Mercredi 1 avril
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Fellation
je suis tres excité ce soir et j'ai envie de raconter aux internautes une histoire. j'etais avec mon copain en boite de nuit et j'avais vraiment envie de baiser une nana et j'etais tres
excité par ces nanas aux beaux cul et au seins magnifique. de tant en temps je mettais une mains aux culs. je n'avais rien gagne de la soiré et je decida avec mon pote de partir. une fois dans la
voiture j'ai ete direct avec mon copain et je lui ai demande si je pouvais le sucer et la j'etais tres excite. il commence donc a defaire sa braguette et moi je me jette avec une mains sur sa
braguette et je fourre ma mains directement dans le pantalon pour prendre sa bite. une fois sortie de son pantalon je me penche de suite et je commence avec ma bouche a le sucé et je vous avoue moi
quand je pompe c'est pas a moitie (j'adore sucer c'est une passion et je pourrai faire ca durant des heures). moi mon truc c'est le gland je le suce de partout et j'applique bien ma bouche bien
serré sur cette partie de chair qui m'excite un max et en meme temps en sucant j'avale un peu de ce qui s'echappe de sa bite). lui il etait au ange et gemissais et moi content de ma sucette a sucé
(un detail bien sur avec mon autre mains je carresse les couilles qui m'excite aussi on dirait des trucs en caoutchoux et ca prend bien la forme de la mains). de temps en temps j'arrete de pompé et
je plaque sa bite sur mon visage en me caressant le visage avec puis en voyant la forme du gland je repompe a nouveau. puis enfin j'accelere le sucage et je le branle en meme temps et j'accelere et
lui qui gemis de plus en plus et moi heureux comme un ange et lorsque je continue comme un malade de suce il decharge son sperme dans ma bouche et je me met a avaler aussitop sa semence que je
m'empresse d'avaler mais jamais tout bien au contraire j'aime en garder dans ma bouche pour le laisser coule et j'aime le gouter et introduire un doigts dans ma bouche qui a du sperme. un detail
sur le sperme ca m'excite a mort j'adore avale et j'adore finir une bite. biens sur apres je continu et je nettoie le gland du sperme qui reste et j'avale puis bien sur avec l'excitation je resuce
un peu. lui il etait heureux et moi je continu apres ma pipe de le branler et carreser sa bite. voila moi mon truc en tant que bisexuel avec les mec c'est de sucer et d'avaler le sperme des queues.
qui a dit que le sperme etait pas delicieux j'adore allez bye et j'espere que mon excitation de ce soir donc mon histoire vous auras plus.
Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
Mmm j’ai envie je mouille déjà …
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Par meet68
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Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Mercredi 1 avril
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22:43
Mon initiation
J'étais jeune quand j'ai commencé à aimer la lingerie féminine et à vouloir la porter. J'étais dans une famille de femmes, j'ai passé mon enfance à voir le linge étalé sur les séchoirs: des
vêtements, des draps, bien sûr, mais aussi et surtout des soutien-gorges, des culottes, des portes-jarretelles (on était encore dans les années Soixante...), des gaines, et encore...... J'étais
fasciné par cet univers féminin. Je crois que c'est vers 12 ou 13 ans que j'ai eu pour la première fois envie d'essayer la lingerie des mes soeurs ou de ma mère. Je ne me souviens plus exactement
de la première fois, mais je crois bien que c'était à la mer et c'était des maillots de bain, essayés en cachette, dans une cabine. Je me rappelle seulement le plaisir éprouvé, la douceur sur mon
corps. Le soutien-gorge était évidemment la pièce préférée, celle qui sanctionnait la féminité. Et je me rappelle aussi qu'une de mes premières envies a été celle de me faire voir par un copain.
Drôle de chose, puisque je ne suis pas exhibitionniste et ne me suis jamais montré en public habillé en femme. Mais j'avais envie de cela. J'ai alors choisi un copain. Je le trouvais le plus
mignon. Je n'avais pas très bien conscience de ce que ça pouvait être la sexualité, mais je le trouvais vraiment mignon et tout aussi naturellement c'est à lui que j'ai fait ma proposition. Je l'ai
appelé, l'ai convaincu à laisser un moment les copains, je l'ai emmené à la cabine: "Qu'est-ce que tu veux?", dit-il un rien agaçé. "Tu devrais voir comme je suis bien avec ce maillot", lui dis-je
en lui montrant un bikini qui devait appartenir à une amie de mes soeurs. Pas de chance: "C'est pour ça que tu m'a appelé? Je m'en fiche", a été sa réponse. J'ai été honteux et déçu. Cela a servi
au moins à me mettre sur mon chemin. Oublié le copain, je savais quand même une chose: j'aimais porter la lingerie féminine. C'était déjà quelque chose. J'ai commencé à l'essayer très souvent, à la
maison, en cachette, le plus souvent enfermé dans la salle de bain. On arrive à mes 14 ans. Il fallait quand même aller au délà de quelques essayages. Au collège, j'étais dans une classe de
garçons. Beaucoup devaient être assez précoces ou au moins très "travaillés" par leur sexualité naissante. Souvent, certains d'entre eux caressaient les fesses des copains et il fallait se
rebiffer: évidemment, les vrais mecs ne se laissaient pas caresser les fesses, sinon on passait par pédé. Les premières fois, je ne me suis pas laissé faire. Un jour, par contre, le garçon qui
était assis à coté de moi a commencé à me caresser les fesses: cela me plaisait beaucoup et je l'ai laissé faire. Cela s'est su tout de suite, puisque j'ai entendu quelqu'un dire: "Ce pédé (donc
moi) se laissait peloter les fesses et ça lui plaisait". Bref, une trentaine de garçon connaisaient mon inclination. Parmi eux, il y avait A. On habitait à vingt mètres de distance et on étudiait
souvent ensemble, soit chez moi, où il y avait souvent quelqu'un, soit chez lui, où il n'y avait personne jusqu'à sept heures du soir. A. devait bien savoir, comme les autres, que j'avais accepté
de me faire caresser les fesses, donc il n'a pas hésité à me mettre les mains sur le derrière quand on était ensemble, seuls, pour "étudier". Les premières fois, là encore, je me suis rebiffé, un
peu pour la crainte de tout adolescent au passage difficile vers une sexualité accomplie et un peu pour une sorte de réticence toute féminine (le "bon sens commun" dit que les femmes, la première
fois, se refusent toujours...). Mon refus n'a pas tenu longtemps. Après quelques jours (on allait vers le printemps), A. avait pleinement le droit de me caresser les fesses et il ne s'en privait
pas. Il essayait même de me forcer à lui caresser son sexe, probablement dressé sous son pantalon. Là aussi, j'ai commencé par refuser. Il fallait avancer par petits pas. A. semblait finalement
d'accord, même si tout cela arrivait sans qu'on échange un mot ou presque: pour lui aussi, plus jeune de quelques mois, il s'agissait d'une découverte absolue. Mais nous étions en chemin, le but,
même si nous n'en étions pas tout à fait conscients, était fixé. Il fallait, tout de même, encore une étape intermédiaire: A. ne se contentait plus de me caresser les fesses, mais il se mettait
derrière moi pour frotter son sexe dressé contre mon derrière. On gardait nos pantalons, mais malgré cela j'étais mouillé et lui aussi, je crois. On approchait du dénouement. Un jour, nous étions
chez moi, dans ma petite chambre. Nous avions recommencé nos attouchements. A un certain moment, j'étais couché à plat ventre sur mon lit, A. était sur moi, frottait son sexe contre mes fesses.
Jusqu'alors, A. avait toujours pris l'initiative, cette fois-là ce fut moi. J'étais prêt, évidemment, même si je n'en étais pas totalement conscient. Tandis qu'il se frottait contre moi, je lui
dis: "Relève-toi un instant". Je me rappelle que je me suis retourné vers lui, qui s'était mis debout, et j'ai le vague souvenir d'une expression de surprise sur son visage. J'ai degrafé mon
pantalon, je l'ai baissé, je me suis recouché à plat ventre. Derrière moi, je l'ai entendu, encore debout, dégrafer son pantalon. Il a sorti son sexe, il a baissé mon slip, il s'est couché sur moi
et m'a pénétré. Je me rappelle une merveilleuse sensation. J'ai joui presque tout de suite. Il m'a fait l'amour, il a joui en moi. On était devenus des vrais amants. Les jours suivants, il y a eu à
nouveau des tiraillements. A. voulait que je prenne son sexe dans ma bouche, mais je n'étais pas d'accord ou, plutôt, je n'étais pas prêt. Cela a duré seulement quelques jours, puis toute réticence
de ma part a disparu: une après-midi, je me suis agenouillé près de lui, j'ai degrafé son pantalon, j'ai sorti son sexe. Je l'ai sucé. Il a joui dans ma bouche. Son sperme était un peu acide, je
l'ai bu quand même. Finalement, le rapport était complet. Il était l'homme actif, j'étais le passif. Chacun était donc dans son rôle. Il ne me restait plus qu'une chose à accomplir: réunir ma
passion pour la lingerie féminine à notre relation sexuelle. Ce fut assez facile, puisque bientôt je pris l'habitude, quand j'allais chez lui, de mettre sous mes vêtements de garçon la lingerie
"empruntée" à ma mère et mes soeurs. Je ne sais pas s'il appréciait. Il ne disait rien. Seulement quand j'avais des choses moins courantes, comme un porte-jarretelles, il le remarquait avec un
simple: "Oh, ma chérie". Rien de plus. Parfois, il avait du mal à dégrafer mes affaires. Je me rappelle une fois, quand je portais une gaine noire de ma mère avec des bas: j'ai du l'aider, dégrafer
les jarretelles pour qu'il puisse me prendre. Tout cela était très beau. A. a été mon amant (mon seul amant!) pendant six ans. J'étais heureux avec lui. Je me sentais très femme avec la lingerie,
même si je ne me suis jamais habillé complètement en femme avec lui (et très rarement avec d'autres). Quand il avait une copine, il me délaissait un peu, mais il revenait toujours. Notre rapport
est terminé quand il a rencontré la fille destinée à devenir sa femme. Je n'ai pas vu A. depuis plusieurs années. Je ne sais plus rien de lui. Je crois que si un jour je pouvais le rencontrer, je
ne me refuserais pas à lui. Mais ce serait à lui de me faire la cour, comme autrefois. De toute manière, je ne l'ai jamais cherché et je garde de lui un très très bon souvenir: il a été mon premier
amant, il a pris ma virginité, il m'a mis sur le chemin, celui d'une homosexualité passive. Ce n'est pas rien. Loulou Celle-ci est l'histoire de mon initiation.
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Mercredi 1 avril
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/Avr
22:41
Bisexuel
Je fais partie d'un club de gymnastique depuis 6 mois (pour garder la forme ).Un jour lorsque un des deux moniteurs de gym nous demandait de monter à la corde , je ne sais ce qu'il m'arriva ,
je me mis à bander ,discrètement je me dirigeais vers les toilettes et cela passa.A la fin de la leçon nous allions tous au vestiaire ,un deux moniteurs me dit ,Michel , pourrais-je te parler un
instant ? Une demi heure plus tard je me retrouvais dans la salle de sport et il me demandais de me remettre en tenue de sport ,c'est à dire en short et rien d'autre et il me dit de monter à la
corde , je ne sais pourquoi je me senti rougir mais obtempérais et bien sûr je me remis à bander une fois descendu le prof me demanda ce qu'il m'arrivait , je ne savais que répondre et doucement il
mit sa main à l'endroit gonflé , je ne savais ce qu'il se passait mais qui ne dit mot accepte et il glissa la main dans mon short et commença à me carresser baissa mon slip et se mit à me masturber
avec douceur,j'étais exité comme je ne l'avais jamais été , un moment il me pris la queue dans la bouche et me suça c'était merveilleux ,prèt à jouir j'entendis une voix qui dit , alors je vois que
l'on ne s'ennuie pas là ,c'était le collègue du moniteur de gym qui arrivait ,je me sentis gèné et mon compagnon me rassura et me dit , ne t'en fais pas c'est mon copain. Le copain en question
s'approcha et se mit à carresser mon derrière et pendant que l'on me suçait ,doucement un doigt pénétrait mon petit cul.J'était exité comme je ne l'avais jamais été.Le deuxième prof me dit ,alors
tu as l'air d'aimer cela , hein ?c'est bon ? Et comme je disais oui c'est vraiment bon ,il prit un tube de vaseline qu'il avait avec et se mit à me lubrifier le derrière.Après un moment je ne sais
ce qu'il m'arriva mais mes jambes furent écartées et je me senti pénétrer dans le derrière ,pendant que j'étais sucé ,on me baisait et je me mis à jouir à tel point qu'une main fut mise sur ma
bouche et je déchargeais dans la bouche de mon suceur ,suite à cela je fus pris par l'homme qui m'avait fait jouir et de nouveau branlé par mon premier baiseur qui me dit tu as vraiment une belle
queue et je rejouis encore plus fort et senti celui qui m'enculait juter dans mon derrière ,c'était extraordinaire,je n'en pouvais plus. Les deux hommes me demandaient si j'avais eu bon ,je
répondais oui bien sûr. Suite à cette aventure ,nous nous revoyons régulièrement chez eux et passons des moments super à présent je suis leur objet sexuel.
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