HISTOIRES BISEX

Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 00:33

1. Une gloutonne de bites

Je n’en reviens pas du pot que j’ai ces temps.

Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce couple d’amis de mes parents.

Ca fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu avant.

Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau noiraud  balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.

J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.

Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis, complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et se mit à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’pouce expert.

Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfourné nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte ou coulissait de concert nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.

2. Lubrifiants bienvenus

Après cette entrée en matière, nous avons décidé de continuer à nous voir pour baiser ensemble à trois, et l’occasion s’est présentée ce week-end avec l’invitation à la villa.

Nous avons embarqué ce matin dans mon vieux cabriolet BMW, capote baissée. Il fait très chaud, je conduis torse nu. Cécile est à côté de moi, en mini-jupe et cache-cœur croisé, et Gilles est affalé en travers du siège arrière, en short, les pectoraux à l’air. Il nous faudra bien deux heures pour atteindre la villa, par de toutes petites routes à travers une cambrouse idyllique mais paumée.

Nous avons mis la sono à fond pour couvrir le bruit du vent. Voilà une heure que nous roulons quand le voyant d’huile se met à tirer dangereusement sur le rouge, et que ma vieille tire se met à fumer. J’avise un bosquet d’arbres au bord de la petite route et parque la voiture à l’ombre. Je baisse un peu le volume sonore, saute hors de la voiture et prends un bidon d’huile dans le coffre arrière. Je n’en ai pas pour long, les autres peuvent rester dans la voiture à écouter la zique.

J’ouvre le capot et me penche sur le moteur. Il me faudra attendre quelques minutes qu’il refroidisse avant de pouvoir remettre de l’huile. Comme je ne vois pas mes copains avec le capot ouvert, je leur crie d’avoir un peu de patience. J’en profite pour vérifier le niveau d’eau. Puis je verse le bidon d’huile. Sans entonnoir, je m’en fous plein sur les mains.

Je referme le capot, et découvre à travers le pare-brise que les deux vicieux n’ont pas perdu leur temps: Gilles est couché à poil le dos sur le capot arrière, les pieds sur les sièges jambes écartées, le bassin tendu en avant, les mains dans les cheveux de Cécile penchée sur lui par dessus les sièges avants qui lui pompe la teub. Le spectacle est bien bandant, mais ce qui mène mon excitation à son comble, c’est qu’elle est à cheval entre les deux sièges avant, un genou sur chaque siège, jupe relevée et seins à l’air, et se ramone lentement avec le levier de vitesse gainé de cuir planté dans le con.

La vision de ses fesses largement écartées qui vont et viennent en laissant poindre la rosace de son anus rosé m’attire irrésistiblement. J’expédie mon froc, j’enjambe la portière et me coule sous le tableau de bord. Je prends en main pleine d’huile mon sexe enflammé, graisse son trou du cul de mon index maculé d’huile de moteur et, la base du levier entre les cuisses, je lui enfonce doucement ma barramine en fusion par à-coups jusqu’au fond du cul. C’est la première fois que j’encule, et je découvre l’immense plaisir d’être enserré dans ce très étroit fourreau soyeux. Après s’être contractée quand je l’ai pénétrée, Cécile a relâché les muscles de son fessier et a repris son va et viens sur le levier dont je sens le cuir mouillé me frotter les couilles baignées de son jus qu’elle vient de lâcher en une vague tiède. A l’aveugle, ses mains viennent triturer mes muscles fessiers contractés. Au travers de la fine membrane qui sépare les deux cavernes, le renflement du pommeau qui coulisse dans son vagin masse ma trique sur toute sa longueur à chaque passage. Mes mains sont remplies de ses seins dont j’entreprends de triturer les tétons durcis entre mes doigts gras. Mon ventre et ma poitrine en sueur sont plaqués contre son dos, nos têtes côte à côte.

Elle a abandonné la queue de Gilles et lui suce le sac avec application, l’étirant entre ses dents. Son phallus luisant de salive se dresse insolent juste devant mon visage, émergeant d’un buisson de poils drus. Je n’ai encore jamais goûté de bite mais ce gros morceau obscène au gland suintant et à la forte odeur attire ma bouche comme un aimant, et je l’aspire goulument. J’en ressens un frisson qui court le long de mon échine jusqu’au creux de mes reins. Ma langue lèche le frein du gland et s’enroule autour, et je commence à le pomper comme j’aime qu’on me suce. Il m’a empoigné par la tignasse et me donne le rythme. Je sens qu’il va me découiller dans la bouche, mais je découvre que ça m’excite et que je n’attends que ça. Ma succion devient frénétique et il m’envoie en gueulant une rasade de sperme qui me tapisse le palais, englue ma langue et m’envahit la gorge. Je suis au paroxysme, et redouble d’ardeur à défoncer le cul de Cécile  Mes couilles bouillonnent de foutre et un dernier coup de biroute à fond de cul suffit à me faire éjaculer avec l’impression d’exploser son derche.

Nous restons un moment écroulés les uns sur les autres à reprendre nos esprits. Une fois grossièrement essuyés, nous nous remettons en route sans nous rhabiller, musique à donf, le vent chaud séchant nos poils frissonnants. Tous les fluides sont de nouveau à niveau.

3. Plongeon dans le stupre

Une fois la voiture arrêtée dans la cour de la propriété que je connais déjà pour y avoir passé un week-end de baise avec l’amie de mes parents, je me jette sur la porte que j’ouvre d’un tour de clé, et nous nous ruons à travers la maison vers le jardin, pressés de plonger à poil dans la piscine pour nous rafraichir autant que nous laver.

En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous voir aussi à poil le rassure sans doute un peu. 

J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde, qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile qui fend l’eau jusqu’au plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.

Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.

En entendant ça, une vague de désir monte en un délicieux picotement dans mes couilles et je vois ma verge gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.

Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de part et d’autre de la planche.

Du côté ou je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier charnu.

Agenouillé de l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.

Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.

Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.

Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment. Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.

Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour, décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.

4. Ying-Yang et big bangs

Tous quatre vautrés les uns sur les autres à même le plongeoir, le corps baigné de nos sécrétions laiteuses, nous devons former un tableau assez lubrique. C’est le moment que choisit Loana, l’amie de mes parents à qui appartient la villa, pour débarquer au jardin. Elle pensait sans doute me trouver seul et du même coup rééditer le week-end de baise sauvage que nous nous étions payé à l’insu de son mari. Je vais à sa rencontre, ma queue débandante luisante de foutre, et fais les présentations comme si de rien n’étais. Manifestant sa surprise, elle lâche: «Je ne m’attendais vraiment pas à toute cette chair fraîche étalée sur mon plongeoir. C’est pas gentil de t’amuser comme ça sans moi, tu aurais pu m’inviter, surtout que mon petit jardinier m’avais caché qu’il était aussi appétissant et que tes copains ont l’air pleins de ressources». Je l’assure qu’elle est la bienvenue et que nous allons nous occuper sérieusement d’elle. Ce ne sera pas un sacrifice; à quarante cinq ans, c’est une négresse magnifique et une baiseuse se première. Une robe noire moulante à bretelles qui dégage ses épaules met en valeur sa poitrine plantureuse. La forte cambrure de ses reins fait ressortir ses belles fesses rebondies. Elle ne porte visiblement rien sous sa robe moulante, comme le soir où, venue dîner avec son mari chez mes parents, elle m’avait littéralement violé sur le tapis de ma chambre au fonds de l’appartement que je lui faisais visiter. Ses cheveux de jais moussent autour de son beau visage aux lèvres pulpeuses et sensuelles. Elle s’approche du plongeoir et laisse glisser au sol sa robe de jersey, dévoilant ses seins d’ébène pointés comme des obus, ses hanches généreuses, son pubis à la toison crépue, et ses cuisses fuselées. Les deux mâles se sont relevés et la bouffent des yeux, leur sexe en main, déjà en train de reprendre vigueur. Mais c’est Cécile, toujours étendue sur la planche, genoux relevés, qui intéresse Loana pour l’instant. Elle l’enfourche à quatre pattes, lui présentant sa figue violacée et la fleur de son anus à déguster, et plonge sa tête entre ses cuisses largement écartées pour lui pourlécher la chatte qui coule encore, ses gros seins aux aréoles marron pressés contre le nombril de la jeune jouisseuse qui lui explore le con et le cul d’une langue agile. Leurs deux corps forment un Ying et un Yang noir et blanc des plus excitants, d’où sortent des bruits de succion et de lèche qui me font saliver.

Laissés pour compte, nous sommes les trois mecs à bander à nouveau comme des boucs au dessus des deux femelles, astiquant nos trois massifs polars inutiles d’un poignet souple. Gilles choisit de s’aventurer sur le bout du plongeoir qui plie dangereusement vers l’eau, s’y assied à califourchon au niveau de la tête de Loana, et aide de la main sa grosse bite durcie à s’introduire dans le vagin humecté de salive de Cécile, léchée au passage par la langue gourmande de la suceuse éjectée du con qu’elle barattait. Balançant son bassin d’avant en arrière, le gars tringle à grands coups de reins, ressort sa queue pour l’enfourner dans la bouche de la négresse qui l’engloutit couilles comprises, puis continue en alternant ses visites en force de la bouche de l’une et la chatte de l’autre, toutes les deux en attente avide de ce piston insaisissable qui s’en échappe sans cesse pour y revenir encore. Il choisit finalement le vagin de Cécile pour y décharger son foutre en une série de spasmes qui la secouent furieusement.

Sans perdre des yeux cette scène qui me fait mal à la queue d’excitation, je viens m’agenouiller en tête de plongeoir entre les fesses de Loana accroupie, au dessus de la tête renversée de Cécile qui laisse glisser sa langue enveloppante le long de ma bite jusqu’aux couilles qu’elle happe de sa bouche goulue et baigne de salive. De mon gland hypersensible, j’entrouvre les lèvres de la figue boursouflée et gorgée de jus de la belle noire, et me fraie un chemin le long de ce sillon humide en remontant jusqu'à dégager le clitoris en érection et le branler délicatement avec mon bout suintant. Je sens que le fruit est mûr à point, et, écartelant ses cuisses de mes paumes, je lui enfonce mon madrier jusqu’au seuil de la matrice d’un coup de reins rageur. La négresse pousse un rugissement de plaisir à demi étouffé par la bite de Gilles qui lui obstrue la bouche, et contracte les muscles de son vagin qui enserre ma bite dure comme de l’acier. Cécile concentre maintenant ses efforts sur mes couilles en béton qu’elle aspire dans sa bouche et fait rouler sous sa langue et dont elle tire la peau ensalivée entre ses lèvres à presque les arracher. J’ai introduit l’index dans le cul de Loana tendu vers moi, et l’enfonce en vrille dans cet antre douillet. Je la ramone énergiquement du doigt et de la bite et elle m’encourage en remuant son bassin en cadence. Mais je ressors mon braquemart de sa chatte qui ruisselle de ciprine, j’en enduis copieusement son trou du cul, et guidant de la main mon engin en folie à ce gouffre béant je m’y enfonce d’une poussée insistante. Je reste un moment à coulisser dans ce fourreau qu’on dirait ajusté à ma grosse pine, avant de revenir investir pour un moment son vagin pantelant. Je continue mon manège jouissif, alternant le moelleux du vagin et le soyeux du cul, les couilles affolées par les succions de Cécile. Arrivé au summum de l’excitation, je n’en peux plus et je décharge ma purée en giclées frénétiques qui éclabousse le pubis et le dos de Loana, et dégouline sur la figure de Cécile qui s’en pourlèche.

Fatigué de se branler, Angel vient se glisser derrière moi, lui aussi à genoux, et colle sa poitrine duveteuse contre mon dos. Il presse son gros phallus entre mes fesses et je le sens qui palpite le long de ma raie écartée. Récoltant dans ses doigts mon foutre qui dégouline de la toison pubienne de Loana et de mon sexe luisant, il s’en enduit la bite et m’en lubrifie le trou de balle. Je réalise que je vais recevoir le baptême de mon cul, et ce n’est pas pour me déplaire. Ma queue retrouve le chemin du con de Loana, et je m’affale sur son dos, écartant à deux mains mes fesses relevées et offertes. Je sens le gland du jeune jardinier qui force l’entrée de mon derche, et s’enfonce millimètre par millimètre dans mon fondement distendu. J’ai l’impression que son gland est démesuré et que son poteau d’airain trop gros pour cet espace étroit va m’éclater le fion écartelé. Mais les parois de mon anus se détendent peu à peu pour s’ajuster à l’intrus et je commence à ressentir un plaisir douloureux aux mouvements de ce piston qui coulisse avec insistance jusqu'à presser à chaque va et viens son gland contre ma prostate. Ses couilles bien pendues battent contre les miennes que les lèvres de Cecile ont retrouvé et qu’elle lèche avec application par en dessous. Du coup, je me reprends une érection solide au fonds de la moule gluante de Loana. Je passe une main derrière la cuisse d’Angel, éprouve la fermeté de ses muscles fessiers, empoigne à pleine main son sac par l’arrière et lui malaxe méchamment les couilles, les ongles plantés dans sa chair. Je les sens gonfler en même temps que son dard se rigidifie encore dans mon anus qui manque exploser quand il découille en longues rasades et tapisse de sperme bouillant ma prostate stimulée à l’extrême. Son foutre refoule de mon cul obstrué par sa grosse bite et coule le long de mes balloches où il est léché bruyamment par Cécile. Le petit enculeur ne sait pas qu’il m’a défloré le cul, mais je le lui glisse à l’oreille.

Nos mouvements se ralentissent jusqu’à s’arrêter. Angel appuie son torse sur mon dos et nous restons un moment vautrés les uns sur les autres à revenir sur terre. Cécile, comprimée contre la planche par le poids de nos corps affalés est la première à réagir. D’un coup de hanches de côté, elle nous débarque du plongeoir et nous nous retrouvons au fonds de la piscine qui nous rafraichit et nous épure une nouvelle fois.

J’ai pris un pied géant et je crois que je ne suis pas le seul. Je suis sûr que nous allons passer le reste du week-end tous les cinq à jouir par tous les orifices dans toutes les configurations possibles, mais je te raconterai çà mon retour. D’ici là, imagine ce qui t’excitera le plus.


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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:04
salut à tous 

bi ou homo, voila la question ,je pense que je suis plutôt homo .
lisez se qui va suivre pour certain cela vous donnera la réponse a vos questions.
Voila ma première masturbation à l'age de 10 ans avec mon frère qui en avait 14 , il m'a montré comment on se branlé j'ai été dégouté surtout quand j'ai vu son sperme ça été horible,puis il y à remis ça et a force j'y ai pris gout et onse masturbé presque tous les jours moi j'avai pas encore de sperme ,puis à l'école avec des copains on fesait des concours de branlette, puis j'ai eu un copain et on sortai enssemble ,et il a voulu me sodomiser j'été d'accord cela ma fait trés mal je ne pouvai pas marcher pendant plusieurs minutes et on à remis ça une autre foi et pareil  ,puis je suis tombé amoureux d'1 fille j'avai 15 ans et un jour elle m'a présenté a un copain à elle ,alors le coup de foudre il était beau il avait mon age je me suis mis à trembler de plaisir ,puis les mois ont passés et un jour j'ai été dormir chez lui dans le même lit et on se fesai des chatouilles et en même temps on se toucher le sexe c'étai bon puis il s'est allongé surmoi et a fait des vat et vient et nous avons joui en même temps ,et en ce moment la j'étai apprenti patisier et avec mon patron nous parlions toujours de sexe un jour il m'a attrapé il a baissé mon chort et m'a masturbé jusqu'a ce que j'éjacule c'était tré bon puis en suite nous fesion l'amour prèsques tous les jours il me fesait des fellations et moi je le sodomisé je trouvé ça hyper bon,en même temps je sortai toujours avec ma copine sa soeur et mon copain avec qui je passé le + de nuits possible puis un  jour il m'a sodomisé il a pris son temps et j'étai tellement éxité que je n'ai pas eu mal et cela a été formidable .Puis à l'age de 18 ans j'ai eu m'a 1ere relation séxuelle avec ma copine et j'ai trouvé ça trés bon aussi donc pendant 3ans je fesais l'amour avec ma copine et avec mon copain j'étai amoureux des 2 mais ma copine bien sur n'était pas au courant ,à l'age de 21ans nous nous sommes marié mon copain et parti j'étai trés triste mais vite consolé car j'ai rencontré d'autres garçon(j'étai trés mignon)des garçons j'en avai temps que je voulai à30ans je coucher avec des garçons de 16à18ans et ma femme n'était toujours pas au courant nous avons eu 2 filles,puis les mois passent mais j'avai toujours peur quand même que ma femme s'en apperçoive,car en + mes copains venaient chez moi, puis en 1983 je me suis mis a mon compte patissier 
et je couchai avec mes apprentis puis je suis tombé amoureux d'1 on fesai l'amour dans mon lit pendant que ma femme servait au magasin (nous fesions la sieste),puis lui il ai tombé amoureux de ma fille et quand je les voyai ensemble j'était jaloux ,puis un jour je lui ai fait une scène de jalousie et il est parti chez lui et a dit à ses parents que je lui avait fait des propositions,mais il a pas dit que nous fesions l'amour depuis 2 ans,les parents on téléphoner a ma femme pour lui dire car moi j'avai dit que l'on c'était disputé mais j'ai pas dit pourquoi ,alors là scandale ma femme m'a dit que ses parents arrivaient ils vont te tuer ,alors là j'ai pris 1ou2 tubes de médicaments et je me suis retrouvé a l'hopital et en maison de repos puis je suis revenu chez moi il était toujours la ,nous avons eu 1 ou 2 rapport séxuel et il a dit a ma femme que je lui avai fait d'autre propositions mais il n'a jamais dit que l'on fesait l'amour pourtant il aimait ça lui aussi alors ma femme à fait un autre scandale et ma dit quelle demandait le divorce ,je suis monté a l'appartement et j'ai avalé 3 tubes de somnifères et d'antie dépresseur donc je tombé pratiquement dans le comas et il m'ont enmené a l'hopital ,lavage d'estomac et encore maison de repos et j'étai suivi par un psy depuis ma 1ere tentative (vous parlez souvent de psy faites attention car pour moi il ne m'a été d'aucun secour il vous écoute puis c'est tout il ne donne même pas de conseil)donc je suis revenu chez moi et il n'y avait plus personne ni ma femme ,ni mes filles ni mon mec ,je me suis retrouvé tout seul ,la nuit je fesai la patisserie et la journé je vendai au magasin ,et j'en ai eu vite assais travailler nuits et jours trops dur donc je me suis préparé un autre suicide j'ai doublé la dose  et je me suis mis sur mon lit et je me suis réveillé en soins intensif à l'hopital (les voisins ayant vu le magasin fermé avaient appelé les pompiers ,puis mon magasin et ma maison se sont vendu au tribunal,je me suis retrouvé tout seul et mon psy m'à envoyé en maison de repos pendant 1 mois ,je suis resté séparé avec ma femme pendant 1 an puis elle a voulu revenir avec moi car elle m'aimait quand même et moi aussi je l'aimai ,mes sexuellement je préféré les mecs .Maintenant j'ai 56 ans je suis toujours avec elle mais nous n'avons plus de rapports sexuels ,je lui dit que je ne peut plus faire l'amour que j'ai plus d'envies séxuelles,par contre avec les hommes ça marche tres bien et j'ai des rapports avec les hommes mais de préférence jeunes ,mais rien de suivi car je ne peu pas sortir comme je voudrai,voila en gros mon histoire ,alors évitez de faire comme moi des conseil je ne peu pas vous en donner,si non de bien réfléchir et de faire attention  salut a tous


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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:03

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Enfin les portes ouvrent et effectivement si le cinéma était spécial je pouvais déjà dire que la clientèle était spéciale. Des gens de tous les âges se tenaient en groupe : des groupes hommes, des groupes de femmes et des couples en groupe. Moi, j’avais hâte d’être assis et de pouvoir coller mon amoureuse et de découvrir certaines des parties de son corps sublime. Les lumières se tamisent et le film débute et ouff il s’agit d’un film porno. Après quelques minutes de projections on voit des mouvements dans la salle, des clients se déplacent ici et là dans la salle rejoignant d’autres personnes. Je n’y prêtais pas attention puisque j’échangeais de langoureux baisers avec mon amoureuse tout en caressant ses seins et j’avais poussé l’audace jusqu’à lui déboutonner son chemisier et à ma grande surprise elle n’avait pas résisté. Elle devenait de plus en plus entreprenant, ses mains me caressaient la queue par-dessus mes jeans et plus elle la sentait gonfler plus elle devenait animal. J’Étais surpris de ses agissements moi qui la pensait pudique et réservée je la voyais presque me violer et j’ai compris… Les gens étaient là pour le sexe non pour le film et ils se promenaient de place en place. Elle glisse ses mains sous mon chandail et en un tour de main je me retrouve le torse nu mais pas fou je lui ai réservé le même sort, laissant voir de magnifiques siens dont les mamelons durcissaient. Je voyais ici et la des couples échanger caresses intimes, baisers langoureux, des femmes entres elles se caressant et s’embrassant nues et des hommes se suçant entre eux avidement, je durcissais de plus en plus. Puis mon amoureuse je lève et se mets nu et me demande de faire pareil. Ouf, moi qui se disait ouvert d’esprit je l’ai fait avec plaisir laissant mon sexe pointé et ce qui a été comme un signal. Nous nous sommes retrouvés encerclés elle et moi. Elle me murmure à l’oreille que nous devons nous amuser devant les regards et qui sait, peut-être que plusieurs mains se poseront sur nous. Puis elle prend ma queue à pleines bouches et elle suce divinement ouffff les jambes me faiblissent. Elle vient me dire tendrement à l’oreille : « tu as déjà été sucé par des hommes?» Je réponds que non, elle me demande si j’aimerais essayer. Comme la vie est courte et que j’aime tout du sexe je n’hésite pas à lui dire que j’aimerais tout essayer avec elle. Elle me sourit et de la main elle invite des hommes à venir et elle leur dit il veut tout.
Oufffff trois hommes sont nus devant nous, un me glisse une belle queue dans la bouche, un second enfonce ma queue dans sa bouche gourmande et le dernier me demande de lui caresser la queue toute dure. J’aime le feeling que cela me donne de me faire initier devant les gens et devant mon amoureuse. Je la vois qui se caresse pendant que les hommes s’occupent de moi puis je vois deux femmes bien maquillées belles lèvres onctueuses s’approcher d’elle. Elles échangent entre elles tout en caressant a chatte et les mamelons de mon amoureuse. Une grande rousse approche ses lèvres onctueuses et crémeuses de celles de mon amoureuse pour lui offrir un divin baiser langoureux. La seconde une grande femme aux cheveux noir ébène glisse lentement sa main vair la chatte de mon amie pour la caresser intimement et lui faire couler son jus d’amour. Plus elle aime et plus elle gémit plus je bande dur dans la bouche du mec. Plus je suce plus je sens la queue grossir et qu’elle va éclater ouiiiiiiiiiiii hummmmm elle éclate. J’ai plein de sperme dans la bouche et j’adore le goût j’avale tout. Celui qui me suce, me demande de me mettre a 4 pattes pour qu’il m’encule devant les gens, j’adore la sentir entrer et aller au fond, un autre approche sa grosse queue de ma bouche et je lui demande pour la sucer. Hum belle grosse queue qui goute le jus d’amour de mon amoureuse car il l’a fourré devant moi, je le suce plus fort et je sens son jus doré coulé et il me tient la tête pour que je ne refuse pas de boire jusqu’au bout. On m’encule toujours et le mouvement devient de plus en plus vite et je sens la queue en moi qui va éclater et ouiiiiii le sperme éclate dans mon cul hummm c’est chaud et j’aime. Mon amoureuse a observé chaque personne qui était près de moi ou qui s’est amusé avec mon corps devant elle et elle a réalisé que j’adorais le sexe sans tabou ni limite. Elle a aussi remarqué que j’adorais la voir se faire baiser par les femmes, les hommes et par les couples qui se présentaient. Elle observait chacune de mes réactions et elle voyait l’effet que cela avait sur moi, ma queue ne mentait pas. Ce fut une soirée très très chaude et très occupé pour nous. À quelques reprises, mon amoureuse me demandait des petites choses pour voir comment je réagissais. Elle aimait elle aussi le gout du sperme et elle qui avait des hommes près d’elle, me disait viens le sucer et apporte moi son sperme chaud dans ta bouche et embrasse moi on le partagera.  Puis poussant l’audace plus loin pour voir quelles étaient mes limites, elle m’appelle près d’elle et me présente à son amie en me disant elle a le goût que tu la manges. Hum moi qui adore manger une chatte je lui dis qu’il n’y a pas de problème. Elle me sourit en disant qu’il y a un problème, son amie bien que très excitée est menstruée. Hum lui dis-je c’es intéressant alors elle me présente à son amie et elle lui ouvre les jambes pour que je la mange à fond devant elle et elle me tenait la tête pour que je prenne tout ce qui coule de la chatte de son amie hummmm. Mon amoureuse se crossait devant moi me regardant manger son amie et puis deux hommes se sont approchés près d’elle. Elle était excitée et très salope, ils lui ont fait l’amour devant nous m’excitant encore plus et elle devenait animal hummmmmmmmmm. Ils sont venus à tour de rôle dans sa chatte et elle m’a demandé de recueillir les spermes mélangés des deux hommes et de lui montrer mon appétit en avalant le mélange devant elle.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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