D'abord, pour ceux qui s'astiquent le poireau devant leur écran en lisant mes
histoires, je précise la description de mes bijoux de famille: j'ai une verge assez petite au repos (8cm environ), assez brune, terminée par un bon centimètre de ce que les anglosaxons appellent un
overhang du prépuce. Malgré cette grosse tétine qui ferme ma verge vers l'avant, je décalotte sans problème à fond sous la douche tous les matins car mon prépuce est bien large et laisse coulisser
mon gros gland d'homme hétéro sans problème. Mon gland est gros et rond, avec un bourrelet (couronne) très marqué que l'on devine bien sous la peau de ma verge quand le pépuce n'est pas décalotté,
et qui donne beaucoup de plaisir à ma femme (et aux quelques filles avec qui j'ai baisées avant de me marier). C'est ce qu'on appelle un gland en champignon. Mes couilles sont assez grosses, bien
rondes et fermes, couvertes de poils abondants que je tonds régulièrement avec ma tondeuse à barbe. Je bande bien et ma queue atteint 18cm en érection. Sauf si je tire dessus pour décalotter, mon
prépuce reste bien en place sur la queue bandée, recouvre tout le gland et ne laisse deviner que le méat du gland. Il m'arrive de me branler sans décalotter, le sperme coulant alors du prépuce lors
de l'éjaculation. Mais je décalotte sans problème, par exemple pour permettre à ma femme d'enfiler le préservatif. Dans ce cas, le prépuce retroussé forme un col roulé autour de mon gros gland
mauve et humide. Comme j'ai la couronne du gland bien en relief, je peux garder le prépuce retroussé plusieurs heures dans mon slip, mais je le fais rarement, sauf quand je sais que ma femme veut
être baisée le soir, je reste décalotté plusieurs heures avant pour que mon gland soit bien sec et inodore avant la pénétration (c'est comme cela qu'elle préfère). Nicolas me ressemble un peu, en
plus petit et en plus musclé, cheveux et poils noirs et ses yeux sont bleus. Sa bite est comme la mienne, environ 8cm au repos avec un prépuce complètement fermé et pointu.
Sa queue et et ses couilles sont très blanches, ce qui forme un joli contraste avec ses poils pubiens. À
20 ans, il avait déjà un beau losange de poils noirs entre les tétons, et un fil de poils qui menaient de son nombril à ses poils pubiens. On a perdu notre virginité ensemble un samedi soir
d'octobre, à Lille. On avait décidé, Nico et moi, de passer la soirée à la fête foraine. On avait 20 ans tous les deux et nous étions encore puceaux. On avait fait nos études dans un collège catho
assez strict, qui encourageait le sport et l'amitié entre mecs et surtout pas les sorties avec les filles... Ça nous obsédait et on en parlait tous les jours. La mécanique fonctionnait sans
problème (on se branlait une à deux fois par jour, comme la pupart des jeunes hommes de cet âge), mais à cette époque, dans les années 70, le problème était de trouver des filles qui acceptent de
coucher. Avec Nico, on avait bu une ou deux bières, mangé des frites et fait plusieurs tours sur les autos tamponneuses. À un moment donné, Nico m'a dit qu'il devait pisser et il s'est dirigé de
son pas viril de mec de 20 ans vers un groupe de buissons à l'écart du champ de foire. J'ai suivi mon copain et me suis mis juste à côté de lui pour pisser aussi. Comme à son habitude, Nico
déboutonnait son pantalon et sortait sa queue et ses couilles pour pisser mais il ne décalottait pas. — Putain Denis! me dit il quand il eut finit de pisser. J'ai les couilles pleines à raz-bord
mon vieux, j'ai tellement envie d'enfiler une gonzesse, c'est pas juste qu'on l'aie pas encore fait à 20 ans. J'ai été super occupé cette semaine, je me suis plus branlé depuis cinq jours, ça va
exploser si on se trouve pas une nana ce soir... — Oui, moi aussi Nico, j'en ai marre de me branler dans mon coin, et j'en ai raz le bol des moqueries des copains qui l'ont déjà fait. Ce soir, j'ai
vraiment envie de devenir un homme et de perdre cette fichue virginité. On a secoué nos bites pour en faire tomber les dernières gouttes de pisse, on a rentré nos paquets dans nos jeans, et on est
retourné sur le champ de foire. Devant la baraque à frites, on a rencontré une femme d'une quarantaine d'années, Monique. Après quelques bières, nous avons sympathisé, et Monique a proposé de nous
ramener chez elle pour nous dépuceler ensemble. Nico était comme un frère pour moi, nous avions passé ensemble toutes les étapes de l'adolescence (la première fois qu'on s'est rasé la moustache,
avec le même rasoir, la première fois que notre semence a coulé pendant notre sommeil, à un mois d'intervalle (on s'est raconté tous les détails), et nous avons trouvé chouette de perdre notre
pucelage le même soir, avec la même femme. Une belle preuve d'amitié entre mecs. Arrivés chez Monique, celle-ci mit un disque de blues et nous dit: "Voilà les gars, déshabillez vous!" Nico défit sa
chemise et son pantalon frénétiquement. Au fur et à mesure qu'il se déshabillait, je sentais l'odeur familière et ennivrante de mon meilleur copain me chatouiller les narines. Et ce soir, son odeur
était extra piquante, il n'avait sans doute pas eu le temps de se doucher aujourd'hui et il devait être particulièrement excité à l'idée de son dépucelage imminent. Devenir un homme, enfin! Je
distinguais bien l'odeur de son haleine, l'odeur de ses cheveux, celle assez aigre qui émanait de ses aisselles poilues, celle poivrée qui sortait de son slip et, bien sûr, ses pieds qui avaient
transpiré toute la journée dans les mêmes baskets. Quand nous fûmes tous les deux à poils, Nico vint se mettre debout à côté de moi.
Sa queue était à moitié bandée, un bout de gland mauve et huileux sortait des plis de son prépuce rose. Il se
pencha à mon oreille, et me chuchota: — Denis, mon vieux, c'est le plus beau jour de notre vie. Mais quelques formalités devaient d'abord prendre place. — Allez les puceaux! dit Monique. On va
d'abord vous examiner et vous nettoyer le poireau avant le grand moment. Je connais les garçons de 20 ans, ça ne se lave en général pas bien dans les coins... Allez, mettez vous côte à côte au bord
de l'évier, mais d'abord, je veux vérifier vos slips les gars, j'aime que les gars qui me baisent soient propres de devant ET de derrière... Monique ramassa mon slip par terre et examina
l'intérieur. J'étais rouge de honte qu'elle examine l'intérieur de mon slip devant mon copain. — Bon, toi Denis ça va, quelques taches d'urine sur le devant, mais ton cul est propre. Lève les bras
que je vérifie si tu t'es lavé là aussi ce matin... Mmmmm oui, bon ça peut aller, tu es dans la moyenne du mec français de 20 ans et j'aime assez bien ces petites odeurs d'homme qui commencent à
émaner des aisselles de puceau avant de passer à l'acte. Et toi Nico? dit Monique. Elle avait dit cela en regardant mon copain avec un grand sourire et en prenant le slip qu'il venait de jeter en
boule dans un coin de la pièce. Nico avait débandé d'un coup. Sa quéquette pendouillait misérablement entre ses cuisses poilues, et il regardait par terre d'un air gêné. — Pouaah, tu as vu ces
traces brunes dans le fond de ton caleçon? C'est dégueulasse mon gars, tu dois te laver après avoir chié et ces traces jaunâtres sur le devant: t'as plus changé de slip depuis quand? Le pauvre Nico
était devenu cramoisi de honte. — Monique, je te demande pardon, j'ai chié après le déjeuner, je me suis torché rapidement, j'étais pressé. C'est pas grave, d'habitude je suis propre, je te
promets... — Allez mon gars, tu vas nous montrer à Denis et à moi que tu sais te laver. Elle plaça Nico face à l'évier rempli d'eau savonneuse, et l'encouragea à enduire un gant de toilette de
savon et à se le passer dans la raie des fesses. Le pauvre garçon fixait le plancher de confusion. Sa bite ne bandait plus du tout et s'était ratatinée dans le petit boudin que je connaissais si
bien pour l'avoir souvent vu à la gym, ou en mettant sa culotte de pyjama quand nous partagions un lit en vacances.. Une fois le cul de Nico lavé, rincé et séché, Monique changea l'eau de l'évier
et nous demanda de décalotter pour examiner l'hygiène de nos glands. L'odeur habituelle d'ammoniac et de vieux fromage de Munster qui s'échappe des glands des jeunes hommes non circoncis quand on
les décalotte, emplit la pièce. Je connaissais l'odeur de Nico, elle me faisait tourner la tête de bonheur, j'étais à côté de mon frère au moment de devenir un homme... Je connaissais mon copain
Nico, il ne décalottait pas souvent sous la douche et il arrivait souvent (je l'avais remarqué quand nous pissions côte à côte) que des traces de fromage de gland jaune ou gris blanchâtre
tapissaient régulièrement les plis intérieurs de son prépuce... Nico et moi dûmes nous savonner le gland et les replis de nos prépuces au savon de Marseille, sous le regard attentif de Monique, qui
souriait. — Vous savez, les gars, vous devriez vous faire circoncire tous les deux. J'ai l'habitude de voir défiler les jeunes mecs à poils ici. Encore la semaine dernière, j'ai dépucelé deux
jeunes arabes de 19 ans, leurs bites étaient circoncises très haut, sans rien laisser du prépuce ni du frein. Deux beaux glands bien propres, bien secs, absolument sans odeurs, un vrai bonheur pour
la femme qui doit se les enfiler... Quand nous fûmes bien propres, toujours nus et debouts dans la chambre, Monique appela une amie au téléphone. — Allo, Patricia! Salut mon chou. Je t'appelle
parce que j'ai à nouveau deux grands puceaux de vingt ans devant moi, et je m'apprête à faire d'eux des hommes ce soir. Oui, c'est comme la semaine dernière, mais ces deux ci ne sont pas circoncis,
j'ai dû les laver à fond... Si tu veux boire du foutre de dépucelage, viens vite, je t'en laisserai un peu. En se tournant vers nous, Monique nous demanda: — Dites les gars, vous ne vous êtes plus
branlés depuis quand? — Depuis trois jours Monique, répondis-je. — Moi aussi, dit Nico en souriant. On est pleins à raz bord...
En attendant Patricia, Monique se déshabilla et s'étendit sur son lit, sur le dos, jambes écartées. Elle écarta ses
grandes et petites lèvres avec les doigts afin de bien nous montrer à quoi ressemblait le sexe d'une femme (Nico et moi, on en avait déjà vu en photos, mais jamais pour de vrai). Une légère "odor
di femina" émanait de son corps mais Monique était très propre. Nico et moi, on bandait comme des ânes, les yeux fixés sur cette moule mauve et gluante de mouille qui s'offrait à nous. Patricia
arriva rapidement: c'était une femme forte d'une quarantaine d'années, comme Martine, avec de gros seins qui gonflaient sous son chemisier. — Approche-toi Pat, dit Martine. Inspecte les avant de
procéder au dépucelage! Patricia nous dévisagea en souriant, puis elle nous renifla sous toutes les coutures, l'un après l'autre: nos cheveux, nos nuques, sous les bras, nos mains, nos glands
gonflés qu'elle décalotta doucement et inspecta soigneusement avant de les embrasser, nos fesses et nos anus, nos jambes et nos pieds. Nico et moi, toujours bandés à fond, on commençait à
s'impatienter... — Alors les gars, dit Patricia. Qui veut être le premier à devenir un homme? — Vas-y Nico, dis-je à mon copain en souriant. Je te donne la priorité. — Merci vieux, dit Nico en
s'agenouillant sur le lit entre les jambes de Monique, et en approchant lentement sa bite d'âne vers la grottre à plaisir.
Monique cracha sur son pouce et son index, décalotta Nicolas à fond et enduisit rapidement le gland de mon ami de
salive. Puis, elle saisit le poireau du puceau et le fit lentement pénétrer dans son vagin. Nico commença son va-et-vient en criant: — Ça y est Denis! Regarde, je suis un homme maintenant! Mais
après trois ou quatre coups de piston, Monique retira fermement le poireau bandé de Nico de sa moule. Patricia s'assit sur le lit à côté d'eux, avec un petit bol de verre à la main, comme chez le
docteur. Martine orienta le gland de Nico vers le bol et le branla rapidement pendant que Patricia lui serrait les couilles d'une main ferme. Un ou deux décalottage suffirent pour que les couilles
de mon copain dégorgent six puissants jets de jute jaunâtre et épaisse dans le bol. — Hmmm! dit Monique en souriant. Ton sperme est bien épais et gras, Nico, c'est super et en plus, il a un parfum
extraordinaire! dit-elle en humant profondément le contenu du bol. C'est de la jute de puceau les gars. Des études scientifiques ont démontré que la concentration d'hormones mâles dans le sang est
telle chez le puceau au moment où il va pénétrer pour la première fois un vagin de femme que le sperme qu'il s'apprête à éjaculer a un parfum et un goût uniques. Monique et moi sommes folles de ce
nectar. Nico était maintenant debout à côté du lit, la bite racrapotée dans ses dimensions normales, c'est-à-dire une bite assez large de 8cm de long, un filet de jute coulant entre les plis de son
long prépuce en tétine. Le pauvre était évidemment déçu du tour des événements. — Ne t'inquiète pas Nico, lui lança Monique. On dépucèle ton copain et puis je te reprendrai pour de bon, et tu
jouiras enfin dans le corps d'une femme. Tiens, prends ce kleenex pour t'essuyer. Assieds-toi sur cette chaise, ce ne sera pas long... À ton tour Denis, me dit alors Monique avec un grand sourire
sur le visage. La queue bien bandée et complètement décalottée, j'approchai le coeur battant mon gros gland, mauve et luisant comme une prune, des lèvres de son sexe. L'odeur forte de mon copain
Nico m'enivrait: l'odeur de son corps nu assis à deux mètres de moi, l'odeur que son sexe avait laissée dans le lit et surtout, le parfum profond de son éjaculat que je fixais intensément dans la
coupole de verre sur la table de nuit. Je pénétrai lentement la moule de Monique et je commençai mes aller-retours en pensant que la muqueuse de mon gland devait frotter pas mal de cellules de la
muqueuse du gland de Nico sur les parois du vagin de Monique.
Après quelques
mouvements de piston, Patricia qui était agenouillée derrière moi et me tenait les couilles d'une main ferme, me sortit le poireau de la moule de Monique, m'introduisit le majeur gauche dans l'anus
et serra la base de mon gland décalotté en faisant un anneau avec son pouce et son index. Monique s'approcha de son amie en tenant la coupe de verre où brillait la jute odorante de mon copain.
Quelques aller et retours du doigt de Patricia, accompagnés d'un mouvement imperceptible sur la base de mon gland, suffirent à lancer le geyser: du fond de mes entrailles, je sentis monter ma
semence, pour la première fois entre les mains d'une femme. Je lançai en criant quatre ou cinq jets de sperme gras et jaunâtre dans la coupe. — Bon, c'est bien mon gars! Tu es un homme maintenant,
va t'asseoir à côté de ton copain. On s'occupe de vous tout de suite, dit Patricia en souriant. Monique avait sorti une cuiller d'argent du tiroir de la table de nuit. Elle versa quelques gouttes
de vodka d'une bouteille qui était sagement rangée à côté du lit, et elle mélangea vigoureusement nos spermes de jeunes hommes dans la coupe. Elles burent toutes les deux ce mélange, en fermant les
yeux. — Mmmmm, c'est délicieux! dit Monique. Vous savez, les gars, vous n'êtes pas les premiers à passer ici. Monique drague des mecs dans votre genre tous les vendredis soirs en ville, et on en
dépucèle deux ou trois par mois, seuls ou souvent avec leur meilleur ami, comme vous deux ce soir. J'étais assis à côté de Nicolas, sur une banquette un peu petite pour nous deux.
Ma cuisse touchait la sienne et je ne parvenais pas à détourner mon regard de la grosse bite de mon
pote, désormais une vraie bite d'homme. Le prépuce s'était déroulé dans sa position normale quand Nico avait débandé, il recouvrait le 4/5 du gland de mon copain, et un mince filet de sperme à
moitié séché pendouillait du bout du gland. Sa queue portait des traces des sécrétions vaginales de Monique, la preuve qu'il était devenu un vrai mec. Quant à moi, j'étais toujours décalotté, une
goutte de sperme sur le méat, le gland encore rouge et turgescent de la masturbation experte que je venais de subir. L'odeur de mon copain m'envahissait la tête, odeur forte de ses aisselles, son
torse couvert d'une légère transpiration, son gland et ses couilles et ses grands pieds, aux ongles coupés courts et nets... Quand elles eurent fini de boire leur potion, les deux filles
s'allongèrent sur le dos, côte à côte, jambes écartées. À la vue de ces vulves brillantes, nos bites se remirent au garde-à-vous et nous nous jetâmes sur elles. On s'en est donné à coeur joie ce
soir là et, ce coup-ci, elles nous ont laissé éjaculer dans leurs vagins, comme de vrais mecs qui font l'amour à de vraies nanas...
Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
Mmm j’ai envie je mouille déjà …
C'est une gamine de 18 ans assez délurée, très brune, très grande avec une poitrine qui attire immanquablement le
regard. Je sais depuis peu qu'elle fait 90C. Nous avons de plus en plus souvent envie de patiner ensemble, et j'avoue que voir cette belle plante avec ses shorts taillés dans de vieux Jean’s à la
limite de l'indécence me met dans tous mes états. Nous empruntons la piste cyclable qui n'est bien fréquentée qu'en été, hors saison il n'y a que quelques vélos ce qui nous laisse tous loisirs de
nous faire tracter par Goliath sans problèmes.
Je suis obligé de baisser mon short, la
braguette est fausse, un filet faisant office de slip, mon sexe se détend dés que le short est au milieu de mes cuisses. Marlène parait fascinée par la vue de mon sexe en érection où commence à
perler une goutte de liqueur, je passe un doigt dessus et je l'étale sur mon gland. Je veux uriner mais impossible, je suis trop excité. Je prends ma queue à pleine main et commence à me
caresser. Marlène est toujours accroupie, elle met un doigt dans sa chatte, écarte les lèvres et touche son clito puis elle se lève. Goliath attiré par l'odeur de l'urine vient coller sa truffe
sur la main qui va-et-vient doucement, un coup de langue et Marlène retire sa main. Goliath lui lèche le minou à grands coups de langue. D’abord surprise, elle se reprend vite en écartant les
jambes pour lui faciliter l'accès puis elle se retourne, appuie ses mains sur l'arbre qui était derrière elle, se penche en avant et cambre bien ses reins. Goliath peut maintenant accéder à la
totalité de la raie, et il ne se prive pas de lui glisser sa langue entre les fesses, visiblement, elle y prend du plaisir. Je suis toujours debout, la queue a la main, je n'ose pas prolonger ma
masturbation, je sens que je vais jouir.
Elle pose sa main sur ma queue, baisse la tête, met
sa bouche sur mon gland et lui donne comme un petit baiser et d'un seul coup elle prend entièrement mon sexe dans sa bouche. J'avais tellement envie que je n'ai pu me retenir, je me suis laissé
aller et j’ai déchargé. Elle ne s'est pas dérobée en avalant, au fur et a mesure, les giclées de sperme que je lui envoyais au fond de la gorge. Pas très fier de mon geste, j'ai voulu
m'excuser:
Elle se retourne se met à genoux écarte ses fesses et
me montre sa rosette, elle y glisse 2 doigts sans difficulté puis un troisième et entame un va-et-vient qui me remet en érection immédiatement.
Je me penche et j’attrape le pal de
Goliath que je dirige vers sa chatte, je n'avais jamais tenu un sexe aussi gros, ça palpite, ça gicle tout le temps. Il rentre amorce un va-et-vient, elle recule et il rentre jusqu'au bout, il la
pénètre très vite, elle a un orgasme rapide et tombe à plat ventre. Goliath ne bouge pas, il gicle toujours sur le dos de Marlène Elle se retourne sous le chien, sa tête se trouve à 10cm de cet
énorme morceau de chair. Elle avance et le prend dans sa bouche avec délicatesse, de plus en plus loin, elle le suce... Le suce. Je me branle, elle le suce encore, avec une main elle me touche le
sexe, me branle un peu, je ne peux plus tenir et je décharge à gros jets sur son T-shirt. Elle accentue le mouvement avec sa bouche. Je vois couler de chaque côtés du sexe du chien le trop plein
de sperme qu'elle ne peut avaler, Goliath vient de lui décharger dans la bouche, elle se frotte les joues avec le surplus elle est rayonnante.
Des fois quand je fais pipi, je me branle le cul en même temps, c'est hyper jouissif. Tu sais que
j'aimerais voir quelqu'un faire ses besoins, quand je peux, je me regarde avec une glace en train de chier. Ma sœur dit que je suis pire qu'elle mais je sais que c'est de famille, mes parents
sont très coquins, ils baisent partout dans la maison, même quand nous sommes là, cela ne les gêne pas du tout. Avec ma sœur, nous nous branlons en les épiant, je suis sure qu'ils savent que nous
les regardons.
Depuis que mon père avait quitté la maison et était parti s’installer en
Afrique du Sud avec sa nouvelle femme, nous venions en vacances, ma mère, ma sœur et moi dans ce petit village à une centaine de kilomètres de la capitale. Nous y passions deux délicieux mois à
faire de l’escalade de parois schisteuses, du kayak, de la promenade en forêt et nous nagions dans les eaux glacées de la rivière qui coulait en contrebas. Ma sœur Héléna affectionnait le kayak
par-dessus tout, en fait elle avait un petit faible pour le moniteur, un vieux (j’étais encore adolescent à l’époque) que je ne pouvais pas encaisser. Je ne le trouvais pas correct, sympa
peut-être, mais comme il faisait du rentre dedans à ma mère...
Héléna se caressait comme une folle dans la baignoire et comme un rituel,
s’agenouillait une fois séchée devant le bidet et tout doucement après l’avoir enduit à profusion de salive, se caressait le vagin avec le manche de sa brosse à cheveux qu’elle enfonçait tout
doucement en miaulant dans son vagin que je pensais alors devait être très profond. Elle était prise progressivement d’une frénésie qui lui faisait accélérer le mouvement de l’objet en elle
jusqu’à ce quelle s’écroule sur le tapis, les yeux révulsés en poussant de petits cris qui allaient en diminuant. Quant à moi, à chaque fois, c’était à peu près le moment où mon pénis masturbé
avec la même frénésie crachait tout son saoul de sperme dans ma main. Dieu que c’était bon!
Elle aussi portait les cheveux assez courts, elle restait ensuite immobile, mais je pouvais voir
ses mains bouger sur son corps à travers l’eau. Elle caressait la pointe de ses seins de ses deux mains, puis elles descendaient lentement vers la touffe des poils de son entrejambe et s’y
attardaient un très long moment, massant toutes les parties de son vagin, l’une entrant très profondément à l’intérieur (d’où je me tenais, je n’en voyais plus que le poignet, j’en avais la gorge
sèche, dieu quel bonheur!), l’autre jouant sur les lèvres (je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de son clitoris). Après de longues minutes, le mouvement de ses mains s’accélérait et
maman était prise d’un tremblement grandissant qui semblait ne pas vouloir s’arrêter, qui augmentait, augmentait puis sur un cri qu’elle étouffait en se mordant l’épaule, tout se calmait. Je me
retenais mais je n’arrivais jamais à me retenir et j’éjaculais de longs jets de bonheur.
— Mon chéri, mon chéri, je t’ai déjà dit qu’il
valait mieux garder ta semence pour plus tard, pour tes amies. Tu sais, ce n’est pas que ce soit sale ou que je veuille t’interdire de te masturber, mais je trouve qu’un si joli garçon ne doit
pas gaspiller son énergie comme tu le fais de plus en plus souvent.
Elle se tut et d’un geste rapide dégrafa son
soutien qui s’ouvrit d’un coup libérant les seins adulés. J’ouvris le blouson tout grand, descendis le long de son corps et me jetai sur son sein gauche, l’embrassant fougueusement, le léchant,
salivant et le mouillant tant que je pouvais. Arrivé au mamelon, je me mis à le sucer comme si je voulais l’avaler et qu’il ne voulait pas se décrocher.
Elle m’entoura le cou de son bras gauche, m’embrassa l’oreille, puis de sa main droite, caressa longuement mes tétons et doucement descendit le long de mon ventre. Arrivée à
l’élastique de mon slip, je compris où elle voulait en venir et mon sexe se gonfla complètement de sang, présentant une érection énorme et dure. Maman souleva le slip et attrapa le bout de mon
pénis, glissa sa main le long de la hampe et descendit jusqu’au sac de couilles. Elle caressait doucement, montant et descendant du bord de mon anus au bout de mon gland.
Elle continuait à sucer ma verge, avalant tout le
jus qui en sortait en giclées puissantes et je devinais dans un demi coma qu’elle frottait son vagin de plus en plus vite de sa main, puis s’arrêtait, épuisée. Tout était sorti et elle suçait
encore. Elle rouvrit les yeux et entre ouvrant la bouche, elle relâcha ma verge. Elle me sourit, sa bouche et ses dents brillaient de mon sperme, je la rejoignis et l’embrassai follement,
partageant avec elle les restants de ma semence comme elle l’appelle, dans un baiser qui dura une éternité. Pendant que nous nous embrassions, nos deux corps se rapprochèrent et s’unirent.




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