HISTOIRES GAY

Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 12:00

14h30 Partie 1

Je suis en retard, on avait dit rendez-vous chez lui à 14h15.

Je suis en bas de son immeuble, la tension monte. Le mec en question à l’air d’être un bon macho, fier de sa grosse bite, qui recherche des suceurs experts à coller sur son pieu pour prendre du bon temps, clope au bec, à mater le mec qui le pompe, laissant gonfler sa tige et profitant de la séance.

J’ai dit être novice, mais il m’a indiqué que dans mon mail de réponse à son annonce, qu’il avait apprécié mes commentaires élogieux sur ses photos mises en ligne, et ma gueule en pic envoyée en pièce jointe à ma proposition de service. Selon lui, les étalons comme lui doivent participer à l’éducation des petites salopes dans mon genre, et qu’un rendez-vous me ferait du bien, puisque j’avais tout à apprendre.

Je suis en bas de son immeuble, j’ai bien précis en tête les photos de sa tronche, de son sexe réellement de très belle taille – s’il ne m’a pas menti –

OK, j’y vais, j’ai trop grave envie de me confronter ENFIN à un beau sexe de mec, et de vérifier en réalité ce que je sais déjà être vrai dans ma tête : Je suis une petite suceuse, PD jusqu’au bout, en recherche d’un bon gros ZOB que j’apprendrai à satisfaire de mes succions.

Me voilà au 4ème étage. Je trouve la porte, je sonne.
Du bruit dans l’appartement. La porte s’ouvre, je reconnais le visage de mon correspondant. Là dessus, il n’a pas menti.
Malgré moi, mon regard descend jusqu’à son pantalon, pour découvrir une déformation plus que prometteuse. Les boutons de sa braguette sont tout gonflés, il y a l’air d’avoir un alien là dessous qui ne demande qu’à sortir…
Je rentre, complètement sous tension. Il m’invite à passer dans la pièce, me suis de près, dans ses jeans et son marcel. Propose une bière. Je dis OK, histoire qu’il parte dans la cuisine et me laisse respirer à fond pour me calmer.

Pas de bol, quand il revient avec une canette à la main, c’est avec le fut débraguetté, et une grosse BOSSE qui s’expose tranquille sous le slip entre les lèvres de la braguette. Il me tend la bière, me dit d’en avaler un coup, et de me mettre à genoux. Entre sa voix autoritaire et le paquet distendu qui me nargue, je ne discute pas. Deux trois gorgées d’alcool, et me voilà à genoux devant mon BOSS.

Allumant une clope, il me mate en se grattant nonchalamment le paquet sous le slibard. J’ai en vue direct sa grosse paire de couilles que je devine, et une barre traverse son slip en prenant de plus en plus de volume. J’ai du mal à détacher mes yeux de cette vision de rêve…
Sans m’en rendre compte, ma bouche avance sur la BOSSE, mes lèvres s’écartent. Je rentre dans mon rôle, sans encore savoir comment satisfaire la teub qui pourrait s’offrir à moi.

« t’as jamais bouffé de la bite ? »
… « Hein ? » - Je reviens dans la vie réelle - « je dis : t’as jamais bouffé de la bite ? » « nan » « Tu crois être à la hauteur ? Un étalon, ça refile sa pine que lorsque la zobasse en vaut la peine, y’a assez de petits PD gueule ouverte sur Paname pour pas perdre son temps avec les demi-suceuses, les fragiles de la bouche, et les 30 minutes chrono.
Je te propose un bon 20 bien épais, bien gras, qui fait bien couiner les suceuses. T’as déjà remarqué la paire de balloches qui va avec, des lourdes bien pendantes, qu’aiment pas qu’on les oublie pendant la séance. Si tu t’y prends bien, en ventousant gourmand, tu peux t’offrir plus de 21cm en bouche, les joyeuses qui vont avec, et t’auras de quoi t’étouffer de plaisir.
Alors soit tu te barres maintenant, soit tu restes, mais si tu restes, c’est pour 2 bonnes heures de leçon. »

Et en se dirigeant vers le canapé, baissant ses jeans sur les chevilles, BOSS ajoute en se marrant « T’as de la chance, la première séance est gratuite ! »

Je n’hésite pas, j’ai un beau mec cuisses ouvertes avec un slip bien gonflé offert devant moi. Son attitude bienveillante fait tomber mes dernières appréhensions. Je trouve naturellement l’attitude à adopter, pour m’approcher à 4 pattes de mon initiateur, lequel prend plaisir à jouer son rôle, en se tripotant le pacs :

« OK. Un morceau comme le mien –tu l’appelle ZOB, c’est son nom – a besoin de sentir que son suceur est à sa disposition. Ton plaisir passe par le sien. Tu t’occupes d’abord de lui donner le plaisir qu’il mérite, et au passage, tu peux profiter et jouer avec. Pigé ? » « Oui ».
« Oui qui ? »
« Oui, ZOB. Je veux faire le max pour que tu prennes du plaisir, et ce sera ma récompense. »

BOSS a arrêté de se tripoter le paquet. Il est vrai que ce dernier explose le slip de tous les côtés. Je reluque et salive devant les couilles débordant du tissu, et le gros bout de bite qui prend l’air hors de l’élastique. Le slip est déchiré au milieu, je peux mater la jonction de la tige dressée et raidie et de la paire de couilles de ZOB.
Mon prof a suivi mon regard d’un air amusé :

« T’as raison, un bon point pour toi. Tu vas commencer par là. Viens mettre ta truffe dans mon slip. Lèche bien, salive et mouille moi ça. »


14h30 Partie 2
J’obéis à son invitation. Me voilà le visage enfoui dans le slip de Zob, humant cette bonne odeur de mâle et m’écrasant la bouche sur ce gros matos qui déforme le tissu.
Comme demandé, je m’attache à rester sur la base de la bite, ma langue en exploration entre le Zob et les couilles de mon professeur. Sous mes lèvres, je sens les deux grosses balloches qui roulent sous la peau, répondant à chaque coup de langue. La bite prend encore de l’épaisseur et durcit sous mon exploration.
La sensation est géniale, le contraste entre la douceur velouté de la peau et la dureté de la grosse tige bandée. Je prends de l’assurance, ma bouche enrobe la viande offerte, et je m’efforce en ventousant Zob d’en faire sortir toujours plus. Mon prof à l’air d’apprécier, m’encourage et guide mes suces.
De temps en temps, entre deux succions gourmandes, je relève la tête d’entre les cuisses écartées devant moi pour mater le spectacle : tout le paquet offert est luisant de salive, le reste de la teub d’étalon du Boss explose le slip, soulevant le tissu comme un piquet de tente. L’érection est vraiment superbe, et déborde encore plus devant mes yeux.

Le boss m’observe, se complait devant mes regards gourmands. Il s’amuse à contracter les reins, et à chaque balancement de son putain de gourdin, sa paire de couilles vient rouler devant mon nez. J’avance la main vers le Zob, mais il me plaque à nouveau la tête entre ses cuisses.

« Tu auras tout le temps de tâter le paquet plus tard, t’as l’air d’avoir faim de teub, je vais t’apprendre des trucs, t’inquiètes. Pour le moment, tu bosses uniquement à la bouche. Reprends le boulot, et sors moi les couilles du slip, elles ont envie de se faire gober. »

Je reprends mon job, le bec enfoui dans son fut, aspirant sa bite, cherchant à extraire encore plus de son sexe hors du slip déchiré qui devient transparent en s’humidifiant de ma salive. Sous mes succions sournoises, enfin, sa paire de couilles jaillit et se répand entre ses cuisses puissantes. Fier de moi, je ronronne de plaisir en les léchant de plus belle, bien décidé à les faire reluire. De temps en temps, je continue mon jeu et m’écarte pour contempler le résultat de mes travaux.

« OK, c’est bien, avale les, maintenant ».

En bon petit soldat, je m’exécute, la bouche ouverte au maximum, m’étouffant sous mes tentatives. Impossible de gober l’ensemble, j’aspire tout ce que je peux, mais malgré mes efforts il y a toujours une des couilles qui s’échappe de ma bouche. Boss me décolle de sa bosse.

« Ben alors ? Y’a un problème ? »

Son sourire est goguenard, il se tient les couilles à la base, tendues vers moi. Il se fout ouvertement de ma gueule ! Je retourne avaler, mais cela ne passe pas plus. La bouche sur le paquet, je couine de dépit, m’évertue encore à gober ce que je sais être trop volumineux pour moi. J’ai qu’une inquiétude, qu’il me foute dehors en estimant que je ne suis pas à la hauteur des promesses faites lors de nos échanges de mail.

« T’y arrives pas, hein ? T’es pas très doué, finalement. » « Je suis désolé, j’ai super envie, mais elles sont définitivement trop volumineuses ».
« Si tu cales sur mes couilles, y’ a peu de chance que tu me fasses du plaisir sur le Zob, garçon ».

Il se lève, c’est la fin, il lit tout mon désespoir dans mes yeux qui matent ce superbe paquet dressé que mon incompétence a perdu. À genoux devant le Boss, je le regarde réinstaller son Zob toujours en érection dans son slip, et repositionner ses grosses boules.

« Soit pas déçu, tu sais, je sais bien que dans ta tête t’en es capable.
Seulement faut de la méthode, bien te chauffer la gueule, et bien travailler les couilles une par une avant d’essayer de tout te mettre en bouche.
Quand tu les auras bien détendues, tu vas toucher ta récompense. »

Il ressort sa paire de couilles monstrueuses de son calbut, je les ai à 10 centimètres devant le nez, pendantes et toujours luisantes de salive. Suivant ses instructions, je les gobe séparément, passant et repassant de l’une à l’autre. Ma bouche les apprivoise, et je sens que progressivement j’avale de plus en plus de surface.
Mon prof me guide, me fait lâcher le morceau de temps en temps, je reprends mon souffle, et profite du spectacle. Ce mec est carrément bandant, bien satisfait de son paquet, m’exhibant et me balançant les couilles à portée de langue.

« Aller, réessaye. »

Je ne me pose pas de question, je fonce sur les deux boules qui me narguent, et m’avale le tout sans même m’en rendre compte. Bonheur total, j’ai l’impression de maîtriser un peu la situation, je tiens littéralement mon prof par les couilles ! Les lèvres refermées sur la base du paquet, je tourne et retourne ma langue sur le velours, tirant ou relâchant la pression. Boss apprécie.

« Ouais, c’est bon çà, vas y, régale toi, bouffe ».
Il se réinstalle sur le canapé, je repends ma position à quatre pattes devant lui. Je continue mon travail, il s’amuse parfois à me retirer les couilles de la bouche, pour le plaisir d’entendre mes couinements avides. Il s’allume une clope et me mate ; Les yeux dans les yeux, il me fait un clin d'œil :

« Tu veux en rester là, ou tu veux jouer avec Zob ? »


14h30 Partie3
Je suis en plein trip, la bouche pleine de la grosse paire de couilles qu’il y a encore 40 minutes je ne pensais par pouvoir gober en entier. Concentré sur ma suce qui me procure pour la première fois le plaisir de satisfaire mes délires de pompeur, travaillant un bel étalon bien bandant, je n’ai pas entendu sa question.

Le Boss me retire sa paire de boules de la bouche et répète :
« Tu veux en rester là, ou tu veux jouer avec Zob ? »

Un peu hébété, lèvres en feu, je redescend sur terre après cette communion avec l’entrejambe de ce mâle canon.
Le mec est assis devant moi, m’ouvrant ses cuisses, ses bourses luisantes de salive largement posées sur le canapé. Un arc de cercle impressionnant déforme son slip, bandée et large sa bite soulève le tissu pour laisser apparaître 3 ou 4 centimètres de dard encore calotté. Le caleçon se soulève régulièrement sous les pulsations du Zob, et je vois les lèvres du prépuce qui roulent délicatement sur le gland, découvrant ou cachant la viande. Une invitation bien obscène pour m’inciter à venir me faire tringler la bouche.

« Alors, tu viens goûter Zob? »
Boss joue négligemment avec son paquet alourdi, ses doigts soulignent la courbe de son sexe, accentuent le balancement hypnotique qui me ravit. Encore une fois, il se met debout, sexe bandé et dressé. Sous la bite tendue, les couilles vont et viennent dans leur sac de peau, et l’ensemble m’électrise. Sur les poils coupés ras du pubis, une délicate goutte de ma salive glisse sur sa peau, puis disparaît dans le pli de sa cuisse.

Une fois encore, il rentre son paquet dans son slip, ou au moins ce qu’il en peut : Toute à l’heure je pensais que sa pine explosait de tous côtés, là je constate que je suis en face d’une érection bien autrement large ! Ses couilles balancent devant moi, pendantes hors de l’échancrure de son slob sur sa cuisse gauche. Son Zob magnifique se déploie à partir de l’autre jambe du caleçon, morceau de chair épais et droit, vibrant de puissance. Toujours à moitié calotté, chaque respiration du Boss soulève l’ensemble du paquet qui palpite devant ma bouche.

Me souvenant de mes leçons, et devant l’épaisseur du morceau déployé, je commence par de timides coups de langue sur la longueur de la bête. J’explore la tige bandée pour goûter sa chaleur, me régalant de sa rigidité. Mes lèvres se font voraces, je salive sur la tringle, monte doucement jusqu’au gland qui s’ouvre sous ma vénération. Je redescend sur les couilles complices de mon mâle, gobant d’un seul coup l’intégralité de leur volume !
Je suis définitivement dans mon rôle de salope suceuse, et j’aime çà. J’ai toujours su être destiné à traire des mecs bien outillés, à la disposition de leur grosse tige frémissante.

Bouche plaquée contre le paquet du Boss, la langue en action, j’entame une lente remontée, prenant le temps de flatter de la bouche les boules charnues que je viens d’avaler, remontant encore et encore vers son gland. Je lis dans ses yeux son intérêt pour mon travail. Pas de doute, Boss aime prendre son temps et jouer avec le PD qu’il invite à venir fêter sa queue. Un temps d’arrêt sur le frein du prep’, celui ci désormais largement ouvert sur le gland. Je mate le terrain de jeu offert, puis délicatement, en prenant tout mon temps, j’englobe le gland. Il roule entre mes lèvres, ma langue vient le caresser et souligner la pression de mes succions de plus en plus affirmées.

Le jeu dure quelques minutes, puis Boss commence à me piner doucement, entrant sa teub de plus en plus entre mes mâchoires écartées. Je sens les palpitations des veines et du sang qui afflue encore dans cette viande chaude. Je bande aussi comme un malade, sans même me toucher la queue, je perle quelques gouttes de sperme. Mon prof continue ses aller et retours, à chaque fois plus insistants et plus profonds. Il me chope la tête entre ses mains, et m’enfonce sa grosse pine raide et autoritaire. Etouffé sous le coup de boutoir, j’ai un formidable spasme de rejet qui me décolle de sa teub et me laisse sans souffle.

Boss retire son slip et se rassoit dans son canapé. Pendant que je reprends ma respiration, la pine dressée devant mon visage, il me fait :

« T’en as bouffé la moitié seulement, pour un débutant, sur un gourdin aussi large, c’est pas mal du tout. Je te promets que tu vas tout t’enfiler tout à l’heure, sans problème. Ton mental le veux, c’est la technique qui suit pas. On fait une pause.»

On s’allume une clope, je vais chercher 2 bières en cuisine. A mon retour, Boss est en train de nous mettre un film de cul. On trinque en regardant un mec se faire défoncer la gorge par une pine monstrueuse. Le suceur a les larmes aux yeux, mais s’enfile des centimètres et des centimètres sans broncher, couché sur le dos. Le plan s’élargit, et je reconnais mon prof dans le rôle du pineur ! A grands coups de reins, il dispose de la bouche ouverte à sa convenance. Les moments de saillies buccales intenses alternent avec des phases ou il laisse son suceur explorer son Zob et reprendre son souffle.

Je remarque un anneau de métal qui enserre son paquet. Boss m’explique le rôle du « cockring ». Il me sort d’un tiroir différents exemplaires de cet objet : Anneaux d’acier, cordons de cuir cloutés, certains avec des extensions dont je ne m’explique pas le rôle, fins cercles de latex. Il pose également sur la table basse un petit flacon de verre opaque.
A l’écran, le pompeur s’est mit à 4 pattes et s’enfile de violents snifs de la même petite bouteille avant de réattaquer son travail avec une ardeur renouvelée. Je suis captivé par les capacités d’avaleur de ce mec.

Pendant ce temps, Boss inspecte son Zob. Très épaissie par mes suces, sa bite à nouveau souple déploie une bonne 20aine de centimètres.
Boss me propose de lui choisir un cockring à enfiler pour la suite de ma leçon. Je lui tends un épais anneau de métal et le regarde le glisser sur sa teub ramollie. L’acier qui encercle sa pine rend encore plus sexe la beauté de sa queue. La salive me monte aux lèvres.
(A Suivre)

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Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 11:52
1ere fois au sauna

 Il y a environ 6 mois, je suis allé pour la première fois au sauna pour voir comment cela était, car j'en avais dialogué plusieurs fois avec des mecs sur minitel et l'expérience me tentait beaucoup. Je suis arrivé sur le coup de 14h et il n'y avait pas grand monde et aucune femme malheureusement. Après avoir pris une petite douche rapide, je me suis installé dans le hammam et étant seul, j'ai commencé à me masturber histoire de me mettre en appétit en espérant qu'une femme arrive et me surprenne. Au bout de 5 minutes de branlette, quelqu'un est entré mais je n'ai pas vu si c'était une femme ou un homme car il y avait beaucoup de vapeur. Sachant que je n'étais plus seul, je me suis mis à gémir doucement tout en continuant de me masturber pour faire connaître mes intentions à la personne qui était rentrée. Cela à fonctionné car peu de temps après, j'ai senti une main se poser sur ma cuisse et me caresser doucement. Je bandais comme un fou mais je me suis vite rendu compte qu'il s'agissait d'un homme (tant pis me dis-je, cela faisait longtemps que je voulais essayer) quand j'ai senti une bite toucher mes lèvres. Fou d'excitation, j'ai fait ni une ni deux et je l'ai tout de suite enfourné comme si je faisais des pipes depuis des années. Le mec était gâté par la nature son sexe devait fait dans les 20 cm de long pour 4 ou 5 de diamètre, j'étais gâté pour ma première pipe. Et je me suis mis à le pomper goulûment lui léchant et caressant les couilles et son trou tout en continuant à me masturber. Au bout de 10 minutes de fellation, le mec c'est retiré puis m'a retourné et a présenté son gourdin à l'entrée de mon trou du cul. Il a bien essayé de forcer la passage mais étant vierge de ce côté, il n'y est pas arrivé. Alors il est sorti du hammam pour aller se mettre du savon sur la bite et sur les mains. De retour, (j'avais gardé la même position), il commença à me caresser le cul tout en y introduisant un doigt, puis un deuxième. Il me sodomisa comme ça pendant environ 10 minutes puis représenta sa queue. Cette fois-ci elle rentra, difficilement mais il réussi tout de même à m'enfiler complètement sa grosse bite. C'était divin, je n'avais jamais bander aussi dur qu'a ce moment là. Il allait et venait dans mon cul lentement puis donnant des grands coups de reins. Je sentais ses couilles venir taper contre mes fesses, j'étais au bord de l'explosion lui aussi d'ailleurs. Sentant qu'il allait décharger, il se retira et se masturba sur mon cul puis me gicla dessus. Je sentis son foutre chaud sur mes fesses et dégouliner le long de ma raie. C'était un régal. Puis il est sorti comme si de rien n'était je n'ai même pas vu son visage. Je me suis assis (j'avais terriblement mal au cul mais c'était si bon) et j'ai recommencé à me masturber. Je n'ai pas mis longtemps avant de gicler à mon tour. Depuis, je n'ai qu'une envie c'est de recommencer mais avec une femme en plus pour que je puisse la lécher pendant que je me ferais sodomiser.


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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 00:14

La nouvelle symphonie de Florian (1)


Ah ce maudit solfège! Pourquoi est-il si important pour faire du piano? Au moins pour mes cours de guitare, je n’en ai pas besoin!» ronchonnait Florian.

Le jeune adolescent âgé de bientôt 15 ans, était passionné par la musique. Il pratiquait le piano depuis l’âge de huit ans et la guitare depuis maintenant quatre années. Pourtant ses parents ne baignaient pas dans le monde de la musique mais le garçon, dès son plus jeune âge, fut pris d’intérêt pour cet art et n’en perdit pas un brin de passion. Sa mère infirmière et son père ingénieur en aviation, l’encouragèrent à persévérer dans cette voie en l’inscrivant au conservatoire de la ville où il prenait ses cours de piano et de solfège depuis maintenant cinq ans. Le garçon, blond aux yeux bleus comme sa mère, suédoise, était également très doué dans les études car il affichait un brillant 18 de moyenne arrivé en troisième. Inutile de préciser que c’était le premier de sa classe et du collège. Même en sport il se débrouillait très bien avec son 1m75 et ses 55kg, il faisait d’ailleurs partie de l’équipe d’athlétisme de son collège où il brillait en saut en longueur et aux 200 mètres. Autant dire que Florian était le fils, l’élève, le petit ami idéal.

D’ailleurs sa beauté et son intelligence attirait toutes les filles du collège mais celui-ci, pas intéressé du tout, les renvoyait balader une par une, ce qui forcément à la longue intrigua ses copains. Mais Florian, très malin, s’était inventé une petite amie qu’il aurait rencontrée en vacances et qu’il aimait au plus haut point. Il avait d’ailleurs ramené une photo où ils étaient dans les bras l’un de l’autre. En réalité cette fille sur la photo n’était qu’une amie de vacances, mais tout le monde dans son collège le croyait fou amoureux d’elle et c'était là l‘essentiel. En réalité, et vous l’aurez deviné, Florian aime les garçons, mais ça, il n’y a que lui à le savoir. Sa grande timidité et sa pudeur l’empêcheraient sûrement de franchir la barrière du premier petit ami, pensait-il, à moins qu’un autre garçon fasse le premier pas. Mais pour lui, ce n’était sûrement pas pour demain. S’il savait…

— Florian, tu vas être en retard à ton cours de piano, je démarre la voiture et je t’attends.

— Oui maman, j’arrive tout de suite, je finis de relire ma partition, j’en ai pour une minute, répondit-il.

Et deux minutes plus tard, l’adolescent était dans la voiture en route pour son cours de piano et toujours le nez dans sa partition de Sergueï Rachmaninov, il ne se rendit même pas compte que la voiture était arrêté.

— Chéri, je ne pourrai pas revenir te chercher, je reprends le travail dans une heure, tu devras prendre le bus. En revenant, il y a tout ce qu’il faut dans le frigo pour que tu manges et ne te couche pas trop tard, et fais attention en rentrant, et n’oublie pas…

— Oui maman, je sais me débrouiller depuis le temps! T’inquiète pas, et puis j’ai bientôt 15 ans, je ne suis plus un bébé! Répondit Florian gentiment.

Il avait l’habitude de se retrouver seul le soir à la maison car son père était souvent en déplacement pour la semaine, et sa mère était de nuit, au moins une fois toutes les trois semaines. C’est d’ailleurs cette solitude qui lui permet de progresser très rapidement en musique et d’être doué à l’école. Avant, il avait le droit à sa baby-sitter personnelle mais depuis ses douze ans, il refusait d’en avoir une, et comme s’était un garçon sage de nature, ses parents acceptèrent sans trop protester, malgré une mère très inquiète de nature pour son fils unique. Le garçon embrassa sa mère puis quitta le véhicule, tout sourire, sa partition dans les mains.

Il poussa la grande porte du conservatoire, marcha dans le long couloir et entra dans la salle de son cours où devait l’attendre son professeur, une dame âgée d’une cinquantaine d’années que le garçon aimait bien malgré sa grande sévérité sur sa technique au piano. Mais aujourd’hui, cette dernière était en retard et, au bout de dix minutes, une responsable du conservatoire vint voir Florian pour lui annoncer qu’elle ne pourrait venir. Elle lui proposa de rentrer chez lui où bien d’assister à un autre cours. Florian voulut rester dans la salle pour s’entraîner au piano, mais aucun élève n’avait le droit de rester seul dans une salle, surtout avec un piano d’une valeur de 10 000 euros. Alors le jeune homme décida d’assister en spectateur à un autre cours car il n’avait rien à faire chez lui et puis, on ne s’instruit jamais trop musicalement.

Florian entra donc dans la salle où se déroulait un cours de violon. La responsable du conservatoire informa le professeur sur la situation de Florian et quitta la pièce. Le jeune garçon s’assit donc sur une chaise et commença à écouter le cours pendant… cinq secondes, c’est-à-dire juste avant d’apercevoir un ange tombé du ciel. Le plus beau garçon qu’il avait vu jusqu’à maintenant: métis, cheveux bouclés, courts, yeux verts, faisant à vue d’oeil sa taille et son poids . Ce fut le coup de foudre, du moins physiquement et c’est sûrement pas son boxer tout déformé qui pouvait dire le contraire. Durant dix minutes, Florian ne put détacher son regard du garçon. Leurs regards se croisèrent d’ailleurs de temps en temps. Il se demandait comment avait-il fait pour ne pas le remarquer avant, pourquoi ne l’avait-il pas croisé dans les couloirs? Toutes ces questions lui trottaient dans l'esprit mais surtout, il bénissait sa professeur de ne pas être venue aujourd’hui. Puis soudain:

— Florian, veux-tu venir jouer du violon? Dit l’enseignante, le sortant de son rêve.

— Euh, c’est-à-dire que, euh… je ne suis pas sûr d’ y arriver, puis j’ai pas de violon, répondit-il tout étourdi et gêné.

— Vu ton niveau au piano, à la guitare et tes connaissances, tu ne devrais pas avoir de mal, et puis ça te sera instructif, reprit-elle.

— D’accord mais il me faut un violon, sinon je risque d’avoir du mal, et puis c'est pas du tout pareil que le piano et la guitare, je…

— Je sais tout ça, mais essaie quand même! Tu prendras le violon de Mathis, comme c’est lui le plus en avance, cela ne le pénalisera pas et puis il t’aidera. C’est le garçon là bas, dit-elle en pointant du doigt le prince charmant de Florian qui fut ravit mais aussi très intimidé.

Mathis adressa un grand sourire à notre beau blond qui le déstabilisa, à tel point qu’il faillit tomber en allant rejoindre le garçon. Celui-ci tendit son violon à Florian, leurs mains s’effleurèrent, ce contact ne manquant pas de réveiller l'érection de notre apprenti-violoniste, qu'il parvint quand même à dissimuler malgré un jean qui le mettait en valeur. Le cours se déroula ainsi pendant une demie heure où les deux garçons furent très complices, et prit fin dans une ambiance très chaleureuse.

— Tu te débrouilles plutôt bien pour un débutant, tu devrais continuer, dit Mathis.

— Merci, mais j’ai déjà le piano et la guitare, ça ferait un peu beaucoup je crois, répondit Florian.

— Dommage, j’aurais aimé t’avoir dans mon cours, je me suis bien amusé avec toi.

— Moi aussi, mais on peut toujours se voir, reprit Florian épaté par la proposition qu’il venait de faire.

— Effectivement, ça serait cool! Si tu veux, je te donne mon numéro de portable et mon MSN, comme ça on pourra faire plus connaissance tous les deux. T’as l’air sympa et j’aime bien les mecs cools! J’espère que je ne t’effraye pas à te donner tout ça alors qu’on se connaît à peine mais j’ai plutôt le contact facile avec les gens que j’apprécie, c’est dans ma nature.

— Pas de problème et puis on pourra faire de la musique ensemble, chez moi j’ai un piano et deux guitares, si tu ramènes ton violon, on pourra se faire des impros sympas. En plus, mes parents sont souvent absent donc cela ne posera pas de problème.

— Ok, c’est cool, on en discute sur MSN, mon bus va pas tarder, dit Mathis.

— Bah de toute façon moi aussi je prends le bus, donc je t’accompagne!

Les deux garçons se séparèrent à l’arrêt de bus car chacun partait dans la direction opposée. Florian faillit ne pas s’arrêter devant chez lui car ses pensées étaient bien ailleurs. Arrivé chez lui, il prit deux trois trucs à manger dans le frigo et partit dans sa chambre devant son ordinateur. Une chambre d’adolescent ornée de poster des Velvet Underground, des Sonic Youth ou encore des Hives, avec une guitare électrique et son ampli ainsi qu’une guitare folk déjà bien usée, et bien sûr, beaucoup de bordel.

Une fois qu'il eut englouti tous ce qu’il avait à manger, il se connecta sur sa messagerie. En moins de deux, il entra l’adresse MSN de Mathis qui à son grand bonheur était connecté. Les deux garçons passèrent la soirée à discuter; ils en apprirent beaucoup l’un sur l’autre. Même goût musicaux, même centre d’intérêts, bref ils étaient fait pour s'entendre. Florian apprit que son prince charmant avait le même âge que lui, qu’il était en troisième dans un collège situé de l’autre côté de la ville, qu’il faisait également du basket-ball et surtout, qu’il était célibataire. Mais ce qui l’intrigua encore plus, c’est cette phrase balancée par la suite par son interlocuteur: «Les filles, je m’en fous un peu!» Et ce qui l’étonna encore deux fois plus, c’est-ce que lui a répondu: «Moi aussi.» C’est à ce moment là que Mathis dut se déconnecter, après avoir programmé de passer la soirée et la nuit de demain vendredi chez Florian.

Ce denier ne ferma pas la fenêtre de la conversation, laissant à l’image la photo de son nouvel ami. Beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête. Qu’allait-il faire demain avec ce garçon qu’il connaissait à peine? Et pour la première fois, Florian eut la sensation que quelque chose pouvait se produire, même s'il ne se faisait pas trop d'espoir non plus, ce qui ne manqua pas de réveiller une monstrueuse érection qui sommeillait depuis la fin du cours de violon. Et là il fallait agir! Le jeune blond enleva son t’shirt et son boxer et se retrouva nu devant l’écran de son ordinateur avec la photo du visage de son premier coup de foudre. Il commença par décalotter sont gland de son sexe de 16 centimètres et tout en regardant son écran, il commença des caresses avec ses fins doigts terminant de magnifiques mains. Puis il entreprit des va-et-vient de plus en plus rapides. Il gagna ensuite son lit où il continua ce qu’il avait commencé, tout en se caressant le corps. Au bout de cinq minutes, il cracha quatre puissants jets de sperme qui mourrurent sur sa poitrine. Il nettoya tout ça avec un mouchoir puis se plongea sous sa couette en pensant à Mathis. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est que de l’autre côté de la ville, son nouveau copain venait de terminer la même chose que lui, avec les mêmes pensées, ainsi que beaucoup d’idées en tête pour demain soir.

Le lendemain soir arriva très vite. Après un réveil et une journée de cours plutôt difficile en terme de concentration pour les raisons que vous aurez devinées, Florian partit rejoindre l’entrée du conservatoire où il devait rejoindre Mathis qui l’attendait déjà. Les deux garçons se serrèrent délicatement la main puis partirent en direction de la maison du jeune blond, en se racontant leur journée comme deux copains se connaissant depuis toujours. Mathis n’arrêtait pas de mater les fesses de Florian sans que celui-ci s'en rende compte. Il faut dire que moulées dans un jean slim, celles-ci lui faisait très envie. Mais les siennes, également serrées dans ce genre de pantalon, n’y avait rien à envier, et ça Florian l’avait remarqué. Arrivés à destination, ils rencontrèrent la mère de ce dernier qui partait au travail pour la nuit.

— Bonjour Maman, je te présente Mathis, il est au conservatoire avec moi, et il vient passer la soirée et la nuit à la maison.

— Enchanté Mathis.

— Bonjour Madame, répondit le jeune homme.

— Tu aurais dû me dire que tu ramenais un copain à la maison, je vous aurais préparé quelque chose à manger, reprit sa mère.

— C’est pas grave, on commandera une pizza, dit le garçon le sourire aux lèvres.

— Bon moi je dois y aller, je vais être en retard. Je vous fais confiance, pas de bêtises, huh!

— Oui maman, à demain et bon travail, reprit Florian en l’embrassant.

— À demain les garçons.

Elle était très heureuse de voir que son fils avait ramené un copain à la maison car l’adolescent n’en ramenait pas très souvent et était la plupart du temps enfermé dans sa chambre à faire de la musique ou devant son ordinateur. Les deux amis se dirigèrent vers la cuisine où ils grignotèrent quelques cochonneries puis prirent la direction de la chambre de Florian.

— Tu veux faire quoi? Demanda-t-il.

— Comme tu veux. T’as qu’à me jouer quelques morceaux de guitare, que je te voie à l’œuvre, répondit Mathis.

Florian prit donc sa guitare et commença donc à jouer des morceaux de son répertoire, c’est-à-dire Nothing Else Matters des Metallica ainsi que du Neil Young et du Bob Dylan. Tout cela dura pendant une bonne heure.

— Waw, tu joue super bien, c’est franchement génial! S’exclama Mathis.

— Merci, mais j’ai un bon public, c’est pour ça. Si tu veux je te donnerai des cours.

— Oui ça serait cool. Et puis je ne peux refuser la proposition d’un beau professeur comme toi. Mais tu risques d’avoir beaucoup de travail, reprit-il en rigolant.

Cette réponse ne manqua pas de troubler Florian qui avait cru mal entendre.

La soirée avança dans une ambiance très agréable. Les deux garçons avaient maintenant terminé de dévorer la pizza qu’ils venaient de commander.

— Tu veux qu’on regarde un film? Demanda Florian.

— Oui pourquoi pas, répondit-il.

— Ça te tente, Saw 4? Je viens de le récupérer et je l’ai toujours pas regardé, tu as vu les trois autres?

— Oui, et c’est franchement, euh comment dire… assez sanglant. Et puis si j’ai peur, tu seras là pour me rassurer, reprit le beau métis en souriant à son ami.

Alors là, si c’est pas du rentre dedans, je sais pas c’est quoi, pensa Florian, qui était vraiment de plus en plus troublé devant la tournure des propos de son invité.

— Oui, reprit-il rouge comme une tomate.

Les deux garçons s’installèrent dans le canapé et commencèrent à regarder le film, qui au passage était encore plus gore que les précédents. Au fur et à mesure que celui-ci avançait, Mathis se collait de plus en plus à Florian après chaque sursaut provoqué par les scènes du film, pour finalement terminer cuisse contre cuisse. Le jeune blond devenait vraiment rouge et gêné par la situation. Mathis l’avait compris et décida d’en rajouter une couche en posant sa main sur la cuisse de Florian, ce qui déclencha une terrible érection chez ce dernier. Et celle-là n’était vraiment pas dissimulable. Il priait pour qu'elle ne soit pas remarquée.

— Excuse moi, je croyais que c’était ma cuisse, dit Mathis d’un air allumeur.

Celui-ci ne manqua pas de remarquer l’incroyable érection de son ami et décida d’en rajouter une couche en pointant du doigt son entrejambe.

— C’est le film où ma main qui te fait cet effet là?

Alors là, Florian était encore plus rouge que rouge, et ne savait vraiment plus où se mettre et quoi répondre.

— Euh, non c’est… je sais pas…

Ce qui va suivre dépassait toute les espérances de notre futur ex-puceau. En effet Mathis se leva et vint s’asseoir sur les genoux de Florian, face à lui.

— Tu n’as pas à avoir honte, tu me fais le même effet, dit-il en montrant son énorme érection à travers son jean. Et cela, depuis que je t’ai vu entrer dans la pièce de mon cours de violon.

Mathis déposa alors un baiser sur la joue de Florian qui était pétrifié, immobile, mais intérieurement, incroyablement heureux. Le jeune métis prit vite les choses en mains. Il commença à embrasser, lécher tout le visage du jeune blond, bouche, cou, nez, joues, oreilles, front, tout y passait. Il retira ensuite son polo ainsi que le t’shirt de Florian qui se laissait totalement faire. Il s’attaquait maintenant à sa poitrine en lui léchant les tétons. Sa langue parcourut ensuite les moindre recoins de son torse totalement imberbe, puis sa main vint se déposer, puis caresser la bosse formée par son jean.

— Il va falloir libérer tout ça, sinon on risque d’avoir du mal à continuer, reprit Mathis en rigolant pour essayer de détendre Florian.

Ce qui fonctionna bien car celui-ci partit dans un fou rire certes un peu nerveux mais très joyeux.

— Tu sais, je ne veux pas te forcer, mais j’ai très envie de toi, reprit-il.

— Moi… moi aussi, mais j’ai peur… J’ai jamais rien fait tu sais!

— T’inquiète pas, ça ne peut que bien se passer, tu es bi ou gay au moins? Sinon tu risques sûrement de pas aimer! Reprit Mathis.

— Je crois, enfin, j’en suis presque sûr, que je suis gay, chuchota-t-il.

— Alors on est deux.

Les deux adolescents se levèrent du canapé. Ils étaient maintenant face à face, proche l'un de l'autre, torses nus et bandés comme des ânes. Leurs bouches entrèrent en contact, puis ce fut le tour de leurs langues qui dansèrent une valse endiablée pendant que leurs mains se baladaient sur les fesses de l’autre. Le temps semblait s’être arrêté pour Florian, il allait connaître sa première expérience sexuelle après son premier baiser et tout ça dans la même soirée. Mathis commença à déboutonner le slim de son copain, puis le laissa glisser le long de ses jambes recouvertes de très fins poils blonds, pour finir par le retirer ainsi que ses chaussettes qui laissaient place à de superbes pieds. Florian était magnifique, il respirait la jeunesse, l’innocence. Sa nudité était maintenant uniquement cachée par un boxer CK blanc, moulant parfaitement l’objet de tous les désirs. Mathis posa les mains du jeune blond sur le bouton de son pantalon, l’invitant ainsi à l’enlever. Celui-ci s’exécuta et en moins de deux, les deux garçons se retrouvèrent en boxer. La queue du jeune métis était immense, sûrement plus de 20cm, ce qui d’un côté attira terriblement Florian, mais d’un autre côté lui fit peur. Il devrait sucer, voire même se faire prendre par ce monstre. Il posa la main dessus:

— Elle est immense!

— T’inquiètes pas mon amour, je ne te ferai aucun mal, mais que du plaisir, dit Mathis.

Mon amour, il venait de l’appeler mon amour, Florian n’en revenait pas. Son partenaire le prit ensuite dans ses bras comme une princesse et le déposa couché sur le dos, sur son lit. Il se coucha ensuite sur lui et commença son exploration. Après un long et langoureux baiser durant lequel leurs sexes se frottaient à travers leurs boxers, Mathis commença à descendre sa langue sur la poitrine puis le ventre de Florian dont le rythme cardiaque et le souffle accéléraient. Il arriva finalement au niveau de l’objet de ses désirs. Il souleva l’élastique du boxer de son ami qui laissa apparaître un bout de son gland tout rose sur lequel il déposa un baiser, ce qui déclencha un petit cri aigu chez Florian. Il souleva ensuite son partenaire pour lui retirer ce dernier vêtement qui laissa apparaître une magnifique verge bandée ainsi que de petites boules imberbes. Florian, très pudique se sentait assez mal à l’aise devant son partenaire mais le désir le contrôlait par-dessus tout. Mathis n’en pouvait plus, il la voulait dans sa bouche, il voulait goûter ce trésor de la nature. Sa langue commença par caresser la peau du sexe de son copain. Ses mains tripotaient sans limites les fesses et les couilles de ce dernier, pendant que sa langue jouaient avec son gland. Il engloutissait maintenant quatre centimètres, puis neuf… et enfin la bite du jeune blond en entier. Sa langue s’appliquait sur ce long bout de chair. Les mouvements de va-et-vient étaient intenses, on voyait le sexe du garçon disparaître puis réapparaître à une vitesse hallucinante. Florian criait, hurlait, jouissait de plaisir, tout en caressant les cheveux de son prince charmant. Les «slurp» d’un enfant qui suce sa glace se faisaient entendre, le plaisir des deux adolescents était immense.

— Huuuum oh oui, mmmmmmmmm Mathis, oh je vais jouir! S’écria le jeune pianiste.

Et deux secondes plus tard, la semence du garçon vint se projeter contre le palet du suceur qui n’en perdit pas une goutte. Il lécha la moindre gouttelette sur le sexe de Florian qui rayonnait de bonheur, étendu sur son lit. Mathis se coucha à côté de lui et lui susurra dans l’oreille:

— Alors, tu as aimé, petit chenapan?

— Non, j’ai juste vécu, le moment de plaisir le plus intense de ma vie, répondit Florian encore tout étourdi.

— J’en suis ravi! Tu es tellement beau, tellement mignon, tellement sexy, tellement chou, tellement à croquer, tellement…

— À toi, je suis à toi Mathis, je veux te rendre le plaisir que tu m’as rendu, je veux te faire jouir comme jamais, coupa Florian.

Ce dernier se leva et prit possession du corps du jeune métis. Son inexpérience en la matière ne se fit même pas ressentir tellement il y mettait de la passion. Sa langue léchait les tétons de Mathis puis se posa sur les magnifiques abdos du garçon. Le jeune métis était totalement imberbe, enfin sauf à la région encore dissimulée sous le boxer.

— Tu as des pieds magnifique Florian, donne-les moi s’il te plaît.

Le jeune blond s’exécuta. Mathis frotta un des pieds de ce dernier sur son immense sexe tendu dans son boxer. Il l’enleva d’ailleurs pour dévoiler un très gros engin pour un adolescent de 15 ans, de 22cm. Son sexe tout chaud glissait maintenant entre les orteils de Florian, qui admirait la beauté de son compagnon.

— Suce-moi mon chéri, demanda Mathis.

— Oui, tout ce que tu voudras, mon ange.

Le garçon était maintenant accroupi, la tête entre les genoux du jeune métis qui était assis au bord du lit. Florian déposa un baiser sur le bout du gland humide de son amant pour finir par couvrir son membre de baiser. Ça y est, il s’était lancé, il ne pouvait plus s’arrêter, il ne voulait plus s’arrêter, le démon l'avait envahi pensa-t-il. Sa langue était maintenant revenue à hauteur du gland de Mathis qui commençait à gémir. Il suçait sa glace comme quand il était jeune, mais celle-ci était particulière, car le cône si savoureux, était placé au dessus des deux boules. Florian engloutissait maintenant plus de la moitié du sexe de son prince charmant. Il avait pris le coup ainsi que le goût, à la chose. De belles mains, posées sur ses beaux cheveux blonds bouclés, lui facilitaient la tâche. Il se débrouillait comme un chef, le jeune appenti-suceur. Ses main se baladaient sur les sorbets de son amant, mais surtout se posaient tendrement sous la plus belle paire de fesses qu’il avait vue jusqu’à maintenant. Il avalait maintenant quasiment la totalité de l’énorme bite de Mathis qui coulissait dans son palet. Il n’était pas dégoûté, oh que non! Bien qu’il eut au départ quelques relents quand le bout du gland atteignit l’entrée de sa gorge, il se sentit ensuite envahi par un désir immense de l’avaler en entier. Sa langue jouait de dextérité sur cette merveilleuse gourmandise.

— Puréeeee, Floriannnnnn, mmmmmm, oh, ouiiiiiiiiiiiiiiii, personne m’avait sucé comme ça auparavant, mmmmm, oh, t’es sûr qu c’est ta première foiiiiiiiiiiis?

Le jeune blond, se redressa, avec ses yeux bleus attendrissant et répondit:

— Je te jure que oui, mais je veux tellement te faire du bien que je crois que je me suis jamais autant appliqué à faire quelque chose.

Doué en musique, doué à l’école, doué en sport, gentil, beau comme un dieu et en plus excellent au lit, décidément ses parents ne l’avaient pas raté leur petit Florian, devenu grand à partir de cet instant.

— Florian, tes fesses sont si belles, elles me font rêver! Me permettrais-tu d’y plonger?

— Je ne suis pas sûr d’être prêt pour ça, répondit le garçon bien qu’il en mourrait d’envie. Une prochaine fois, je te les donnerai! Mais ne t’inquiète surtout pas, tu seras le premier à y pénétrer et peut-être plus vite que tu ne le penses! Et puis tu peux toujours commencer par tes doigts! Mais pour l’instant, laisse-moi finir mon travail, reprit Florian qui commençait à perdre toute pudeur et timidité face à son premier amant et dont le sexe avait repris des dimensions très intéressantes; en tout cas, assez pour que Mathis se régale de nouveau.

Le jeune garçon reprit alors le travail là où il l’avait laissé, c’est-à-dire entre les jambes de son amant. Mais cette fois-ci, les deux garçons se retrouvaient en position de 69, avec Mathis au dessus de Florian. Le jeune métis, ayant de l’expérience en sexe, aimait dominer les ébats sans pour autant être tyrannique au lit. Bien que frustré de ne pouvoir sodomiser son beau blond, il prit un pied d’enfer. Jamais personne ne l’avait sucé comme on le suce. Ses doigts pénétraient un par un, l’intimité de son amant qu’il suçait avidement. Les deux garçons hurlaient de plaisir dans la maison vide. Mathis ne put se retenir plus longtemps et inonda le palet puis le visage de Florian. Ce dernier, avec se sexe et tout ce sperme dans sa bouche, ces trois doigts au plus profond de lui-même et sa propre bite sucée par tous les bords, ne put retenir son intime breuvage qui fut une nouvelle fois avalé en entier.

— Waw, j’ai jamais connu rien de tel, souffla Florian, épuisé. C’étais magique.

— Et tu n’as pas connu le plus extraordinaire, reprit Mathis épuisé lui aussi.

— Bon on va prendre une douche et au dodo! S’exclama le pianiste.

Les deux garçons partirent sous la douche et revinrent, une demie heure plus tard, tout propre et encore un peu plus vidé que tout à l’heure! À cet âge là, on ne compte pas. Ils se couchèrent dans le même lit, en boxer car si jamais la mère de Florian les surprenait, il fallait mieux ne pas être nus. Mais à 23h30, la nuit état encore longue...


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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