Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 22:58
Phantasme ou réalité 

 Une discothèque du sud de la France, la musique est lourde et l’atmosphère enfumée… Mon esprit aussi est embrumé. Les alcools que nous avons ingurgité m’entraînent vers des contrées insoupçonnées. J’adore danser, sentir mon corps bouger au rythme de la musique ; les vibrations provoquées par le boum-boum des basses m’électrisent. Les gens autour de moi ont l’air de s’ennuyer, ils se trémoussent doucement sans laisser échapper un sourire. A chaque regard que je leur lance, c’est une bouffée d’agressivité qu’ils me retournent, ai-je vraiment l’air si méchant ? Leur espace vital est-il tellement menacé ? Cette fille blonde qui danse m’attire comme un aimant et pourtant, je sens bien que je ne l’intéresse pas. Elle ne détourne pas le regard, mais ne m’invite pas non plus à plus d’audace. C’est juste un espoir déçu de plus… Peu importe, j’irai en voir une autre, d’autant que le show va commencer et que ce genre de spectacle est propice aux rencontres. Non pas que ce soit particulièrement beau ou fédérateur, mais plutôt que chacun devant évacuer la piste pour laisser la place aux « artistes », on se retrouve très facilement au bar en bonne compagnie. Pourtant, cette fois, je reste avec mes amis. L’un deux à décidé de fêter quelque chose et pour ce faire a commandé une bouteille de gin. J’en bois plusieurs verres en jetant un œil distrait vers la piste. Le show transformiste a commencé, les « filles » incarnent tour à tour avec plus ou moins de bonheur des personnages improbables. L’une d’elle est cependant très attirante, comme on peut être attiré par quelque chose de trouble, d’indéfinissable. Une sensualité à fleur de peau, un je ne sais quoi de différent. Le show terminé, nous retournons sur la piste à la recherche de nouvelles conquête… Un moment se passe, puis je sens une main me griffer imperceptiblement le dos. Cette attention a pour effet de me faire frissonner de la tête aux pieds. Je me retourne et aperçois la jeune « fille » brune du spectacle. Elle est vêtue d'une robe rouge de scène, moulante et courte. Ses jambes sont d’une beauté à couper le souffle. La robe s’arrête à mi-cuisses, moulant à la perfection un cul de rêve. J’ai immédiatement envie de caresser cette nana… Ses seins, corsetés dans leur étui de tissu gonflent cette toile à la faire craquer. Débarrassé de mes inhibitions par l’alcool, je l’enlace par la taille et entame une danse sensuelle. « On s’embête un peu dans ces villes de province, tu ne voudrais pas me tenir compagnie ? » me dit-elle à l’oreille, sa voix est rauque et chaude, je sens une envie monter de mon bas ventre, que dois-je faire ? Céder à mes pulsions ou écouter la voix de la raison et surtout celles de mes amis… J’ai bien compris que cette « fille » n’en était pas une, ou plutôt pas vraiment une. Mon trouble augmente, en me serrant, elle a déclenché en moi une énorme érection, j’ai envie d’aller plus loin. Je sens le regard des autres se poser sur moi, il me semble entendre les rires étouffés de filles qui croient que je n’ ai pas compris que ma partenaire n'est pas une femme. Gêné, je ne sais que faire… -« Je m’appelle Caroline, et toi ? » « Moi c’est Guillaume et je crois pas que tu t’appelles réellement Caroline… », ma réplique sonne dans ma bouche et je m’en veux d’avoir peut-être détruit le charme. « Me seins sont vrais, tu veux les toucher ? » Oui, j’en crève de pouvoir explorer le corps de cette bombe : « Pas ici, il y a trop de monde ». Caroline me propose de la raccompagner à son hôtel… Je trouve un prétexte pour partir sans mes amis et me retrouve presque aussitôt dehors. Ma voiture est toute proche et c’est avec précipitation que je m’y engouffre. Caroline monte du côté passager. J’ai du mal à cacher mon excitation, ce fantasme que je n’osais pas m’avouer va enfin se réaliser. Faire l’amour avec un transsexuel… Elle se penche vers moi, doucement ma main lui enlève la bretelle de sa robe, je découvre ses seins superbes. Je lui caresse le cou et l’embrasse avec délectation. C’est délicieux, le plaisir se mêle au trouble causé par l’étrangeté de cette relation : une femme qui est un homme. Je démarre, caroline est vraisemblablement excitée elle aussi, elle sort mon sexe et commence à me sucer. Jamais une pipe n’aura été aussi bonne. J’explose très rapidement dans sa bouche. Nous arrivons à son hôtel. Une fois dans sa chambre, nous commandons du champagne. Elle me demande si je voudrais prendre un bain avec elle. Ne l’ayant encore pas vu nue, je ne sais pas si je vais pouvoir accepter de voir ce superbe corps accompagné d’un sexe d’homme. Elle ne me laisse pas le temps de réflechir et m’entraîne ver la salle de bain. Elle est de dos lorsqu’elle enlève complètement sa robe. Ses jambes sont gainées de bas, elle a aussi des porte-jarretelles noirs. Son cul est encore plus désirable dans cette tenue. D’où je suis, je distingue le dessin de sa poitrine. Plus question d’hésiter, il me la faut. Elle entre dans le bain et m’invite à l’y rejoindre. Nous restons un moment sans trop nous toucher, je n’ose pas aventurer mes mains sur son corps. C’est une fois de plus elle qui prend l’initiative, elle m’attire vers elle et m’embrasse délicatement. Nos langues se rencontrent, elle embrasse comme un chat, par petits à-coups. Ses mains fines me caressent le corps. Elle m’invite à la caresser elle aussi, je me lance. Son corps est soyeux, la mousse du bain s’étale sous mes mains. Je m’enhardi et descend de plus en plus vers son sexe. Au contact de son membre, ma main marque un temps d’arrêt. Puis, finalement, se met à le masturber lentement. Je n’en crois pas mes sens, j’éprouve une sensation intense de plaisir. Caroline, beaucoup plus experte, se trémousse lascivement sous mes caresses. Son souffle devient court. « On sort maintenant qu’on se connaît un peu mieux ? » oui, sortons du bain et allons baiser sur ce lit qui nous tend les draps… Une fois sur le lit, il n’est plus question d’appréhension ni de fausse pudeur. J’ai envie de sucer sa bite et ne me gêne pas pour le faire. Pendant que je la suce goulûment, mes mains caresse sa poitrine. C’est un rêve, les plaisirs d’une femme doublés par ceux que peuvent procurer un homme. Je n’aurais pas cru que sucer un mec puisse être aussi bandant. J’ai un peu la sensation de me sucer moi-même. Ma langue court de la base du pénis jusqu’à son sommet. Le gland s’enfonce dans ma bouche avec douceur et fermeté à la fois, c’est un délice… Je suis insatiable de la queue de Caroline, je voudrais pouvoir l’avaler en entier. Maintenant retournée, Caroline a aussi pris mon sexe en bouche, c’est une experte, tout y passe. Avec ses doigts, elle entreprend mon anus. Dilaté par sa salive et sa langue, elle s’y introduit avec une facilité déconcertante. Je suis son exemple et fais de même sur elle. Je sens ses seins se frotter sur mon bas-ventre. Je suis en enfer. Elle me retourne sur le dos et prend mes jambes sur ses épaules, comme je l’aurais fais avec une femme… Sa main passe sous mes fesses et me masse le cul. Je sens nos bites s’emmêler. Son regard exprime l’envie et le plaisir, je m’y noie. Maintenant, elle appuie doucement sur mon anus avec son gland, un intense frisson me parcourt l’échine, je le sens me pénétrer. Doucement, sans violence, sa queue entre, de plus en plus profond en moi et chaque millimètre gagné m’arrache des cris de plaisir. Elle est au plus profond de moi. Ses mouvements se font de plus en plus rapides, je ne ressens aucune douleur, tout en moi est plaisir. J’arrive encore à caresser ses tétons, ses cheveux bruns et raides lui tombent sur la figure, mouillés par la sueur ils ruissellent sur moi. Je me redresse pour l’embrasser, je ne sais plus où commence mon corps et où s’arrête le sien. Nous ne sommes plus qu’un. Le rythme est maintenant très rapide, j’accompagne les mouvements de caroline avec ma main, l’encourageant ainsi à s’enfoncer encore plus loin. J’en veux encore et plus. Elle se retire brièvement et me retourne en levrette. S’enfonce de nouveau en moi, je n’en peux plus et m’accroche au lit pour ne pas chavirer. Mon corps entier est en feu, je sens en moi le rythme de son corps… J’entends son souffle s’accélérer, ses mouvements deviennent irréguliers, de plus en plus saccadés. Je comprends qu’elle va bientôt jouir et ce sentiment décuple mon plaisir. Je crie et me laisse emporter par un orgasme quand je sens en moi son gland se gonfler subitement. Le liquide chaud qui s’écoule en moi me remplit d’extase… Je m’écroule à ses côtés, au bord de l’évanouissement. Dire que je ne comprenais pas l’homosexualité masculine. Nous avons recommencé plusieurs fois cette nuit-là avec toujours autant de plaisir. Je n’ai jamais revu Caroline. Je suis marié aujourd’hui et je demande souvent à ma femme de me pénétrer avec un gode ceinture, mais je n’ai jamais retrouvé les sensations de cette rencontre. Je n’avais jamais raconté cette histoire

 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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