Mercredi 1 avril
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Révélation
Jusqu'à ce jour je n'avais jamais voulu admettre mon attirance pour les hommes. Et malgré mes expériences de jeunesse je refoulais au fond de moi mes pulsions. Christian et Laure étaient des
anis depuis pas mal de temps et jamais je n'aurais imaginer que cette soirée la serrait une révélation pour moi. Je connaissais Laure depuis mon adolescence, je l'avais connu au lycée et nous
étions même sortis ensemble. Elle avait épousé Christian deux ans auparavant et tout allait bien dans leur couple. De temps en temps ils m'invitaient à dîner et passer la soirée avec eux. Ce soir
la comme d'habitude Laure nous avaient cuisiner un succulent repas et nous l'avions copieusement arroser. Installer sur leur canapé nous étions en train de boire le digestif quand Laure sortit d'on
ne sait ou un pétard. Rapidement il circulât entre nous chauffant l'atmosphère un peu plus. Laure qui avait bu autant que nous était collée à Christian, elle avait remonté sa jambe sur celle de son
mari et se frottait à lui d'une façon langoureuse. Sans doute l'alcool plus le pétard l'avait complètement libéré. Je tirais sur le pétard un peut parti les regardant avec envie. Rapidement ils en
étaient venus à s'embrasser en se caressant. La tournure que prenait la soirée m'excitait terriblement. Christian dénudait Laure petit à petit, et celle ci se laissait faire sans protester. Une
fois nue tous les deux à l'autre bout du canapé ils entreprirent de faire l'amour. Moi de mon coté j'avais sortis ma queue et me branlais doucement en le regardant avec envie. Laure était montée
sur son mari, et elle le chevauchait lascivement. Ils me regardaient en souriant. J'étais fasciné par la queue de Christian, fine mais longue. Elle avait l'air d'être très dure et je la voyais
engloutit complètement dans la chatte de Laure. Par moment sa bitte sortait complètement et je pouvais voir son beau gland violacé, il avait vraiment une très belle queue, presque aussi belle que
le cul parfait de Laure. A un moment donner Christian me fit un petit signe de la tête comme pour m'inviter. Je me levais et allais me placer derrière eux. Je me déshabillais, puis me baissais à
hauteur du cul de Laure. Je commençais par embrasser ses fesses, puis enhardis, je léchais son anus. Je sentais la bitte de Christian qui allait et venait dans le sexe de sa femme. Moi je
continuais de me branler tout en léchant Laure. Celle ci remontât son cul un peut plus haut que nécessaire et la bitte de Christian se retrouva juste devant ma bouche, j'eus une petite seconde
d'hésitation mais vraisemblablement j'avais déjà pris ma décision et embouchais la bitte qui se dressait devant moi. Le goût me plu aussitôt ce mélange de mouille et de bitte était incomparable. Je
le suçais sans savoir si je m'y prenais bien et je lui malaxais les couilles en même temps. Laure s'était écartée de nous et nous regardait un sourire aux lèvres. Elle se caressait le sexe faisant
disparaître ses doigts dans son trou luisant de mouille. Voilà ce fut ma première pipe. Nous finîmes la nuit dans leur lit alternant les poses et les partenaires. Par la suite je les revis
régulièrement et j'acquit avec eux mes premières arme de bisexuel. J'apprit a sodomiser un homme, a me faire sodomiser moi-même et ce que j'apprécie le plus a faire la tranche de jambon dans le
casse-croûte
Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Mercredi 1 avril
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22:38
Ma découverte
J'étais non-bi, mais ce 3ème jour de solitude (vacances de ma femme et ma fille), je me retrouvais avec un couple d'ami pour amener Monsieur prendre l'avion selon sa demande et sa femme, qui
ne partait pas, mai l'accompagnais, avant l'heure, il me dit "comme tu es seul, soit très gentil avec Dora, je souhaite la retrouver rayonnante de plaisir a mon retour demain, fait tout pour
qu'elle soit heureuse, tu as carte blanche, mais surtout fait ce qu'elle désire", puis elle me demanda de partir parce qu'elle n'aime pas les au revoir, et nous somme spartit. A peine arriver au
oparking, elle posa ses mains sur mes joues et m'attira pour me donner un baiser très chaud, et me dit "j'espère que tu acceptera de faire ce que je veut", cela faisait longtemps que je désirais
cette femme de 44 ans, mais par respect pour mon ami, j'avais toujours tu mes désires pour cette femme de 175cm pour un poids de 62 kg, des mensurations de rêve 89/68/90, toujours bien habillée en
tailleurs et coiffée comme si elle allait tous les jours chez le coiffeur, des cheveux noir mi-long, c'était une pure beauté, et je lui est dit que je ferais absolument tout ce qu'elle souhaitais.
A l'instant ou nous étions dans la voiture, elle me dit "j'espère que tu te laissera mettre mes dessous sexy, je veut te travestir et te faire l'Amour à ma façon", je l'ai regardée en lui disant
tout ce que tu voudra puisque je suis seul pendant encore 2 semaines, je passe la nuit avec toi si tu le désires, car tes désires seront des ordres pour moi, et nous sommes partit pour aller chez
elle, mais elle me demanda de m'arreter en chemin pour boire un verre afin de fêter la nuit que nous allions passer, et ne me fit pas prier, j'était fier d'être avec une femme de cette beauté.
Après avoir pris ce verre, nous sommes repartit pour son appartement. Et pendant le chemin, elle me demanda d'extériorisé le plaisir, même si je ne ressentait rien, elle voulait un homme a sa merci
pour en faire tout ce qu'elle voulait, mais que pour qu'elle prenne son plaisir je devais faire comme si j'aimais tout ce qu'elle me ferait et même d'en rajouter, faire comme si j'en voulait plus.
Dès que nous étions dans l'appartement, elle me fit mettre au milieu du salon et commença à me mettre à poils, et je me trémoussait pour montrer que j'aimais, elle disait de petite phrase comme "ça
te plait d'obéir" ou "tu aime te soumettre, chienne", et doucement je me vit me transformer, une guépière, des bas, une tenue de soubrette très courte, une perruque, un maquillage léger et des
escarpins (un peu trop petit) et chaque fois qu'elle me mettait une pièce des ces vêtement, je me trémoussait en disant des "oh oui, fait de moi une chienne", "j'en rêvait d'être travestit",
"encore plus sexy, comme une pute", puis arriva le moment ou elle m'attacha en travers de la table du salon, fesses offertes en me disant "je vais te préparer, pour que je puisse t'enfoncer un gode
dans ton cul, et en abuser un max", et je faisait comme elle me l'avait demandé, je disait en accentuant "Oh oui, n'esite pas je suis une chienne a ton service, j'adore qu'ont m'enfile un gode,
mais avec douceur", et elle commença après quelques préliminaires à me masser l'anus avec un ge l puis à m'introduire un petit vibro (diametre de 3cm), après une bonne dizaine de minutes de ce
traitement, elle m'annonça que le sérieux arrivait, et elle retira ce petit vibro, ajusta un gode ceinture de bonne taille et après avoir remis du gel sur mon anus et sur le gode commença à pousser
pour s'enfoncer dans mon cul, elle le faisait avec tellement de lenteur et de douceur, que je commeçais à éprouver un plaisir intense, et depuis ce moment je ne simulait plus le plaisir et en
redemandais, même d'accélérer le mouvement, et j'ai pris mon pieds, un plaisir tellement intense que je le lui est dit, et la suppliais de recommencer un peu plus tard, elle me laissait attaché en
travers de la table et ouvit la porte de la chambre, son mari n'était pas partit, ce n'était qu'une mise en scène pour m'attirer, car ils m'avouèrent que ça faisait longtemps qu'ils avait une vue
sur moi, car ils était certain que j'accepterais ce stratagème, car je suis trop gentil comme ils disent, et qu'ils souhaitaient m'ammener à être bi en acceptant de me faire sodomiser par Dora, et
que je devrais aussi le sucer, qu'ils me libereraient seulement après avoir fait une bonne fellation au mari. Je ne rechinais pas et lorsqu'il me présenta sa queue, j'ouvrit la bouche, mais comme
c'était ma première fellation, il eut mal et me donna des conseil que je mis en pratique et très rapidement, il dit que je suçais bien, pendant que je mettais en pratique ses conseils en le suçant,
Dora m'avait réintroduit un gode dans mon cul, je ne savais plus ou j'était, tellement je prenais du plaisir et lorsqu'il se présenta contre ma rondelle, je poussa un cri de plaisir "OUIII,OUIII,
vas-y, mais comme ta femme, doucement", et pendant qu'il s'introduisait lentement, Dora m'offrait sa chatte à lècher, ce fut un moment inoubliable et un plaisir comme jamais je n'avais ressentit,
ont se revoit souvent, et même il y a plus, mais c'est une autre histoire. Je ne peut plus me passer de ma bi-sexualité, il me faut au moins un homme et une femme pour que je prenne mon plaisir
maintenant, j'ai du plaisir avecune femme, mais bien 40% moins intense que dans une relation bi. La prochaine fois vous saurez le plus qu'il y a eu.
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Mercredi 1 avril
3
01
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22:36
Parc Sexy pour bi-lesbien
Ce samedi là au lieu d'aller faire les courses, céline et moi sommes partis faire du VTT au parc près de Mougins. Se connaissant que depuis 3 mois, nous n'avions pas fait l'amour tous les 2.
Sachant qu'il est mal fréquenté à certains endroits, nous les évitons. Après quelques Kilometres, une pause s'imposa. De là, partir quelques calins sympas. Quelques minutes après, Cécé voit 2
belles jeunes femmes et je m'apperçus que je les connaissais : vero et annie, elles font partis d'un groupe de lesbiennes que je fréquente car je suis très féminin en l'ame mais non gay, ni
travelo. Petite parlote, puis, se rappelant ma féminite, elles commençèrent avec des sous-entendus a orienter la conversation sur les femmes et les dessous, les femmes et les vetements sexy. Je me
mis aussi a parler de cela puisque j'en porte assez souvent. Celine s'appercut tres vite qu'elle etaient lesbiennes. Etonnees mais ravi, les trois filles continuerent a discuter shopping, surtout
dessous et je me sentis mal quand Vero me demanda d'enlever mon survet. je me mis donc à m'éffeuillé mes vétements. Mon survetement enleve, je me retrouvait en culotte, top, ...-.., Surprise,
celine ne broncha pas, pire elle en etait entousiasmee : "une taille de plus que moi, mais on pourra se preter nos fringue, sauf les ...-.., tu est plus grand.". Véro tanta alors une approche
sensuelle sur celine qui ne s'en offusca pas : un petit regard et celine pencha sa tete sur le cote pour recevoir les levres de vero. Ses mains se mirent a descendre sur la poitrine comme sur
elle-meme. Amoureusement, elles se plongeait dans un mimetisme complet.Les mordillement simultanes les mettaient dans etat de febrilite second. Puis, assises toute les deux, elles descendirent sur
leur ventre en l'embrassant et le lechant. Leur mains descendirent en meme temps prouvant leur enive mutuelle de se carresser. Leur doit titillant en cercle la jointure de leur levres, leur langue
lechait leur rose, tabtot la penetrant, tantot la cajolant par une sucvion complete du clitoris. Vero s'arreta c alinement et se tourna vers moi : " a toi, ma puce" .elles s'attaquerent alors
toutes les trois a moi. Me laissant faire, celine participa aussi. Ayant deja fait l'amour avec vero avant que les femmes l'atire, elle savait ce qu'il fallait faire pour me satisfaire; et moi
aussi. Donc, en dessous toutes les quatres, je commençais à carésser le corps de ces 3 femmes. Me lechant les fesses, Véro m'excita en carressant ma vulve. Le sol jonche de feuilles et de terre,
j'eu l'idée mettre nos serviettes par-terre et toutes quatre entamerrent une après midi saphique car meme avec une pénétration, les touches, les carresses et sentiments etaient totalement feminin.
Annie, la copine de véro ayant toujours un gode sur elle le sorti de son sac à main et l'utilisa. Chaque centimetre carré de nos corps etait carréssé par nos mains, nos levres, nos doigts et cet
objet. La première fut cécé par véro. Pendant qu'elle titillait son clitoris, ma langue lappait avec bonheur le sien tandis que annie me carressant les seins entammait une fellation douce et
longue. Après avoir dilaté la rose de cécé avec délicatesse de ces mains expertes,Véro se mit alors à enfoncé délicatement le gode (le simple, le doré) dans l'antre de cécé, tout en lui embrassant
la bouche et les seins. Nous nous mîmes alors a faire un cercle en se lechant nos vulves et annie s'emapalant sur moi. D'un mouvement doux et délicat, je metonnais de la voir se rejouir de cet
acte. Ces mamelons pointu comme des pics. Nos doigts se jouaient de toutes nos zones hérogenes, tantot les seins, la vulves, l'anus, le visage,... .Au fur et à mesure des carresses, nos halements
se faisaient plus heureux. Les frissonements de bonheur apparraissaient sur le corps de chacune. Tandis que la ciprine de véro commençait à couler sur mes levres, Annie s'extirpa de mon pieu, pris
mon sexe entre ces mains et mon liquide éjacula dans sa bouche qui, n'aimant pas les hommes sexuellement parlant, m'avoua que j'etait le seul homme avec qui elle avait et ferait l'amour, juste
sexe. Vero acquiessa e t celine aussi. Rejouis par cet aveux, nous repartimes de plus belles en utilisant le gode et la selle qui, humidifie par la ciprine de vero se trouva fort glissante. Tous
nos orifices étaient ouverts acceptant de recevoir, tantot le gode tantot le debut de la selle qui nous servait aussi aux carresses anales. Nos mains jouaient avec les clitoris ou ma vulve. Aucune
n'utilisa le gode pour moi. Pour preparer l'entree du vibro, chacune titillait le clitoris de l'autre, puis penetrait un doigt, puis deux, puis trois jusqu'a ce que le premier jet arrive. Puis,
alors, on enfonçait doucement le gode avec un doigt en parrallele. Pendant que l'une s'en occupait, une autre de nous carressait ou les levres ou l'anus avec les doigt ou la selle humide. Les
jambes ecartees, je me faisait mordre les seins et je lechait la vule de vero qui elle s'occupait de celine avec le gode qui léchait elle-meme annie en lui doigtant l'anus. Ces jeux durerent plus
de 2 heures. Nous nous entendions à merveille. Celine, emerveillee par ce qu'elle venait de faire, de connaitre et de voir, me confia que c'est ce dont elle revait : un amour avec un
prince-princesse. Le moment de se revetir arriva avec toujours des carresses. Notre probleme etait que la plupart de nos vetements avaient ete souille par nos ebats. Ni une, ni deux, les affaires
neuves de vero nous servir et je finis la promenade en marchant et en évitant le monde car j'étais vétu d'un pantacourt de sport et d'une brassiere, Boxer et soutif, car depuis mon adolescence,
suite à un accident et de ce fait un traitement hormonal, j'ai des seins (95A presque B) et les fesses plus arrondi. Nos amis nous accompagnerent, la soirée se passa comme l'apres-midi avec plus de
gadget et elles me considerent comme des leurs. Jamais je n'avait fait l'amour d'une maniere saphique et je peux vous affirmer les mecs que vous avez vraiment beaucoup a apprendre. Depuis, nous
participons a des copinages de lesbiennes qui, sachant que cette experience est et sera la seule pour nous 2, nous acceptent et surtout m'accepte. Seule condition mais je vis depuis avec celine de
cette maniere : dessous feminin, (je deteste les dessous petits-bateaux ou de cochone), jupe ou jupes-culottes et rasee. Parfois meme nous sortons au Claridge, a cannes, ou personne ne nous ennui
parmi les lesbiennes et homos car nous sommes proteges par vero et ces copines qui ont averti que nous ne sommes pas de leur bord. Mais il est vrai que tout le monde se casse les dents en nous
voyant arriver : des amis nous ont pris en photo et ne m'ont jamais reconnut. Homme je suis, homme je reste mais feminin d'esprit je suis et porter des dessous ou vetement feminin ne me derange pas
car ce n'est pas pour provoquer : je suis bien et celine et moi vivons comme cela
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