HISTOIRES HETERO

Mardi 19 mai 2 19 /05 /Mai 16:35
Deux étudiants dépucelés ensemble

D'abord, pour ceux qui s'astiquent le poireau devant leur écran en lisant mes histoires, je précise la description de mes bijoux de famille: j'ai une verge assez petite au repos (8cm environ), assez brune, terminée par un bon centimètre de ce que les anglosaxons appellent un overhang du prépuce. Malgré cette grosse tétine qui ferme ma verge vers l'avant, je décalotte sans problème à fond sous la douche tous les matins car mon prépuce est bien large et laisse coulisser mon gros gland d'homme hétéro sans problème. Mon gland est gros et rond, avec un bourrelet (couronne) très marqué que l'on devine bien sous la peau de ma verge quand le pépuce n'est pas décalotté, et qui donne beaucoup de plaisir à ma femme (et aux quelques filles avec qui j'ai baisées avant de me marier). C'est ce qu'on appelle un gland en champignon. Mes couilles sont assez grosses, bien rondes et fermes, couvertes de poils abondants que je tonds régulièrement avec ma tondeuse à barbe. Je bande bien et ma queue atteint 18cm en érection. Sauf si je tire dessus pour décalotter, mon prépuce reste bien en place sur la queue bandée, recouvre tout le gland et ne laisse deviner que le méat du gland. Il m'arrive de me branler sans décalotter, le sperme coulant alors du prépuce lors de l'éjaculation. Mais je décalotte sans problème, par exemple pour permettre à ma femme d'enfiler le préservatif. Dans ce cas, le prépuce retroussé forme un col roulé autour de mon gros gland mauve et humide. Comme j'ai la couronne du gland bien en relief, je peux garder le prépuce retroussé plusieurs heures dans mon slip, mais je le fais rarement, sauf quand je sais que ma femme veut être baisée le soir, je reste décalotté plusieurs heures avant pour que mon gland soit bien sec et inodore avant la pénétration (c'est comme cela qu'elle préfère). Nicolas me ressemble un peu, en plus petit et en plus musclé, cheveux et poils noirs et ses yeux sont bleus. Sa bite est comme la mienne, environ 8cm au repos avec un prépuce complètement fermé et pointu. Sa queue et et ses couilles sont très blanches, ce qui forme un joli contraste avec ses poils pubiens. À 20 ans, il avait déjà un beau losange de poils noirs entre les tétons, et un fil de poils qui menaient de son nombril à ses poils pubiens. On a perdu notre virginité ensemble un samedi soir d'octobre, à Lille. On avait décidé, Nico et moi, de passer la soirée à la fête foraine. On avait 20 ans tous les deux et nous étions encore puceaux. On avait fait nos études dans un collège catho assez strict, qui encourageait le sport et l'amitié entre mecs et surtout pas les sorties avec les filles... Ça nous obsédait et on en parlait tous les jours. La mécanique fonctionnait sans problème (on se branlait une à deux fois par jour, comme la pupart des jeunes hommes de cet âge), mais à cette époque, dans les années 70, le problème était de trouver des filles qui acceptent de coucher. Avec Nico, on avait bu une ou deux bières, mangé des frites et fait plusieurs tours sur les autos tamponneuses. À un moment donné, Nico m'a dit qu'il devait pisser et il s'est dirigé de son pas viril de mec de 20 ans vers un groupe de buissons à l'écart du champ de foire. J'ai suivi mon copain et me suis mis juste à côté de lui pour pisser aussi. Comme à son habitude, Nico déboutonnait son pantalon et sortait sa queue et ses couilles pour pisser mais il ne décalottait pas. — Putain Denis! me dit il quand il eut finit de pisser. J'ai les couilles pleines à raz-bord mon vieux, j'ai tellement envie d'enfiler une gonzesse, c'est pas juste qu'on l'aie pas encore fait à 20 ans. J'ai été super occupé cette semaine, je me suis plus branlé depuis cinq jours, ça va exploser si on se trouve pas une nana ce soir... — Oui, moi aussi Nico, j'en ai marre de me branler dans mon coin, et j'en ai raz le bol des moqueries des copains qui l'ont déjà fait. Ce soir, j'ai vraiment envie de devenir un homme et de perdre cette fichue virginité. On a secoué nos bites pour en faire tomber les dernières gouttes de pisse, on a rentré nos paquets dans nos jeans, et on est retourné sur le champ de foire. Devant la baraque à frites, on a rencontré une femme d'une quarantaine d'années, Monique. Après quelques bières, nous avons sympathisé, et Monique a proposé de nous ramener chez elle pour nous dépuceler ensemble. Nico était comme un frère pour moi, nous avions passé ensemble toutes les étapes de l'adolescence (la première fois qu'on s'est rasé la moustache, avec le même rasoir, la première fois que notre semence a coulé pendant notre sommeil, à un mois d'intervalle (on s'est raconté tous les détails), et nous avons trouvé chouette de perdre notre pucelage le même soir, avec la même femme. Une belle preuve d'amitié entre mecs. Arrivés chez Monique, celle-ci mit un disque de blues et nous dit: "Voilà les gars, déshabillez vous!" Nico défit sa chemise et son pantalon frénétiquement. Au fur et à mesure qu'il se déshabillait, je sentais l'odeur familière et ennivrante de mon meilleur copain me chatouiller les narines. Et ce soir, son odeur était extra piquante, il n'avait sans doute pas eu le temps de se doucher aujourd'hui et il devait être particulièrement excité à l'idée de son dépucelage imminent. Devenir un homme, enfin! Je distinguais bien l'odeur de son haleine, l'odeur de ses cheveux, celle assez aigre qui émanait de ses aisselles poilues, celle poivrée qui sortait de son slip et, bien sûr, ses pieds qui avaient transpiré toute la journée dans les mêmes baskets. Quand nous fûmes tous les deux à poils, Nico vint se mettre debout à côté de moi. Sa queue était à moitié bandée, un bout de gland mauve et huileux sortait des plis de son prépuce rose. Il se pencha à mon oreille, et me chuchota: — Denis, mon vieux, c'est le plus beau jour de notre vie. Mais quelques formalités devaient d'abord prendre place. — Allez les puceaux! dit Monique. On va d'abord vous examiner et vous nettoyer le poireau avant le grand moment. Je connais les garçons de 20 ans, ça ne se lave en général pas bien dans les coins... Allez, mettez vous côte à côte au bord de l'évier, mais d'abord, je veux vérifier vos slips les gars, j'aime que les gars qui me baisent soient propres de devant ET de derrière... Monique ramassa mon slip par terre et examina l'intérieur. J'étais rouge de honte qu'elle examine l'intérieur de mon slip devant mon copain. — Bon, toi Denis ça va, quelques taches d'urine sur le devant, mais ton cul est propre. Lève les bras que je vérifie si tu t'es lavé là aussi ce matin... Mmmmm oui, bon ça peut aller, tu es dans la moyenne du mec français de 20 ans et j'aime assez bien ces petites odeurs d'homme qui commencent à émaner des aisselles de puceau avant de passer à l'acte. Et toi Nico? dit Monique. Elle avait dit cela en regardant mon copain avec un grand sourire et en prenant le slip qu'il venait de jeter en boule dans un coin de la pièce. Nico avait débandé d'un coup. Sa quéquette pendouillait misérablement entre ses cuisses poilues, et il regardait par terre d'un air gêné. — Pouaah, tu as vu ces traces brunes dans le fond de ton caleçon? C'est dégueulasse mon gars, tu dois te laver après avoir chié et ces traces jaunâtres sur le devant: t'as plus changé de slip depuis quand? Le pauvre Nico était devenu cramoisi de honte. — Monique, je te demande pardon, j'ai chié après le déjeuner, je me suis torché rapidement, j'étais pressé. C'est pas grave, d'habitude je suis propre, je te promets... — Allez mon gars, tu vas nous montrer à Denis et à moi que tu sais te laver. Elle plaça Nico face à l'évier rempli d'eau savonneuse, et l'encouragea à enduire un gant de toilette de savon et à se le passer dans la raie des fesses. Le pauvre garçon fixait le plancher de confusion. Sa bite ne bandait plus du tout et s'était ratatinée dans le petit boudin que je connaissais si bien pour l'avoir souvent vu à la gym, ou en mettant sa culotte de pyjama quand nous partagions un lit en vacances.. Une fois le cul de Nico lavé, rincé et séché, Monique changea l'eau de l'évier et nous demanda de décalotter pour examiner l'hygiène de nos glands. L'odeur habituelle d'ammoniac et de vieux fromage de Munster qui s'échappe des glands des jeunes hommes non circoncis quand on les décalotte, emplit la pièce. Je connaissais l'odeur de Nico, elle me faisait tourner la tête de bonheur, j'étais à côté de mon frère au moment de devenir un homme... Je connaissais mon copain Nico, il ne décalottait pas souvent sous la douche et il arrivait souvent (je l'avais remarqué quand nous pissions côte à côte) que des traces de fromage de gland jaune ou gris blanchâtre tapissaient régulièrement les plis intérieurs de son prépuce... Nico et moi dûmes nous savonner le gland et les replis de nos prépuces au savon de Marseille, sous le regard attentif de Monique, qui souriait. — Vous savez, les gars, vous devriez vous faire circoncire tous les deux. J'ai l'habitude de voir défiler les jeunes mecs à poils ici. Encore la semaine dernière, j'ai dépucelé deux jeunes arabes de 19 ans, leurs bites étaient circoncises très haut, sans rien laisser du prépuce ni du frein. Deux beaux glands bien propres, bien secs, absolument sans odeurs, un vrai bonheur pour la femme qui doit se les enfiler... Quand nous fûmes bien propres, toujours nus et debouts dans la chambre, Monique appela une amie au téléphone. — Allo, Patricia! Salut mon chou. Je t'appelle parce que j'ai à nouveau deux grands puceaux de vingt ans devant moi, et je m'apprête à faire d'eux des hommes ce soir. Oui, c'est comme la semaine dernière, mais ces deux ci ne sont pas circoncis, j'ai dû les laver à fond... Si tu veux boire du foutre de dépucelage, viens vite, je t'en laisserai un peu. En se tournant vers nous, Monique nous demanda: — Dites les gars, vous ne vous êtes plus branlés depuis quand? — Depuis trois jours Monique, répondis-je. — Moi aussi, dit Nico en souriant. On est pleins à raz bord... En attendant Patricia, Monique se déshabilla et s'étendit sur son lit, sur le dos, jambes écartées. Elle écarta ses grandes et petites lèvres avec les doigts afin de bien nous montrer à quoi ressemblait le sexe d'une femme (Nico et moi, on en avait déjà vu en photos, mais jamais pour de vrai). Une légère "odor di femina" émanait de son corps mais Monique était très propre. Nico et moi, on bandait comme des ânes, les yeux fixés sur cette moule mauve et gluante de mouille qui s'offrait à nous. Patricia arriva rapidement: c'était une femme forte d'une quarantaine d'années, comme Martine, avec de gros seins qui gonflaient sous son chemisier. — Approche-toi Pat, dit Martine. Inspecte les avant de procéder au dépucelage! Patricia nous dévisagea en souriant, puis elle nous renifla sous toutes les coutures, l'un après l'autre: nos cheveux, nos nuques, sous les bras, nos mains, nos glands gonflés qu'elle décalotta doucement et inspecta soigneusement avant de les embrasser, nos fesses et nos anus, nos jambes et nos pieds. Nico et moi, toujours bandés à fond, on commençait à s'impatienter... — Alors les gars, dit Patricia. Qui veut être le premier à devenir un homme? — Vas-y Nico, dis-je à mon copain en souriant. Je te donne la priorité. — Merci vieux, dit Nico en s'agenouillant sur le lit entre les jambes de Monique, et en approchant lentement sa bite d'âne vers la grottre à plaisir. Monique cracha sur son pouce et son index, décalotta Nicolas à fond et enduisit rapidement le gland de mon ami de salive. Puis, elle saisit le poireau du puceau et le fit lentement pénétrer dans son vagin. Nico commença son va-et-vient en criant: — Ça y est Denis! Regarde, je suis un homme maintenant! Mais après trois ou quatre coups de piston, Monique retira fermement le poireau bandé de Nico de sa moule. Patricia s'assit sur le lit à côté d'eux, avec un petit bol de verre à la main, comme chez le docteur. Martine orienta le gland de Nico vers le bol et le branla rapidement pendant que Patricia lui serrait les couilles d'une main ferme. Un ou deux décalottage suffirent pour que les couilles de mon copain dégorgent six puissants jets de jute jaunâtre et épaisse dans le bol. — Hmmm! dit Monique en souriant. Ton sperme est bien épais et gras, Nico, c'est super et en plus, il a un parfum extraordinaire! dit-elle en humant profondément le contenu du bol. C'est de la jute de puceau les gars. Des études scientifiques ont démontré que la concentration d'hormones mâles dans le sang est telle chez le puceau au moment où il va pénétrer pour la première fois un vagin de femme que le sperme qu'il s'apprête à éjaculer a un parfum et un goût uniques. Monique et moi sommes folles de ce nectar. Nico était maintenant debout à côté du lit, la bite racrapotée dans ses dimensions normales, c'est-à-dire une bite assez large de 8cm de long, un filet de jute coulant entre les plis de son long prépuce en tétine. Le pauvre était évidemment déçu du tour des événements. — Ne t'inquiète pas Nico, lui lança Monique. On dépucèle ton copain et puis je te reprendrai pour de bon, et tu jouiras enfin dans le corps d'une femme. Tiens, prends ce kleenex pour t'essuyer. Assieds-toi sur cette chaise, ce ne sera pas long... À ton tour Denis, me dit alors Monique avec un grand sourire sur le visage. La queue bien bandée et complètement décalottée, j'approchai le coeur battant mon gros gland, mauve et luisant comme une prune, des lèvres de son sexe. L'odeur forte de mon copain Nico m'enivrait: l'odeur de son corps nu assis à deux mètres de moi, l'odeur que son sexe avait laissée dans le lit et surtout, le parfum profond de son éjaculat que je fixais intensément dans la coupole de verre sur la table de nuit. Je pénétrai lentement la moule de Monique et je commençai mes aller-retours en pensant que la muqueuse de mon gland devait frotter pas mal de cellules de la muqueuse du gland de Nico sur les parois du vagin de Monique. Après quelques mouvements de piston, Patricia qui était agenouillée derrière moi et me tenait les couilles d'une main ferme, me sortit le poireau de la moule de Monique, m'introduisit le majeur gauche dans l'anus et serra la base de mon gland décalotté en faisant un anneau avec son pouce et son index. Monique s'approcha de son amie en tenant la coupe de verre où brillait la jute odorante de mon copain. Quelques aller et retours du doigt de Patricia, accompagnés d'un mouvement imperceptible sur la base de mon gland, suffirent à lancer le geyser: du fond de mes entrailles, je sentis monter ma semence, pour la première fois entre les mains d'une femme. Je lançai en criant quatre ou cinq jets de sperme gras et jaunâtre dans la coupe. — Bon, c'est bien mon gars! Tu es un homme maintenant, va t'asseoir à côté de ton copain. On s'occupe de vous tout de suite, dit Patricia en souriant. Monique avait sorti une cuiller d'argent du tiroir de la table de nuit. Elle versa quelques gouttes de vodka d'une bouteille qui était sagement rangée à côté du lit, et elle mélangea vigoureusement nos spermes de jeunes hommes dans la coupe. Elles burent toutes les deux ce mélange, en fermant les yeux. — Mmmmm, c'est délicieux! dit Monique. Vous savez, les gars, vous n'êtes pas les premiers à passer ici. Monique drague des mecs dans votre genre tous les vendredis soirs en ville, et on en dépucèle deux ou trois par mois, seuls ou souvent avec leur meilleur ami, comme vous deux ce soir. J'étais assis à côté de Nicolas, sur une banquette un peu petite pour nous deux. Ma cuisse touchait la sienne et je ne parvenais pas à détourner mon regard de la grosse bite de mon pote, désormais une vraie bite d'homme. Le prépuce s'était déroulé dans sa position normale quand Nico avait débandé, il recouvrait le 4/5 du gland de mon copain, et un mince filet de sperme à moitié séché pendouillait du bout du gland. Sa queue portait des traces des sécrétions vaginales de Monique, la preuve qu'il était devenu un vrai mec. Quant à moi, j'étais toujours décalotté, une goutte de sperme sur le méat, le gland encore rouge et turgescent de la masturbation experte que je venais de subir. L'odeur de mon copain m'envahissait la tête, odeur forte de ses aisselles, son torse couvert d'une légère transpiration, son gland et ses couilles et ses grands pieds, aux ongles coupés courts et nets... Quand elles eurent fini de boire leur potion, les deux filles s'allongèrent sur le dos, côte à côte, jambes écartées. À la vue de ces vulves brillantes, nos bites se remirent au garde-à-vous et nous nous jetâmes sur elles. On s'en est donné à coeur joie ce soir là et, ce coup-ci, elles nous ont laissé éjaculer dans leurs vagins, comme de vrais mecs qui font l'amour à de vraies nanas...


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:27

Goliath (1)

Quel bonheur de pouvoir courir autour de sa maison sans être obligé de faire attention aux voitures, je réside dans la banlieue bordelaise et en plus j'ai la chance d'être au bord dune piste cyclable qui traverse le médoc et permet de se rendre à vélo vers "l'océan". Je chausse mes rollers et avec mon dogue allemand nous faisons de longues ballades, j'ai réussi à lui confectionner un harnais et je me fais tracter quand la fatigue se fait sentir.

Goliath a trois ans, en pleine possession de ses moyens, 70kg et plus de 2m quand il se dresse sur ses pattes de derrière. Adorable, joueur, taquin même, il adore pousser le monde dans la piscine, il faut reconnaître qu'il impressionne énormément et pourtant c'est un monument de tendresse.

Marlène la fille de mes voisins m'accompagne souvent maintenant qu'elle maîtrise plutôt bien les rollers. C'est une gamine de 18 ans assez délurée, très brune, très grande avec une poitrine qui attire immanquablement le regard. Je sais depuis peu qu'elle fait 90C. Nous avons de plus en plus souvent envie de patiner ensemble, et j'avoue que voir cette belle plante avec ses shorts taillés dans de vieux Jean’s à la limite de l'indécence me met dans tous mes états. Nous empruntons la piste cyclable qui n'est bien fréquentée qu'en été, hors saison il n'y a que quelques vélos ce qui nous laisse tous loisirs de nous faire tracter par Goliath sans problèmes.

Marlène apprécie énormément mon chien et il le lui rend bien, elle est visiblement très troublée par l'affection qu'il lui prodigue, lors des pauses elle se couche souvent sur son flanc. Voir la tête de Goliath beaucoup plus grosse que celle de Marlène se poser délicatement sur son bras et lui faire des petites lèches laisse augurer de la complicité qui est en train de voir le jour entre eux.

Un après-midi que le soleil n'était pas trop ardent, nous sommes partis traverser la forêt, nous voulions voir les écureuils se gaver de pignons de pins avant l'hibernation mais ce jour là nous n’en avons pas vu. Après une dizaine de kilomètres, nous décidons un arrêt, une collation, une boisson énergétique un peu de repos sous les pins à l'abri du passage.

Marlène s'éloigne de trois ou quatre mètres pour satisfaire un besoin naturel, il n’y a rien pour s'isoler, pas le moindre taillis, seuls quelques grands pins pas très gros. Elle défait son short et le baisse, mon sang ne fait qu'un tour, elle ne porte pas de culotte, face à moi elle plie les genoux et écarte les jambes. D'où je suis, je ne peux rien ignorer de son sexe épilé façon timbre-poste, elle passe un doigt entre ses lèvres glabres et urine en me regardant droit dans les yeux. Mon sexe commence à être l'étroit dans mon short, elle ne peut plus ignorer la bosse qui prend des proportions que je ne peux plus empêcher. Je porte instinctivement ma main à ma braguette, j'ai envie de lui montrer mon sexe comme elle me montre le sien.

— Marlène tu te rends compte dans quel état tu me mets?

— Toi aussi, tu as envie de faire pipi?

— Oui entre autre.

— Eh bien ne te gêne pas j'aimerais bien te voir faire.

Je suis obligé de baisser mon short, la braguette est fausse, un filet faisant office de slip, mon sexe se détend dés que le short est au milieu de mes cuisses. Marlène parait fascinée par la vue de mon sexe en érection où commence à perler une goutte de liqueur, je passe un doigt dessus et je l'étale sur mon gland. Je veux uriner mais impossible, je suis trop excité. Je prends ma queue à pleine main et commence à me caresser. Marlène est toujours accroupie, elle met un doigt dans sa chatte, écarte les lèvres et touche son clito puis elle se lève. Goliath attiré par l'odeur de l'urine vient coller sa truffe sur la main qui va-et-vient doucement, un coup de langue et Marlène retire sa main. Goliath lui lèche le minou à grands coups de langue. D’abord surprise, elle se reprend vite en écartant les jambes pour lui faciliter l'accès puis elle se retourne, appuie ses mains sur l'arbre qui était derrière elle, se penche en avant et cambre bien ses reins. Goliath peut maintenant accéder à la totalité de la raie, et il ne se prive pas de lui glisser sa langue entre les fesses, visiblement, elle y prend du plaisir. Je suis toujours debout, la queue a la main, je n'ose pas prolonger ma masturbation, je sens que je vais jouir.

Marlène se redresse, me regarde, un large sourire éclaire son visage. Il y a dans son sac à dos une légère couverture qu'elle étend au pied de l'arbre et s'allonge. Goliath se rapproche, remet son mufle entre ses cuisses et reprend le léchage à grands coups de langue, le sexe de Marlène est grand ouvert et luisant. Je m’avance et m'assoie au coin du tissu. Goliath a l'air de prendre de plus en plus de plaisir si j'en juge par le gros bâton rouge qui commence à sortir de sa gangue. J'avais plusieurs fois vu mon chien en érection mais jamais d'aussi près, ce qui sort me parait énorme et ce n'est que le début. Pour je ne sais quelles raisons, il fait demi-tour et tout en continuant à lécher Marlène, il se trouve quasiment en 69, son sexe qui bande de plus en plus pend maintenant au-dessus de la tête de Marlène. Des petits jets de semence sortent en permanence et tombent sur sa poitrine. Elle le prend doucement dans sa main et le dégage complément de son fourreau, elle entame une masturbation, caresse les flancs du chien et me regarde les yeux révulsés. Elle prend son plaisir bruyamment, son corps est agité de quelques spasmes et elle retombe sur le dos.

— Ouf! Comme c'est bon, quelle langue! Et toi tu n'as pas joui?

— Non je te regardais, quelle merveille, on dirait que tu as souvent caressé un chien.

— Pas souvent, mais tu sais, ma sœur a un superbe labrador. J'ai surpris leur manège plusieurs fois, ça m'a beaucoup tentée. Un jour j'ai fait comme elle, je me suis laissée lécher ensuite je l'ai branlé mais je n'ai jamais pu le faire jouir. J’avais envie qu'il me prenne mais il est très habitué à ma sœur et n'a pas voulu. Je me suis contentée de me caresser et de me laisser lécher jusqu'à ce que je jouisse.

— Ta sœur est au courant?

— Pas à ma connaissance, mais comme c'est elle qui m'a initiée à la jouissance, elle a seulement 1 an demi de plus que moi, je crois que je serais obligée de lui dire. Son chien est aussi adorable que Goliath et j'avoue que j'en ai envie depuis longtemps.

— Goliath n'a jamais eu de rapports avec des humains que je sache et je ne voudrais pas que tu soies frustrée, il a l'air d'aimer ce que tu lui fais.

— Ma sœur taille des pipes à son chien, elle le suce longtemps, j'ai vu qu'une fois: il lui avait déchargé dans la bouche. Ça doit être formidable.

— Dis-moi Marlène, tu as l'air d'être très au courant des choses du sexe. Il y a longtemps que tu pratiques?

— Non, à 15 ans j'ai commencé à me masturber, je trouvais ça bon mais ce n'était que du plaisir je n'avais pas d'orgasme. C'est venu le jour ou j'ai vu ma sœur se masturber et jouir, j'ai compris qu'il manquait quelque chose dans mon geste. Je ne me suis pas arrêtée quand j'ai eu du plaisir et j'ai eu mon premier orgasme.

— Tu as pratiqué avec un garçon?

— Alors ça c'est une autre histoire! J'ai déjà eu des rapports mais les garçons ne m'intéressent pas, j'aime beaucoup mais je n'ai pas envie d'avoir un mec à mes trousses tout le temps. Je veux pouvoir faire ce que je veux. Pour le moment ma sexualité, je la découvre.

Je n'avais pas remis mon sexe dans mon caleçon et j'étais toujours en érection, mal assis sur ce coin de tissu. Goliath, apaisé, était couché à côté de Marlène. Mon regard s'est porté sur son entrejambe, elle a suivi mon regard, écarté les genoux et posé sa main sur son petit carré de poils, un doigt glissé entre ses lèvres luisantes.

— Tu aimes voir ma chatte? Tu as une belle queue Fred, je peux toucher?

— Bien sûr que tu peux la toucher, tu peux en faire ce que tu veux mais je te préviens, je suis au bord de la jouissance, je crois que je vais décharger.

— J'ai envie de te voir jouir et en plus j'adore le goût du sperme!

Elle pose sa main sur ma queue, baisse la tête, met sa bouche sur mon gland et lui donne comme un petit baiser et d'un seul coup elle prend entièrement mon sexe dans sa bouche. J'avais tellement envie que je n'ai pu me retenir, je me suis laissé aller et j’ai déchargé. Elle ne s'est pas dérobée en avalant, au fur et a mesure, les giclées de sperme que je lui envoyais au fond de la gorge. Pas très fier de mon geste, j'ai voulu m'excuser:

— Je t'avais dit que je ne pourrais pas me retenir, je...

— J'adore le goût du sperme et le tien est très bon. J'aime beaucoup sucer une queue mais les garçons ne veulent que ça, une pipe et ils se tirent, alors je reste sur ma faim. Tu comprends pourquoi en ce moment j'ai envie d'autre chose...

— Marlène, je suis tout à fait d'accord avec toi. Il y a longtemps que je te regarde, tu me troubles beaucoup, même mon épouse te trouve superbe.

— J'ai envie de faire l'amour sous toutes ses formes, je découvre, j'ai compris que je pouvais te parler et me laisser aller avec toi. J'ai compris ça quand je viens chez toi pour la piscine, ton épouse est très naturelle, j'adore sa façon d'être, sans elle je n'aurais jamais pris de bains nue. J'ai bien compris que vous aviez une certaine liberté quant au sexe et cela m'a beaucoup plu.

— Marlène tu es adorable, je comprends ton point de vue, je sais que tu troubles aussi Josy...

— Josy, je la trouble? Mais je t'assure que je ne fais rien pour. Tu crois que je peux rester insensible quand elle est allongée sur son transat et qu'elle se caresse de temps en temps? J'adore voir son sexe qui mouille. Un jour, je vous ai vu faire l'amour, je n'étais pas partie, je regardais la télé dans le salon. Je me suis branlée sur votre canapé. J'y pensais encore le soir en me disant que vous sentiriez peut-être l'odeur de ma chatte, je me suis fait jouir comme une folle.

— Marlène tu es très cool, ta façon de te libérer sexuellement laisse augurer un tempérament de feu. Quels sont actuellement tes fantasmes?

— Sexuels?

— Oui.

— Je ne suis plus vierge bien sûr, mais je n'ai pas une grande expérience de la pénétration avec les garçons. Je ne suis pas sure d'avoir bien joui, j'ai toujours été obligée de me masturber après. J'ai envie d'être pénétrée, de jouir avec une queue dans ma chatte, une sorte de dépucelage en somme. Tu as envie de me faire l'amour Fred?

— Oui bien sûr que j'ai envie de te faire l'amour mais je te préviens, je ne ferais rien seul, c'est à dire toi et moi. Nous avons une vie sexuelle libre Josy et moi, mais nous ne faisons jamais rien l'un sans l'autre. Comme je te disais, Josy a envie de toi certainement autant que moi, nous allons mettre sur pied une soirée où nous pourrons nous éclater. Tu aimes te faire toucher par une femme?

— Je n'ai été touchée que par ma sœur, elle m'a appris à me masturber et à me pénétrer avec un gode pour me faire jouir, mais je n'ai jamais eu d'autres relations avec une femme...

— Tout à l’heure avec Goliath, tu agissais comme si tu avais une grande expérience, il l'a bien senti et s'est laissé faire.

— Là encore c'est à cause de ma sœur. Quand je l'ai vue avec son chien ça aurait dû me dégoûter, au contraire ça m'a tellement excitée que je n'arrêtais pas de me masturber en y pensant, jusqu'à ce que je franchisse le pas et que je me laisse lécher par lui, je n'ai pas pu le sucer, il s'est laissé caresser mais sans plus. J'ai essayé plusieurs fois mais il ne s'est pas laissé faire quand j'ai voulu qu'il me pénètre, il est très attaché à ma sœur.

— Tu penses que tu pourrais te laisser pénétrer par Goliath? Tu as vu la taille de son sexe? Bien plus gros que le mien et plus long aussi, je ne suis pas sûr qu'il soit très doux pendant les relations sexuelles, il n'a pas été éduqué dans ce sens comme a pu le faire ta sœur avec son chien.

— J'ai envie de lui apprendre, je serais douce avec lui et il le sera avec moi, la taille de son sexe n'est pas un problème. Quand tu auras vu la taille des godes de ma sœur tu comprendras. J'utilise le plus gros depuis longtemps, je suis même en train de me dilater l'anus, j'ai découvert que je pouvais jouir aussi par le cul regarde...

Elle se retourne se met à genoux écarte ses fesses et me montre sa rosette, elle y glisse 2 doigts sans difficulté puis un troisième et entame un va-et-vient qui me remet en érection immédiatement.

— Tu vois comme je commence à être ouverte? J'ai envie d'une queue dans mon cul, tu m'enculeras dis? J’aimerais beaucoup.

— Je te promets.

Je bande, mon sexe me fait mal, je me branle à deux doigts du visage de Marlène, sa position a réveillé Goliath qui se remet sur ses pattes et recommence à lécher cette raie offerte. Il est positionné derrière elle, j'ai l'impression qu'il va la prendre. Son sexe est complètement sorti de son fourreau, c'est énorme, il recommence à gicler par petits jets qui arrivent sur les fesses de Marlène. Elle passe la main sur ses fesses et étale ce jus qui coule en permanence et se remet deux doigts dans le cul. Goliath s'avance et met ses pattes de chaque côté de Marlène, elle passe complètement dessous son ventre. Le sexe du chien est contre ses fesses, elle le prend et le dirige vers son cul mais hésite, le frotte sur sa raie, le chien fait des mouvements avant arrière, essaie de la pénétrer.

Je me penche et j’attrape le pal de Goliath que je dirige vers sa chatte, je n'avais jamais tenu un sexe aussi gros, ça palpite, ça gicle tout le temps. Il rentre amorce un va-et-vient, elle recule et il rentre jusqu'au bout, il la pénètre très vite, elle a un orgasme rapide et tombe à plat ventre. Goliath ne bouge pas, il gicle toujours sur le dos de Marlène Elle se retourne sous le chien, sa tête se trouve à 10cm de cet énorme morceau de chair. Elle avance et le prend dans sa bouche avec délicatesse, de plus en plus loin, elle le suce... Le suce. Je me branle, elle le suce encore, avec une main elle me touche le sexe, me branle un peu, je ne peux plus tenir et je décharge à gros jets sur son T-shirt. Elle accentue le mouvement avec sa bouche. Je vois couler de chaque côtés du sexe du chien le trop plein de sperme qu'elle ne peut avaler, Goliath vient de lui décharger dans la bouche, elle se frotte les joues avec le surplus elle est rayonnante.

— Ça y est, je me suis fait baiser par un chien, je l'ai sucé c'est super! dit-elle avant d'ajouter en me regardant: Et toi tu as bien joui?

— Très bien, j'ai adoré te voir faire. Il a failli te prendre le cul mais je l'ai empêché, j'ai pensé que c'était un peu tôt. S’il arrivait quelque chose, nous ne sommes pas à la maison.

— Pourquoi un peu tôt?

— Tu vois les grosses boules derrière le sexe, c'est à cause d'elles que les chiens restent liés aux chiennes, leur dilatation empêchent la séparation afin que le sperme reste bien dans la matrice de la chienne, ça provoque aussi l'ovulation. Tu comprends que si tu étais restée liée, ça peut durer demie heure. Maintenant que tu sais, il faudra faire très attention et te retirer rapidement sinon galère, surtout si tu te fais prendre par le cul.

— Tu aurais dû le laisser faire, j'ai envie de me faire enculer par une grosse queue, tu l'aurais empêché de rester collé c'est tout. Sa queue est plus grosse que la tienne, plus longue aussi, j'aurais adoré.

— Je sais, je l'ai prise en main, première fois que je fais ça, très excitant, je comprends maintenant.

— Tu comprends quoi?

— Ce que peux ressentir une femme qui touche la bite d'un chien. Rien à voir avec une queue d'homme.

— Tu n'as jamais touché une autre queue que la tienne?

— Si Marlène, souvent, je suis complètement bisexuel. Je me fais prendre quelques fois, moi aussi je me suis dilaté le cul car j'adore me faire enculer par un mec. Je me demande pourquoi je ne prendrais pas non plus du plaisir avec Goliath.

— Et ta femme avec Goliath, jamais?

— Autant que je sache non, mais je trouve qu’il a une bonne activité sexuelle avec les femmes, je me pose quelques questions. Tu n'auras qu'à lui demander, je pense qu'elle te le dira.

Je suis presque certain que Josy a des rapports avec Goliath, il n'y a pas longtemps mais je sens qu'il se passe quelque chose, certains indices laissent supposer qu'elle fait son éducation.

— Marlène il est plus de 5 heures, nous devons envisager de rentrer.

Elle me regarde, s'approche de moi et passe un bras autour de mon cou. Elle me donne un baiser sur la bouche je sens le goût et l'odeur du sperme de Goliath.

— Tu me prendras le cul dis? Tu me l'as promis! J'ai encore envie de jouir, tu ne veux pas me baiser?

— Non Marlène, je t'ai déjà dit que je ne ferais rien sans mon épouse. Branle-toi si tu veux.

— Tu as raison, rentrons en plus j'ai faim, mais avant, je vais faire encore un petit pipi, tu veux me voir encore? J'adore m'exhiber. Des fois quand je fais pipi, je me branle le cul en même temps, c'est hyper jouissif. Tu sais que j'aimerais voir quelqu'un faire ses besoins, quand je peux, je me regarde avec une glace en train de chier. Ma sœur dit que je suis pire qu'elle mais je sais que c'est de famille, mes parents sont très coquins, ils baisent partout dans la maison, même quand nous sommes là, cela ne les gêne pas du tout. Avec ma sœur, nous nous branlons en les épiant, je suis sure qu'ils savent que nous les regardons.

— Ta sœur c'est Rébecca? On ne la voit presque jamais, elle ne vit pas à la maison?

— Si mais elle fait ses études, elle ne rentre que le vendredi soir. Elle prépare une grande école et bosse beaucoup. Elle est très indépendante, elle avait un copain mais ils se sont quittés, il ne comprenait pas sa liberté sexuelle.

— Rébé?

— C'est le diminutif de Rébecca.

— Fais ton pipi et nous partons.

— Ok mais tu sors ta queue, je voudrais te voir pisser en même temps que moi.

Je baisse mon short, je ne suis plus en érection, mais je ne débande pas complètement. Je commence à pisser à grands jets, Marlène pisse debout un doigt sur le haut de son sexe qu'elle remonte, elle pisse aussi loin que moi, je suis très étonné mais je trouve ça plutôt amusant.

— C'est Rébé qui m'a montré ça. Devant les garçons qui disent que c'est eux qui pissent le plus loin, tu verrais leur tête!

Cette gamine me fait un effet incroyable, elle est belle, elle aime le sexe, le cul dirais-je et elle ne se prend pas la tête. Elle remet son short, va vers Goliath toujours couché sur la couverture. Elle lui prend sa grosse tête à deux mains et lui fait un gros bisou sur la truffe, Goliath la gratifie d'un coup de langue magistral.

— Toi aussi tu m'enculeras, je te le promets lui dit-elle.

Pour le retour, Goliath a tracté Marlène presque tout le long du chemin, pas trop vite en se retournant pour voir si elle suivait bien. J'étais très étonné, avec moi il tire à une vitesse que je ne peux pas toujours suivre! Une idylle est peut-être en train de naître!


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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:23

Un amour de mère (1)
 
Depuis que mon père avait quitté la maison et était parti s’installer en Afrique du Sud avec sa nouvelle femme, nous venions en vacances, ma mère, ma sœur et moi dans ce petit village à une centaine de kilomètres de la capitale. Nous y passions deux délicieux mois à faire de l’escalade de parois schisteuses, du kayak, de la promenade en forêt et nous nagions dans les eaux glacées de la rivière qui coulait en contrebas. Ma sœur Héléna affectionnait le kayak par-dessus tout, en fait elle avait un petit faible pour le moniteur, un vieux (j’étais encore adolescent à l’époque) que je ne pouvais pas encaisser. Je ne le trouvais pas correct, sympa peut-être, mais comme il faisait du rentre dedans à ma mère...

Même avant que le père ne s’en aille, ma mère était l’amour suprême pour moi, ma déesse, la femme délaissée (déjà!) à protéger. J’étais son chevalier, elle était tout.

Depuis que le vieux avait déserté, maman n’avait pas une seule fois eu un amant ou un ami qui se serait attardé et aurait dormi à la maison, ni n’avait-elle découché.

J’avais développé un tel amour pour elle que je ne regardais pas les autres filles au lycée comme des femelles à conquérir contrairement à mes potes. J’avais mon amour secret pour ma mère. Aucune de toute façon n’arrivait aux chevilles de maman.

En plus, tous les hommes que je connaissais et qui fréquentaient notre grand appartement en ville s’accordaient pour le dire: comment mon père avait-il pu abandonner une si belle femme?

Pour être franc, j’avais eu des fantasmes de voyeur que je pensais honteux et scandaleux jusqu’à ces vacances bénies. J’avais remarqué que dans le placard mitoyen de la salle de bains il y avait un petit panneau qui se démontait et qui se trouvait juste à côté du chauffe-eau. Une fois entre ouvert, il permettait d’avoir une vue imprenable sur tout ce qui se passait dans la pièce. À cette époque, on ne prenait un bain qu’une fois par semaine et j’étais toujours à l’affût pour voir la nudité de ma grande sœur.

Héléna avait deux ans de plus que moi et était déjà ce que l’on appelle une belle plante. Elle avait comme moi un teint mat et légèrement basané que nous tenions de notre père, ma mère, elle, était blanche d’un ton laiteux avec des veines pleines et bleues.

Héléna avait une taille et un fessier pleins. Elle portait des cheveux qu’elle avait noirs de geai et très courts. Ses poils pubiens formaient une toison légère mais toute aussi noire. Mais le plus excitant étaient ses seins. Elle avait des seins pleins, bruns avec des mamelons protubérant brun foncé et comme ceux de maman, avec des tétons qui donnaient l’envie de les dévorer. Chaque vendredi soir, lorsqu’Héléna entrait dans la salle de bain, la chance était avec moi, c’était le jour où la plus jeune sœur de maman nous rendait visite et elles prenaient un petit verre de cognac ensemble. J’avais donc tout le temps de me cacher dans ma planque et d’admirer la beauté de ma sœur (avec laquelle par ailleurs je m’engueulais et souvent me battais - j’avais rarement le dessus, elle était costaud, la salope!). J’emmenais toujours quelques tours de papier toilette car immanquablement, je finissais mon observation en me masturbant: Héléna se caressait comme une folle dans la baignoire et comme un rituel, s’agenouillait une fois séchée devant le bidet et tout doucement après l’avoir enduit à profusion de salive, se caressait le vagin avec le manche de sa brosse à cheveux qu’elle enfonçait tout doucement en miaulant dans son vagin que je pensais alors devait être très profond. Elle était prise progressivement d’une frénésie qui lui faisait accélérer le mouvement de l’objet en elle jusqu’à ce quelle s’écroule sur le tapis, les yeux révulsés en poussant de petits cris qui allaient en diminuant. Quant à moi, à chaque fois, c’était à peu près le moment où mon pénis masturbé avec la même frénésie crachait tout son saoul de sperme dans ma main. Dieu que c’était bon!

Je n’avais jamais osé approché la sœur dans sa chambre, bien que je l’eus soupçonnée d’en laisser la porte ouverte intentionnellement quand elle se couchait nue sur son lit ou peine couverte d’un drap en hiver et qui laissait tout deviner de sa splendide anatomie alors qu’elle savait que je devais passer devant pour rejoindre ma chambre... qu’elle savait surtout que maman était déjà dans sa chambre.

Lorsque ma tante partait vers 9h30-10h, toutes deux, et maman sûrement un peu plus que sa sœur, étaient légèrement éméchées. Elles s’embrassaient à profusion avant que la tante Eva ne se décide à partir. C’est pas trop tôt, pensais-je à chaque fois, car dès qu’elle était partie, maman se dirigeait enfin vers la cuisine, prenait la bouteille de cognac et allait dans la salle de bain. Quel bonheur, qu’elle était belle! Elle se déshabillait toujours très lentement devant le miroir, était-ce la douceur de l’ivresse ou le bonheur d’admirer son corps si beau et toujours si jeune, maman avait à peine 35 ans? Elle caressait toutes les parties de son corps avec volupté. J’en étais tout remué jusque dans les tréfonds de mon ventre. Lorsqu’elle enlevait son soutien, ses seins merveilleux et puissants en sautaient comme libérés de la pression, des petites marques comme des chaînettes restaient pendant quelques minutes là où les armatures l’avaient serrées, ces marques m’excitaient à en devenir fou... pourquoi, je ne saurais le dire même aujourd’hui, je les sentaient comme une agression sur le corps chéri. Elle prenait alors ses seins à deux mains et en couvrait les mamelons de coups de langue rapides, longs et circulaires. Elle en avalait les bouts avec nervosité, se malaxait les mamelles jusqu’à en avoir un mini orgasme qui la laissait les yeux dans le vague quelques minutes. Ensuite maman enlevait sa culotte. Elles n’étaient pas du tout du genre sexy, mais je ne les en trouvais que plus divines.

À ce moment-là, je fermais immanquablement les yeux, retenais ma respiration et les rouvrais pour admirer son fessier, sa fente et j’attendais qu’elle se retourne enfin pour admirer son vagin. Dieu quelle beauté: son mont de Vénus était énorme, comme gonflé et ses lèvres étaient charnues et si longues. À ce moment-là, je ne savais pas ce qu’était un clitoris. Ma mère alors pour entrer dans la baignoire soulevait sa jambe et je voyais enfin son doux vagin s’ouvrir en une fente rose, profonde, brillante et agressive. Mon pénis arrivait à sa taille maximum et un liquide qui ressemblait à du sperme commençait à couler. Je tirais dessus pour ralentir l’excitation. Maman rentrait dans le bain et plongeait sous l’eau. Elle aussi portait les cheveux assez courts, elle restait ensuite immobile, mais je pouvais voir ses mains bouger sur son corps à travers l’eau. Elle caressait la pointe de ses seins de ses deux mains, puis elles descendaient lentement vers la touffe des poils de son entrejambe et s’y attardaient un très long moment, massant toutes les parties de son vagin, l’une entrant très profondément à l’intérieur (d’où je me tenais, je n’en voyais plus que le poignet, j’en avais la gorge sèche, dieu quel bonheur!), l’autre jouant sur les lèvres (je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de son clitoris). Après de longues minutes, le mouvement de ses mains s’accélérait et maman était prise d’un tremblement grandissant qui semblait ne pas vouloir s’arrêter, qui augmentait, augmentait puis sur un cri qu’elle étouffait en se mordant l’épaule, tout se calmait. Je me retenais mais je n’arrivais jamais à me retenir et j’éjaculais de longs jets de bonheur.

Maman sortait du bain et se séchait dans sa grande robe de bain puis s’asseyait sur le bord de la baignoire. Elle se versait un grand verre de cognac qu’elle avalait d’un trait, passait sa robe de nuit, sa robe de chambre et quittait la salle de bains, éteignait toutes les lumières de la maison et allait se coucher.

Mais je ne suis pas là pour vous parler de la frangine ni des bains de ma mère: cet été-là, il m’est arrivé une aventure inouïe.

Héléna était partie pour une excursion de trois jours en kayak, quant à moi, j’avais préféré rester à la maison. J’avais des examens à présenter à la rentrée, alors autant avancer un peu. Je ne voulais redoubler à aucun prix. Déjà que j’étais le plus grand de ma classe, imaginez que je me retrouve avec les plus petits...

Après le déjeuner, j’avais pris l’habitude de faire une petite sieste dans le salon sur le matelas pneumatique, maman allait lire et se reposer jusqu’à l’heure du thé sous la véranda, elle trouvait la maison trop chaude.

Je me couchais toujours à plat ventre sur le matelas, coinçant mon pénis entre deux des boudins et comme presque chaque jour, je me couvrais d’un drap pour ne pas être vu et je faisais le mouvement de l’amour en frottant ma verge jusqu’à ce que je jouisse dans ma main. Le plus souvent, j’avais emporté un mouchoir mais parfois je buvais mon sperme tout chaud, surtout depuis que maman avait trouvé des taches dans mes draps et m’en avait fait la remarque. Je pensais toujours comme une idée fixe au vagin de maman au moment où elle entrait dans le bain et je le voyais s’ouvrir, se fermer, bouger, onduler... jusqu’à ce que mon sexe explose.

Je n’entendis pas entrer maman. Elle s’approcha des pieds du matelas où j’étais en train de me remuer de plus en plus vite...

— Patrice, chéri?

Je sursautai et étais bouleversé d’avoir été surpris.

— Mon chéri, ce n’est rien, remets-toi, tu n’as pas peur de moi quand même?

Elle s’approcha et s’assit à côté de moi. Elle me caressa la tête. Je me retournai vers elle et timidement, levai la tête. Elle avait un sourire doux. Sa main descendit vers mon cou et elle caressa mes épaules.

— Mon chéri, mon chéri, je t’ai déjà dit qu’il valait mieux garder ta semence pour plus tard, pour tes amies. Tu sais, ce n’est pas que ce soit sale ou que je veuille t’interdire de te masturber, mais je trouve qu’un si joli garçon ne doit pas gaspiller son énergie comme tu le fais de plus en plus souvent.

— Maman, quelles amies? Tu sais que je n’aime que toi. Jamais je ne les suivrai. Elle sont tellement connes.

— Veux-tu arrêter d’être vulgaire?

Elle se laissa tomber sur mon épaule et embrassa mon front. Elle avait des larmes aux yeux.

— Maman, tu pleures?

Je me retournai sur le dos et pris sa tête dans mes mains. Je commençai à l’embrasser sur tout le visage, mêlant ses quelques larmes à la salive de mes baisers mouillés. Quand je fus près de ses lèvres, je ne sais ce qui me prit, je les embrassai, mouillant les miennes de plus en plus et les pressant sur celles de maman. C’est alors qu’elle ouvrit sa bouche et soudainement se mit à m’embrasser violemment, pénétrant ma bouche de sa langue ferme, nerveuse et toute excitée, poussant ce qui me semblait être des litres de sa salive délicieuse que j’avalais religieusement et qui débordait tout autour de nos bouches. Elle avait collé son corps tout contre le mien et me serrait dans ses bras alors que je tenais toujours son visage entre mes mains, l’embrassant comme un fou lui susurrant «Maman, ma petite maman, je t’aime, je te veux pour moi, je suis à toi, je veux t’aimer, maman, s’il te plait.»

Quand la fièvre tomba, ma mère me regarda. J’avais soudain peur qu’elle ne se fâche...

— Mon tout petit, tu es devenu un homme depuis tout ce temps. Je l’oublie trop souvent.

Et elle me donna quelque longs et tendres baisers sur tout le visage.

Elle portait ce jour-là (comment l’oublier: notre première fois?) un blouson de satinette et un short, le short ample qu’elle appelait ‘mon pantalon de jardin’.

Je lâchai son visage et en un mouvement soudain, entourai sa taille, juste entre le blouson et le short, sur sa douce peau nue. Je restai comme cela quelques longues secondes. Elle serra son étreinte encore plus fort et je commençai doucement à caresser le bas de son dos du bout de mes doigts, je sentais que tout doucement elle attrapait la chair de poule.

— Oh toi, où as-tu appris cela, c’est bon, tu sais.

Je continuai, si gentiment encouragé et remontai jusqu’à la frontière infranchissable de son soutien, j’en fis le tour d’une main, me retrouvant sous son bras humide. Elle se souleva tout doucement, me regarda et bondit sur ma bouche, m’embrassant à nouveau encore plus goulûment. Je pris sa langue, la suçai et de mes deux mains, passai vers l’avant de son buste. Au moment où mes doigts restèrent coincés entre nos deux poitrines, elle se releva:

— Patrice, j’ai si peur, je ne sais pas. Je sais que tu es si sensible...

— Et toi maman, tu sais j’ai toujours rêvé de t’aimer, mais je ne savais pas que ce serait comme ça et que c’est ce serait si bon. Je t’en prie, maman, apprends-moi à t’aimer.

Elle se tut et d’un geste rapide dégrafa son soutien qui s’ouvrit d’un coup libérant les seins adulés. J’ouvris le blouson tout grand, descendis le long de son corps et me jetai sur son sein gauche, l’embrassant fougueusement, le léchant, salivant et le mouillant tant que je pouvais. Arrivé au mamelon, je me mis à le sucer comme si je voulais l’avaler et qu’il ne voulait pas se décrocher.

— Aïe, tu me fais mal mon bébé!

— Pardon, ma petite maman.

Elle laissa sa main descendre le long de mon dos et le caressa, arrivé à la fente de mon cul, elle s’arrêta comme si elle cherchait son chemin. Je suçais son sein tout doucement maintenant.

De ma main droite, je descendis aussi vers le bas de son dos.

Soudain, elle se dégagea, se leva et me prenant par la main, elle me tira vers le sofa géant qui occupait le salon, elle s’y assit, et enleva son blouson, me regardant la bouche entre ouverte, le souffle court: elle était devant moi, ses seins nus, pleins! Qu’elle était belle, qu’elle était jeune et elle m’appelait de ses beaux yeux, me tendant les bras. Je me jetai à ses pieds et me retrouvais en face de ses beaux grands seins, je me mis à les caresser, les masser tout doucement, puis, me relevant, je me lovai contre le corps tant aimé, et me mis à l’embrasser dans le cou.

Elle m’attira sur le sofa et je m’assis à ses côtés. Elle m’entoura le cou de son bras gauche, m’embrassa l’oreille, puis de sa main droite, caressa longuement mes tétons et doucement descendit le long de mon ventre. Arrivée à l’élastique de mon slip, je compris où elle voulait en venir et mon sexe se gonfla complètement de sang, présentant une érection énorme et dure. Maman souleva le slip et attrapa le bout de mon pénis, glissa sa main le long de la hampe et descendit jusqu’au sac de couilles. Elle caressait doucement, montant et descendant du bord de mon anus au bout de mon gland.

«O mon amour!» souffla-t-elle et elle se mit à me lécher le torse, descendant vers mon slip et y arrivant, retira sa main et commença à mordiller ma bite à travers le tissus. Je devenais fou, quelle merveilleuse aventure: maman allait embrasser mon pénis, me sucer...

Je crus devoir lui rendre la pareille et m’étendis sur le divan, elle en profita pour faire glisser mon slip, j’étais nu et elle revint vers mon sexe gonflé et prise d’une gourmandise féroce et soudaine comme si elle attendait ce moment depuis trop longtemps, l’enfourna en une fois dans sa bouche en faisant des petits bruits de bonheur étouffés. Elle se trémoussait, remuait de son cul magnifiquement rond et je la vis glisser sa main libre sous son ventre puis s’enfoncer vers son vagin trempé, elle se mit à bouger sa bouche dans tous les sens, de bas en haut, entraînant ma bite de gauche à droite, la mordillant, attrapa mes couilles d’une main et les caressant, elle les serra tendrement entre ses doigts: elle jouait et je sentais que j’allais venir, qu’une énorme quantité de sperme se préparait à jaillir.

— Maman, je t’en prie, arrête, je vais venir, arrête...

— Je t’en supplie, chéri, viens, viens, maintenant!

Et, tenant sa tête de toutes mes forces, je jouis en hurlant «Je t’aime, je t’aime, je t’aimerai pour toujours...»

Elle continuait à sucer ma verge, avalant tout le jus qui en sortait en giclées puissantes et je devinais dans un demi coma qu’elle frottait son vagin de plus en plus vite de sa main, puis s’arrêtait, épuisée. Tout était sorti et elle suçait encore. Elle rouvrit les yeux et entre ouvrant la bouche, elle relâcha ma verge. Elle me sourit, sa bouche et ses dents brillaient de mon sperme, je la rejoignis et l’embrassai follement, partageant avec elle les restants de ma semence comme elle l’appelle, dans un baiser qui dura une éternité. Pendant que nous nous embrassions, nos deux corps se rapprochèrent et s’unirent.

Lentement, je la couvris de mes bras et ma main descendit le long de son flanc, dépassa son short puis remonta entre ses fesses à l’intérieur de la culotte... J’allais atteindre le sanctuaire du vagin de ma mère. Elle se blottit encore plus contre moi, suçant ma langue pour l’amener au fond de sa gorge. Elle m’attendait entre ses jambes! Tout doucement, ma main remonta entre ses cuisses et arrivée au slip qui était trempé de son jus odorant, elle écarta ses jambes, laissant mes doigts entre ouvrir sa petite culotte et s’enfoncer dans la toison conduisant aux longues lèvres de son vagin. Elle me mordit tout doucement. Elle commença à rire doucement. J’ouvris les yeux, elle ouvrit les siens. Elle me sourit.

— Vas-y mon chéri, tu es l’homme... Je suis toute à toi... Je t’aime, vas-y, sers-toi! Caresse-moi fort, fais de moi ce que tu veux!

Quand elle comprit que je voulais faire glisser son short et finir de la déshabiller, elle m’aida d’un seul coup, s’écartant de moi, elle enleva le short, me regarda dans les yeux.

— Le slip aussi, mon Seigneur? dit-elle, comme lorsque nous jouions aux jeux de rôle il y a quelques années.

— Évidemment, ma Reine et immédiatement, je veux vous faire goûter ce qu’il en coûte de me rendre l’esclave de votre corps de déesse.

Nous rîmes tous les deux, et lorsque son slip fut sur le sol, elle plongea dans mes bras et m’embrassa comme si cela faisait des lunes qu’elle n’avait plus embrassé.

Elle était là, blottie dans mes bras, m’embrasant furieusement, nue, splendide, frémissante et offerte, les jambes doucement écartées, le vagin pris de palpitations lentes... je croyais rêver! Je me dis qu’elle se sentait peut-être quand même un peu gênée de se retrouver tout à fait nue à présent. Je l’embrassai, la tins serrée dans mes bras et elle me rendit mon étreinte, je faillis étouffer.

— Je t’aime, je t’aime, que se passe-t-il? C’est si bon, ô mon Patrice, aime-moi, aime-moi comme je t’aime.

Je desserrai mon étreinte et doucement la couchai tout à fait sur le dos, profitant qu’elle se mit un instant sur un coude, je plongeai vers son sexe trempé, énorme, luisant, ouvert et qui sentait si bon. Lorsqu’elle me vit commencer à lécher le haut de son mont, elle écarta encore plus ses jambes, presqu’à l’horizontale, s’abandonnant pleinement et comme pour toujours à ma volonté et mes désirs. Faisant courir ses doigts sur sa poitrine vers son vagin, elle écarta ses lèvres des deux mains d’un coup violent comme si elle voulait se les arracher, m’offrir tout ce qui s’y cachait, c’est là que je vis ce petit bouton rose qu’elle me montra du bout d’un ongle. Je me mis à lécher avidement ce petit bout de chair tendre et si sensible enrobé d’un liquide divin et parfumé comme ses slips que je suçais en cachette. Je restai là à sucer interminablement, ignorant ses lèvres gigantesques que je chérissais d’embrasser et le trou vertigineux de son vagin où je voulais tant plonger.

Maman commença à gémir, tenant ma tête à deux mains, s’accrochant à mes touffes de cheveux, elle me faisait mal mais cela m’excitait encore plus. Je suçais, suçais à en devenir fou et soudain, elle se mit à trembler de plus en plus fort et un jus au goût merveilleux gicla d’entre ses lèvres un peu plus bas que son clitoris, inondant mon menton et je me précipitai pour le boire, l’aspirer entre mes lèvres: ce parfum si fort, ce goût salé enivrant... je ne savais pas que les femmes éjaculaient aussi. Maman maintenant hurlait, s’agrippait des deux mains au tissus du sofa, secouait la tête et le bassin dans tous les sens, j’avais toutes les peines du monde à rester accroché à son vagin, je me cramponnai des lèvres aux siennes qui semblaient encore s’être allongées.

— Arrête mon amour, arrête, je deviens folle, arrête, viens m’embrasser, viens, viens à moi, je t’en supplie!

Je n’avais jamais vu maman avec un visage si beau, elle est belle c’est vrai mais là, elle l’était encore mille fois plus, ses yeux me regardant comme si c’était la première fois qu’elle me voyait elle se mit à sourire, le bonheur se lisait sur son visage.

— C’était merveilleux, mon amour. Qu’est-ce qu’on s’aime, hein, mon bébé? dit-elle après un long moment.

— Oui, mon bel amour, on s’aime...

Et on s’endormit, corps contre corps, lèvre contre lèvres, sexe contre sexe.

 


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