Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:49
First thing first: Voilà ma première fois... 

 Je vais mettre une chose au claire, je suis Québécois, alors il est possible que j'utilise certains mots qui pourront paraître étrange à certains lecteurs. J'avais à ce moment 16 ans, mais à l'apparence, on m'en donnait facilement vingt. C'était sûrement dû à ma barbe, qui était anormalement drue pour mon jeune âge. Un autre facteur qui pouvait influencer les gens et les faire croire que j'étais plus âgé, c'était ma carrure. J'avais, et j'ai toujours, les épaules très larges et un torse, disons-le, immense. Je pesais mes 250 livres facilement, majoritairement constitués de muscle, même si j'avais à ce moment un surplus de point visible. Mesurant 6 pieds, j'étais, comme on dit chez moi, toute une pièce d'homme. Du haute de mes 16 ans, je débutais ma cinquième et dernière année d'école secondaire, tandis qu'un mon ami d'enfance, Nicolas, faisait son entré au Cégep. La séparation était plutôt difficile entre nous, surtout pour moi, et je ressentais de l'amertumes quand au fait qu'il avait choisi de déménager pour faire ses études. Nos rencontres, la fin de semaine, n'en étaient que plus intense, chaque secondes comptaient. C'était à ce niveau d'intensité que j'étais venu à lui faire la confidence que j'étais bisexuel, chose qu'il savait déjà depuis une bonne année, comme tout mon entourage, exception faites de mes parents, et que j'étais amoureux de lui depuis de nombreuse années. Son silence, qu'il m'offrit en guise de réponse, m'attrista au plus au point. J'imaginais rapidement, et de façon un peu paranoïaque, qu'il me dirait que de partir sur le champ, et qu'il ne voudrait plus jamais me voir. Il finit par changé de sujet en allumant la télévision, j'y vis un signe et je n'abordais plus le sujet. Durant la soirée, nous étions assis à sa table de dessins dans son appartement, mes pensées étant trop troublées pour dessiner, je finis par tourner en rond dans la pièce, touchant à tout, regardant pas la fenêtre. Je finis par venir me pencher au dessus de lui pour regarder où il en était. Je savourais le contact de mon torse contre la chaleur de son dos, humant avec joie son odeur que j'adorais par-dessus tout. L'odeur d'un homme est bien différente de celle d'une femme, et au combien plus subtile et animale, ses nuances sont ensorcelantes. J'attache beaucoup d'importance aux odeurs. Ce contact, il le sentit, surtout parce que perdu dans la jouissance du moment, j'avais oublié de faire attention et mon souffle tombait dans son coup, lui donnant des frissons. Réagissant avec l'impulsion du moment, j'effleurais sa nuque du bout des doigts, goûtant du regard ses frissons et ses tremblements. Quand je réalisai ce que je faisais, je voulus enlever ma main, mais il protesta. Je ne me fis pas prier, remerciant tout de même un quelconque dieu qui avait daigner m'aider, j'embrassais la douce chaire de son coup, doucement, avec amour, humectant mes lèvres de sa saveur. Mon cerveau fut rapidement envahit par son odeur, par son goût et des milliers d'arômes dont je rêvais depuis des années. Je résumerai la description de Nicolas à ce si, Il était mon presque opposé physiquement, aussi grand que moi, il ne faisait que 130 livres. Il portait les cheveux longs, tout comme moi. Une repousse de barbe rendait le contact avec son visage merveilleusement rugueux. Mince, presque maigre, je n'eu aucun difficulté à le prendre dans mes bras et l'emmené dans la chambre, au centre de laquelle trônait un futon (sorte de fauteuil qui peut, en l'inclinant, devenir un lit). Je le déposais sur le futon, avant de l’embrasser dans le haut du coup, sous le menton, passant mes mains contre son ventre, remontant son t-shirt du même coup. Une fois le t-shirt suffisamment haut, je lui passai au-dessus de la tête, retirant le premier morceau d’une longue série de vêtement qui se dressaient dans sur chemin. Une fois le chandail enlevé, j’embrassai son torse et suçai ses mamelons, tour à tour, le sentant trembler sous mes lèvres. Je finis par descendre vers son nombril, que je léchai du bout de la langue. Chaque une des mes actions lui arrachaient des frissons et des gémissement de plaisirs de plus en plus intenses et bruyant. Je sentais que, tout comme moi, il commençait à perdre le contrôle. Je tombais sur une « impasse », ses pantalons, je m’accordais un millième de seconde de réflexion, durant lequel je le sentais respirer avec le rythme de l’excitation. L’hésitation ayant quitté mon esprit en même temps que le sien, je sentis ses mains peser sur ma tête, m’incitant à continuer. Sans plus attendre, je glissais mes doigts sous ses pantalons, et ses boxers (sous-vêtement pour homme, comme des « shorts »). Descendant les deux à la fois, je pris son sexe en érection dans ma bouche dès qu’il fut à ma porter. Je le sentis gémir de surprise quand je commençai à le sucer. Tandis que je le sentais raidir de plus en plus dans ma bouche, je me débarrassai de ses vêtements. Mes mains passant de son torse à ses fesses en passant à ses testicules. Massant, caressant, cajolant, elles avaient, comme moi, une soif sans faim de son corps. Ses mains était dans mes cheveux, caressant, me faisant presque mal dans ses convulsions d’excitation, mes je ne sentais pas la douleur, trop excité pour ça. Je le sentais qui voulais m’éloigner de son sexe, sur le point de jouir. Il pensait sûrement que je ne voulais pas l’avoir dans la bouche, mais je m’accrochai à ses cuisses et suçais plus pour ne pas perdre une goûtes. Même en mis étant préparé, je fus surpris par la chaleur et la force avec laquelle fut projeter le sperme dans ma gorge. Le goût n’était pas aussi mauvais que j’avais entendu dire par mes amies, même presque agréable. Je m’essuyais la bouche, me relevant tandis que son sexe perdait de sa raideur et retournait à un état amorphe et sans vie. Je croyais que tout cela était terminé, mais par chance je me trompais. Il se leva, m’enlaçant, je le pris aussi dans mes bras, savourant encore cette chaleur, à peine rassasié. Il me murmura à l’oreille « Criss… C’était… magique… Je, je… » *Criss étant un juron québécois. « Je t’aime » dis-je, souriant. Il voulut ensuite m’embrasser, mais je refusais, car je trouvais dégoûtant le fait que j’avais son foutre dans la bouche. Après m’être un peu débattue, je finis par m’enfuir dans la salle de bain, où j’avais laissé mon sac avec ma brosse à dents. Je me brossais les temps à une vitesse folle, avec lui qui me disait que revenir de l’autre coté de la porte. J’étais entrain de me rincer la bouche, penché sous le tuyau du lavabo pour boire, quand il entra dans la salle de bain, s’étant servi d’une sorte de broche à fondu pour forcer la serrure. Je ne l’avais pas entendu, abasourdis par le bruit de l’eau qui coulait. Il se plaça derrière moi, attendant que je me relève pour que je le vois dans le miroir. Je fis un bond dans ma surprise, me retournant rapidement. J’étais à peine retourner qu’il m’attrapa le coup à deux mains et m’embrassa avec passion, voir avec violence. Jamais je n’avais ressentis telle jouissance à embrasser quelqu’un. Le baisé dura un moment, jusqu'à ce qu’il mette sa main sur mon pénis. Il était déjà en érection depuis un bon moment, mais ce fut la chose qui me fit regretter d’avoir mit des pantalons en denim, des jeans. Je voulu le repousser : « Non, t’es pas obligé… Je ne m’attendais pas à ce que tu … » mais il me fit taire en détachant mes pantalons et en glissant ses deux mains sous mes sous-vêtements, mes boxers, pour en extirper mon sexe, devant faire le double de la taille du siens. Le siens devait faire environs 15 centimètres de long, mais n’était pas très large, le miens faisait son 20 centimètre et avait une bonne largeur et épaisseur. Il poussa un juron en le voyant « Tabarnak… » « T’es pas obligé », mais encore il me fit taire, cette fois par un baiser, tenant toujours mon sexe dans un main et le sien dans une autre. Ainsi placé, verge contre verge, je me sentais étonnamment bien, malgré la gène que je ressentais. C’était la première fois depuis mes onze ans que quelqu’un touchait à mon sexe (une autre histoire avec une fille étrange de 16 ans qui aimait les jeunes…). Après se moment, je perdis tout contrôle sur la situation. Il se plaça face à au miroir, m’attrapant les hanches et m’attirant à lui. Mes connaissances en la question étaient alors restreintes, mais je me doutais que sans lubrification, la pénétration qu’il semblait exiger de moi serait très douloureuse, mais il était débrouillard, plus que moi. Il s’était déjà enduit les mains de savons et en enduit mon pénis. « Awaïe* » *Aller… en quelque sorte Cette injonction me força à agir, je pressais mon sexe contre son anus, ne forçant pas l’entré tout de suite, le regardant dans le miroir. Ses yeux parlèrent pour lui. Je pénétrais doucement en lui, regardant sa réaction. Je vis bien qu’il serrait les dents, mais il m’attrapa les cuisses et m’enfonça en lui. Je commençais alors un mouvement de va-et-vient qui me conduisit rapidement au plaisir suprême, l’orgasme. Presque affalé sur lui, je reprenais mon souffle. Je finis par retirer tous mes vêtements, et nous prîmes un bain ensemble, multipliant les agaceries et les jeux sexuels durant toute la soirée. Avant de nous endormir, nous refîmes l’amour dans son futon, moi l’écrasant de tout mon long dans son dos. En nous endormant, dans les bras l’un de l’autre, il murmura ses mots qui débutèrent notre relation d’amant : « Tu sais quoi, je commence à aimer ça… 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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