre dans l’intimité du garçon qui sursaute un peu sous l’effet de cette intrusion, mais ne proteste pas! Mon doigt est vite rejoint par un second et ils se mettent à fouiller l’intimité de Lucas, qui malgré la bite d’Aurélien dans sa bouche émet de petits grognements de plaisir. Aurélien est le premier à décharger son foutre, imité quelques secondes plus tard par Freddy et Jens. Lucas se tord littéralement sous l’effet conjugué de ma bouche sur son sexe et de mes doigts dans ces fesses. Puis soudain:

— Seb, j’ai envie que tu me mettes ta queue dans les fesses, fit le garçon, s’arrachant de ma bouche pour se mettre à quatre pattes.

Je me redresse à mon tour et viens placer ma bite lubrifiée par la salive, devant l’entrée de son cul. Je force lentement cet anneau que mes doigts ont déjà un peu détendu et je vois le bout de ma queue disparaître dans ce puit. Lorsque mon gland est entièrement entré, je fais une pose pour permettre à Lucas de s’habitué à ma présence. Le garçon m’invite à continuer, je m’exécute avec plaisir et bientôt, c’est l’intégralité de ma bite qui a disparu entre ses fesses magnifiques. Au moment où je sens que Lucas est bien détendu, je commence à labourer ces fesses avec de lents mouvements.

— Putain, c’est bon! Continue! Gémit Lucas.

Encouragé par ses paroles, j’accélère mon rythme et je pilonne sans retenue ce cul offert. Quelques minutes plus tard, alors que Lucas pousse des cris de plaisir étouffés, l’orgasme me prend telle une tornade et j’explose en de longues giclées qui viennent inonder les fesses de mon copain. À son tour, dans un cri, il éjacule violemment et sa grosse bite expulse une quantité phénoménale de foutre.

— C’était trop bon! Dit Lucas en se redressant. J’aurais jamais cru que d’avoir une queue dans les fesses procure une sensation pareille. J’ai joui sans même me toucher.

— Ça fait pas mal? S’enquit Freddy.

— Un peu au début, mais après c’est le bonheur total.

— Et qu’est-ce que ça fait d’enculer un mec? Demanda Freddy.

— C’est super bon! Répondis-je.

— Putain, j’adorerais essayer, intervint Jens.

— Demain matin je suis d’avis que nous testions ça, dit Freddy dont le monstrueux sexe commençais à se redresser.

— Oui, mais avec ton engin, tu vas nous déchirer, dis Jens, en regardant cette matraque de chair.

— Tu crois? Dit Freddy un peu dépité.

— Ben disons qu’il vaut mieux éviter de commencer avec un engin pareil, dis-je en souriant. Mais une fois habitué, je suis sûr que ça doit être très bon.

— Bon on verra ça demain! Il faut y aller, coupa Lucas.

Nous regagnons tous nos bungalows respectifs, nous donnant rendez-vous ici même le lendemain en fin de matinée pour une séance de sexe qui promet d’être très chaude. Aurélien et moi arrivons au bungalow devant lequel Laure est assise, les yeux rougis, le regard triste. J’ai envie d’aller lui demander ce qui se passe et la prendre dans mes bras, mais je ne peux hélas, pas me laisser aller à un tel comportement. Alors je rentre directement sous la tente, rejoint par Aurélien.

— Mes parents ont encore dû s’engueuler, dit-il d’un air détaché.

— Ça leur arrive souvent?

— Oui plusieurs fois par semaine. Maintenant je n’y fais plus attention.

— Pourquoi se disputent-ils?

— Pour tout un tas de trucs. Ma mère reproche à mon père d’aller voir d’autres femmes et mon père ne cesse de lui envoyer des vacheries à la gueule.

— Ça doit être dur pour elle.

— Elle n’a qu’à faire comme lui et aller voir ailleurs! Répondit Aurélien. Mais peut être le fait-elle déjà, ajouta-t-il en me lançant un regard énigmatique.

Sur ces paroles nous nous couchons. La main d’Aurélien vient se poser sur ma queue tandis que je lui caresse longuement ses belles couilles et nous finissons par nous endormir ainsi.


Naturisme au Cap d'Agde PARTIE 3


Le lendemain matin, je me suis réveillé vers 6h et en faisant attention de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller Aurélien, je sors de la tente espérant bien me retrouver seul avec Laure afin de lui demander ce qui s’est passé la veille au soir. Hélas, elle n’est pas là! N’osant pas entrer dans le bungalow pour préparer mon petit dej, je patiente donc en lisant un bouquin sans vraiment arriver à m’intéresser à l’histoire. Il y a environ une heure que je me morfonds dans le transat lorsque la porte du bungalow s’ouvre sur une Laure au regard triste et fatigué. Aussitôt, je bondis sur mes pieds et m’avance vers elle.

— Salut ma puce, lui dis-je doucement en déposant un baiser sur sa joue.

— Salut, mon amour, répondit-elle.

Nous avançons de quelques mètres en direction du sentier désert qui borde le petit terrain du bungalow.

— Qu’est-ce qui s’est passé hier soir?

— Marc m’a fait une scène pas possible! Il m’a traité de tout: de salope, de traînée. J’ai même eu peur qu’il me frappe.

— Mais pourquoi?

— Il a remarqué des taches de sperme sur les draps du lit, ça l’a rendu fou et il est entré dans une colère terrible.

— Alors il sait pour nous deux?

— Non, j’ai nié. Je lui ai dit qu’il était parano et je lui ai expliqué que ces taches pouvaient avoir été provoquées par plein de choses, mais il ne m’a pas cru.

— Et alors?

— Il m’a interrogé pendant un moment, tentant de me faire avouer, mais j’ai tenu bon, même si par moments j’ai été à deux doigts de craquer.

— Mais il t’a posé des questions sur nous deux?

— Oui, il est persuadé que nous faisons l’amour; il voulait même t’interroger. J’ai du lui expliquer que c’était du délire et que de toute façon, les garçons de ton âge ne s’intéressaient pas aux femmes du mien. Il a fini par se calmer et admettre que j’avais raison.

— Et après?

— Après, eh bien, il m’a forcé à le sucer.

— Tu l’as fait? Demandais-je avec une pointe de jalousie.

— Oui mais ça me dégoûtais, alors j’ai pensé que c’était toi que je prenais dans ma bouche, ça m’a aidé. Heureusement, ça n’a pas duré longtemps et je peux te dire que je n’ai pas avalé son sperme.

— Laure, jamais je n’aurais cru pouvoir te dire ça, je sais que ce n’est pas raisonnable, mais JE T’AIME!

— Oh Seb, moi aussi je t’aime!

Laure s’avance vers moi, son regard de braise planté dans le mien, sa bouche s’approche de la mienne, nos lèvres se joignent et nos langues se mêlent dans un baiser aussi violent que passionné. Lorsque nos bouches se séparent, nous restons un long moment immobile, face à face, les yeux dans les yeux.

— J’en envie de toi! Dit Laure d’une voix implorante.

— Et moi donc, regarde! Dis-je en montrant ma queue bien raide.

Elle pose alors sa main sur ma tige tendue, ses doigts effleurent mon gland, elle prend mes boules dans ses mains et les malaxe longuement.

— Je suis inondée, je crève d’envie de t’avoir mais ce serait trop risqué de nous absenter. Nous tenterons de trouver un moment dans la journée, dit-elle.

— Ok, mais je ne sais pas comment je vais faire partir ça! Dis-je en jetant un regard sur ma bite dressée.

— Va prendre une douche froide, répondit-elle un peu triste. Bon, je rentre. Je ne voudrais pas que Marc nous surprenne.

Elle regagne le bungalow, me laissant là avec mon encombrante érection. Je m’installe à nouveau sur le transat et je reprends mon bouquin et lorsque ma queue est enfin débandée, je pars faire une promenade dans le camp. J’erre sans but précis sur les sentiers étroits et déserts qui sillonnent la pinède, assez loin des habitations, jusqu’à arriver sur une dune qui surplombe la mer. Alors que je suis assis depuis un petit moment dans le sable et que je contemple l’eau bleue, je sens une présence derrière moi. Je me retourne pour me retrouver face à un garçon de type arabe qui me regarde en souriant. Il est carrément superbe, avec ses cheveux noirs, son corps fin entièrement dépourvu de poils sauf au niveau du pubis où se dresse un petit buisson peu fourni qui surmonte une belle queue d’environ une bonne douzaine de centimètres qui repose sur deux couilles énormes entièrement lisses.

— Salut! Dit-il en souriant. Tu es matinal on dirait.

— Salut! Oui j’aime bien me lever tôt pour profiter du petit matin. Mais toi aussi dirait-on?

— Oui, c’est sympa. Au fait je m’appelle Farid et toi?

— Seb! Fis-je. Assieds-toi si tu veux.

— Bonne idée merci, dit-il en s’asseyant à mes côtés.

— Tu es ici depuis longtemps? Lui demandais-je.

— Je suis arrivé depuis trois jours.

— Mais alors tu dois connaître déjà plein de gens!

— En fait non, tu es le premier gars de mon âge à qui je parle. Il faut dire que c’est la première fois que je viens dans un camp naturiste et que ça me gêne un peu d’aller vers les gens avec mon sexe à l’air.

— Moi aussi c’est la première fois que je viens dans un endroit pareil et c’est vrai que ça fait un peu bizarre de voir tout ces gens qui s’exhibent. En plus ça manque cruellement d’ados ici.

— Comme tu dis! Il y a plus de gens qui ont la cinquantaine passée que de mecs de 16-17 ans.

— Remarque, ça à l’avantage qu’au moins on n’est pas excité à leur vue!

— Oui, je suis déjà suffisamment ennuyé de devoir exhiber ma queue, j’imagine ce que se serait si elle était en plus bandée! Fit-il avec un sourire.

— C’est vrai que ce doit être délicat comme situation. Surtout que la tienne semble plutôt de belle taille et que tu aurais du mal à la cacher! Dis-je en riant et en matant son engin qui semble avoir pris un peu de volume.

— Euh ma fois, de ce côté là je n’ai pas à me plaindre, dit Farid dont le visage s’empourpre quelque peu. Mais, ça t’es déjà arrivé d’avoir une érection alors que tu te baladais à poil dans le camp?

— Oui, une ou deux fois, dis-je en regardant le joli visage du garçon. Et si on continue à parler de sexe, je crois qu’il y en aura une troisième, rigolais-je.

Farid, jète un petit regard sur ma queue qui commence lentement à s’ériger, tandis que la sienne fait de même.

— Et tu fais comment dans ces cas là? Demande-t-il.

— Comment fais tu passer une érection, toi? Répondis-je l’air narquois.

— Ben, si je suis seul je me branle, comme toi je suppose.

— Exact, comme moi! Et je crois que je vais devoir le faire sans tarder, dis-je en regardant ma tige désormais totalement dressée. Et peut-être bien que toi aussi, ajoutais-je en pointant du doigt le membre bien dur de Farid qui déployait désormais ses vingt bons centimètres pointés vers le ciel.

— Je pense que ça va devenir nécessaire, fit-il en me regardant dans les yeux et en posant sa main sur son membre. Ici il n’y a personne, alors on est tranquille.

— Oui, on ne risque pas d’être dérangés, répondis-je en empoignant ma queue.

Nous nous masturbons lentement, allongés dans le sable de la dune, à l’abri des regards indiscrets. Je fixe la queue de Farid qui s’érige majestueusement au-dessus de son ventre et sur laquelle sa main monte et descend régulièrement. Je note que le regard du garçon se porte régulièrement sur ma propre bite qu’il scrute avidement.

— Tu veux qu’on échange? Lui proposais-je.

— Échanger quoi? Fit-il.

— Nos mains, bien sûr.

— Ok, ça n’en sera que meilleur! Répondit-il en retirant sa main de son sexe.

Ainsi quelques secondes plus tard, je me retrouve avec la bite de Farid dans ma main tandis que ma propre queue se retrouve serrée entre les doigts du garçon. Je masturbe lentement cette colonne de chair au bout de laquelle se détache un gland rose dont la couleur contraste avec la peau sombre du reste du membre sur lequel mes doigts se posent délicatement, déclenchant de petits râles étouffés chez Farid. Je prends les boules qui pendent sous le pieu du garçon, elles sont carrément énormes; de ma vie, je n’ai encore vu pareilles couilles. Ma main les fait rouler, je les caresse lentement avant de reprendre la branlette de la hampe! Rapidement, nos respirations s’accélèrent, nos souffles deviennent plus rauques et au même instant, nos corps se tendent et nous explosons chacun dans la main de l’autre. Le sexe de Farid expulse une quantité phénoménale de sperme! J’ai l’impression qu’il ne va plus s’arrêter.

— Putain, c’est quand même meilleur avec la main d’un autre! Dit-il avec un grand sourire en se tournant vers moi.

— C’est sûr! Moi aussi je préfère, mais c’est encore mieux avec la bouche.

— Je n’en sais rien, mais je ne serais pas contre un essai, lança-t-il.

— Alors il va falloir attendre un peu pour reprendre des forces, fis-je en faisant sauter au creux de ma main sa bite à nouveau au repos.

— Ne t’inquiète pas, je crois qu’elle ne va tarder à regrossir, répondit-il avec un sourire malicieux.

— C’est sûr qu’avec des boules pareilles, tu as des réserves! Dis-je rigolard en attrapant à nouveau ces deux énormes testicules.

— Tu ne crois pas si bien dire! Je suis déjà arrivé à jouir 10 fois dans une même journée, lança-t-il. Mais mon frère est encore meilleur que moi.

— Ah bon? Fis-je intéressé. Parce que tu as un frère?

— Oui, il a 17 ans et il bande toute la journée! En plus il a un machin pas possible alors ça se voit tout de suite quand il est dressé. Au bahut, il passe ses récrés à se branler, ajouta-il hilare.

La queue de Farid est en effet à nouveau bien dure entre mes mains, tandis que la mienne est dans le même état.

— On y va? Me demande-t-il.

— Ok, allonge-toi.

Farid, s’allonge sur le dos tandis que je viens au-dessus de lui, positionnant ma bouche au dessus de sa bite alors que ma propre queue est au niveau de ses lèvres. Sans aucune hésitation, le jeune garçon prend ma tige dans sa bouche et commence à me sucer avidement. Je contemple un instant son beau membre bien raide et ma langue vient virevolter sur le gland rose qui le surmonte, léchant chaque recoin de la peau nue et délicate de celui-ci. Je sens les lèvres de Farid qui enserrent ma tige, laquelle coulisse dans cet étau chaud et délicieux tandis que ses mains jouent avec mes boules. À mon tour, j’avale la hampe offerte jusqu’au plus profond de ma gorge et caresse les grosses couilles qui pendent au dessous. Nous nous suçons ainsi de longues minutes, nous délectant du plaisir mutuel que nous nous donnons. Soudain les jambes de Farid sont secouées de tremblements, son sexe qui emplit déjà entièrement ma bouche gonfle encore puis son corps tout entier s’arc-boute et des cataractes de sperme jaillissent du pieu du garçon, inondant ma bouche. Cet orgasme déclenche mon propre plaisir et je décharge mon foutre dans la gorge de Farid qui avale le tout. Alors que je m’allonge à ses côtés, ivre de plaisir. Farid me regarde en souriant et me dit:

— C’est vraiment le top! J’espère qu’on pourra vite recommencer!

— Demain si tu veux!

— Pas de problème, on se retrouve ici demain à la même heure?

— OK.

— Bon, il faut que j’y aille.

— À demain!

À mon tour, je regagne le bungalow où je retrouve Laure et Marc en train de prendre le petit déjeuner.

— Salut! Lançais-je.

Marc, le visage fermé, ne daigne même pas lever la tête tandis que Laure me répond en souriant. Le petit dej se déroule dans un silence effroyable, ni Laure, ni moi n’osant émettre le moindre de son, de peur de la réaction de Marc.

— Aujourd’hui, je vais amener Aurélien sur un voilier qui propose des sorties en mer pour la journée. Comme ça vous serez tranquille pour vous livrer à vos ébats, dit Marc sur un ton sarcastique.

— Excellente idée, répondit Laure sur le même ton.

— Tu es vraiment une salope.

— Mais bien sûr et toi un ange pour tes midinettes de 18 ans.

Sur ces douces paroles, Marc se lève et va réveiller Aurélien avec qui il parle longuement à voix basse. Même si je ne peux entendre le contenu de leur conversation, je ne pense pas qu’il lui ait révélé la relation qui me lie à sa mère car l’attitude d’Aurélien à mon égard reste toujours la même: toujours aussi sympa et complice. Environ une heure plus tard, le garçon et son père nous quittent après que Marc eut bien entendu lancé quelques allusions bien grasses lorsque son fils ne pouvait l’entendre.

— Oh Seb, je n’en peux plus! Cette situation est insupportable! Marc me fait peur.

— Laure, je voudrais tant t’aider mais je ne sais pas comment.

— Continue de m’aimer tout simplement, répondit-elle en souriant.

Cela fait plus d’une demi-heure que nous parlons longuement, assis dans les transats devant le bungalow, lorsque j’aperçois Marc qui arrive à grandes enjambées! Il se plante devant nous et nous regarde un rictus aux lèvres.

— Pas encore au lit, les amoureux? Lance-t-il méchamment.

— Non pas encore! Tu es déçu? Tu espérais pouvoir mater un peu? Répondit Laure d’une voix glaciale qui décontenança un peu Marc. Qu’es-tu revenu faire? Vérifier si nous baisions? Eh bien non, désolé! Vois-tu, enchaîna-t-elle.

— Non je suis juste revenu chercher mon portefeuille, fit-il en entrant dans le bungalow pour en ressortir quelques secondes plus tard muni de celui-ci.

Marc s’éloigna sans un mot.

— J’espère que cette fois il est parti pour de bon, lâcha Laure.

— Moi aussi car je commence à avoir sérieusement envie de toi, dis-je en lui touchant les seins.

— Tu crois qu’il ne me tarde pas de t’avoir en moi, peut-être? Répondit-elle.

Nous laissons encore passer une demi-heure puis, n’y tenant plus, j’entraîne Laure à l’intérieur. Nous nous jettons sur le lit, nos corps se mêlent, nous nous embrassons avec fougue, l’excitation est à son comble! Laure me prend quelques instants dans sa bouche puis me fait comprendre qu’elle a envie de ma queue dans sa chatte et aussitôt je pénètre avec délice dans son sexe inondé. Nous jouissons l’un et l’autre très vite dans des cris mêlés avant de retomber en sueur sur les draps. Durant le reste de la matinée nous refaisons l’amour dans toutes les positions possibles, ma queue passant allègrement des fesses de Laure à son sexe toujours aussi accueillant. Nous oublions tout le reste pour nous concentrer sur notre seul plaisir. L’un comme l’autre finissons totalement épuisés et terminons nos ébats par une douche réparatrice sous laquelle nous nous caressons mutuellement entre deux baisers.

Les vacances se sont terminées ce jour-là, au retour de Marc qui nous a surpris, Laure et moi en pleine action. Le voyage retour fut des plus pénibles...

 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Commentaires

tres bon récit nous sommes allé au cap voila 4a avec 2 couples bi amis nous nous sommes vite fait des amis
commentaire n° :1 posté par : cricri le: 06/01/2014 à 18h31

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