Mardi 19 mai 2 19 /05 /Mai 16:35
Deux étudiants dépucelés ensemble

D'abord, pour ceux qui s'astiquent le poireau devant leur écran en lisant mes histoires, je précise la description de mes bijoux de famille: j'ai une verge assez petite au repos (8cm environ), assez brune, terminée par un bon centimètre de ce que les anglosaxons appellent un overhang du prépuce. Malgré cette grosse tétine qui ferme ma verge vers l'avant, je décalotte sans problème à fond sous la douche tous les matins car mon prépuce est bien large et laisse coulisser mon gros gland d'homme hétéro sans problème. Mon gland est gros et rond, avec un bourrelet (couronne) très marqué que l'on devine bien sous la peau de ma verge quand le pépuce n'est pas décalotté, et qui donne beaucoup de plaisir à ma femme (et aux quelques filles avec qui j'ai baisées avant de me marier). C'est ce qu'on appelle un gland en champignon. Mes couilles sont assez grosses, bien rondes et fermes, couvertes de poils abondants que je tonds régulièrement avec ma tondeuse à barbe. Je bande bien et ma queue atteint 18cm en érection. Sauf si je tire dessus pour décalotter, mon prépuce reste bien en place sur la queue bandée, recouvre tout le gland et ne laisse deviner que le méat du gland. Il m'arrive de me branler sans décalotter, le sperme coulant alors du prépuce lors de l'éjaculation. Mais je décalotte sans problème, par exemple pour permettre à ma femme d'enfiler le préservatif. Dans ce cas, le prépuce retroussé forme un col roulé autour de mon gros gland mauve et humide. Comme j'ai la couronne du gland bien en relief, je peux garder le prépuce retroussé plusieurs heures dans mon slip, mais je le fais rarement, sauf quand je sais que ma femme veut être baisée le soir, je reste décalotté plusieurs heures avant pour que mon gland soit bien sec et inodore avant la pénétration (c'est comme cela qu'elle préfère). Nicolas me ressemble un peu, en plus petit et en plus musclé, cheveux et poils noirs et ses yeux sont bleus. Sa bite est comme la mienne, environ 8cm au repos avec un prépuce complètement fermé et pointu. Sa queue et et ses couilles sont très blanches, ce qui forme un joli contraste avec ses poils pubiens. À 20 ans, il avait déjà un beau losange de poils noirs entre les tétons, et un fil de poils qui menaient de son nombril à ses poils pubiens. On a perdu notre virginité ensemble un samedi soir d'octobre, à Lille. On avait décidé, Nico et moi, de passer la soirée à la fête foraine. On avait 20 ans tous les deux et nous étions encore puceaux. On avait fait nos études dans un collège catho assez strict, qui encourageait le sport et l'amitié entre mecs et surtout pas les sorties avec les filles... Ça nous obsédait et on en parlait tous les jours. La mécanique fonctionnait sans problème (on se branlait une à deux fois par jour, comme la pupart des jeunes hommes de cet âge), mais à cette époque, dans les années 70, le problème était de trouver des filles qui acceptent de coucher. Avec Nico, on avait bu une ou deux bières, mangé des frites et fait plusieurs tours sur les autos tamponneuses. À un moment donné, Nico m'a dit qu'il devait pisser et il s'est dirigé de son pas viril de mec de 20 ans vers un groupe de buissons à l'écart du champ de foire. J'ai suivi mon copain et me suis mis juste à côté de lui pour pisser aussi. Comme à son habitude, Nico déboutonnait son pantalon et sortait sa queue et ses couilles pour pisser mais il ne décalottait pas. — Putain Denis! me dit il quand il eut finit de pisser. J'ai les couilles pleines à raz-bord mon vieux, j'ai tellement envie d'enfiler une gonzesse, c'est pas juste qu'on l'aie pas encore fait à 20 ans. J'ai été super occupé cette semaine, je me suis plus branlé depuis cinq jours, ça va exploser si on se trouve pas une nana ce soir... — Oui, moi aussi Nico, j'en ai marre de me branler dans mon coin, et j'en ai raz le bol des moqueries des copains qui l'ont déjà fait. Ce soir, j'ai vraiment envie de devenir un homme et de perdre cette fichue virginité. On a secoué nos bites pour en faire tomber les dernières gouttes de pisse, on a rentré nos paquets dans nos jeans, et on est retourné sur le champ de foire. Devant la baraque à frites, on a rencontré une femme d'une quarantaine d'années, Monique. Après quelques bières, nous avons sympathisé, et Monique a proposé de nous ramener chez elle pour nous dépuceler ensemble. Nico était comme un frère pour moi, nous avions passé ensemble toutes les étapes de l'adolescence (la première fois qu'on s'est rasé la moustache, avec le même rasoir, la première fois que notre semence a coulé pendant notre sommeil, à un mois d'intervalle (on s'est raconté tous les détails), et nous avons trouvé chouette de perdre notre pucelage le même soir, avec la même femme. Une belle preuve d'amitié entre mecs. Arrivés chez Monique, celle-ci mit un disque de blues et nous dit: "Voilà les gars, déshabillez vous!" Nico défit sa chemise et son pantalon frénétiquement. Au fur et à mesure qu'il se déshabillait, je sentais l'odeur familière et ennivrante de mon meilleur copain me chatouiller les narines. Et ce soir, son odeur était extra piquante, il n'avait sans doute pas eu le temps de se doucher aujourd'hui et il devait être particulièrement excité à l'idée de son dépucelage imminent. Devenir un homme, enfin! Je distinguais bien l'odeur de son haleine, l'odeur de ses cheveux, celle assez aigre qui émanait de ses aisselles poilues, celle poivrée qui sortait de son slip et, bien sûr, ses pieds qui avaient transpiré toute la journée dans les mêmes baskets. Quand nous fûmes tous les deux à poils, Nico vint se mettre debout à côté de moi. Sa queue était à moitié bandée, un bout de gland mauve et huileux sortait des plis de son prépuce rose. Il se pencha à mon oreille, et me chuchota: — Denis, mon vieux, c'est le plus beau jour de notre vie. Mais quelques formalités devaient d'abord prendre place. — Allez les puceaux! dit Monique. On va d'abord vous examiner et vous nettoyer le poireau avant le grand moment. Je connais les garçons de 20 ans, ça ne se lave en général pas bien dans les coins... Allez, mettez vous côte à côte au bord de l'évier, mais d'abord, je veux vérifier vos slips les gars, j'aime que les gars qui me baisent soient propres de devant ET de derrière... Monique ramassa mon slip par terre et examina l'intérieur. J'étais rouge de honte qu'elle examine l'intérieur de mon slip devant mon copain. — Bon, toi Denis ça va, quelques taches d'urine sur le devant, mais ton cul est propre. Lève les bras que je vérifie si tu t'es lavé là aussi ce matin... Mmmmm oui, bon ça peut aller, tu es dans la moyenne du mec français de 20 ans et j'aime assez bien ces petites odeurs d'homme qui commencent à émaner des aisselles de puceau avant de passer à l'acte. Et toi Nico? dit Monique. Elle avait dit cela en regardant mon copain avec un grand sourire et en prenant le slip qu'il venait de jeter en boule dans un coin de la pièce. Nico avait débandé d'un coup. Sa quéquette pendouillait misérablement entre ses cuisses poilues, et il regardait par terre d'un air gêné. — Pouaah, tu as vu ces traces brunes dans le fond de ton caleçon? C'est dégueulasse mon gars, tu dois te laver après avoir chié et ces traces jaunâtres sur le devant: t'as plus changé de slip depuis quand? Le pauvre Nico était devenu cramoisi de honte. — Monique, je te demande pardon, j'ai chié après le déjeuner, je me suis torché rapidement, j'étais pressé. C'est pas grave, d'habitude je suis propre, je te promets... — Allez mon gars, tu vas nous montrer à Denis et à moi que tu sais te laver. Elle plaça Nico face à l'évier rempli d'eau savonneuse, et l'encouragea à enduire un gant de toilette de savon et à se le passer dans la raie des fesses. Le pauvre garçon fixait le plancher de confusion. Sa bite ne bandait plus du tout et s'était ratatinée dans le petit boudin que je connaissais si bien pour l'avoir souvent vu à la gym, ou en mettant sa culotte de pyjama quand nous partagions un lit en vacances.. Une fois le cul de Nico lavé, rincé et séché, Monique changea l'eau de l'évier et nous demanda de décalotter pour examiner l'hygiène de nos glands. L'odeur habituelle d'ammoniac et de vieux fromage de Munster qui s'échappe des glands des jeunes hommes non circoncis quand on les décalotte, emplit la pièce. Je connaissais l'odeur de Nico, elle me faisait tourner la tête de bonheur, j'étais à côté de mon frère au moment de devenir un homme... Je connaissais mon copain Nico, il ne décalottait pas souvent sous la douche et il arrivait souvent (je l'avais remarqué quand nous pissions côte à côte) que des traces de fromage de gland jaune ou gris blanchâtre tapissaient régulièrement les plis intérieurs de son prépuce... Nico et moi dûmes nous savonner le gland et les replis de nos prépuces au savon de Marseille, sous le regard attentif de Monique, qui souriait. — Vous savez, les gars, vous devriez vous faire circoncire tous les deux. J'ai l'habitude de voir défiler les jeunes mecs à poils ici. Encore la semaine dernière, j'ai dépucelé deux jeunes arabes de 19 ans, leurs bites étaient circoncises très haut, sans rien laisser du prépuce ni du frein. Deux beaux glands bien propres, bien secs, absolument sans odeurs, un vrai bonheur pour la femme qui doit se les enfiler... Quand nous fûmes bien propres, toujours nus et debouts dans la chambre, Monique appela une amie au téléphone. — Allo, Patricia! Salut mon chou. Je t'appelle parce que j'ai à nouveau deux grands puceaux de vingt ans devant moi, et je m'apprête à faire d'eux des hommes ce soir. Oui, c'est comme la semaine dernière, mais ces deux ci ne sont pas circoncis, j'ai dû les laver à fond... Si tu veux boire du foutre de dépucelage, viens vite, je t'en laisserai un peu. En se tournant vers nous, Monique nous demanda: — Dites les gars, vous ne vous êtes plus branlés depuis quand? — Depuis trois jours Monique, répondis-je. — Moi aussi, dit Nico en souriant. On est pleins à raz bord... En attendant Patricia, Monique se déshabilla et s'étendit sur son lit, sur le dos, jambes écartées. Elle écarta ses grandes et petites lèvres avec les doigts afin de bien nous montrer à quoi ressemblait le sexe d'une femme (Nico et moi, on en avait déjà vu en photos, mais jamais pour de vrai). Une légère "odor di femina" émanait de son corps mais Monique était très propre. Nico et moi, on bandait comme des ânes, les yeux fixés sur cette moule mauve et gluante de mouille qui s'offrait à nous. Patricia arriva rapidement: c'était une femme forte d'une quarantaine d'années, comme Martine, avec de gros seins qui gonflaient sous son chemisier. — Approche-toi Pat, dit Martine. Inspecte les avant de procéder au dépucelage! Patricia nous dévisagea en souriant, puis elle nous renifla sous toutes les coutures, l'un après l'autre: nos cheveux, nos nuques, sous les bras, nos mains, nos glands gonflés qu'elle décalotta doucement et inspecta soigneusement avant de les embrasser, nos fesses et nos anus, nos jambes et nos pieds. Nico et moi, toujours bandés à fond, on commençait à s'impatienter... — Alors les gars, dit Patricia. Qui veut être le premier à devenir un homme? — Vas-y Nico, dis-je à mon copain en souriant. Je te donne la priorité. — Merci vieux, dit Nico en s'agenouillant sur le lit entre les jambes de Monique, et en approchant lentement sa bite d'âne vers la grottre à plaisir. Monique cracha sur son pouce et son index, décalotta Nicolas à fond et enduisit rapidement le gland de mon ami de salive. Puis, elle saisit le poireau du puceau et le fit lentement pénétrer dans son vagin. Nico commença son va-et-vient en criant: — Ça y est Denis! Regarde, je suis un homme maintenant! Mais après trois ou quatre coups de piston, Monique retira fermement le poireau bandé de Nico de sa moule. Patricia s'assit sur le lit à côté d'eux, avec un petit bol de verre à la main, comme chez le docteur. Martine orienta le gland de Nico vers le bol et le branla rapidement pendant que Patricia lui serrait les couilles d'une main ferme. Un ou deux décalottage suffirent pour que les couilles de mon copain dégorgent six puissants jets de jute jaunâtre et épaisse dans le bol. — Hmmm! dit Monique en souriant. Ton sperme est bien épais et gras, Nico, c'est super et en plus, il a un parfum extraordinaire! dit-elle en humant profondément le contenu du bol. C'est de la jute de puceau les gars. Des études scientifiques ont démontré que la concentration d'hormones mâles dans le sang est telle chez le puceau au moment où il va pénétrer pour la première fois un vagin de femme que le sperme qu'il s'apprête à éjaculer a un parfum et un goût uniques. Monique et moi sommes folles de ce nectar. Nico était maintenant debout à côté du lit, la bite racrapotée dans ses dimensions normales, c'est-à-dire une bite assez large de 8cm de long, un filet de jute coulant entre les plis de son long prépuce en tétine. Le pauvre était évidemment déçu du tour des événements. — Ne t'inquiète pas Nico, lui lança Monique. On dépucèle ton copain et puis je te reprendrai pour de bon, et tu jouiras enfin dans le corps d'une femme. Tiens, prends ce kleenex pour t'essuyer. Assieds-toi sur cette chaise, ce ne sera pas long... À ton tour Denis, me dit alors Monique avec un grand sourire sur le visage. La queue bien bandée et complètement décalottée, j'approchai le coeur battant mon gros gland, mauve et luisant comme une prune, des lèvres de son sexe. L'odeur forte de mon copain Nico m'enivrait: l'odeur de son corps nu assis à deux mètres de moi, l'odeur que son sexe avait laissée dans le lit et surtout, le parfum profond de son éjaculat que je fixais intensément dans la coupole de verre sur la table de nuit. Je pénétrai lentement la moule de Monique et je commençai mes aller-retours en pensant que la muqueuse de mon gland devait frotter pas mal de cellules de la muqueuse du gland de Nico sur les parois du vagin de Monique. Après quelques mouvements de piston, Patricia qui était agenouillée derrière moi et me tenait les couilles d'une main ferme, me sortit le poireau de la moule de Monique, m'introduisit le majeur gauche dans l'anus et serra la base de mon gland décalotté en faisant un anneau avec son pouce et son index. Monique s'approcha de son amie en tenant la coupe de verre où brillait la jute odorante de mon copain. Quelques aller et retours du doigt de Patricia, accompagnés d'un mouvement imperceptible sur la base de mon gland, suffirent à lancer le geyser: du fond de mes entrailles, je sentis monter ma semence, pour la première fois entre les mains d'une femme. Je lançai en criant quatre ou cinq jets de sperme gras et jaunâtre dans la coupe. — Bon, c'est bien mon gars! Tu es un homme maintenant, va t'asseoir à côté de ton copain. On s'occupe de vous tout de suite, dit Patricia en souriant. Monique avait sorti une cuiller d'argent du tiroir de la table de nuit. Elle versa quelques gouttes de vodka d'une bouteille qui était sagement rangée à côté du lit, et elle mélangea vigoureusement nos spermes de jeunes hommes dans la coupe. Elles burent toutes les deux ce mélange, en fermant les yeux. — Mmmmm, c'est délicieux! dit Monique. Vous savez, les gars, vous n'êtes pas les premiers à passer ici. Monique drague des mecs dans votre genre tous les vendredis soirs en ville, et on en dépucèle deux ou trois par mois, seuls ou souvent avec leur meilleur ami, comme vous deux ce soir. J'étais assis à côté de Nicolas, sur une banquette un peu petite pour nous deux. Ma cuisse touchait la sienne et je ne parvenais pas à détourner mon regard de la grosse bite de mon pote, désormais une vraie bite d'homme. Le prépuce s'était déroulé dans sa position normale quand Nico avait débandé, il recouvrait le 4/5 du gland de mon copain, et un mince filet de sperme à moitié séché pendouillait du bout du gland. Sa queue portait des traces des sécrétions vaginales de Monique, la preuve qu'il était devenu un vrai mec. Quant à moi, j'étais toujours décalotté, une goutte de sperme sur le méat, le gland encore rouge et turgescent de la masturbation experte que je venais de subir. L'odeur de mon copain m'envahissait la tête, odeur forte de ses aisselles, son torse couvert d'une légère transpiration, son gland et ses couilles et ses grands pieds, aux ongles coupés courts et nets... Quand elles eurent fini de boire leur potion, les deux filles s'allongèrent sur le dos, côte à côte, jambes écartées. À la vue de ces vulves brillantes, nos bites se remirent au garde-à-vous et nous nous jetâmes sur elles. On s'en est donné à coeur joie ce soir là et, ce coup-ci, elles nous ont laissé éjaculer dans leurs vagins, comme de vrais mecs qui font l'amour à de vraies nanas...


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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