Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:47
To bi or not to bi 
  
 On se présente, chacun à notre tour pour cette expérience racontée en duo. Cécile, brune aux cheveux courts, très courts, peau mate et douce, des yeux noirs avec de beaux cils très long, un nez droit et mince, un petit grain de beauté sur le haut de la joue droite, la bouche légèrement pulpeuse avec un beau sourire (dixit les autres), des dents blanches et bien plantées, une langue un peu petite et pointue (un régal à embrasser ...et à sentir glisser...dixit tous et... toutes), un mètre soixante quinze et cinquante deux kilos (pour qui aime les filles minces), et pour la partie intime un beau et gros clito sur un pubis taillé court (proportionné à une chatte large et profonde...selon Théo mon compagnon de coeur et de lit préféré...) Théo, chatain aux cheveaux courts, yeux bleus qui font craquer toutes et tous, juste 3 cm de plus que Cécile qui a fait l’impasse sur ses seins que j’adore parce que petits... depuis qu’un gougeat lui a dit qu’elle était “trop plate”. Mince, peu poilu, beau cul belle gueule comme disent les mecs, la queue bien active mais...trop moyenne selon Cécile et trop de nanas. A Cécile/// Je reprends, tout en confirmant, ah oui, nous avons tous les deux 24 ans et cela fait deux ans que nous vivons “dans le péché”, c’est à dire ensemble, et quatre ans que nous nous sommes rencontrés. Vous l’avez donc compris, nous venons tous les deux d’un milieu “bcbg” pour “bon catho.bourgeois gaulois” Si mon Théo n’était plus puceau dès sa 1ère (16 ans, il était en avance ...scolairement) je n’ai découvert les joies des hommes qu’à 19 ans, avec un ami de Théo sans lequel je ne l’aurai jamais rencontré. En revanche, si j’avais un an de retard sur Théo en classe, j’avais 15 ans quand j’ai fait l’amour la 1ère fois...avec une amie de classe qui m’avait invitée en vacances. Claire m’avait invitée avec la bénédiction de nos parents respectifs à Hossegor pendant trois semaines en Juillet. Claire et moi faisons et faisions déjà à 15 et 16 ans nos tailles adultes, seule une poitrine qui me faisais rêver nous distinguant. A l’époque Claire avait déjà les cheveux courts, moi longs, et pendant que j’en étais restée aux principes ringuards de mon éducation de bonnes soeurs et avec les interdits et privations débiles qui vont avec, mon amie de classe qui devint de coeur, avait le “feu au cul”. Claire avait couché avec son premier mec à peine à 14 ans, sa première fille deux jours après avoir couché avec son second mec...qui - c’est elle qui le dit - “déclenchée”, en clair fait jouir, et présenté sa petite amie du moment; tous deux ayant une bonne vingtaine d’années ! Loin d’être traumatisée par ce “détournement de mineur”, Claire aimait donc dès le début garçons et filles. Elle s’y pris avec moi d’une façon assez amusante... Nos chambres étaient voisines, et en plus de la porte qui donnait pour chaque dans un long couloir au bout duquel (loin !) se trouvait la chambre de ses parents, communiquaient directement par une salle de bain commune. En empruntant la porte qui donnait dans ma chambre et ouvrait sur la salle de bains, je me trouvais face à la porte intérieure de sa chambre. Le deuxième soir ou j’étais chez elle, elle commença à se balader avec un seul string pour tout vêtement de sa chambre à la mienne, via la salle de bains, au prétexte de papoter de tout et de rien. Elle m’observait bizzarement, seules ses poses se faisant suggestives selon qu’elle se passait un coup de brosse, ou se démaquillait langoureusement. Puis elle alla se coucher, laissant ma porte de salle de bains grande ouverte, pendant qu’elle laissait entr’ouverte celle qui donnait dans sa chambre. Lorsque j’éteignais ma lumière une lueur faible pénétrait dans ma chambre via la salle de bains. Machinalement je me levais pour aller fermer la porte, et arrivé dans la salle de bains où les bruits raisonnaient avec le carrelage...j’entendais des soupirs tout à fait sans équivoque qui venaient de sa chambre. J’étais pétrifiée de gêne à l’idée qu’elle puisse me voir alors que j’étais encore à 50 cm de la porte entrebaillée. La curiosité était trop forte. Je risquais un oeil et découvrais éclairée par une lampe de chevet à peine tamisée mon amie sur le dos en train de se masturber avec un objet que je n’arrivais pas à identifier mais qui semblait important. (tout simplement un concombre, on le verra après). Si je n’avais jamais couché avec personne, je me masturbais régulièrement...un peu honteuse à chaque fois. J’’avais du retenir que cela n’était pas bien, un péché même, et voila que ma meilleure amie se prenait devant moi un premier pied. Cela me surpris, car cela lui semblait lui faire un effet que je n’avais jamais éprouvé et qui plus est je ne me masturbais alors qu’avec les doigts... La culotte de mon pyjama était devenue humide et j’éprouvais le besoin de me caresser. J’étais toujours derrière ma porte et cette jouissance peu discrète me fit peur. Je me mis à paniquer en me disant qu’elle allait se lever et me voir. Erreur... Claire sorti son concombre se mit à le lécher...et se le renfila aussitôt dans le minou. Il me paru énorme (ce qui était le cas, car je le retrouvai dans la cuisine le lendemain matin et Claire me demanda de l’éplucher pour le déjeuner avec un oeil brillant qui me fit me poser des questions toute la journée : m’avait-elle vue ou pas ?). Toujours est il qu’elle jouit deux minutes après à nouveau et encore plus bruyamment. Je filais sur la pointe des pieds me “terrer’ au fond de mon lit. Claire remis cela le lendemain, puis le surlendemain. Je me faufilais dans la salle de bains et le 4ème jour à nouveau mais...la veilleuse était cette fois dans la salle de bains et la porte de Claire n’était plus entrebaillée. Je me mis à coller l’oreille contre la porte et j’entendais ses halètements. J’entendais mal, la porte était épaisse. Puis je cru discerner quelques râles de jouissance. Je collais encore plus l’oreille quand je sentis la porte se dérober. Claire m’apparut alors totalement nue, un concombre aussi gros que le premier (et les suivants qu’on dégustait depuis 4 jours au déjeuner !) à la main et me lâcha un “oh, mais qu’est ce que tu fais là ?!” . Je ne savais pas quoi lui répondre et était toute rouge. Claire avait les bouts de seins raides d’excitation et posa son concombre luisant de jute sur le lavabo. “tu es une voyeuse dis moi...moi j’aime mieux faire que regarder...montre moi ce que tu sais faire...” ...et elle me baissa mon pyjama. J’avais les jambes qui tremblaient. “dis donc - me dit-elle en me passant le plat de la main sur mon minou qui était trempé - c’est moi qui te fais cet effet ?” Je ne savais pas quoi lui répondre, qu’elle m’avait attrapé la main et me l’enfonçait dans son minou encore plus trempé. Elle se colla à moi, m’embrassa et une heure plus tard j’étais dépucelée par un concombre nettoyé, enduit de crème de beauté dont elle m’enfonçait les 25 cm jusqu’au bout faisant de cet instrument, de sa bouche et de ses mains ma première nuit ...d’extase totale. Je l’avais à peine touchée, toute mon énergie était captée par ses caresses, léchouilles et pénétrations manuelles ou de son concombre. Le reste des vacances, à peine restreint par mes règles qui ne semblaient pas la gêner elle me fit une éducation amoureuse complète, s’occupant de mon plaisir et m’apprenant à lui en donner. En fait de 15 à 19 ans, ma vie sexuelle fut celle d’une lesbienne. Claire me fascinait, et me faisait l’amour au moins une fois par semaine. Je me mis à complexer, à trouver cette situation gênante...d’autant que mes parents et mes amies à qui je ne voulais surtout pas me confier ne cessaient de vouloir me présenter des garçons. J’en essayais un premier. Ce fut nul, mais j’étais à moitié ivre lors d’une soirée emmerdante au possible. Ce fut mon premier amant...et il m’a fait si peu d’effet que je serai incapable de le reconnaître et je ne suis même plus sure de son prénom. Il prit son pied, sans que je ne sente rien et se rhabilla aussitôt après ! A côté des caresses et de l’attention de Claire, voila de quoi frustrer à jamais une “pucelle”. Le second me fut présenté par Claire. Elle me promis qu’il me ferait de l’effet, et que de temps à autres il lui en faisait. Mignon, sympa, et “bien monté” m’avait-elle dit. C’était vrai, mais Thomas était ivre quand il commenca à s’intêresser à moi...et chacun sait que l’alcool et la forme d’un homme ne font pas bon ménage. Cela ne valait ni un concombre et encore moins un bon gode ! En fait, quand je ne voyais pas Claire, je me masturbais toute seule, au moins une fois par jour, et tout en m’obligeant à essayer de penser à des hommes, mes phantasmes me ramenaient à Claire ou à des filles que je connaissais ou croisais à la fac. Mes quelques aventures avec des filles, parfois à plusieurs filles, me procuraient du plaisir sexuel, mais aucune de véritable excitation. Ma rencontre avec Théo se fit grâce à Thomas. Quelques jours après sa piètre performance, j’acceptais de diner chez lui. Théo était accompagnée d’une fille vraiment jolie. Nous étions donc quatre autour de la table et la conversation était trés gaie, même si elle était sans grand intérêt. Avant d’attaquer le dessert, alors que les garçons étaient restés plus sobres que jamais (sans doute parce que le vin était vraiment médiocre !), la conversation dévia dangereusement sur des histoires salaces. En fait, c’était la fille (Martine) qui faisait le lien. Amie de classe de Thomas, Martine est pour le moins spéciale. Son phantasme - en fait son pied (car parler de phantasme pour ce qui est de sa pratique habituelle ne convient pas !)...est de voir deux mecs baiser avec elle, ou même seulement devant elle. Parfaitement à jeun disais-je, notre Martine commença à embrasser goûlument Théo, Thomas se sentant aussitôt obligé d’en faire autant avec moi. Théo ne cessait de me dévorer des yeux pendant que Thomas commençait à m’embrasser et carrément me déshabiller. Face à face, nos regards se croisaient, complices et amusés alors que nous nous connaissions depuis à peine deux ou trois heures. La situation commença à se compliquer quand Martine abandonna la langue de Théo pour mêler la sienne aux nôtres. Je ne savais plus très bien qui me faisait mouiller. Martine qui enlevait son chemisier, ou Thomas qui exhibait une queue certes moins grosse que mes accessoires naturels ou en latex, mais tout à fait impressionnante. Théo s’était déshabillé entièrement et ce fut la première fois que je le vis nu. Martine lui attrapa la queue et la glissa dans sa chatte. “je sens rien Théo” lui dit-elle. “remue toi !”. Thomas m’avait pénétrée. Claire avait raison. Il était “bon”. Ce fut la première fois que je jouis avec un homme. Théo qui s’activait sur Martine se mis à jouir en me regardant jouir. Nos regards ne se quittaient plus. Thomas me fit rejouir une fois, puis deux, puis trois et mon Théo prenait son pied à chaque fois en même temps, Martine semblant s’ennuyer de plus en plus. Elle se retira d’un coup de Théo et me poussant lui dit “regarde mon amour” tout en se glissant sur la queue de Thomas qui ne débandait pas depuis le début. Martine se mit à jouir en un rien de temps. Je vis un jet de sperme aussitôt sortir du sexe de Théo. Je n’en revenais pas. Non seulement il arrivait encore à gicler, mais ce qui me fascinait c’est qu’il venait de jouir en même temps que Martine au seul fait de la voir jouir avec Thomas. La suite me fascina carrément. Martine s’était placée derrière Théo et lui enfilait méthodiquement deux, trois, puis quatre doigts dans les fesses. “T’as envie mon amour ?” lui sussurait Martine... Thomas s’était collé à Théo. Leurs sexes se touchaient aussi raides l’un que l’autre...mais celui de Thomas presque deux fois plus gros. “baise Cécile !” dit Martine. Thomas s’écarta et Théo glissa son sexe dans le mien. Martine menait tout. Je sentais à peine la queue de Théo après celle de Thomas. “T’es comme moi, tu sens rien hein ? “ me lança Martine. Je fis un “pas beaucoup” gêné. Elle écarta Théo de moi et Thomas me pénétra. J’eus un autre orgasme en un rien de temps. Théo se remis à jouir aussitôt, à peine stimulé par la main de Martine. D’un seul coup Thomas sorti de moi et enfila mon Théo en un clin d’oeil. Martine me caressait les seins et le clito, qui n’avait jamais été aussi gonflé d’excitation. Théo haletait. Thomas donnait de grand coups de reins, et aux bruits que faisait son sexe dans les fesses de Théo, il n’y avait aucun doute qu’il allait jouir. C’est sa jouissance qui me déclencha à mon tour un orgasme. Ce fut la première fois que je jouissais par procuration. Théo avat jouit en me regardant jouir, j’avais jouit en le regardant jouir. Martine me refit jouir, et Théo n’en perdit pas un instant...jouissant une dernière fois - sans sperme ! Tout cela en même temps que moi ! Depuis nous ne nous sommes plus quittés. Même s’il n’est pas toujours facile à vivre (<<< c’est faux ! >>> (Théo)), même si on ne prend ensemble que des pieds en se masturbant...on ne se quitte plus. J’ai trouvé avec lui “l’âme soeur”, mon équilibre. Nous sommes bien loin de la morale bourgeoise ! Claire souvent, Martine parfois, et Thomas régulièrement car nous avons un petit faible tel avec lui qu’on le voit souvent tout seul pour qu’il nous fasse jouir à tour de rôle, sont nos compagnons de “pieu”. Depuis que nous sommes ensemble nous avons partagé des dizaines et des dizaines de garçons et de filles. Pas un, pas une qui m’ont fait jouir n’ont pas fait jouir Théo et vice et versa. Chaque garçon, chaque fille avec qui Théo jouit me font jouir avant même de m’avoir baisée. J’aime les filles, et finalement autant les garçons. Au final, l’homme de ma vie est absolument merveilleux même si nos relations intimes n’aboutissent à la jouissance que par des masturbations mutuelles ou même côte à côte qui peuvent durer des heures entières, parfois même des week ends complets ! D’un côté j’ai une jouissance mécanique quand un sexe adapté à la taille de ma chatte y pénètre. Avec Théo et parfois certaines filles je satisfait mon besoin d’amour. Toute jalousie est gommée par ces partages qui décuplent nos libidos. Alors to be bi or not to be bi n’a plus d’importance comme question. Voir mon Théo bander pour le même homme ou la même femme qui me fait mouiller parce que je sais qu’il ou elle va me faire jouir me procure un plaisir aussi immense que le sien. La bisexualité me parait le summum du plaisir partagé sans le problème de la jalousie. L’homosexualité, comme l’hétéro sexualité ne nous tentent définitivement pas ! 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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