Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:23

Un amour de mère (1)
 
Depuis que mon père avait quitté la maison et était parti s’installer en Afrique du Sud avec sa nouvelle femme, nous venions en vacances, ma mère, ma sœur et moi dans ce petit village à une centaine de kilomètres de la capitale. Nous y passions deux délicieux mois à faire de l’escalade de parois schisteuses, du kayak, de la promenade en forêt et nous nagions dans les eaux glacées de la rivière qui coulait en contrebas. Ma sœur Héléna affectionnait le kayak par-dessus tout, en fait elle avait un petit faible pour le moniteur, un vieux (j’étais encore adolescent à l’époque) que je ne pouvais pas encaisser. Je ne le trouvais pas correct, sympa peut-être, mais comme il faisait du rentre dedans à ma mère...

Même avant que le père ne s’en aille, ma mère était l’amour suprême pour moi, ma déesse, la femme délaissée (déjà!) à protéger. J’étais son chevalier, elle était tout.

Depuis que le vieux avait déserté, maman n’avait pas une seule fois eu un amant ou un ami qui se serait attardé et aurait dormi à la maison, ni n’avait-elle découché.

J’avais développé un tel amour pour elle que je ne regardais pas les autres filles au lycée comme des femelles à conquérir contrairement à mes potes. J’avais mon amour secret pour ma mère. Aucune de toute façon n’arrivait aux chevilles de maman.

En plus, tous les hommes que je connaissais et qui fréquentaient notre grand appartement en ville s’accordaient pour le dire: comment mon père avait-il pu abandonner une si belle femme?

Pour être franc, j’avais eu des fantasmes de voyeur que je pensais honteux et scandaleux jusqu’à ces vacances bénies. J’avais remarqué que dans le placard mitoyen de la salle de bains il y avait un petit panneau qui se démontait et qui se trouvait juste à côté du chauffe-eau. Une fois entre ouvert, il permettait d’avoir une vue imprenable sur tout ce qui se passait dans la pièce. À cette époque, on ne prenait un bain qu’une fois par semaine et j’étais toujours à l’affût pour voir la nudité de ma grande sœur.

Héléna avait deux ans de plus que moi et était déjà ce que l’on appelle une belle plante. Elle avait comme moi un teint mat et légèrement basané que nous tenions de notre père, ma mère, elle, était blanche d’un ton laiteux avec des veines pleines et bleues.

Héléna avait une taille et un fessier pleins. Elle portait des cheveux qu’elle avait noirs de geai et très courts. Ses poils pubiens formaient une toison légère mais toute aussi noire. Mais le plus excitant étaient ses seins. Elle avait des seins pleins, bruns avec des mamelons protubérant brun foncé et comme ceux de maman, avec des tétons qui donnaient l’envie de les dévorer. Chaque vendredi soir, lorsqu’Héléna entrait dans la salle de bain, la chance était avec moi, c’était le jour où la plus jeune sœur de maman nous rendait visite et elles prenaient un petit verre de cognac ensemble. J’avais donc tout le temps de me cacher dans ma planque et d’admirer la beauté de ma sœur (avec laquelle par ailleurs je m’engueulais et souvent me battais - j’avais rarement le dessus, elle était costaud, la salope!). J’emmenais toujours quelques tours de papier toilette car immanquablement, je finissais mon observation en me masturbant: Héléna se caressait comme une folle dans la baignoire et comme un rituel, s’agenouillait une fois séchée devant le bidet et tout doucement après l’avoir enduit à profusion de salive, se caressait le vagin avec le manche de sa brosse à cheveux qu’elle enfonçait tout doucement en miaulant dans son vagin que je pensais alors devait être très profond. Elle était prise progressivement d’une frénésie qui lui faisait accélérer le mouvement de l’objet en elle jusqu’à ce quelle s’écroule sur le tapis, les yeux révulsés en poussant de petits cris qui allaient en diminuant. Quant à moi, à chaque fois, c’était à peu près le moment où mon pénis masturbé avec la même frénésie crachait tout son saoul de sperme dans ma main. Dieu que c’était bon!

Je n’avais jamais osé approché la sœur dans sa chambre, bien que je l’eus soupçonnée d’en laisser la porte ouverte intentionnellement quand elle se couchait nue sur son lit ou peine couverte d’un drap en hiver et qui laissait tout deviner de sa splendide anatomie alors qu’elle savait que je devais passer devant pour rejoindre ma chambre... qu’elle savait surtout que maman était déjà dans sa chambre.

Lorsque ma tante partait vers 9h30-10h, toutes deux, et maman sûrement un peu plus que sa sœur, étaient légèrement éméchées. Elles s’embrassaient à profusion avant que la tante Eva ne se décide à partir. C’est pas trop tôt, pensais-je à chaque fois, car dès qu’elle était partie, maman se dirigeait enfin vers la cuisine, prenait la bouteille de cognac et allait dans la salle de bain. Quel bonheur, qu’elle était belle! Elle se déshabillait toujours très lentement devant le miroir, était-ce la douceur de l’ivresse ou le bonheur d’admirer son corps si beau et toujours si jeune, maman avait à peine 35 ans? Elle caressait toutes les parties de son corps avec volupté. J’en étais tout remué jusque dans les tréfonds de mon ventre. Lorsqu’elle enlevait son soutien, ses seins merveilleux et puissants en sautaient comme libérés de la pression, des petites marques comme des chaînettes restaient pendant quelques minutes là où les armatures l’avaient serrées, ces marques m’excitaient à en devenir fou... pourquoi, je ne saurais le dire même aujourd’hui, je les sentaient comme une agression sur le corps chéri. Elle prenait alors ses seins à deux mains et en couvrait les mamelons de coups de langue rapides, longs et circulaires. Elle en avalait les bouts avec nervosité, se malaxait les mamelles jusqu’à en avoir un mini orgasme qui la laissait les yeux dans le vague quelques minutes. Ensuite maman enlevait sa culotte. Elles n’étaient pas du tout du genre sexy, mais je ne les en trouvais que plus divines.

À ce moment-là, je fermais immanquablement les yeux, retenais ma respiration et les rouvrais pour admirer son fessier, sa fente et j’attendais qu’elle se retourne enfin pour admirer son vagin. Dieu quelle beauté: son mont de Vénus était énorme, comme gonflé et ses lèvres étaient charnues et si longues. À ce moment-là, je ne savais pas ce qu’était un clitoris. Ma mère alors pour entrer dans la baignoire soulevait sa jambe et je voyais enfin son doux vagin s’ouvrir en une fente rose, profonde, brillante et agressive. Mon pénis arrivait à sa taille maximum et un liquide qui ressemblait à du sperme commençait à couler. Je tirais dessus pour ralentir l’excitation. Maman rentrait dans le bain et plongeait sous l’eau. Elle aussi portait les cheveux assez courts, elle restait ensuite immobile, mais je pouvais voir ses mains bouger sur son corps à travers l’eau. Elle caressait la pointe de ses seins de ses deux mains, puis elles descendaient lentement vers la touffe des poils de son entrejambe et s’y attardaient un très long moment, massant toutes les parties de son vagin, l’une entrant très profondément à l’intérieur (d’où je me tenais, je n’en voyais plus que le poignet, j’en avais la gorge sèche, dieu quel bonheur!), l’autre jouant sur les lèvres (je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de son clitoris). Après de longues minutes, le mouvement de ses mains s’accélérait et maman était prise d’un tremblement grandissant qui semblait ne pas vouloir s’arrêter, qui augmentait, augmentait puis sur un cri qu’elle étouffait en se mordant l’épaule, tout se calmait. Je me retenais mais je n’arrivais jamais à me retenir et j’éjaculais de longs jets de bonheur.

Maman sortait du bain et se séchait dans sa grande robe de bain puis s’asseyait sur le bord de la baignoire. Elle se versait un grand verre de cognac qu’elle avalait d’un trait, passait sa robe de nuit, sa robe de chambre et quittait la salle de bains, éteignait toutes les lumières de la maison et allait se coucher.

Mais je ne suis pas là pour vous parler de la frangine ni des bains de ma mère: cet été-là, il m’est arrivé une aventure inouïe.

Héléna était partie pour une excursion de trois jours en kayak, quant à moi, j’avais préféré rester à la maison. J’avais des examens à présenter à la rentrée, alors autant avancer un peu. Je ne voulais redoubler à aucun prix. Déjà que j’étais le plus grand de ma classe, imaginez que je me retrouve avec les plus petits...

Après le déjeuner, j’avais pris l’habitude de faire une petite sieste dans le salon sur le matelas pneumatique, maman allait lire et se reposer jusqu’à l’heure du thé sous la véranda, elle trouvait la maison trop chaude.

Je me couchais toujours à plat ventre sur le matelas, coinçant mon pénis entre deux des boudins et comme presque chaque jour, je me couvrais d’un drap pour ne pas être vu et je faisais le mouvement de l’amour en frottant ma verge jusqu’à ce que je jouisse dans ma main. Le plus souvent, j’avais emporté un mouchoir mais parfois je buvais mon sperme tout chaud, surtout depuis que maman avait trouvé des taches dans mes draps et m’en avait fait la remarque. Je pensais toujours comme une idée fixe au vagin de maman au moment où elle entrait dans le bain et je le voyais s’ouvrir, se fermer, bouger, onduler... jusqu’à ce que mon sexe explose.

Je n’entendis pas entrer maman. Elle s’approcha des pieds du matelas où j’étais en train de me remuer de plus en plus vite...

— Patrice, chéri?

Je sursautai et étais bouleversé d’avoir été surpris.

— Mon chéri, ce n’est rien, remets-toi, tu n’as pas peur de moi quand même?

Elle s’approcha et s’assit à côté de moi. Elle me caressa la tête. Je me retournai vers elle et timidement, levai la tête. Elle avait un sourire doux. Sa main descendit vers mon cou et elle caressa mes épaules.

— Mon chéri, mon chéri, je t’ai déjà dit qu’il valait mieux garder ta semence pour plus tard, pour tes amies. Tu sais, ce n’est pas que ce soit sale ou que je veuille t’interdire de te masturber, mais je trouve qu’un si joli garçon ne doit pas gaspiller son énergie comme tu le fais de plus en plus souvent.

— Maman, quelles amies? Tu sais que je n’aime que toi. Jamais je ne les suivrai. Elle sont tellement connes.

— Veux-tu arrêter d’être vulgaire?

Elle se laissa tomber sur mon épaule et embrassa mon front. Elle avait des larmes aux yeux.

— Maman, tu pleures?

Je me retournai sur le dos et pris sa tête dans mes mains. Je commençai à l’embrasser sur tout le visage, mêlant ses quelques larmes à la salive de mes baisers mouillés. Quand je fus près de ses lèvres, je ne sais ce qui me prit, je les embrassai, mouillant les miennes de plus en plus et les pressant sur celles de maman. C’est alors qu’elle ouvrit sa bouche et soudainement se mit à m’embrasser violemment, pénétrant ma bouche de sa langue ferme, nerveuse et toute excitée, poussant ce qui me semblait être des litres de sa salive délicieuse que j’avalais religieusement et qui débordait tout autour de nos bouches. Elle avait collé son corps tout contre le mien et me serrait dans ses bras alors que je tenais toujours son visage entre mes mains, l’embrassant comme un fou lui susurrant «Maman, ma petite maman, je t’aime, je te veux pour moi, je suis à toi, je veux t’aimer, maman, s’il te plait.»

Quand la fièvre tomba, ma mère me regarda. J’avais soudain peur qu’elle ne se fâche...

— Mon tout petit, tu es devenu un homme depuis tout ce temps. Je l’oublie trop souvent.

Et elle me donna quelque longs et tendres baisers sur tout le visage.

Elle portait ce jour-là (comment l’oublier: notre première fois?) un blouson de satinette et un short, le short ample qu’elle appelait ‘mon pantalon de jardin’.

Je lâchai son visage et en un mouvement soudain, entourai sa taille, juste entre le blouson et le short, sur sa douce peau nue. Je restai comme cela quelques longues secondes. Elle serra son étreinte encore plus fort et je commençai doucement à caresser le bas de son dos du bout de mes doigts, je sentais que tout doucement elle attrapait la chair de poule.

— Oh toi, où as-tu appris cela, c’est bon, tu sais.

Je continuai, si gentiment encouragé et remontai jusqu’à la frontière infranchissable de son soutien, j’en fis le tour d’une main, me retrouvant sous son bras humide. Elle se souleva tout doucement, me regarda et bondit sur ma bouche, m’embrassant à nouveau encore plus goulûment. Je pris sa langue, la suçai et de mes deux mains, passai vers l’avant de son buste. Au moment où mes doigts restèrent coincés entre nos deux poitrines, elle se releva:

— Patrice, j’ai si peur, je ne sais pas. Je sais que tu es si sensible...

— Et toi maman, tu sais j’ai toujours rêvé de t’aimer, mais je ne savais pas que ce serait comme ça et que c’est ce serait si bon. Je t’en prie, maman, apprends-moi à t’aimer.

Elle se tut et d’un geste rapide dégrafa son soutien qui s’ouvrit d’un coup libérant les seins adulés. J’ouvris le blouson tout grand, descendis le long de son corps et me jetai sur son sein gauche, l’embrassant fougueusement, le léchant, salivant et le mouillant tant que je pouvais. Arrivé au mamelon, je me mis à le sucer comme si je voulais l’avaler et qu’il ne voulait pas se décrocher.

— Aïe, tu me fais mal mon bébé!

— Pardon, ma petite maman.

Elle laissa sa main descendre le long de mon dos et le caressa, arrivé à la fente de mon cul, elle s’arrêta comme si elle cherchait son chemin. Je suçais son sein tout doucement maintenant.

De ma main droite, je descendis aussi vers le bas de son dos.

Soudain, elle se dégagea, se leva et me prenant par la main, elle me tira vers le sofa géant qui occupait le salon, elle s’y assit, et enleva son blouson, me regardant la bouche entre ouverte, le souffle court: elle était devant moi, ses seins nus, pleins! Qu’elle était belle, qu’elle était jeune et elle m’appelait de ses beaux yeux, me tendant les bras. Je me jetai à ses pieds et me retrouvais en face de ses beaux grands seins, je me mis à les caresser, les masser tout doucement, puis, me relevant, je me lovai contre le corps tant aimé, et me mis à l’embrasser dans le cou.

Elle m’attira sur le sofa et je m’assis à ses côtés. Elle m’entoura le cou de son bras gauche, m’embrassa l’oreille, puis de sa main droite, caressa longuement mes tétons et doucement descendit le long de mon ventre. Arrivée à l’élastique de mon slip, je compris où elle voulait en venir et mon sexe se gonfla complètement de sang, présentant une érection énorme et dure. Maman souleva le slip et attrapa le bout de mon pénis, glissa sa main le long de la hampe et descendit jusqu’au sac de couilles. Elle caressait doucement, montant et descendant du bord de mon anus au bout de mon gland.

«O mon amour!» souffla-t-elle et elle se mit à me lécher le torse, descendant vers mon slip et y arrivant, retira sa main et commença à mordiller ma bite à travers le tissus. Je devenais fou, quelle merveilleuse aventure: maman allait embrasser mon pénis, me sucer...

Je crus devoir lui rendre la pareille et m’étendis sur le divan, elle en profita pour faire glisser mon slip, j’étais nu et elle revint vers mon sexe gonflé et prise d’une gourmandise féroce et soudaine comme si elle attendait ce moment depuis trop longtemps, l’enfourna en une fois dans sa bouche en faisant des petits bruits de bonheur étouffés. Elle se trémoussait, remuait de son cul magnifiquement rond et je la vis glisser sa main libre sous son ventre puis s’enfoncer vers son vagin trempé, elle se mit à bouger sa bouche dans tous les sens, de bas en haut, entraînant ma bite de gauche à droite, la mordillant, attrapa mes couilles d’une main et les caressant, elle les serra tendrement entre ses doigts: elle jouait et je sentais que j’allais venir, qu’une énorme quantité de sperme se préparait à jaillir.

— Maman, je t’en prie, arrête, je vais venir, arrête...

— Je t’en supplie, chéri, viens, viens, maintenant!

Et, tenant sa tête de toutes mes forces, je jouis en hurlant «Je t’aime, je t’aime, je t’aimerai pour toujours...»

Elle continuait à sucer ma verge, avalant tout le jus qui en sortait en giclées puissantes et je devinais dans un demi coma qu’elle frottait son vagin de plus en plus vite de sa main, puis s’arrêtait, épuisée. Tout était sorti et elle suçait encore. Elle rouvrit les yeux et entre ouvrant la bouche, elle relâcha ma verge. Elle me sourit, sa bouche et ses dents brillaient de mon sperme, je la rejoignis et l’embrassai follement, partageant avec elle les restants de ma semence comme elle l’appelle, dans un baiser qui dura une éternité. Pendant que nous nous embrassions, nos deux corps se rapprochèrent et s’unirent.

Lentement, je la couvris de mes bras et ma main descendit le long de son flanc, dépassa son short puis remonta entre ses fesses à l’intérieur de la culotte... J’allais atteindre le sanctuaire du vagin de ma mère. Elle se blottit encore plus contre moi, suçant ma langue pour l’amener au fond de sa gorge. Elle m’attendait entre ses jambes! Tout doucement, ma main remonta entre ses cuisses et arrivée au slip qui était trempé de son jus odorant, elle écarta ses jambes, laissant mes doigts entre ouvrir sa petite culotte et s’enfoncer dans la toison conduisant aux longues lèvres de son vagin. Elle me mordit tout doucement. Elle commença à rire doucement. J’ouvris les yeux, elle ouvrit les siens. Elle me sourit.

— Vas-y mon chéri, tu es l’homme... Je suis toute à toi... Je t’aime, vas-y, sers-toi! Caresse-moi fort, fais de moi ce que tu veux!

Quand elle comprit que je voulais faire glisser son short et finir de la déshabiller, elle m’aida d’un seul coup, s’écartant de moi, elle enleva le short, me regarda dans les yeux.

— Le slip aussi, mon Seigneur? dit-elle, comme lorsque nous jouions aux jeux de rôle il y a quelques années.

— Évidemment, ma Reine et immédiatement, je veux vous faire goûter ce qu’il en coûte de me rendre l’esclave de votre corps de déesse.

Nous rîmes tous les deux, et lorsque son slip fut sur le sol, elle plongea dans mes bras et m’embrassa comme si cela faisait des lunes qu’elle n’avait plus embrassé.

Elle était là, blottie dans mes bras, m’embrasant furieusement, nue, splendide, frémissante et offerte, les jambes doucement écartées, le vagin pris de palpitations lentes... je croyais rêver! Je me dis qu’elle se sentait peut-être quand même un peu gênée de se retrouver tout à fait nue à présent. Je l’embrassai, la tins serrée dans mes bras et elle me rendit mon étreinte, je faillis étouffer.

— Je t’aime, je t’aime, que se passe-t-il? C’est si bon, ô mon Patrice, aime-moi, aime-moi comme je t’aime.

Je desserrai mon étreinte et doucement la couchai tout à fait sur le dos, profitant qu’elle se mit un instant sur un coude, je plongeai vers son sexe trempé, énorme, luisant, ouvert et qui sentait si bon. Lorsqu’elle me vit commencer à lécher le haut de son mont, elle écarta encore plus ses jambes, presqu’à l’horizontale, s’abandonnant pleinement et comme pour toujours à ma volonté et mes désirs. Faisant courir ses doigts sur sa poitrine vers son vagin, elle écarta ses lèvres des deux mains d’un coup violent comme si elle voulait se les arracher, m’offrir tout ce qui s’y cachait, c’est là que je vis ce petit bouton rose qu’elle me montra du bout d’un ongle. Je me mis à lécher avidement ce petit bout de chair tendre et si sensible enrobé d’un liquide divin et parfumé comme ses slips que je suçais en cachette. Je restai là à sucer interminablement, ignorant ses lèvres gigantesques que je chérissais d’embrasser et le trou vertigineux de son vagin où je voulais tant plonger.

Maman commença à gémir, tenant ma tête à deux mains, s’accrochant à mes touffes de cheveux, elle me faisait mal mais cela m’excitait encore plus. Je suçais, suçais à en devenir fou et soudain, elle se mit à trembler de plus en plus fort et un jus au goût merveilleux gicla d’entre ses lèvres un peu plus bas que son clitoris, inondant mon menton et je me précipitai pour le boire, l’aspirer entre mes lèvres: ce parfum si fort, ce goût salé enivrant... je ne savais pas que les femmes éjaculaient aussi. Maman maintenant hurlait, s’agrippait des deux mains au tissus du sofa, secouait la tête et le bassin dans tous les sens, j’avais toutes les peines du monde à rester accroché à son vagin, je me cramponnai des lèvres aux siennes qui semblaient encore s’être allongées.

— Arrête mon amour, arrête, je deviens folle, arrête, viens m’embrasser, viens, viens à moi, je t’en supplie!

Je n’avais jamais vu maman avec un visage si beau, elle est belle c’est vrai mais là, elle l’était encore mille fois plus, ses yeux me regardant comme si c’était la première fois qu’elle me voyait elle se mit à sourire, le bonheur se lisait sur son visage.

— C’était merveilleux, mon amour. Qu’est-ce qu’on s’aime, hein, mon bébé? dit-elle après un long moment.

— Oui, mon bel amour, on s’aime...

Et on s’endormit, corps contre corps, lèvre contre lèvres, sexe contre sexe.

 


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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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