Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 21:04
Sur son caddi 
  
 J'étais entré dans ce supermarché comme d'habitude assez tard puisqu'il ferme à 22h. J'avais tout mon temps puisque ma copine était partie quelques jours pour le travail. Il n'y avait vraiment pas grand monde dans ce supermarché immense et je me balladais en remplissant distraitement mon caddie. En passant aux fruits et légumes, je prenais surtout des concombres, des courgettes, de grosses carottes... C'est en emmanchant le rayon des laitages que je l'ai apperçue, magnifique, 30 ou 40 ans, mignone à hurler. Comme elle faisait celle qui ne m'avait pas vu, je m'approchais, hypnotisé, puis une fois assez près, envouté par son parfum. Pris d'un coup de folie et tentant le tout pour le tout, je la pris dans mes bras, une main posée sur sa bouche et l'autre sur son sein. De surprise, elle n'eu pas de réaction de rejet ou autre et je continuais donc à me coller à ses fesses et à carresser ses seins à travers son tailleur et son chemisier. Elle semblait apprécier, ne cherchant pas à echapper à mon étreinte mais, presque par réaction naturelle, se cambrant et poussant ses fesses vers ma queue bandée qui étouffait dans mon pantallon. Appercevant des petits ciseaux de papeterie dans son chariot, je les sortis de leur emballage et coupais les bruns de sa petite culotte sous sa jupe, puis je fis la meme chose avec son soutien-gorge et rejettais lingerie et ciseaux dans son chariot. Mes mains remonterent sous son chemisier et palpèrent ses seins lourds et fermes, titillant ses tétons qui pointaient à présent à travers l'étoffe. Puis j'ouvris plus largement son chemisier et ses deux magnifiques seins jaillirent alors que je la basculais sur le contenu de son caddie. En relevant lentement sa jupe, je carressais l'arrière de ses cuisses et elle continuait de gémir en tendant ses fesses sans pour autant ouvrir ses cuisses. La sueur humidifiait son petit orifice et j'en approchais ma bite enfin libérée. Mon gland posé à l'entrée, elle tremblait de tout son corps espérant la suite. Agrippant ses hanches pour son plus grand plaisir, je m'enfonçais à l'intérieur de son anus. Etouffant ses cris et gémissements dans des paquets et autres emballages, elle essayayait maintenant de se dégager, comme ramenée à la réalité par la douleur. Tenant ses hanches, je m'enfonçais plus profondément, je la sentis alors qui se détendait et je pris beaucoup de plaisir à aller et venir, serré dans son petit trou. J'attrapais alors une grosse courgette d'au moins dix centimètres de diamètre dans mon chariot et l'approchais de sa chatte rendue très humide par l'excitation de sa jolie propriétaire. Tout en la maintenant sur ses courses et le cul ouvert en deux par ma queue, j'entrais alors de force le gros légume dans sa chatte. J'eu un peu de mal, j'avais vraiment choisis un objet volumineux. Ses cuisses tremblaient comme des feuilles, elle pleurait mais ne criait plus maintenant que le légume était entré. Elle aurait pu partir à présent mais choisissait visiblement de vivre du plaisir. Je glissais alors mes mains doucement dans son cou et dans ses cheveux, puis agrippait ceux ci et entrait de nouveau entierement en elle, sentant l'énorme courgette dans sa chatte à travers la paroie de son anus. C'est alors que je sentis qu'on me tapait sur l'épaule. "Ca va, on ne dérange pas ?". Sueur froide. Deux agents de sécurité, immenses, noirs, apparement amusés. "Vous savez que de telles choses sont absolument interdites dans le magasin ?" En disant cela, je me sens maintenu en place par l'un tandis que l'autre nous contourne et à notre stupéfaction glisse son sexe dans la bouche bée de ma jolie compagne. De mon coté je vais de surprises en surprises, puisque je sens mon pantallon tombé à terre et une queue sur mes fesses. Salive. Douleur. Je me remets à mes va et viens dans cette magnifique femme basculée sur son chariot débordée par la croissance d'une queue dans sa bouche, mais ce n'est plus moi qui imprime le rythme. Je ne suis plus moi même, je ne sais plus ou je suis, je ne vois plus rien, alongé sur le dos de ma partenaire, ma tete dans ses cheveux, emmerveillé par instant par la beauté de ses seins. Je ne sais pas combien de temps passe ainsi. Des heures peut-être. Puis l'homme dans mon dos remarque la courgette dans la chatte de ma partenaire et a une remarque du genre "oh, on est joueur, hein ?". Il l'extrait alors et elle pousse un cri. Elle est plus ou moins évanouie et ils l'installe plus confortablement sur le dos sur son chariot et je me glisse dans sa feminité, dans l'incroyable douceur de sa chatte. C'est alors que je sens qu'on m'attrape la tête et qu'un membre dur et salé m'emplit la bouche. Je fais de mon mieux pour le lécher et le sucer alors que derrière moi le légume se prépare à reprendre du service. La sensation est incroyable et ils me tiennent à deux pour arriver à l'enfoncer. Celui qui est devant moi jouit alors dans ma bouche, et j'éjacule de mon coté dans la chatte de ma partenaire. Je glisse alors lentement sur le sol, tout tremblant dans un bonheur extatique, et la courgette planté au plus profond de moi. Celui qui n'a pas encore joui remonte les jambes de cette jolie femme en la tenant par les chevilles et enfonce son anus, après qulques minutes d'efforts il arrive à entrer entierement et déverse tout son sperme. Quand je me réveille, les lumière sont éteintes, il n'y a que les veilleuses, j'ai explusé la courgette et je vois le sperme couler de la chatte et de l'anus d'une femme magnifique au dessus de moi. Tandis que je me relève, elle me glisse un sourire puis se rendort. Je tire nos chariot et son corps endormi vers la sortie où les gars me sourient d'un air entendu en m'ouvrant la porte. Je retrouve aisaiment sa voiture car il ne reste que les notres, je trouve ses clefs (quel plaisir de chercher dans ses poches en la caressant à travers l'etoffe) et je l'allonge sur la banquette. Puis je range ses courses dans son coffre. Au moment de la quitter, je m'apperçois que j'ai encore envie d'elle et ouvrant mon pantallon, je me glisse de nouveau en elle tandis qu'elle ouvre les yeux, m'attire et m'embrasse sans un mot. Nous faisons l'amour passionement et elle me demande de la sodomiser sur le capot de sa voiture en me confiant qu'elle n'a jamais osé demander ça à un autre homme. Puis je jouis sur ses seins que j'essaye d'imprimer dans mon cerveau tant je les trouve beaux. Lorsque nous nous quittons finallement, nous ne savons pas de quoi demain sera fait mais plus rien ne sera jamais pareil... mais j'ai quand meme drolement mal aux fesses en rejoignant ma voiture ! Avis aux couples de la région Aix-Marseille : je suis partant pour d'autres aventures ! 
 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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