Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:45

Retour de bâtons de ski


C'est à 16 ans que j'ai eu la "révélation" d'un plaisir que je juge encore peu ordinaire mais dont je m'accommode bien.

Le point de départ: Il faisait froid dans les Vosges et c'était bientôt Noël. Je remontais le petit Artimont avec la perche entre les jambes en regardant les autres descendre la piste sur ma droite et sur ma gauche, un autre télésiège remontait à plus vive allure. Je hélais mon pote Frédéric qui surfait sur une poudreuse de rêve: "Attends-moi en bas, on va se faire le mur du chevreuil." Je n'avais jamais pu me mettre au surf... j'avais essayé mais j'étais trop souvent tombé pour continuer de revenir couvert de bleus qui m'empêchait de profiter pleinement de mes séjours au ski.

Cela avait l'air facile en le voyant... Le télésiège s'arrêta, sans doute quelqu'un derrière avait lâché la perche ou avait du mal à la prendre. D'autres surfeurs, d'autres skieurs descendaient et j'admirais leur style. J'étais sensible à la silhouette des skieurs cambrés et généralement dans des tenues plus près du corps que les surfeurs. Ma combinaison noire avec le haut beige était quant à elle devenue un peu juste, je m'en étais aperçu en l'enfilant le matin même. Ma mère m'avait dit que si elle ne m'allait plus, je pouvais en acheter une en station. Celle de mon cousin Julien était super. Elle mettait en évidence sa force athlétique et sa silhouette pourtant fine. Lui vivait dans les Vosges depuis le divorce de ses parents il y a dix ans et faisait de la compétition à haut niveau. D'ailleurs, on ne pouvait pas le suivre et il préférait partir seul et nous conter ses exploits le soir quand nous étions en train de manger auprès du feu. C'était le moment que je préférais, on se refaisait les pistes et leurs difficultés, les chutes et on envisageait le programme de la journée d'après. Ce soir, ma tante nous préparerait une fondue au munster pour nous remettre de notre première journée de ski de la saison...

J'en salivais d'avance mais ce télésiège ne redémarrait pas. Frédéric devait m'attendre, des skieurs l'abandonnaient pour rejoindre la piste la plus proche car cela s'éternisait trop à leur goût. Au mien aussi mais je ne pouvais faire de même sans avoir l'air con car j'étais entre les sapins et sur une partie très incliné. Si je quittais la perche, je dévalais la pente sur le dos. L'ennui est que j'avais une envie de pisser qui ne me quittait pas. Je m'étais juré de me soulager en haut dans le sous bois mais là, ça devenais urgent... il fallait prendre une décision rapidement... Le télésiège la prit pour moi car en redémarrant, je fus désarçonné et je glissai sur 30 mètres. Ça faisait bien cinq ans que je ne m'étais pas "crouter" d'un tire fesses et ça faisait bien autant que je n'avais pas mouillé ma combinaison de ski de l'intérieur. La honte et la panique...

En chutant, mon sphincter avait cédé et je me relevais plein d'un liquide chaud au niveau du bas-ventre qui me descendait entre les jambes lorsque je me remis debout. Je ne pouvais continuer comme ça, je sais ce que ça allait faire ensuite. Quelques années en arrière, il m'arrivait souvent lorsqu'il faisait froid de ne pas pouvoir me retenir (je cherchais toujours un coin où on ne voit pas mon "petit oiseau"), attendait d'être dans une auberge et le temps de déchausser les skis et de me diriger vers les WC dans une démarche très empruntée au cause des chaussures de ski et chaloupée de cette envie urgente, je me mouillais les mains et toute la combinaison au mieux quand le coup n'était pas déjà parti à l'entrée même dans la salle de restaurant. Il m'était même arrivé une fois de faire caca dans ma combinaison à huit ans et j'en entendais parler encore. Là j'en avais le double, mon bas-ventre était inondé, le caleçon etait saturé vraisemblablement et si je continuais à skier en disant rien, ça ne me tiendrait pas chaud longtemps, le pipi gèlerait rapidement et surtout lorsque je retirais la combinaison le soir... et si mon cousin repérait l'odeur ou la couleur de mon caleçon d'hiver et il ne manquerait pas de recommencer ces railleries... Que faire? Je descendais machinalement vers le bout de piste au pied du télésiège que je venais de quitter.

Frédéric m'attendait, prêt à reprendre le télésiège. Je lui expliquais que j'avais dû lâcher le télésiège juste avant qu'il ne reparte et couper à travers les sapins, ce qui expliquait la neige sur mes vétements et que ça m'avait rendu "vénér", que j'en avais assez pour un premier jour de ski et je voulais rentrer. Il me demanda une dernière descente car il n'étais que 16h et les pistes ferme à 17... et j'accédais a sa requête. Sur le télésiége, il me parlait de ce qui avait provoqué la panne. Un monsieur qui voulait faire prendre le téléski à sa femme pour la première fois et qui l'avait suivi et celle-ci avait lâché au bout de 20 mètres en provoquant sa chute... classique. Moi j'avais mon slip qui me collait et commençait à refroidir, pour le reste la combinaison jouait son rôle et absorbait ce qu'il fallait. Frédéric me proposa de passer au magasin de location pour acheter un masque car il neigeait à petits flocons et ça le gênait et pour faire régler ses fixations. Je lui dis OK puis il ajouta: "D'ailleurs, on pourrait en profiter pour acheter la combinaison que tu voulais acheter?"

Désastre! En haut du télésiége, un deuxième pipi que je ne pouvais arrêter profitait du confort du premier... Je lui dis, plein de cette nouvelle émotion, que ce n'était pas le moment: j'avais pas pris d'argent pour ça. Ce qui me sauva d'une déconvenue... On descendait donc la dernière piste de la journée et le mur du chevreuil me parut un enfer.

Dans la boutique, on matait les combinaisons... En rigolant, Frédéric me dit: "Regarde, le mec qui essaye la jaune la bas, ça lui fait un gros cul, on dirait un bibendum tellement c'est rembourré de partout!" Et la couleur renforce l'effet grossissant dont il n'avait pas besoin. Les achats faits, nous revenions à pieds au chalet de ma tante en laissant les affaires, skis et chaussures de ski, dans le casier loué. En relaçant mes baskets, je sentais le pipi.

Ma tante avait été d'accord pour que je vienne avec mon pote à condition qu'on partage la même chambre car Julien, mon cousin de cinq ans de plus que moi, avait maintenant sa chambre personnelle où il recevait quelquefois sa petite amie et n'acceptait plus de dormir sur le canapé. Du reste, ils en avaient changé et celui-ci n'était plus convertible. Ça ne me dérangeait pas a priori même si je savais que Frédéric pouvait ronfler aussi fort que mon père. Dans le train qui nous avait amené, j'avais déjà eu une démonstration et ça s'était confirmé la première nuit. Je lui avais dit et il m'a expliqué qu'il fallait le retourner sur le ventre car il avait un rhume qui l'obligeait de respirer par la bouche. Là le problème était tout autre, j'avais pissé dans ma combinaison et je ne voulais pas que personne ne le voit, je devais laver ma combinaison et la faire sécher sur le radiateur.

Frédéric prit d'assaut la salle de bain attenante à la chambre pour prendre une longue douche pendant que moi, je me dévêtis prudemment. Ma tante me demanda du bas des escaliers si la combinaison m'allait toujours car ma mère l'avait appelé pour qu'elle aille m'aider à en acheter une "pas trop chère et pas trop voyante", ce qu'elle craignait. Je lui répondis à travers la porte que j'en achèterais une demain après la journée de ski. La combinaison sur le sol sentait la journée d'effort et rien de plus à mon goût. Je la mettais à sécher sur une chaise près du radiateur et Frédéric sortit de la salle de bain en slip blanc et torse nu. Comme je l'avais pensé, il s'était branlé sous la douche et me péta son score: 2 minutes 24, ce qui n'avait aucun sens, ça faisait 20 minutes qu'il était dans la salle de bain et on n'avait pas donné le top départ de ce concours de branlette auquel on s'adonnait à la piscine habituellement dans notre cabine respective. Je lui dis que je n'avais pas le coeur à ça en passant devant lui pour prendre sa place. Il me dit alors: "Au moins, lave-toi bien car tu sens fort, mon salaud. Je t'attends en bas, j'ai promis à ta tante lui installer sa webcam sur son ordinateur." Mes sous-vêtements me trahissaient mais ils étaient noirs, donc sans marques visibles... Il n'y fit pas attention. Quinze minutes plus tard, me croyant seul, je rentrais dans la chambre tout propre et nu comme un ver.

Frédéric m'attendait, assis sur le lit. "Alors, tu as fait combien?" Décontenancé, je me mis à rougir et lui répondis que je n'avais pas joué. Il comprit "joui", ce qui revenait au même sauf que je n'avais pas essayé. "Ah, monsieur peine à jouir..." et il fit signe de me taper sur le zob, ce qui me fis lâcher mes sous-vêtements sur le plancher. Ils étaient humides et je les avais lavés. "Pourquoi c'est humide? Tu laves tes sous-vêtements?" Je lui répondis que c'est ceux que je préférais parce que les plus chauds pour skier, ce qui était vrai. Je les disposai près du radiateur à côte de la combinaison.

Puis nous descendîmes en bas où mon cousin venait lui de rentrer: "Alors les jeunes? Cette première glisse? Elle est bonne non?" Et toute la soirée, ce fut les exploits de Julien sur les pistes, puis les copines de Julien, puis les aspirations de Julien... Je montais rapidement me coucher après le verre de mirabelle et le couplet de ma tante sur l'enfance de Julien et le fait qu'il était toujours en avance sur les jeunes de son âge... J'enfilais mon pyjama et me couchai non sans avoir contrôlé que ce serait sec demain... Frédéric me rejoignait une bonne heure plus tard... J'avais chaud dans ce chalet de bois et n'avait pu m'endormir mais lui croyait que je dormais et rentra prudemment, se déshabilla puis me rejoignait dans le lit.

Il bandait après avoir mis son pyjama et je l'avais vu à contre-jour. Il commença à se masturber et moi aussi je me mis à avoir une érection. Je lui dis d'arrêter de faire bouger le lit... Sans la moindre honte d'avoir été surpris, il me proposa un nouveau concours... Avant que je puisse dire non, il constata mon érection et commença un va-et-vient. J'ôtais sa main en le traitant de sale pédé et je terminai tout seul avant que lui n'arrive à son extase. "Alors, je suis un peine à jouir?" Il me répondit: "Normal, moi j'ai déjà fourni tout à l'heure." Puis il se cambra et éjacula abondamment. "L'air de la montagne me fait du bien!" On bavardait un peu et j'espérais que ma famille ne l'insupportait pas trop, entre mon cousin arrogant et prétentieux et ma tante qui entrait dans son jeu et qui était fier de son fils, trop gentille et mielleuse...

Il me raconta la suite de la discussion qui me surprit... Elle en était venu à lui avouer que elle n'était pas dupe et que son "petit chéri" n'était en fait doué que pour le sport, qu'il ferait un bon militaire comme son père mais qu'il n'était pas intellectuel ou artiste. Il connaissait rien à l'informatique, ne s'intéressait pas à la nature mais lui rendait des coups de mains pour entretenir le chalet hors saison de ski car pendant cette période, on ne pouvait rien lui demander et généralement, ses copines s'en plaignaient avant de le laisser tomber juste après les fêtes en lui ayant souhaité une bonne année. On approchait cette période et elle avait peur pour son "petit chéri".

— Ah bon, fis-je, mais je croyais qu'il était avec Christelle depuis longtemps?

— Ça c'est une autre bizarrerie. Il s'avère que ça fait trois nanas de suite qui s'appellent comme ça. Ta tante les appelle par numéro d'ordre: Christelle 1, Christelle 2 et Christelle 3...

Je rigolais pendant que Frédéric avait les jeux ronds et restait de marbre...

— Ta tante m'a resservi un verre de mirabelle et en a pris aussi un et elle m'a confié que Julien avait marché tôt, avait parlé tot, avait trop vite grandi mais avait une bizarrerie de gamin... Il fallait lui couper sa viande, lui préparer ses affaires... Il demandait à sa mère des câlins...

Comment ce garçon froid et athlétique pouvait avoir ce second visage? Nous en rigolions avant de nous endormir pour affronter une nouvelle journée...

Le lendemain matin, une chose bizarre s'était produite: le lit était mouillé en son milieu. L'un de nous deux avait pissé au lit, il n' y avait pas de doute et je pensais bien que c'était moi. Révéillé avant lui, je culpabilisais... Avais-je mouillé mon lit comme je le faisais autrefois dans un rêve ou un autre. Devais-je ça à mon incident de la veille? J'en avais la terreur. Je courrus à la salle d'eau pour chercher des serviettes-éponges et sécher le matelas afin que Frédéric ne s'en rende pas compte. Il se réveilla une demie heure plus tard alors que je me brossais les dents. Je l'entendais bouger sur le sommier et me lancer un "Ça sent la brioche chaude... je descends." Il alla au toilette et effectivement descendit l'escalier directement d'un pas préssé. Je profitais pour ouvrir les volets refaire le lit ce que je ne faisais jamais. Une trace jaune pâle pouvait se fondre avec les draps en tissu jauni de ma tante...

Je descendis donc, Frédéric s'était déjà habillé. Nous mangions le petit déjeuner confectionné avec amour sans un mot puis nous nous habillons pour affronter les pentes avec une tenue chaude car ce matin là, il ferait froid et ça devrait se dégager dans la journée... Ma combinaison avait séché et une odeur émanait, mais rien de trop surprenant au ski... En partant, je n'étais pas rassuré mais je donnai rendez vous à ma tante au magasin de sport pour choisir une combinaison avec son aide à 17h30 en fin de journée.

La journée se passa sans trop de difficulté, j'avais pu pisser plusieurs fois dans les sous-bois et une fois, de façon un peu extrémiste. Frédéric profitait aussi de mes haltes régulières pour assouvir les mêmes besoins. Les "j'ai la queue gelée" et "j'ai les marrons glacés" ponctuaient chacune de celle-ci... Le soir, ma tante vint nous rejoindre pour diriger mon choix de la nouvelle combinaison, l'ancienne était restée sèche et heureusement.

Elle regardait les combinaisons fortement rembourrées dont on avait rigolé la veille...je voulais une tenue simple et kway pas trop épaisse. Elle ne voulait pas cautionner l'achat qui lui semblait "hors de prix" pour une activité saisonnière et pour des gamins comme nous qui ne font attention à rien... Finalement, je pris une combinaison bleue qui était en solde et qui était un bon compromis... l'ouverture facile me permettrait de dégainer rapidement même si je n'avais pas la silhouette de Frédéric qui portait une combinaison verte et mauve très sympa et regardait la scène avec le sourire en me faisant des gestes en guise de conseil.

Nous remontions dans la voiture et ma tante plaça mes achats dans le coffre. Quand nous sortîmes, nous étions de nouveau hilares et complices à cause de quelques riverains qui utilisaient la machine à déneiger pour mettre celle-ci dans la cours de l'autre... Je pris ma combinaison neuve avec hâte et ma tante sortit un autre paquet qu'elle tendit à Frédéric pour qu'il le porte jusque dans le chalet et auquel il ne fit pas attention tout se suite.

Quand nous arrivions au chalet, ma tante dit de tout mettre dans la chambre. Et elle nous rejoignit alors que je m'apprêtais à essayer de nouveau ma combinaison...

— Puisque vous avez l'air de vous entendre comme des compagnons en foire, je pense que vous serez solidaire pour respecter ma literie car l'un de vous à dû avoir un problème cette nuit...

J'avalais de travers et m'arrêtai net... Frédéric faisait lui aussi la grimace et fronça ses sourcils bruns et fournis et écarquilla les yeux.

— Comme j'ai trouvé pas très bien fait le lit, que la veille vous n'aviez pas fait, et que j'ai l'habitude de les faire dans la maison, j'avoue avoir été surpris en le retapant de découvrir de belles taches sur le drap housse. Alors je ne sais pas si vous vous en rendez compte mais le matelas souffre de vos pollutions nocturnes dont je ne sais pas si elles sont de votre âge... Aussi je vous propose une chose...

Elle sortit alors du paquet qu'elle avait confié à Fred... Deux changes complets. C'était en fait un paquet de couches pour adulte écrit "Tena taille medium". Elle en déplia une pièce. Tout aussi gênée que nous sans doute, elle poursuivit comme pour nous rassurer:

— J'ai l'habitude, ton cousin en a mis longtemps et m'en demande lorsqu'il fait trop froid sur les pistes. Aussi je vous laisse l'initiative de vous en servir si vous en avez besoin. Mais je ne tolérerai pas de traces sur mon matelas. D'ailleurs j'ai mis une alèze dessus et j'ai changé les draps. Qu'ils restent blanc et ne souffrent pas de ces caprices ou de ces plaisirs dont je ne sais pas lesquels sont de votre âge... Je vous laisse en discuter.

J'étais rouge de honte et n'osai pas regarder Frédéric. Ma tante ferma la porte... Frédéric alla directement dans la salle de bain... que pouvais-je dire? Je le suivis pour lui confier mon embarras et mes doutes et quand je le rejoignis, il pleurait. Je pensais qu'il se moquerait et rirait mais non... Et là, j'étais complètement bluffé. Il me dit: "J'ai pissé au lit cette nuit, je ne comprends pas ce qui m'est arrivé. J'ai remarqué que mon pyjama était mouillé mais le matelas semblait sec quand je me suis levé et quand on est parti, tu avais fait le lit. Je pensais que c'était ok." Son pyjama était trempé et odorant, il me le montra et il montrait des traces suspectes, de nos jeux et de son incident nocturne. On le mit sur le radiateur.. et je lui racontai mon incident de la veille... "Toi c'est classique, ça m'arrive aussi mais bon..." Si j'avais pissé dans ma combinaison, il etait clair que lui était à l'origine de la décision de ma tante d'acheter des couches pour nous deux. Un long silence s'en suit... Il reprit la parole alors que je ne savais plus quoi dire, moi qui croyais être le pisseux de la nuit...

— Tu crois qu'il faut que je mette ça cette nuit? Puis après deux longue minutes: Ça t'embête si je mets une couche?

— Bah non...

— Enfin... je ne sais même pas comment ça se met...

On tourna ça en dérision puis on lui essaya. Il s'assit sur le bord du lit et il passa la couche sous son cul, rabattit le devant sur son sexe qui se dressait puis ferma la couche avec les scratchs comme si il avait fait ça toute sa vie. J'oubliais qu'il avait un petit frère et une petite soeur du deuxième mariage de sa mère et qu'il avait dû les changer. Il me l'expliqua... Ça lui allait sauf qu'il avait du mal à discipliner son sexe dedans. Je trouvais ça tellement incongru comme situation, être avec mon pote en couche, chez ma tante.

Nous descendions plus tard... ma tante avait fait une soupe épaisse et une potée lorraine. Frédéric s'excusa auprès de ma tante et mon cousin lui demanda si il fallait qu'il nous explique comment faire... Ma tante et lui étaient surpris, il pensait que c'était moi le fautif et je compris plus tard que c'était mon cousin qui l'avait suggéré, sans doute pensant se moquer de moi. Frédéric répondit que nous étions d'accord pour qu'il porte une couche cette nuit et qu'il en avait déjà essayé une.. Qu'il la portait sous son jean. Mon cousin lui conseilla de l'ôter pendant la soirée, qu'elle était réajustable... Il lui montra comment mais Frédéric la garda. Je compris plus tard qu'il voulait tester avant la nuit plus tard. Ma tante me demanda si moi aussi je comptait en mettre... La question me déconcerta et je ne répondis pas...

— J'insiste car ta combinaison montre que toi aussi tu aurais intérêt à en mettre et il y avait des traces sur toutes la largeur du lit.

Elle devait là faire allusion aussi aux traces de notre concours juste avant de se coucher.... Julien nous confia que sa mère avait pris très tôt l'habitude de détecter les traces de semence et attachait beaucoup de soin à sa literie.... Que sa mère détectait facilement ses problèmes où ses exploits qui pour lui se manifestaient surtout en compétition... Gloups! Je ne bronchais pas... Le soir après la soupe, ni l'un ni l'autre n'avions vraiment envie de remonter dans la chambre. On montait et on se coucha en même temps que toute la maison.

Frédéric enleva son jean et me montra alors que sa couche etait trempée lourde de son urine. Il se langeait une deuxième fois devant moi... Puis pour alléger l'ambiance, il me demanda s'il devait m'aider en me faisant un clin d'oeil... Je compris que ça l'arrangeait si j'en portais une aussi et je pris une couche, la tournai sous tout les angles... "Allonge-toi!" J'opérais, il tira mon pyjama et me langea... Il remit le pyjama... À moi aussi ça m'allait bien... J'ai juste eu le temps de me planquer sous les draps quand ma tante frappa à la porte: "C'est bon les garçons?" puis elle entra. Frédéric n'avait que sa couche sur lui. L'autre gisait encore par terre. "Je vois que tu t'es familiarisé avec..." et elle amenait un pyjama pour remplacer le sien... en molleton. Elle m'en avait amené un aussi, "ça sera plus confortable"... Elle attendait: "Je veux contrôler que tout ira bien..." Je me levai donc et changeai de pantalon de pyjama, montrant que moi aussi j'avais la couche sur le cul. Pour un pantalon en molleton lui aussi que je reconnaissais comme ayant appartenu à mon cousin... Je m'en etait moqué quelques années auparavant.

Nous nous couchions là encore sans un mot. Mon coeur me faisait mal tellement divers sentiments me traversaient... Frédéric s'agitait, se retournait et faisait du bruit... Il s'endormait. Plus tard dans la nuit, il s'était réveillé et avait couru dans la salle de bain, il avait pissé dans sa couche...

— Ça va? lui fis-je.

— Non j'ai de nouveau pissé de façon involontaire... J'ai eu peur que la couche ne tienne pas... mais la couche n'a pas transpiré.

— Bah c'est pas grave, lui fis je en le posant la main sur le devant de son pyjama qui confirmait son incident nocturne. Ça va! fis-je en inspectant la literie... Elle a eu raison... ça tranquillise ma tante et toi, ça t'évite la honte.

— Tu ne te rends pas compte! Elle va le voir. Comment vais-je faire... Que vas-tu penser de moi et est-ce que ça va durer longtemps? Si je me remets à pisser au lit toute les nuits, je vais faire comment rentré chez moi?

— T'inquiète, je te trouve cool et tu resteras toujours mon pote...

Je le pris par les épaules, ils avait les larmes aux yeux mais appréciait se rapprochement. Dans la glace se reflétait la complicité de deux grands frères qui avaient trop vite grandi en couche. Dans la mienne se passait autre chose... ma teub était à son tour à l'étroit.

— Tu as raison, c'est mieux pour tous... Tu as réellement pissé dans ta combinaison hier? Tu n'as pas dit ça juste pour me rassurer?

— Bah ouais, je lui rétorquais...

— Tu aurais pu me le dire plus tôt...

— Et toi tu me l'as dit peut-être? lui dis-je en retournant brusquement dans le lit pour éviter qu'il ne voit mon émoi.

Il se coucha de nouveau avec la couche usagée.

— Oh! C'est pas grave, de toute façon, on ne va pas le chanter sur les toits...

— Tu ne te changes pas? lui fis-je.

— Change moi! dit-il.

Je pris alors un nouveau change complet dans le paquet et le changeai... Il commentait que ça lui faisait drôle mais qu'il trouvait ça très agréable. La couche usagée était tres lourde, ça m'excitait encore. Ma couche était sèche mais je bandais tellement dedans que la ouate s'était répartie et au travers, on voyait mon sexe turgescent. En bougeant un peu, elle se dégrafa et mon sexe pointa. Je rattrapais le coup et je me tournai pour ne pas lui faire face et lui dis bonne nuit. C'est alors qu'il se blottit contre moi et est venu me faire un bisou dans la nuque en me disant:

— Merci.

— T'es con! lui dis-je. Merci de quoi?

— Merci de comprendre, merci de là, merci d'être cool...

Il m'appuya alors sur le devant de ma couche et devina mon émoi. Il me demanda alors si on pouvait faire un concours... Je répondis que non mais il glissa alors sa main dans ma couche à peine raccrochée par l'entre-cuisses et me prit la teub... Ça me faisait plaisir et je n'osais rien dire... Il me branla doucement jusqu'à ce que j'inonde à mon tour la couche d'un liquide plus visqueux que le sien; lorsqu'il retira sa main, elle était poisseuse. Il me demanda de faire pareil. Je n'osais pas mais je lui devais ce plaisir fou qu'il venait de me faire. Il gicla à son tour dans sa couche et nous nous endormîmes.

Le matin, il était de nouveau mouillé et moi pas... Ma tante vint ouvrir les volets et observa nos couches car nous n'avions pas remis nos pyjama... Elle déclara: "Eh bien, je vois que ça n'a pas été difficile mais au contraire utile de passer cette nuit en couche!" Je descendais en me débarrassant de ma couche et Frédéric me rejoint.

Ma tante nous demanda si on avait passé une bonne nuit nous répondions que oui et unanimement, disions ne pas regretter d'avoir remis des couches. Nous plongions dans nos bols... puis grimpions nous mettre en tenue. Mon cousin nous attendait, il était sur les pistes pour nous donner un cours de slalom.

À l'heure où nous repartions sur les skis, nous ne disions mot de nos plaisirs de la nuit. Juste Frédéric m'avait tendu une nouvelle couche pour mettre sous ma nouvelle combinaison. J'allais connaître de nouvelles sensations dans ma nouvelles combinaison avec une couche en dessous. En fin de matinée, quand enfin on s'arrêtaient de skier, nous nous avouâmes deux choses: nos couches étaient pleines et nous devions nous en debarraser et la nuit d'avant avait révélé notre attachement mutuel. Nous avions tous les deux envie de nous retrouver cette nuit sous la couette dans notre nouvelle couche. Dans l'après-midi, après les cocas et vin chaud, je baptisais d'urine ma nouvelle combinaison et je prenais la décision que le lendemain, je partirais avec un change dans le sac à dos.

Le soir, ma tante le détecta et nous demanda pourquoi il n'y avait déjà plus que 16 couches sur 22 dans le paquet. Je lui expliquais et elle me demanda si il faudrait en racheter pour le séjour... Julien prit alors la parole: "De toute façon, s'il y en a de trop, je les utiliserai bien moi!" puis se retournant vers moi ajouta: "Attention de ne pas y prendre trop goût, vous allez devenir adict." En nous couchant ce soir là, Julien est venu dans la chambre. Je me brossais les dents et Frédéric était aux toilettes pour la grosse commission. Il me demandait si on avait mis nos couches lors de notre cours de slalom du matin... Il faisait diversion et j'observais dans le reflet du miroir qu'il prenait une couche dans la paquet. Nous serions sans doute trois garçons à passer la nuit langé cette nuit. Il me tapa sur les fesses, constata qu'effectivement j'étais en couche et me dit bonne nuit. Je lui dis: "Toi aussi!" Frédéric ne dissimulait pas son plaisir de me voir lui mettre sa couche avant d'éteindre la lumière.

Je découvrais mon pote et je me découvrais aussi une tendresse pour ce garçon avait qui j'avais jusqu'ici fait quelques coups pendables mais j'étais resté sage et jusqu'ici, on parlait de fille... Or, de nouveau au milieu de la nuit, il s'éveilla et m'enlassa... Je me laissais faire.

— Mouille ta couche, me dit-il.

— Je ne peux pas, je bande! lui répondis-je.

Il s'éloigna de moi puis me dit:

— Attends que ça passe et pisse, tu vas voir comme c'est bon...

Effectivement, sur le dos je sentais ma pisse me couler de part et autre de mon sexe à peine ramolli. Il contrôla avec sa main, mon sexe reprit de la vigueur aussitôt. "Ton sexe m'a toujours plu avec son grain de beauté... mais là, je te trouve craquant." J'étais troublé, j'avais aussi envie de l'enlacer... Je le fis. Sa couche etait pleine mais pas surchargée. Il se mit alors à parler dans la nuit... un flot de parole que je ne pouvais pas maîtriser. Il devenait incontinent de révélations que je ne soupçonnais pas et qui étaient une révélation pour moi. Je ne répondais pas mais tout ce qu'il disait était juste et m'affectait bizarrement, comme si je n'attendait que ça... J'étais immobile et chaud, tendu comme une arbalète. Il s'arrête brusquement après: "Je crois que je t'ai toujours aimé et que tu aimes ça..."

Ensuite rien ne pouvait être controlé... Il se pencha sur moi et m'embrassa, s'assit sur moi et fit des va-et-vient sur mon sexe droit dans la couche ouatée et chargée de mon urine. Nous étions en train de nous donner pour la première fois sans contrôle aucun. Excités par la chaleur, nous quittions nos hauts de pyjama et avancions irrémédiablement vers un nouveau plaisir inédit. Quand au bord de l'implosion il s'arrêta pour un autre baiser, j'entendis du bruit dans le couloir. Julien allait aux toilettes. Nous l'entendions péter dans la cuvette. Je dis alors à Frédéric que je l'avais vu prendre une couche dans le paquet... Il me dit: "Ça ne m'étonne pas. Il crevait d'envie en m'expliquant omment l'ajuster hier. Je l'ai vu, il bandait." Il se remit sur le dos, je lui demandais si il regardait tous les garçons au même endroit comme ça. Sa reponse fut sans appel: "De plus en plus souvent mais je pense souvent à toi..." Il chercha alors à dégager mon sexe de la couche avce sa main fine et tremblante, approcha sa bouche et enfourna mon sexe dans sa bouche pour me sucer maladroitement. Je lui dis d'arrêter mais rien n'y faisait, il me caressait en faisant ça. Mon plaisir lui remplit le visage. Lui avait joui spontanément et avant de se rendormir, il me dit: "Demain on recommence..."

Le lendemain, nous partions langés sur les pistes et avec un change pour l'après-midi... J'aimais ça... les couches! Frédéric m'aimait et aimait se faire plaisir en couche avec moi. Le dernier soir, nous allâmes au cinéma voir "Alien 4". Nous étions langés et au milieu du film, j'avais mouillé mon change. Frédéric voulut verifier et mouilla lui aussi sa couche. Alors que nous rentrions au chalet, il s'arrêta à un distribuetur de pharmacie et acheta des préservatifs... Julien marchait devant et nous demanda "d'activer les gamins". Nous expliquions que nos couches nous gênaient pour marcher plus vite... Il nous demanda si nous avions pas honte d'en mettre maintenant si souvent. Nous avions nettement entamé le deuxième paquet de la semaine et il pensait qu'il lui en resterait. Il nous confia qu'il adorait aussi se branler dans sa couche. Frédéric lui repondit que nous avions appris cela aussi.

En nous couchant, nous savions que ce n'était pas fini. Nos couches étaient humides mais nous nous entrelassions sans les changer. Puis Frédéric enroula ses jambes autour de moi. Il me fit comprendre ce que j'avais finalement admis... Nous demandions qu'à devenir amant et pousser plus loin la chose... J'ouvrais alors sa couche et glissai la mienne. Il me suca, fit surgir un préservatif et le posa sur mon sexe raide de desir... J'avais toujours la couche sur moi. Mon sexe approcha puis frôla son anus... Frédéric s'offrait à un depucelage et moi je lui offrait le mien. Je jouis rapidement... Nous ne disions mot mais commencions à definir le plaisir...

Lui n'avait pas éjaculé. Il me le fit remarquer. Nous soufflions un peu puis il me fit comprendre qu'il aimerait lui aussi goûter au plaisir de la possession. Je me livrai d'ailleurs... Il perça la couche humide et trouva avec son sexe fin et droit une zone de plaisir que je ne soupçonnais pas... Je jouis une deuxiéme fois apres 1a minute de va-et-vient qui était la véritable révélation de cette semaine de ski. J'aimais définitivement le plaisir en couche et les jeux en couche et entre mecs... Frédéric et moi sommes maintenant tous les deux etudiants en fac de droit et toujours amoureux des couches. Nous l'avons d'ailleurs partagé avec d'uatres mecs adeptes des couches. Homos et hétéros, daddy ou petits frères...

 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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