Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 20:19
L'auto stop   
  
 Je vais vous parler de ma véritable première fois, à cette époque trouble oú, encore puceau, je n'avais qu'une idée en tête, tirer un coup. Dans mon idée, cette première fois se ferait bien sûr avec une fille, et comme rien ne se profilait à l'horizon, je passais mon temps à fantasmer, je m'excitais pour un rien et dès que l'occasion se présentait je sortais ma queue pour m'en occuper. J'avais pris l'habitude de sécher les cours et de faire du stop jusqu'à la ville voisine, pour mater sans vergogne tous les culs qui passaient à ma portée et faire le tour des marchands de journaux ou je feuilletais discrètement les revues chaudes, en piquant une à l'occasion. Après quelques heures de ces promenades obsessionnelles, je re-faisais de stop dans l'autre sens, avec comme priorité, une fois arrivé, trouver un coin dans la campagne pour me branler. Un jour donc, le rituel de la promenade passé, je me poste au lieu habituel, et je lève le pouce. Deux minutes plus tard (record battu) une voiture s'arrête et m'ouvre la porte, je m'installe et nous voila partis, je suis bien un peu serré dans mon jean, mais bon dans trente minutes au plus je serais arrivé, et pourrais enfin m'astiquer tout à loisir. C'est en pensant à cette douce perspective que je répondais machinalement aux banalités d'usage. Entre chauffeur et stoppeur, quand une question plus précise me fit sortir de ma rêverie ; je lui demande de répéter, ce qu'il fait tout naturellement me posant la main sur la cuisse, très haut sur la cuisse : -ça m'a l'air bien tendu la dessous, tu est toujours dans cet état quand tu fais du stop ? J'en reste interdit, je ne répond rien, je regarde sa main, je regarde ma bosse et réalise soudain que depuis mon entrée dans cette voiture j'affichais tranquillement mon érection, écartant bien les genoux, mon bassin posé très en avant sur le siège. Rapidement je me redresse, serre les cuisses et tout embarrassé, tente de bafouiller quelques chose. Il remet sa main sur le volant, et nous roulons quelques kilomètres en silence, lui apparemment, n'est absolument pas gêné par la situation. J'essai de comprendre ce qui m'arrive, j'ai beau être sérieusement obsédé, j'ai quand même une certaine pudeur, enfin je croyais, et l'idée de me faire toucher la bite par un homme n'avais jamais fait partie de mes fantasmes. D'autre part c'est tout simplement la première fois que quelqu'un me fait des avances. La honte m'empêche de lui expliquer qu'il se méprend, et la peur de ce que mon attitude a provoqué me fait perdre mes moyens, ce qui va ce passer ensuite, si je ne réagit me parait impensable ; pourtant, l'idée faisant son chemin, je m'aperçoit que mon érection au lieu de se calmer se développe encore au point que bientôt je ne pourrais plus la contenir ; excitation, panique, à mesure que je cherche une issue à cette situation, je sent mes dernières résistances céder, et c'est en tremblant comme une feuille, avec une toute petite voix que je lui demande de bien vouloir reposer sa main. Nous roulons comme ça quelques temps, j'ai repris ma position initiale, je me laisse toucher la queue par dessus le jean, savourant langoureusement ses attouchements et c'est tout naturellement, quand il m'y invite, que je fait glisser pantalon et slip sur mes cuisses. Sans plus aucune pudeur, j'offre ma bite à ses regards et le laisse passer sa mains sur toute les partie ainsi offertes, il me caresse les cuisses, glisse entre elles, remonte ma hampe saisissant mes couilles au passage, il les serre, je gémis un peu, il passe sur ma queue et remonte vers mon ventre je soulève mon tee-shirt m'offrant plus encore, mon sexe me parait énorme, il se tend par saccades, j'ai les yeux rivés sur sa main et, le souffle court, je la regarde passer de mon ventre à mes couilles remontant avec un doigt jusqu'à mon gland, si doucement que je le sent à peine, puis un doigt après l'autre il s'enroule autour de ma queue jusqu'a la saisir complètement je frise l'explosion quand brusquement il retire sa main. Je ne comprend pas ce qu'il fait, sa main est de nouveau sur le volant, il regarde la route et accélère jusqu'a reprendre une allure normale, nous roulions aux pas depuis... depuis combien de temps au fait, je n'en ai pas la moindre idée, j'avais presque oublié que nous roulions. c'est à peine si j'avais remarqué les voitures qui nous croisaient. -rhabille toi, on va trouver un coin plus discret et je vais m'occuper de toi. j'obéis, et tente de me redonner une consistance tout en essayant d'évaluer la situation. Qu'entend-il par "s'occuper de moi", tout ce que je connais en matière de sexe tiens dans une seule main, et encore s'agit-il de la mienne, ce type manifestement veux me faire des trucs de pd et ça ne vas pas du tout, je ne vais tout de même pas le laisser faire, bon, tout à l'heure j'était dans un état pas possible, il l'a eut facile, mais maintenant, j'ai repris mes esprits, je peux me finir tout seul... mouais, pour la première fois cette perspective me laisse un peu froid, c'était quand même vachement bien tout à l'heure, et puis, m'êtres exhibé comme je l'ai fait, en plein jour, alors que n'importe qui pouvait me voir, personne ne m'y à forcé, ce mec m'a excité plus que je ne croyais possible de l'être, je veux qu'il recommence, je veux qu'il m'excite à nouveau, je veux encore me foutre à poil devant lui, qu'il me touche, qu'il me branle. J'y pense tellement fort que j'ai l'impression de crier dans la voiture. Je le regarde à la dérobé, il ne peux pas ignorer mon état, sa main gauche est posée sur sa braguette et il la malaxe tranquillement. L'idée me viens qu'il ne va sans doute pas se contenter de me branler et que je devrais probablement moi aussi m'occuper de lui... et bien soit, s'il veux que je le branle je le branlerai, comme s'il avait suivi le cheminement de mes pensées, il me demande : - tu as déjà baisé ? - heu… non - vraiment ? T'as pas un copain ou une copine pour faire des trucs ? - non non - comment tu fais alors ? - bah, tout seul - t'as super envie de baiser alors - ben ouais - pose ta main la il me prend la main et il l'a pose sur son entrejambe, il a une sacrée gaule lui aussi. - tu vois dans quel état tu m'as mis ? je commence à bouger les doigts pour en deviner les contours, elle me parait très épaisse et comme je n'arrive pas à la couvrir sur toute la longueur j'amorce un vas et viens du haut vers le bas ; il à l'air d'apprécier ; il quitte la route principale et avise un petit bois à un kilomètre de là quand il arrête la voiture, je suis penché vers lui, le bras tendu, je n'ai pas cessé mes vas et viens et j'attend les jambes écartées qu'il veuille bien me faire pareil. - sortons on sera plus à l'aise je quitte ma place, la tête me tourne un peu, et tandis qu'il ferme les portes, j'entre dans le bois, je repère rapidement quelques fourrés aux milieu desquels nous pourrons nous installer sans craintes d'être vus depuis la route. J'attend qu'il me rejoigne et après avoir vérifié une dernière fois que nous sommes seul, je commence à déboutonner mon jean, il s'approche et pose ses mains sur mes hanches. - tu est sur que tu n'as jamais fait ça? - non jamais ses doigts glissent dans ma ceinture, je relève mon tee-shirt jusqu'à le retirer totalement et je reste comme ça, les bras en l'air, face à lui, juste à quelques centimètres, de ses mains il fait descendre un peu plus mon jean, très bas sur mes hanches, je laisse tomber mon tee-shirt et commence à déboutonner sa chemise jusqu'à l'ouvrir totalement mon sexe est encore prisonnier du tissu, il me caresse doucement, ses mains passent de mon dos à la naissance de mes reins, j'ai pose mes mains à plat sur son torse, je remonte à ses épaules, mon jean glisse encore un peu plus, il se colle tout contre moi, je sent sa peau sur la mienne, il murmure à mon oreille / -tu aimes ça -oui -tu aimes te faire toucher -oui c'est bon -je vais te sucer tu vas aimer ça aussi, je vais goûter ta queue -j'ai envie de jouir -tu vas jouir dans ma bouche et après tu vas me sucer -oui je vais te sucer aussi -tu aimes ça le sperme -je n'sais pas -moi j'adore ça, tu vas aimer ça toi aussi il m'embrasse le torse, il m'embrasse le ventre, mes mains accompagne son visage il est à genoux devant moi, mon jean descend encore, je le regarde faire, il tire sur mon slip, ma bite tendue le retiens, il tire un peu plus fort elle se dégage d'un coup sec elle est parfaitement droite face à lui, tendue vers sa bouche, mon gland palpite, je sens ses mains remonter sur mes cuisses, saisir mes fesses et, tandis qu'il les serrent chacune dans une main, fait entrer ses ongles dans ma chair. il enfourne ma queue toute entière dans sa bouche, il reste un moment comme ça sans bouger, puis recule doucement, ne gardant que le gland entre ses lèvres, sa langues parait s'enrouler autour, puis il recommence, une fois, deux fois, je le regarde fasciné, je ne vais pas tenir longtemps, je sens déjà un frisson brûlant partir de mes jambes, ses mouvements s'accélèrent, j'essaie de me retenir, j'ai l'impression de fondre dans sa bouche, il me suce divinement bien, une montée incontrôlable irradie chacun de mes muscles, il se retire pour me dire - non!, ne joui pas encore ! Au moment même où j'explose, lui arrosant le visage d'une première salve de sperme il se précipite alors sur mon bout et l'aspire violemment et avec des hoquets successif, il pompe et avale les suivantes s'assurant de bien prendre toute ma queue jusqu'au fond de la gorge, tirant sur mes fesses pour se l'enfoncer encore plus, avalant jusqu'à la dernière goutte puis, avec sa langue il entreprend de me nettoyer passant et repassant sur toute la longueur, il me lèche consciencieusement. Ma queue est encore bien droite, même si elle a perdu de son volume, je le regarde faire, je suis épuisé, je ne sent plus mes jambes, je vacille un petit peu, alors il se retire. La suite, puisqu'il y à une suite sera pour une prochaine fois, je crois bien être resté deux heures dans ce petit bois et il y aurait encore beaucoup à raconter 



Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Commentaires

très beau récit et très bien écrit malgré quelques fautes, mais rencontre très bien décrite. Félicitations
commentaire n° :1 posté par : patoche1624 le: 01/11/2019 à 18h08

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