Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:43

Les aventures d'Augustin (1)

Première partie: le lycée saint Joseph

Augustin, étudiant à l’école Centrale, est tout intimidé en franchissant le portail du lycée où il va exercer la profession de surveillant d’internat durant l’année. Le jeune homme ne passe pas inaperçu, mêlant le côté intello brillant de son père, prof à la Sorbonne, et la beauté éclatante de sa mère, jeune femme vénitienne, issue d’une vieille famille patricienne. Augustin a su cultiver l’adage «une âme saine dans un corps sain», sa mère l’ayant inscrit très jeune dans un club de natation. Bref, Augustin, avec son mètre quatre-vingt, bien bâti tout en restant fin, avec ses cheveux bouclés, blond vénitien, est le centre des regards de nombreux élèves quand le proviseur le présente dans la grande salle qui sert aussi de réfectoire. Le proviseur explique la spécificité de l’établissement qui accueille des élèves «rebelles» de bonne famille qu’on a dû retirer du système «classique» pour les «interner» dans ce lycée de la banlieue ouest de la capitale. Les parents ont des ambitions pour leurs chérubins et veulent les récupérer!

Augustin va tomber amoureux pour la première fois de sa jeune vie, dès le premier après-midi! Et de trois garçons en même temps! Le lieu du coup de foudre: la cour du lycée! Dans un coin éloigné, un groupe d’élèves est rassemblé et Augustin, qui surveille la cour entre midi et quatorze heures, s’approche du groupe, écarte quelques adolescents et surprend trois garçons en train de danser, les écouteurs vissés aux oreilles. Les trois adolescents se ressemblaient étrangement, mêmes converse aux pieds, même jean en velours slim taille basse qui tient par miracle sur leurs petites fesses, même sweat court à rayures et capuche, mêmes cheveux en pétard! Les jeunes se déhanchaient avec une bonne dose d’énergie, bougeant les bras de gauche à droite en faisant des vagues dans tous les sens, les pieds restant rivés au sol. Un des garçons mimait avec ses bras, l’action de se mettre du gel dans ses cheveux tout en effectuant de petits déhanchés. Un des garçons avait des petites fesses bien rebondies mais un autre avait les fesses toutes plates comme de nombreux ados. Augustin se prend à rêver, observant les caleçons ou les boxers des trois garçons, bien visibles derrière et devant! Le garçon blondinet, au petit cul tout rebondi se rend-il compte que son boxer lui rentre dans la raie des fesses la dessinant ainsi parfaitement?

Augustin sursaute quand un ado, derrière lui, l’informe que les trois sont les meilleurs tecknokillers de la classe de première S. Augustin, qui n’est pas beaucoup sorti de ses livres et de l’eau de la piscine, prend un air ahuri qui fait rigoler la bande d’ados autour de lui. «On va vous les présenter, monsieur! Le blond avec les cheveux tout bouclés, s’appelle Corentin! Le brun avec des cheveux qui partent comme des éclairs dans tous les sens, s’appelle Quentin et le deuxième blond avec les cheveux bien rangés qui repiquent vers le haut et le caleçon rose s’appelle Fabian. Il est allemand, de Berlin; il est venu à Paris avec sa mère pour échapper à une bande de trafiquants de drogue. Les trois sont inséparables depuis la classe de seconde quand Fabian est arrivé. Vous les trouvez trop mignons, monsieur!» «Tous les profs du bahut les adorent depuis le drame de l’année dernière.» Augustin se promet d’en savoir plus et, un peu honteux de l’intérêt trop visible qu’il porte aux trois ados, s’éloigne dans un autre secteur de la cour.

Dès le lendemain, l’occasion lui est donnée de retrouver son jeune trio. Le proviseur lui a demandé de convoquer immédiatement Fabian, quitte à déranger le cours de maths. Augustin frappe à la porte de la classe 24. Une forte femme, Béatrice Berthier, surnommée BB par les élèves (!), habillée comme un perroquet, lui ouvre en souriant. Sur l’estrade, Augustin reconnaît un de ses tecknokillers, le blond Corentin qui tire la langue en essayant de résoudre un problème de maths plutôt ardu! Augustin le trouve vraiment craquant, ce grand garçon tout mince avec ses longues jambes couvertes d’un joli duvet blond; Augustin remercie l’été tardif, plusieurs des ados, dont Corentin, portant des bermudas, toujours taille basse malgré les efforts du proviseur pour les interdire! Corentin souffle sur une mèche blonde, Augustin remarque l’acné juvénile, les grands yeux bleus. Tout à coup une tempête de rires secoue la classe, le bermuda de l’ado, toujours accro à la mode sagger, a glissé aux genoux pendant qu’il écrivait avec sa craie! Corentin, confus, devient rouge comme une tomate, aussi rouge que son mini boxer moulant parfaitement ses jolies formes intimes. La prof ne se démonte pas: «Au début de l’année, avec tes cheveux longs, je ne savais pas trop si tu étais une fille ou un garçon, maintenant je sais!» Re tempête de rires. BB reprend: «Et puis, essaie de ne pas arriver en retard presque chaque matin!» BB, qui n’aime pas beaucoup le jean velours, seconde peau, ultra moulant du mollet aux fesses que porte souvent Corentin en rajoute une couche: «Et bien mon garçon, si tu mets vingt minutes pour rentrer tes jambes dans ton jean et aussi tout ce qui fait de toi un garçon, je comprends que tu arrives en retard! Méfie-toi, quand c’est trop serré, la fertilité des garçons diminue, demande au prof de bio!» Elle est douée, BB, pour mettre les rieurs de son côté. De toute manière, les élèves l’adorent. Augustin apprendra bientôt que cette vieille de 50 ans ne choisit, malgré son agrégation brillante, que des classes un peu difficiles avec des ados souvent rebelles, noyés parfois dans leurs problèmes. Le miracle, c’est qu’elle les remet à flot, ne plaignant pas les heures de soutien non rétribuées. De plus, elle a payé en partie de sa poche, la participation de Fabian au voyage scolaire de fin de seconde. Bref, sa classe se ferait hacher menu pour elle!

Enfin, bref, Augustin transmet la demande du proviseur et jette un coup d’œil vers ledit Fabian qui s’effondre en larmes sur son bureau. Augustin est bouleversé, ému par le geste de Quentin, le joli brun assis à côté de Fabian. Quentin entoure l’épaule de Fabian de son bras et lui parle doucement à l’oreille. Toute la classe respecte un silence total, suppliant BB du regard. Le pauvre Augustin ne comprend rien; les deux délégués élèves exigent de pouvoir accompagner le jeune allemand. Quand les trois adolescents ont quitté la salle, BB, gentiment, lui explique que Fabian, avec ses seize ans tout récents, est le plus jeune de la classe mais aussi le plus paumé. Ce n’est pas un problème de langue, le garçon est parfaitement bilingue grâce à sa mère française, mais son père les a abandonnés, sa mère a vécu ensuite avec un architecte qui l’a aussi plaquée, sans argent. La mère et le fils ont dû déménager et, dans son nouveau lycée «difficile», Fabian a été racketté par une bande de jeunes turcs qui l’ont obligé à dealer. BB, vraiment désolée du désespoir intime qui habite ce garçon s’est jurée de l’aider. Elle raconte comment la classe, et surtout Corentin et Quentin, ont soutenu le jeune allemand. Corentin et Quentin s’approchent du bureau, expliquent à BB que la mère de Fabian est hospitalisée et n’a plus un euro disponible pour payer la scolarité de son fils. BB demande à Augustin de garder ses «petits», pendant qu’elle s’en va défendre son protégé dans le bureau du boss. Son absence va durer toute l’heure et les ados lui racontent la jeune vie de Fabian.

Corentin commence le récit: «Quand Fabian a changé de lycée, à Berlin, ça a été un vrai choc pour lui, il a été tout de suite pris en grippe par une bande de jeunes turcs, menée par Göker, un dur de sa classe. Ils se sont moqués de son côté efféminé avec ses jolis cheveux blonds bien rangés, ses grands yeux trop doux. Fabian a été tout de suite traité de fils de riche, d’intello. Quinze jours après la rentrée, Fabian est tombé dans un premier traquenard. En marchant dans la rue, son MP3 vissé aux oreilles, il a été saisi par quatre jeunes de la bande de Göker et entraîné dans une arrière-cour. Là, les gars de la bande ont commencé à le gifler, Göker lui balançant un coup de poing directement sur les parties génitales. Göker lui a expliqué alors qu’il voulait 100 euros dans les trois jours. Fabian a eu beau protester, affirmant que lui et sa mère étaient aussi pauvres qu’eux mais la seule réponse fut une nouvelle volée de coups. Trois jours plus tard, comme convenu, Fabian a versé sa rançon de cent euros, toutes ses économies y sont passées. Göker réclame à nouveau cent euros pour la semaine suivante. Le deuxième incident grave, raconte ensuite Quentin, eut lieu huit jours après, à la fin du cours de sports, sous les douches. Un des potes de Göker est venu chercher en urgence le prof et dès que ce dernier eut quitté le gymnase, cinq gars sont tombés sur Fabian sans que le reste de la classe n’ose bouger pour lui venir en aide. La bande de Göker règne par la terreur. Fabian, qui se douchait en maillot de bain, est tiré au milieu du vestiaire, Göker, en souriant, lui ordonne de se mettre tout nu. Fabian refuse, explique qu’il n’a plus d’argent mais la bande lui tombe véritablement dessus. Fabian se retrouve allongé sur le ventre, sur le carrelage, il sent qu’on lui arrache son slip, qu’une main se glisse entre ses fesses, s’empare de son sexe, cherche ses testicules. Une autre main le baillonne tandis que la main, qui a enserré ses couilles, les broie de plus en plus fort. Fabian sent qu’on lui savonne son petit trou. Göker revient avec un balai et commence à frotter le bout du manche sur l’anus de Fabian qui se tortille. Heureusement, le prof, alerté par un élève plus courageux que les autres, intervient juste à temps pour éviter le pire, mais le garçon va rester longtemps prostré, en boule, sanglotant dans la salle des douches. Le garçon ne parlera pas, ni le proviseur, ni le prof de sports, n’en sortiront un mot. Fabian ne dira rien non plus à sa mère qui apprendra l’agression de la bouche d’un de ses camarades de classe, plusieurs mois après.» Augustin, ému par le récit, sent les larmes lui monter aux yeux.

Deux heures après, BB réunit un mini conseil de guerre avec sa classe de première S; Augustin demande s’il peut rester, BB accepte avec chaleur. Elle raconte l’entrevue dans le bureau du proviseur. Göker, le persécuteur de Fabian doit être jugé pour trafics, racket, violence et Fabian doit témoigner au tribunal pendant les vacances de la Toussaint. L’adolescent reste trop fragile, les copains de Göker ont menacé de lui «couper les couilles, excusez moi si je vous choque mais ce sont les termes exacts du garçon» s’il revenait se pointer dans la capitale allemande. «Ce serait dommage!» suggère Corentin qui ne fait rire personne. BB ajoute que, pour ne rien arranger, la mère de Fabian ne peut plus payer la scolarité dans ce lycée privé, Fabian devra quitter l’établissement après les vacances de la Toussaint. Quel tollé dans la classe, BB doit rassurer ses potaches en jurant que ça ne se passerait pas comme ça! Elle dévoile son plan de bataille, Augustin n’en revient pas de l’énergie de BB! Premièrement, elle lance une souscription, tous les élèves lèvent le doigt pour accepter de contribuer et de passer dans toutes les classes, BB se chargeant des profs. Deuxièmement, BB accompagnera Fabian à Berlin et demande à Corentin et Quentin de venir. Augustin demande à se joindre au groupe, ce qui est accepté aussitôt. Troisièmement, BB qui voit le jeune allemand décrocher en maths, demande des volontaires pour aider le garçon chez lui. Re unanimié, toutes les mains se lèvent. Augustin, brillant étudiant à Centrale, s’occupera de Fabian, aidé par les inséparables Corentin et Quentin, un peu moins costauds dans la matière.

Le mercredi suivant, Augustin retrouve Quentin et Corentin au Paranoid park du coin! Il éprouve une bouffée de désir qui l’inquiète en voyant évoluer les deux adolescents sur leurs skates. Les deux garçons évoluent torse nu. Il rougit, admirant les corps finement musclés, un peu maigrounets, le toupet de ces garçons qui n’ont aucun complexe à montrer leur caleçon. Augustin, un peu honteux, s’imagine caressant les jambes des deux garçons, glissant sa main dans le large bermuda, atteignant les couilles qu’il imagine douces, effleurant le périnée, l’anus, le gland. En s’imaginant pousser son doigt dans l’anus des garçons, il se sent durcir dans son jean et sent aussi que ça se voit. Corentin l’interpelle en riant: «C’est de nous voir faire du skate qui vous met dans cet état, monsieur?» Dix minutes après, Augustin, encadré par les deux skaters, se rend au domicile de Fabian.

Il fait hyper chaud dans le petit T2 qu’occupe Fabian avec sa mère sous les toits d’un vieil immeuble. Augustin est trop troublé, Fabian les accueille torse nu, ne portant qu’un petit caleçon. Il chahute gentiment avec ses deux potes qui entrent à leur tour et Augustin voit très bien la tige de l’ado bouger dans le caleçon. Il a encore plus chaud quand il voit Quentin et Corentin se mettre aussi en caleçon. «Ne vous gênez pas, monsieur, on crève de chaud chez Fabian! On va d’ailleurs prendre une douche avant de bosser.» Le jeune surveillant, qui était du genre timide à cet âge, n’en revient pas, les trois caleçons ont volé et, toujours en chahutant, les trois ados, tout nus, la quéquette secouée dans tous les sens, gagnent ensemble la salle de bains! Augustin s’effondre sur le canapé, son cœur bat la chamade, son sexe lui fait mal tellement il est dur. Il ferme les yeux mais un flot d’images le submerge, les torses imberbes, les couilles dansant entre les cuisses finement musclées des adolescents, couilles restées imberbes pour Fabian et Corentin, plus grosses et plus poilues chez Quentin, les fesses bien dures, plates chez Fabian, rebondies chez ses deux copains.

Augustin rouvre les yeux en entendant rire, les garçons sont revenus, encore nus, s’essuyant à peine pour conserver un peu de fraîcheur. «Et vous, il faut vous doucher aussi!» Augustin finit par accepter et se dirige vers la salle d’eau. Les garçons sont sans pitié: «Il faut laisser vos fringues sur cette chaise.» Augustin doit s’exécuter et tourne le dos aux trois garçons pour se dénuder; il file vite, la verge bien bandée, ce qui fait rire encore davantage les trois petits diables. Augustin se douche à l’eau glacée, faisant tomber son érection, puis réintègre le salon. Les trois ados sont assis autour de la table ronde, tout nus, assis sur une serviette, commençant leurs révisions de maths. Augustin constate qu’une chaise, couverte aussi par une serviette, lui est destinée. Rouge comme un écrevisse bien cuit, il prend place: «Que les maths commencent!» proclame Corentin. Le plus drôle, c’est qu’on va bien bosser durant près de trois heures.

Vers 20h, on sonne à la porte et Corentin, sans complexe, ouvre toujours tout nu en criant que c’est le livreur de pizza. Le livreur est plutôt confus en voyant les quatre, nus comme des vers, avec tous les bouquins de maths sur la table! Quentin proclame solennel en désignant Augustin: «C’est Acadomia, prof à domicile, sauveteur des âmes perdues en maths!» Le pauvre livreur, qui ne doit pas être plus âgé que les trois diables de la première S, se demande ce qu’il doit croire; Augustin met fin à son supplice en lui versant un large pourboire en plus du prix de la pizza et le jeune livreur s’enfuit sans demander son reste! Le repas se fait sur le tapis sur lequel Fabian a étalé une nappe. Quelle rigolade chez les trois plus jeunes, surtout quand Fabian fait couler de la sauce tomate sur son sexe redressé comme un i et bien décalotté. «Je vais arranger ça!» Et Corentin de se pencher et d’avaler le gland rouge de sauce tomate! Quentin se marre: «C’est de la sauce Aurore que tu vas avaler quand Fabian aura juté, rouge plus blanc égale rose! Les gars, il faut s’occuper de notre pion préféré! On va lui mettre un bandeau sur les yeux, il est trop timide!» Les trois adolescents se jettent sur Augustin qui ne se défend pas beaucoup! Le bandeau lui fournit une excuse! Il ne sait plus qui fait quoi! Il sent une paire de couilles toutes douces lui chatouiller le nez et se résout à gober ces œufs tout frais, les mordillant doucement. Il sent qu’une bouche a pris possession de son sexe, qu’une langue titille son gland tandis que des doigts tirent sur la peau de ses bourses. Il prévient quand il se sent venir trop vite mais la bouche l’enfourne encore plus profondément et ses jets de sperme atteignent le fond de la gorge de quel adolescent?

«Suce-moi!» Toujours avec son bandeau sur les yeux, Augustin a reconnu la voix de Corentin et sent le gland de l’adolescent lui chatouiller les lèvres. Il le tète jusqu’à ce qu’il sente le sperme gicler et ouvre grand la bouche pour avaler la semence jusqu’à la dernière goutte. «C’est Fabian qui va te prendre, il a la queue la plus fine et ne te fera pas trop mal.» Vraiment prévenant Corentin. Augustin crie quand le jeune allemand l’enfile sans trop de douceur. Quand Fabian retire sa verge, il sent le sperme s’écouler doucement de son anus. Corentin, l’esprit décidément très pratique remarque: «Ne tache pas trop la nappe et fais moins de bruit, il y a des voisins!» Fatigués par leur soirée «maths and love», les quatre s’endorment sur le tapis.

À six heures, quand sonne le réveil de son portable, Augustin jette un coup d’œil ému aux trois ados emmêlés; leurs visages apaisés sont encore ceux d’enfants mais leurs organes génitaux sont bien ceux de jeunes adultes. Augustin a une nouvelle bouffée de désir en voyant Fabian allongé en chien de fusil, les testicules lisses coincés derrière les cuisses serrées. Il se penche doucement pour déposer un baiser sur les deux boules du garçon endormi puis va dans la cuisine préparer le petit dej; il est bientôt l’heure de rejoindre le lycée et Augustin prend son service dès 7 heures. À 8h05, quand il voit les trois inséparables franchir le portail, Augustin a beaucoup de mal pour prendre son air de pion sévère en tançant les garçons pour le retard. Quentin, ironique, explique qu’ils ont eu une nuit agitée!

Enfin, novembre débarque et le grand jour est arrivé, BB, en chef de commando, mène sa troupe composée de trois ados de 16, 17 ans et d’un jeune adulte, pas beaucoup plus mature! La troupe prend le train de nuit, direction Berlin HauptBanhof. Dans un compartiment prennent place les garçons tandis que BB a droit à un wagon-lit, «étant donné son grand âge» lui lance Corentin en rigolant. Les boys sont trop contents d’être entre eux; il fait chaud dans le compartiment dans tous les sens du terme. À peine le train lancé sur les rails, les trois ados se débarrassent de leurs vêtements et se fichent de la tête d’Augustin à qui BB a demandé de surveiller les trois garçons! Corentin proclame que les quatre vont prêter serment de rester toujours amis, chacun va boire le sperme des trois autres puis chacun sera pris par les autres! «Ça va pas!» reconnaît Quentin qui a un peu plus les pieds sur terre. «Ça nous ferait jouir six fois en 10 heures!» «Bon, on se contentera de la bouche! Celui qui est sucé s’assoit sur le lit d’en haut, les autres attendent leur tour.»

C’est en pleine action que les ados sont surpris par les coups sur la porte! «C’est moi, j’ai un papier important à étudier avec vous avant la convocation chez le juge.» Panique dans le compartiment, on fonce sur les sous-vêtements et Corentin se résout à ouvrir, pas très à l’aise. BB le regarde bizarrement, Corentin baisse les yeux et s’aperçoit qu’il a enfilé son caleçon à l’envers. BB le regarde encore plus bizarrement quand il parle: «Tu as la langue toute blanche, tu dois avoir une crise de foie mon garçon!» Quentin et Fabian se regardent en essayant de ne pas éclater de rire. Quant à Augustin, il n’est pas du tout à l’aise. Les quatre garçons enfilent un T-shirt et s’installent pour étudier les documents. Augustin donne un petit coup de coude à Fabian qui ne voit pas que le bout de son sexe dépasse du petit caleçon à fleurs qui cache ses parties intimes. Fabian rougit comme une tomate et rectifie la tenue.

Bref, après une deuxième partie de nuit plus calme, les cinq débarquent dans la nouvelle gare de Berlin. Du taxi, ils observent bouche bée les grands travaux de la capitale de l’Allemagne réunifiée, le Parlement avec sa coupole de verre, la Potsdamer Platz avec ses buildings Sony et Daimler. Pas moyen de faire desserrer les dents à Fabian qui se révèle un bien piètre guide; BB, très maternelle, le couvre des yeux. Au tribunal, le lendemain, Augustin va vivre une de ses journées les plus riches en émotion. Longtemps il gardera en mémoire les sanglots de Fabian exposant sa jeune vie berlinoise qui lui laisse encore tant de cauchemars. Le garçon raconte tout, sans se dégonfler, malgré les regards menaçants des jeunes turcs.

Le soir même, pas moyen de faire rester Fabian un jour de plus, la petite troupe reprend le train de nuit. Quand la rentrée de novembre s’effectue, Fabian est suffoqué quand toute la classe lui saute dessus pour l’embrasser, le rassurer. Sa mère est sortie de clinique et la collecte permet au jeune allemand d’assumer tous les frais de scolarité pour plus d’une année. La nuit fut extraordinaire, les quatre inséparables font la fête avec BB et la mère de Fabian puis, après le départ de BB, les quatre garçons s’endorment ensemble, dans la chambre de Fabian après avoir fait l’amour, sans bruit, tout en douceur, à tour de rôle, mêlant leurs caresses, leurs jambes, leurs bras, leurs sexes, retenant leurs cris.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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