HISTOIRES GAY

Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:36

La science est notre amie

Alors comment avancent tes cours particuliers Mario?" demanda sa mère.

Entre deux bouchées de céréales, le lycéen rougit et articula:

— Bof... pas mal...

Son père intervint dans la conversation:

— Ton professeur a appelé hier soir pour me prévenir que tu faisais des avancées spectaculaires! Il a même dit que tu n'aurais aucun problème à avoir ton bac si tu continuais sur ta lancée!

— Ah! Je savais que mon fils avait du potentiel! s'exclama sa mère.

— Tu vois fiston, quand tu veux! Il suffit de te trouver la bonne motivation!

Mario ne fit qu'acquiescer à ses parents, fixant son bol de céréales comme si c'était la plus fascinante des choses qu'il ait jamais vue; le plug qu'il avait dans le cul lui provoquait une érection permanente et il devait concentrer tout ses efforts pour ne rien laisser paraître de son excitation. En vain! Lorsqu'il quitta la table, une bosse déformait toujours son entrejambe et il crut voir son père lui adresser un sourire narquois.

On était jeudi et depuis lundi, Mario suivait des cours de rattrapage très particuliers avec son prof de science physique. Tous les après-midis, il se rendait au lycée, ils révisaient intensivement pendant deux heures puis le jeune cancre offrait à son professeur un suçage de bite en règle tandis que celui-ci lui pénétrait l'oignon avec divers godes... Mercredi soir, après leur quatrième séance de baise, M Lebel (ils avaient commencé le vendredi, veille des vacances) avait enfoncé un bon gros plug dans le cul de son élève et lui avait ordonné de le garder jusqu'à leur prochaine rencontre. Mario s'était exécuté, à la fois honteux et comblé de plaisir.

Tandis qu'il finissait ses exercices de révision, le jeune rital anticipait le plaisir de la séance particulière de l'après-midi, tout en faisant jouer ses muscles anaux autour du plug. Il se demandait quel serait la nouveauté de cette séance, il espérait que son professeur le baiserait avec sa grosse bite palpitante. Jusque là, il n'avait jamais été pénétré que par des godes et il se sentait assez frustré de ne pas connaître la sensation d'un véritable organe labourant son petit trou...

Il fut interrompu dans ses pensées lubriques par son père qui entra dans sa chambre: "Pour cet après-midi, je pourrais te conduire au lycée en allant au club de rugby, nos horaires correspondent." Malgré la gêne qu'il ressentait à l'idée que son père le conduise chez son prof/amant alors qu'il avait un plug dans le cul, le jeune homme ne pouvait refuser l'offre sans éveiller les soupçons.

Dans la voiture, la conversation fut courte et assez stérile, comme toujours, entre Mario et son père. Alors que Mario descendait de la voiture, son père lui lança un: "Ne me déçois pas!" Visiblement, le fait de voir leur cancre de fils rattraper en une semaine son retard dans la matière a plus gros coefficient pour le bac devait rendre ses parents un peu gaga! Une fois dans la classe, de M Lebel, le futur bachelier se mit studieusement aux exercices que son professeur lui avait préparés. Depuis une semaine, il ne faisait plus que cela et il commençait à connaître les formules du programme par cœur: calcul du vecteur vitesse, les trois lois de Newton, le travail d'une force, les champs magnétiques et blablablabla... Plus vite il finissait les exercices, plus vite il pourrait se livrer aux séances particulières qu'il partageait avec son mentor!

Justement, voici que notre jeune rital vient de terminer son dernier exercice. Le voila qui se dirige vers l'estrade du professeur...

— Eh bien tu as fini?

— Oui m'sieur!

— Viens sur mes genoux, on va corriger tout ça...

C'était devenu un rituel, chaque fois l'adolescent s'asseyait sur les genoux de son professeur et suivant qu'il ait fait des erreur ou qu'il ait réussi un exercice particulièrement difficile, M Lebel lui caressait la nuque, le dos, le ventre, les tétons... Si bien qu'à la fin du dernier exercice, les deux mâles étaient bandés au maximum. C'était à ce moment là que Mario s'agenouillait entre les cuisses de son professeur et lui léchait le corps, commençant par les pieds puis remontant jusqu'à gober le sexe tendu de l'ancien militaire... S'en suivait une longue scéance pendant laquelle élève et professeur jouaient avec des godes et mélangeaient leurs fluides avec toute la passion dont ils étaient capable.

Mais cette fois-ci fut différente, Mario avait réussi tous ses exercices et son professeur était content de lui. "Bien maintenant, penche toi sur la table et montre moi si tu as aussi réussi l'exercice spécial que je t'avais demandé. Il est crucial de le réussir pour suivre la suite du cursus!" Rendu docile par l'excitation, Mario se pencha et laissa au professeur le plaisir de lui retirer son pantalon. Une fois cul nu, il put sentir les grandes paluches de son maître lui tâter les fesses puis les écarter pour admirer le plug qui y était enfoncé...

— Bien, bravo! Tu l'as gardé depuis hier?

— Oui m'sieur, enfin je l'ai enlevé pour aller aux toilettes mais le reste du temps, il était bien enfoncé dans mon cul comme vous me l'aviez ordonné...

— Dommage, un petit jeu scato aurait été amusant... Nooon! Ne fais pas cette tête là mon garçon, je plaisante... les plaisirs scato sont plus loin dans mon programme, il ne faut pas bruler les étapes!

Mario sourit, à moitié rassuré, puis posa la question qui avait hanté sa nuit:

— Alors, vous allez enfin m'enculer?

— Non pas encore mon garçon! Chaque chose en son temps, il faut que tu sois prêt!

— Mais vous m'avez déjà enfoncé gode aussi gros que votre queue, je vois pas ce qu'il vous faut de plus!

Le maître prit le visage de son jeune élève entre ses mains et planta ses yeux dans les siens:

— Mario, tu me fais confiance n'est-ce pas?

— Oui m'sieur!

— Tu n'oublies pas que si tu réussis tous les objectifs que je nous ai fixés, tu auras droit à une récompense demain?

— Oui monsieur mais je vois franchement pas pourquoi attendre plus longtemps pour me...

— Voila pourquoi tu es l'éléve et moi le professeur. Maintenant arrête de discuter mes décisions: et si je te disais que la séance d'aujourd'hui avait pour thème la soumission totale?

Alors qu'il prononçait ces derniers mots, M Lebel sortit de son tiroir de bureau un collier de cuir et une laisse...

— Déshabille-toi!

Lorsque son maître lui avait passé le collier autour du cou, Mario avait ressenti un souffle d'excitation s'emparer de lui. M Lebel lui avait ensuite mis sa laisse et lui avait mis une cagoule aveugle sur la tête.

— À partir de maintenant, tu marches à quatre pattes, tu obéis à mes ordres, tu avances quand je te le dis, tu t'arrêtes quand je te le dis. Tu ne fais rien que je ne t'ai ordonné au préalable. C'est clair?

La bite raide d'excitation, Mario acquiesça, il savait d'instinct qu'il n'était pas censé parler.

— Bon, maintenant tu as rendez-vous avec ton dernier test avant la récompense. Suis moi.

"Quoi? On va sortir? Mais putain je suis cagoulé, torse nu, à quatre pattes et tenu en laisse par mon prof de science physique!"

Son maître tira sur la laisse et Mario avança sans plus réfléchir. Il suivit son maître à l'aveugle, guidé par le rhytme de ses pas et par la laisse tendue. D'après sa connaissance des lieux, ils étaient sortis de la classe puis avaient traversé le couloir jusqu'à l'escalier de service - descendre les marches à quatre pattes n'avait pas été facile! Ensuite, il avait senti du béton sous ses paumes, ils devaient être sur le parking des enseignants; heureusement que pendant les vacances, le lycée était quasi désert!

Horrifié, Mario entendit des bruits de pas s'approcher, au moins une personne arrivait vers eux. Le rouge de la honte lui monta aux joues, il baissa la tête au maximum et souhaita rentrer sous terre mais à ce moment là, une main douce et virile vint lui flatter les flancs.

— Belle bête que vous avez là!

Le ton était bien entendu ironique et pour ce que pouvait en deviner Mario la personne qui parlait n'était pas celle qui lui caressait le dos comme on caresse un chien...

— Alors, il est comme vous l'aviez espéré? dit M Lebel.

— Ça! Vraiment j'aurais pas pu rêver mieux! Ah quel beau cul!

— Justement, t'as pas le droit d'y toucher, pas avant demain en tout cas! C'est de la trop bonne marchandise pour la gâcher comme ça! On lui réserve un traitement grand luxe n'est-ce pas?

Le deuxième inconnu émit un grognement d'approbation tout en continuant de caresser le corps de Mario. Le premier homme reprit la parole et Mario commençait à reconnaitre sa voix:

— J'vous fais confiance pour être bien vicieux les mecs! Mais avec ce qu'on va lui faire aujourd'hui, votre petite pute aura déjà un aperçu du paradis! Allez, en voiture!

— Attends! J'veux être sûr que t'as bien compris la règle: tu touches pas à son cul ok? Si tu ne fais que l'éffleurer, j'te garantis que je te tabasse, c'est bien clair?

— Hé mais c'est qu'il s'énerve le ptit chimiste! T'inquiètes pas, j'y toucherai pas à son précieux trou du cul! Comme si j'étais né d'la dernière pluie!

— J'veux juste être sûr de bien m'être fait comprendre. Je veux pas que ça se passe comme avec le petit Yacine! Son père a failli nous coller un procès au cul!

— Yacine, c'était différent et puis ce sont mes oignons. Celui là est à toi, je comprends que tu te sentes responsable! Bon on y va maintenant ou on attend que quelqu'un nous voit et appelle les flics?

Pendant le dialogue, Mario avait enfin reconnu la voix de monsieur Tiriac, un des profs de sport du lycée qui s'occupait entre autre du club de foot et de handball. Alors, lui aussi il était dans le coup? Qu'est-ce qui allait se passer bordel? On le fit monter dans le coffre d'une voiture. Avant qu'il ne se referme, Mario sentit la main du deuxième inconnu lui caresser la tête. Ensuite Mario entendit des bruits de portières, puis le moteur, quelques cahots, il perdit un peu la notion du temps et se mit à suer... Lorsqu'enfin la voiture s'arrêta et qu'on ouvrit le coffre, une main s'empara tout de suite de sa laisse.

— Allez, viens par ici mon coco. Tu vas adorer, j'en suis sûr!

Frédéric, Ludovic, Aziz et Quentin faisaient tous les quatre partie du club de foot du lycée et venaient de finir un de leur entraînement quotidien des vacances. L'entraîneur débarqua dans les vestiaires alors qu'ils ne s'étaient pas encore débarrassés de leurs crampons:

— Hé vous trois! Vous voulez vous marrez? V'nez avec moi! Ludo tu viens aussi!

Les quatres camarades de classe suivirent leur coach, le regard mi-interrogateur mi-amusé, lorsqu'il comprirent qu'ils se dirigeaient vers les toilettes... Devant la porte des toilettes pour hommes se tenait M Lebel, leur professeur de Science-Physique... de plus en plus étrange. "Qu'est-ce qu'il vient foutre ici celui la?" L'entraîneur et le prof s'échangèrent une grimace complice puis le coach s'adressa à ses footballeurs amateurs:

— Bon les mecs, Lebel et moi on vous aime bien alors on vous a préparé une - hum! - surprise... Avant de commencer quoi que ce soit, j'dois vous rappeler, on est là entre mecs, y'a pas de soucis, on est tous faits pareil alors la jouez pas chochotte et montrez nous qu'on a eu raisons de vous choisir, OK?

Les quatre jeunes gens acquiessèrent, intrigués. "C'est parti!" lança le coach en entrant dans les toilettes. Fred et ses potes le suivirent, le prof de science physique fermait la marche. Il accrocha un panneau "hors service pour problèmes de tuyauterie" sur la porte et la ferma à clef; ils étaient désormais enfermés dans les toilettes. M Lebel ouvrit l'une des cabine et à la stupéfaction de ses quatre élèves, il en fit sortir une jeune homme soumis, marchant à quatre pattes. Son corps était nu et assez musclé, sa tête était recouverte d'une cagoule de cuir, laissant libre sa bouche et ses yeux, un collier de chien se fermait autour de son cou et était relié à une laisse courte que tenait fermement le prof de science, un jockstrap recouvrait son intimité en laissant ses fesses à l'air.

— Chienne? Lèche moi les pompes!

Lorsque le jeune homme-chien se pencha pour lécher les rangers du prof, il exposa sans pudeur le gode noir bien calé au fond de son cul. Les quatre camarades n'en revenaient pas! Ils échangèrent des regards inquiets et interrogateurs. C'est le prof de sport qui interrompit le silence, il était allé farfouiller dans un coin de la pièce pendant que M Lebel sortait le "chien" de sa cabine:

— Alors les jeunes? J'parie que c'est la première fois que vous voyez un truc pareil?

— Mais qu'est-ce qui se passe?

— Il se passe qu'on a décidé de vous faire un cadeau: on vous offre cette pute sur un plateau!

— Quoi?

— J'ai peur de comprendre...

— Y'a pas de quoi avoir peur justement! On est là pour prendre du bon temps!

M Lebel intervint dans la conversation:

— Approchez vous tous les quatre!

Devant son ton autoritaire, les footballers en herbe s'exécutèrent sans broncher.

— Vous voyez cette lope à mes pieds?

— ... Euh, oui monsieur...

— Bien, cette lope est là pour satisfaire vos moindres désir du mieux qu'elle peut. C'est pas un mec, c'est pas une pute, c'est même pas un humain, c'est une chienne! Votre chienne! C'est clair?

Ludovic déglutit, Aziz sourit nerveusement, tous les quatre étaient blanc comme un linge.

— Une seule règle. Vous! Ne! Touchez! Pas! À! Son! Cul! C'est bien compris?!

— ... Oui monsieur...

— Bon, elle est à vous.

M Lebel tendit la laisse à Frederic et s'écarta. Les ados se regardèrent en silence, les mains tremblantes, Fred laissa tomber la laisse. La "chienne" la ramassa dans sa gueule et leva la tête dans l'attente d'une réaction de ses nouveaux "maîtres". Ce fut encore M Tiriac qui rompit le silence:

— Oh putain je vous savais pas aussi coincé les p'tits gars! On vous offre un vide-couille et vous n'en faites rien! C'est pourtant pas compliqué regardez!

Le prof de sport s'empara de le laisse et colla la tête du clébard sur son entrejambe.

— Regardez comment elle aime ça la salope! Vous voyez ça les jeunes?

Il baissa son pantalon de jogging et son slip juste assez pour faire sortir son service trois pièces, le soumis se précipita pour avaler la longue queue odorante et se mit à la téter avec ferveur tout en massant les couilles de son bienfaiteur.

— Aah! Les mecs, aucune de vos petites copines coincées ne sera autant avide de queue que cette truie ici présente! Vas-y ma belle, pompe-moi le dard! T'es une bonne chienne! Bonne chienne!

Mario était devenu une vrai pute en chaleur, il n'en revenait pas lui même, toutes ses inhibitions étaient levées comme par magie. Il pompait la bite du professeur de sport devant quatre de ses camarades de classe et il aimait ça! Bordel, Frédéric et Aziz étaient même deux de ses meilleurs potes! Si seulement ils savaient qui était en dessous de la cagoule, quelle tête ils feraient! Tout en suçant les délicieuses couilles poilues du coach, Mario ne quittait pas des yeux M Lebel qui était en retrait au fond de la pièce... "Et tout ça, c'est grâce à lui! Je suis qu'une salope mais qu'est ce que c'est bon!"

— Allez Fred, à ton tour!

M Tiriac passa la laisse dans les mains du jeune homme. Frédéric eut l'air d'hésiter mais lorsque la chienne se rua sur son entrejambe, il ne résista pas et laissa lui aussi tomber ses inhibitions. Fébrile, il retira son short et frotta la tête de la chienne contre son sexe bandé à travers son caleçon. Plus il était rude, plus la chienne semblait aimer, ouvrant la bouche et gémissant pour avaler son engin. Il retira son caleçon. "Oh putain! Suce moi la queue salope!" et s'enfonça dans la gorge du soumis sans plus attendre. Il prit la tête de la chienne entre ses deux mains et lui baisa la gueule sans ménagements. Devant la scène, Quentin sortit sa bite de son short et se mit à se masturber frénétiquement tandis qu'Aziz se caressait l'entrejambe. Au bout de quelques minutes de ramonage frénétique, Frédéric convulsa de plaisir et largua la purée au fond de la gorge de Mario. "Démeeeent!"

"À mon tour!" s'écria Quentin qui pénétra la gueule de la chienne pleine de foutre sans même lui laisser le temps d'avaler. Alors que le jeune élève s'épuisait en coups de queue dans le fourreau accueillant, une trainée de sperme dégoulina lentement du coin de la lèvre du soumis. Sans réfléchir, Frédéric la receuillit avec son doigt et la porta à sa bouche. Contrairement à son camarade, Quentin se calma rapidement et s'efforça de varier le rythme du pompage, laissant la salope lui sucer la queue sur la largeur ou lui sucer les couilles, ne lui laissant que son gland à suçoter ou au contraire, s'enfonçant au plus profond de la bouche acceuillante... "Elle me fait une gorge profonde les mecs!" Malgré tous ses efforts pour faire durer le plaisir, l'adolescent au sang chaud ne tarda pas a exploser contre le palais de Mario. Comme une bonne chienne, celui-ci prolongea le plaisir en s'assurant qu'il en restait plus une goutte de sperme à pomper puis se tourna vers Aziz qui avait déjà quitté ses vêtements.

Son camarade n'hésita pas un instant et colla son entrejambe odorant dans la gueule du soumis. "T'es vraiment une chienne alors! Et pas la moins salope en plus! J'ai un cadeau pour toi! Avale ça!" Alors qu'il venait de prendre en bouche le sexe encore mou du jeune rebeu, Mario eut la gorge envahie par un liquide chaud et salé, de la pisse! Sous le choc, le jeune soumis eut à peine le temps de réagir, avalant une gorgée à contre-cœur pour ne pas se noyer. "Avale tout je te dis!" Sa tête était immobilisée et la pisse jaillissait toujours au fond de sa gorge, il était totalement impuissant! C'est en cédant à ce sentiment que Mario se mit à boire le liquide âcre, d'abord timidement puis de plus en plus gouluement. Découvrant le plaisir de la soumission totale, l'adolescent y céda totalement. "Ah ouais! Je savais bien que t'étais aussi une chiotte ambulante! Bois tout et tu auras le droit de pomper aussi mon jus!" Après avoir avalé jusqu'à la dernière goutte de pisse, Mario garda le sexe de son camarade en bouche et continua à le téter avidement. Sans tarder, celui-ci gonfla d'excitation et prit des proportions plus qu'honorables. Le soumis eut beaucoup de mal à l'avaler sur toute sa longueur mais sa récompense fut de pouvoir enfouir son nez dans les poils pubiens et délicieusement odorants du jeune rebeu. "Hum! Tu suces aussi bien que mon cousin! Et t'es presque aussi salope!"

Excité, Quentin vint se placer à genoux derrière Aziz et glissa sa langue entre ses fesses velues. Devant la réaction positive d'Aziz, il écarta les deux globes charnus et lécha l'œillet vierge de son fantasme de longue date. Sucé, léché et régalé des deux côtés, l'adolescent eut peine à retenir sa jouissance et bientôt Quentin sentit sa rosette se contracter autour de sa langue alors qu'Aziz déversait sa semence contre le palais de Mario qui s'en délectait...

— C'est ton tour Ludo!

— Nan, je fais pas ça moi! Je suis pas un porc comme vous pis j'ai une copine!

— Putain t'es lourd avec ta copine toi! On voit tous que t'est bandé comme un taureau en dessous de ton short. Fais pas ta connasse!

Quentin s'agenouilla et baissa le short de son camarade de classe tandis que Frédéric passait derrière lui pour l'empêcher de se débattre. Aziz guida la bouche de la salope vers la queue de Ludovic qui malgré ses dires, dégoulinait de précum. Mario ne se fit pas prier pour engloutir la bite de l'hétéro et lui donner la meilleure pipe de sa vie. Ludovic gémit et se laissa aller au plaisir, ses hanches s'agitant frénétiquement en quête de sensations toujours plus fortes tandis qu'Aziz dictait à Mario son rythme de pompage. Les déhanchements de son camarade donnèrent une idée à Fred qui demanda à Quentin de lui lécher les doigts. Quentin s'exécuta sans poser de questions, les yeux rivés sur le spectacle du soumis pompant Ludo. Une fois ses doigts bien humides, Frédéric glissa sa main entre les fesses de Ludovic et lui titilla le trou du cul. Le pompé sursauta mais lorsque Fred insista, il se mit à gémir. "Aziz! Fais passer la pute derrière, on dirait que Ludo aime bien se faire tripoter le cul!" Aziz, goguenard, plaça la salope à quatre pattes derrière Ludovic et enfonça sa tête entre les fesses charnues du jeune footballer.

Mario n'avait jamais léché de cul avant mais attrapa vite le coup de langue. Bientôt, Ludovic se tortillait et gémissait de plaisir, écartant lui même ses globes fessiers pour donner à la délicieuse bouche un meilleur accès à son trou. Voyant la pute et son pote prendre autant de plaisir, le sexe d'Aziz reprit de la rigueur. En tirant sur la laisse, il obligea la chienne à quitter les fesses de Ludo et l'obligea à s'allonger sur le dos, il guida ensuite Ludo pour qu'il s'assoit sur la bouche de la salope. Dans cette nouvelle position, le rimming se fit plus intense encore. Aziz rajouta son grain de sel en venant glisser sa bite entre la bouche et le trou. Excité comme un diable, Quentin se plaça au dessus de Mario et prit la queue de Ludovic en bouche, suçant d'abord maladroitement puis prenant plus d'assurance au fur et à mesure qu'il apprivoisait les nouvelles sensations. Ludovic n'en pouvait plus d'être au centre de tant d'attention, la langue du soumis lui pénétrait le cul, la queue d'Aziz venait parfois butter contre son petit trou ou se faire pomper par la bouche avide de la lope, Quentin s'éclatait et lui suçait la queue comme un pro - décidément tout le monde pompe mieux que Marie!? - et sans réfléchir Ludovic ouvrit grand la bouche pour accueillir le membre juteux de Fred qui n'en demandait pas tant. À force de salive et d'attention, son anus finit par se détendre et sans même y penser, Aziz poussa son gland dans ses profondeurs accueillantes. "Wouaou!" s'écrièrent en cœur les deux ados. Ludo était tellement ouvert qu'Aziz s'enfonça jusqu'à la garde d'un seul coup de reins tandis que Mario continuait à sucer le moindre carré de peau qui passait à sa portée: les couilles d'Aziz, le scrotum de Ludo ou la queue d'Aziz lorsqu'elle ressortait du cul de son camarade. Le jeune beur eut à peine le temps de faire quelques va-et-vient que Ludo jouissait déjà. Sa jouissance déclencha celle d'Aziz alors que ses muscles se contractaient autour de son mandrin, puis celle de Quentin qui jouit lorsqu'il sentit le sperme de son pote lui jaillir au fond de la gorge et enfin celle de Fred explosa, le gland bien calé contre le palais de Ludo. Convulsant et jutant ensemble, les quatre amis connurent l'orgasme le plus intense de leur jeune vie sous le regard bienveillant de leurs professeurs...

Après la jouissance, il fallut quelques minutes aux ados pour reprendre leurs esprits. Ils se rhabillèrent sans manquer de se caresser au passage et filèrent sans dire un mot. Ils devaient encore prendre leur douche et se changer dans les vestiaires et il ne fallait pas trop attirer l'attention...

Une fois les ados partis, Mario demeura seul avec les deux professeurs.

— Alors comment c'était fiston?

— Génial! J'avais jamais ressenti encore autant de plaisir! Et encore, j'ai même pas joui!

— Ça fait plaisir de voir des p'tits jeunes s'amuser! En tout cas, à moi ça m'a donné envie!

— Tu as toujours envie, coach de mes deux!

— C'est pas faux! Allez salope, reste sur le dos, je vais te faire goûter mon cul!

M Tiriac recouvrit le visage de Mario avec son cul poilu. Ses fesses étaient en sueur et sa rondelle avait un arrière-goût de noisette qui n'était pas pour déplaire à l'ado qui ne se fit pas prier pour lui bouffer.

— Pendant que ton cul est occupé, je vais tester ta gorge coach!

M Lebel dégraffa le haut de son pantalon et donna son gros chibre à téter au prof de sport qui l'engloutit avidement tout en branlant sa propre queue épaisse et poilue.

— Hum tu fais ton viril mais t'es une suceuse née toi aussi! Et ta barbe mal rasée contre mes couilles, c'est une sentation à laquelle je pourrais m'habituer! Faudra passer par mon labo de temps en temps coach!

Le prof de sport ne pouvait que gémir, la bouche pleine de ce succulent engin. Le coté "ancien militaire" de Lebel ne tarda pas à se manifester et il prit les commandes des opérations:

— Suce un peu Mario pour lui montrer à quel point tu es vicieuse!

Tiriac quitta à regret la queue du prof de science, se retourna tout en laissant son cul sur la bouche baveuse de Mario et extirpa le sexe du jeune rital de son jockstrap.

— Allez suce mon éléve! Il l'a bien mérité!

Mario sentit avec délice sa queue glisser sur la langue du coach et se loger bien au fond de sa gorge, il se concentra encore plus sur son rimming tandis que M Lebel se déplacait pour admirer la pipe que lui donnait le prof de sport.

— À voir comment tu tètes la bite de mon éléve, on croirait que t'est tombé amoureux! Gros vicieux, je parie que tu adorerais avoir sa belle bite au fond de ton cul!

M Tiriac quitta l'entrejambe du lycéen à regret pour demander:

— Je peux me la foutre au cul?

— Bien sûr, après tout, on n'a pas le droit de toucher à son cul mais je suppose qu'on peut s'amuser avec son chibre! Qu'est-ce que t'en dis? Il t'a bien préparé la rondelle?

— Ah ça ouais putain! Ce petit a une langue en or!

— Alors c'est parti!

Le prof de sport se releva et pivota, s'accroupit au dessus du ventre du jeune rital et lui roula un patin d'enfer, frottant la jeune queue vierge sur son trou poilu.

— C'est ta première fois petit?

Sans attendre un réponse évidente, il s'empala d'un coup sur le chibre palpitant du jeune rital, sous les encouragements du prof de science physique qui fessa le cul du sportif. Mario et Tiriac criaient tous les deux comme des bêtes en copulant frénétiquement sur le sol. Leurs corps étaient brûlants et couverts de sueur et leurs bouches cherchaient leurs souffles. M Lebel était aux premières loges pour voir le cul avide de Tiriac gober la queue de son élève; cette vision l'exitait au plus haut point et il décida de participer pleinement à l'action.

— Tiriac, ton cul a l'air si bon qu'il faut que j'y rentre aussi!

Alors que le coach allait protester, l'ancien militaire força son gland dans l'entrée déja occupée et quelques coups de reins plus tard, son énorme sexe remplissait les entrailles du prof de sport. En lachant des jurons, l'empalé commença à bouger son cul pour déguster la double pénétration. Lentement mais de plus en plus frénétiquement, les trois corps fusionnés recommencérents leur va-et-vient animal, grognant et hahanant sur le sol des toilettes...

— Ah! Je vais pas tarder à...

— Humf moi non plus c'est trop les mecs!

— Quel cul mais quel cul!

Dans un dernier coup de reins, les trois mâles se déchargèrents simultanément, le cul de Tiriac palpita autour de ses deux étalons qui crachaient leurs spermes au plus profond de ses entrailles, leurs trois corps convulssant de jouissance. Mario sentait le chibre de Lebel pulser à ses côtés, presque à l'unisson, tapissant le chaud conduit de sperme brûlant. Tiriac jouissait sur le ventre de l'adolescent, le cul rempli, comblé et repu... Les trois amants s'embrassèrents et se caressèrent, le corps luisant de sperme et de sueur. Mario et Lebel laissant leurs sexes liberer leurs dernières gouttes de semence au fond du cul bouillant du prof de sport.

Après l'orgasme, Mario s'endormit dans les bras de M Tiriac tandis que M Lebel lui suçotait la queue. Les deux adultes se relevèrent, Lebel couvrit le corps du lycéen d'une couverture et Tiriac se dirigea vers le fonds de la pièce. Lebel le rejoint peu aprés:

— Alors tout est bien enregistré?

— Ouaip, ton client sera ravi!


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

VENEZ DECOUVRIR LE NOUVEAU SITE GAY  http://meet68.com
Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:31

CumSlut (1): Déjà à 14 ans!

— Je n’ai jamais connu une seule personne qui aime autant les pénis et le sperme que toi!

Ivano, mon amant, s’exclame ainsi pendant que je suis en train de nettoyer son gland avec ma bouche des dernières traces possibles de sperme. Je le regarde et il me dit:

— C’est un compliment!

— Je sais, dis-je. C’est que tu me fais penser à quelqu’un en me disant ça.

— Ah oui? À qui?

— Un gars qui me baisait avant. Ça fait longtemps que je l’ai vu, quelques années en fait. Il était vraiment hot.

— Plus que moi?

— Non, toi t’es pire!

Ivano se met à rire, suivi de moi. Puis, il me demande de lui parler du gars en question.

— Quand j’avais 9 ans, ma mère a rencontré un homme un peu plus vieux qu’elle, un arabe catholique qui venait du Liban, très gentil. Il avait deux fils, dont l’un d’eux était Steve, le cadet. Il était arabe et québécois, ce qui lui donnait un bel air! Il avait presque trois ans de plus que moi, il était plus grand, les cheveux foncés et très courts. Il portait toujours des vêtements de rebelles, ce que j’aime.

— Hummm, il te faisait bander?

— Bien, quand j’avais entre 12 et 17 ans, oui!

— Et qui a fait les premiers pas?

— Bien, c’est plus compliqué que ça…

L’histoire commence peu avant l’entrée scolaire de 1999, alors que je viens d’avoir 14 ans et que mon père m’a déjà initié à la sexualité avec un de ses collègues de travail. Je montais un journal intime de tous ce que je pouvais vivre sexuellement. J’en avais commencé l’écriture dès mes 11 ans: à ce moment, je ne racontais que les fantasmes que j’avais depuis mes 10 ans.

Bref, un de mes fantasmes racontait des ébats imaginaires avec Steve, l’arabo-canadien en question. À ce moment, il était âgé de 16 ans, bientôt 17. Parfois, j’étais assez fou pour aller dans sa chambre alors qu’il était parti, et je mettais ses vêtements de la veille sur moi, vraiment tout: ses bas, son boxer, pantalon, t-shirt… Tout était trop grand pour moi mais je capotais, j’aimais sentir son odeur corporelle et son parfum. Parfois, je me branlais sur son lit avec ses vêtements et j’éjaculais dans mes mains avant de tout essuyer (ou d’avaler) et de remettre les trucs en place.

Un jour, j’ai oublié mon journal intime dans la salle de bain du sous-sol, après m’être branlé, car j’étais trop vite pressé de partir. Seul Steve et son grand frère utilisaient avec moi cette pièce, puisque nos chambres étaient dans le sous-sol et celles des autres membres de la famille au rez-de-chaussée. Ce soir-là, à mon retour, j’avais oublié à propos du journal et je suis allé directement dans ma chambre. Fatigué, j’ai éteint la lumière, me suis étendu sur le lit, habillé, sur le dos, et me suis rapidement endormi.

Je me réveille quelques temps plus tard, le cerveau très embrouillé. Sur moi, je sens un poids lourd, un corps qui bouge sur mon corps. Des mains caressent mes cheveux, mon torse ou mes fesses. Je sens des lèvres dans mon cou et une langue me lécher. Je ne vois rien du tout. Puis, la présence, sentant que je bouge légèrement et que je suis réveillé, se lève et ouvre la lumière, qui m’aveugle.

— Il était temps que tu te réveilles, dit Steve qui me fait découvrir son identité sans gêne.

Il prend dans ses mains mon journal intime et se caresse l’entrejambe où se trouve une belle bosse.

— J’ai lu quelques pages de ça, surtout celles me concernant… J’me doutais que t’étais fif mais je savais pas que t’étais une belle salope… Alors maintenant, tu t’occupes de moi!

Steve détache le devant de son pantalon, met sa main à l’intérieur et en fait ressortir son énorme pénis et ses testicules. Je vous le jure: jamais, à mes 14 ans, je n’avais vu un sexe aussi gros! Je vais bientôt avoir 23 ans et je vous assure, une seule autre l’a battu, qui devait faire 11 pouces max! Ne vous inquiétez pas, je vous raconterai l’expérience… Mais là, celle-ci mesurait dix pouces en pleine érection, quelque peu supérieure à celle de mon père. En dessous, pendaient les couilles: c’étaient comme deux gros œufs dans un sac de peau poilu. Sur le moment, j’ai été tout aussi émerveillé que franchement apeuré!

— Touche-là, m’ordonne-t-il.

Je m’active et entoure le membre de mes deux mains. Si je réussis à faire le tour de la hampe, c’est simplement parce que j’ai de longs doigts sinon je n’aurais pas pu. C’est très chaud, dur, et je sens le sang circuler dans les veines sous la peau douce. Je caresse le tout de long en large et je commence une douce masturbation qui fait bouger son prépuce sur le gland, sans le décalotter au complet. Puis, sans attendre, il enlève mes mains de sur lui et les remplace par les siennes, qui dirigent le tout vers mon visage. Le bout touche mes lèvres, qui se font caresser par le prépuce tendre. Une goûte de précum vient alors couler.

— Hummm, lèche…

Je sors la langue et goûte pour la première fois à son jus délicieux, puis je joue avec le bout du prépuce un moment, essayant d’entrer ma langue dans le trou, entre la peau et le gland. Sans attendre, il pousse le gros morceau de viande dans ma jeune bouche d’adolescent, qui a droit à sa troisième queue à vie.

— Ah oui! C’est bon ça…

Le gros gland, encore calotté, remplit toute ma bouche d’une façon obscène, ce qui nous excite tous les deux, mais je ne fais rien avec sauf que le laisser en place. Mon propre pénis se réveille sous les couvertures et je ne peux m’empêcher de commencer à me branler. Steve regarde ce portrait inhabituel: mon visage pâle et doux aux allures d’un ange, les yeux fatigués mais grands ouverts le regardant, bleus et innocents, avec le pénis d’un beau mâle entre mes deux lèvres pulpeuses et rouges, étirées autour du morceau. Le gland, lui, gonfle mes joues, qui sont normalement plus minces. Le jeune homme me sourit d’une façon perverse que je ne lui reconnais pas et commence une masturbation sur son membre sans bouger le gland dans ma bouche.

— Vas-y, mon p’tit Jim… suce ce gros biberon de chair et avale mon lait à demi fraternel…

Il se met à glousser d’excitation. L’image m’excite d’avantage et je commence une succion avec ma bouche sur son gland recouvert du prépuce. Son précum me glisse sur la langue de par son urètre et je l’avale en continuant de faire mon possible.

— Oui, comme ça mon p’tit…

Pendant que je continue, il retire la peau et je peux goûter maintenant à son gland entier. De sa main libre, il caresse la bosse sur mes joues, puis mon front et mes cheveux. Son autre main, elle, continue de s’activer sur la hampe pour la masturbation, ce qui emmène à faire sortir encore plus de précum, que j’avale au fur et à mesure pendant qu’il a les yeux fermées, perdu dans son plaisir. Soudain, Steve se met à gémir plus fort et il pousse d’avantage sa queue dans ma bouche, entrant juste un peu plus que le gland. Pendant que je me branle et que je commence à jouir de mon bord, son pénis se met à cracher une rivière de sperme dans ma gorge.

— Aaaahhh avale ça! C’est bon!

Étant couché sur le dos, j’ai de la misère à bien avaler et du sperme coule du bord de mes lèvres sur les joues, allant jusque dans mes cheveux et sur l’oreiller. Après quelques secondes de jouissance, Steve retire son pénis de ma bouche et, avec ses doigts, recueille le sperme perdu sur mon visage et les remets dans ma bouche.

— Suce bien mes doigts… Ouais, comme ça…

Lorsqu’il en a fini avec moi, il se rhabille comme il faut et me regarde le visage tout souillé de traces de son sperme.

— Mmmm une vraie petite pute… Tu vas me sucer quand je voudrai, hein?

— Oui.

— Quand je veux, où je veux?

— Oui.

— Parfait… petite salope… Tu aimes mon sperme?

— Moyen, mais j’aime ça avaler le sperme…

— Mmmm oui, bon garçon…

Il me regarde une dernière fois et quitte ma chambre en silence sans se retourner… jusqu’à ce qu’il referme la porte derrière lui. Là, il me dit:

— Si tu refuses une seule fois de faire ce que je te demande, sans aucune exception, je vais raconter à ta mère. Sois en sûr qu’elle sera capable de t’envoyer dans un centre où tu ne pourras plus t’amuser comme ça… Moi ça me dérange pas, je peux me trouver une fille en un claquement de doigt alors c’est pas comme si ça me manquerait d’avoir un pédé comme trou!

Puis il quitte, tout aussi froidement. Même si son attitude me fait peur, car il était toujours gentil avec moi avant, il m’excite…
Une semaine plus tard, alors que je suis couché dans mon lit en train de me branler et de me pénétrer un dildo de sept pouces bien lubrifié que mon père m’a donné, quelqu’un ouvre la porte de ma chambre sans cogner, ce qui me fait sursauter. Quand je vois Steve, je suis un peu plus soulagé, sachant pourquoi il vient dans ma chambre. Puis, je vois quelqu’un d’autre derrière lui: son ami Karl. Âgé de 16 ans, cet ados est plus petit et un peu plus bâtit que Steve, mais quand même plus grand que moi d’un pouce ou deux. Il est du genre sportif, à se traîner dans les gyms à l’école tous les jours. Il a les cheveux un peu longs, de la barbe rasée en formes étranges mais cool, ce qui fait capoter les jeunes filles, et il a un tatou sur chaque bras, plus des piercings sur une oreille, dans le nez et sur la lèvre inférieure. J’ai toujours trouvé son style «rebelle sportif» excitant, mais j’avoue n’avoir jamais vraiment fantasmé sur ce mec auparavant. Il a aussi un frère dans une de mes classes, que je trouve cute aussi, nommé Julien, un peu punk.

Enfin, bref… Voilà ces deux gars qui entrent dans ma chambre alors que je cache ma nudité sous la couverture. Steve se jette sur mon lit à mes côtés et enlève le drap pour me dévoiler à son ami qui me regarde, légèrement paralysé. Dans mon derrière, le dildo est gros à comparer de mon corps et le faux pénis est en fait presque plus gros que mes poignets. Soudain, Steve prend le bout du jouet dans sa main et commence à le faire aller et venir en moi avec force, me faisant couiner comme une pute. Si j’ose me toucher, je serais facilement sur le bord de venir.

— Regarde-le, Karl… C’est un p’tit pédé, un vrai cochon… Tu l’as pas encore vu sucer ma queue comme si sa vie en dépendait! Il avale le sperme comme si c’était tout ce qu’il lui était autorisé de manger… Même une fille ne m’a jamais fait jouir comme lui… Et c’est pas parce que je suis gay, car je le suis pas, c’est à cause de lui: il aime trop ça… C’est pour ça que je voulais me le faire avec toi à soir.

— J’en sais rien, dit Karl, mal à l’aise… J’ai une blonde pis… lui c’est quand même un gars, je suis pas fif…

— Tu vois ben que j’suis pas fif! Pis ta blonde le saura jamais… De toute façon, c’est pas comme si tu la trompais avec une autre fille… Enfin, regarde et si ça te donne envie, joins-toi…

Steve, tout en continuant de faire jouer le dildo en moi, se dézippe le pantalon puis fourre sa queue bien bandée dans ma bouche. Encore une fois, pas mal juste le gland, et un peu du reste, entre car c’est trop gros et trop long. Mais je m’en fous, ça me plaît et je le suce avec plaisir. Je branle sa hampe avec mes deux mains puis, je m’amuse à toute la lécher de ma langue baveuse.

— Regarde-le, Karl, comme il aime ça… Il aime boire mon lait, ce petit… Mais cette fois, il ne l’avalera pas!

Pendant que je me remets à le sucer, il sort de sa poche un condom.

— Tu vas l’enculer?! s’eclame Karl

— Ouais… il a le cul déjà bien préparé, pourquoi pas en profiter! Mais moi j’suis pas du genre à mettre ma queue dans un trou à merde alors j’me protège, simple question sanitaire… Jim, mets-moi ça.

Il me tend le condom déjà ouvert que je prends et pose sur le gland de Steve après une dernière léchée de précum. Je le déroule tout en entier, très long, jusqu’à la base. Sans attendre, il se dirige devant moi, alors que je suis encore couché sur le dos. Entre mes jambes, il les écarte et, de ses deux mains, empoignes le dildo dans mon trou pour le retirer sans ménagement. Il le pose à terre puis dirige son propre pénis vers ma chatte toute ouverte pour lui. Il place le gland sur le devant et entre sans patienter. Rendu à une certaine longueur, il lui est plus difficile d’entrer car elle est plus grosse que mon dildo, alors il pousse un peu, se retire, pousse à nouveau, jusqu’à ce que je la prenne toute en moi et que ses couilles touchent à mes fesses. Il se met alors à aller et venir en moi, bougeant son bassin sensuellement.

— Ah, c’est bon! Ton cul m’avale bien comme il faut!

De mon côté, je ressens une petite douleur mais je sais qu’elle partira avec le temps. Ainsi couché sur un coussin, mes jambes sur ses cuisses pendant qu’il me baise, je me sens très bien. Steve me regarde parfois les yeux, mais le plus souvent il regarde mon torse ou bien sa queue qui entre dans mon trou avec un bruit de succion excitant. Ou encore ses yeux sont fermés. Lorsqu’un moment il me regarde, je mets ma main sur son cou et je m’approche de son visage pour l’embrasser mais, brusquement, il enlève ma main et pose la sienne sur ma bouche:

— J’embrasse pas!

Puis, toujours sa main sur ma bouche, il se retourne pour regarder Karl, que j’avais presque oublier.

— Viens ici lui mettre ta bite dans sa gueule, comme ça il aura pas envie de m’embrasser.

Presque comme soumis, Karl arrive, se place sur le lit, à ma droite, encore mal à l’aise. Doucement, il détache son pantalon et sort sa queue de six pouces, aussi avec un prépuce. Steve me prend dans ses bras et, avec l’aide de son sexe en moi, me remonte vers le haut afin d’être à la hauteur de l’entrejambe de Karl. Steve ôte sa main de sur ma bouche et celle-ci est vite remplacée par le pénis de son ami, que je me mets à lécher et à sucer.

— C’est la première fois… commence-t-il.

— De quoi?

— C’est la première fois que j’me fais sucer.

— Alors il était temps… Allez Jim, pompe-le bien!

Il n’a pas à me le demander! J’adore avoir une queue dans la bouche, sentir la peau et le gland contre ma langue, le goût du précum… Il n’y a rien qui m’excite le plus au monde. Pour moi, c’est comme les montagnes russes! Puceau, Karl obtient son orgasme rapidement.

— Ah fuck! J’vais jouir!

Dans des coups de reins qui poussent son sexe dans ma bouche, une rivière de sperme m’envahit et j’avale le tout. Alors que je termine de lécher son gland très sensible, Steve se met à m’enculer de façon plus inégalée, signe de jouissance à venir.

— Mmmm c’est trop bon… Tu veux mon sperme?

— Oui!

— Tu la veux dans ta gueule, hein?

Mais sans même attendre ma réponse, il se retire de ma chatte et embarque sur mon torse pour venir m’apporter son gland au bord de mes lèvres. Un premier jet de sperme a d’abord jailli et frappé mon nez et ma joue, puis j’ai ouvert la bouche pour tout recevoir le reste. Au début, il se masturbait pour éjaculer, mais a fini par remettre son gland au chaud dans ma bouche pour finir de sucer en avalant.

— Ostie que t’es trop bon, Jim! Mmmm, finis de me lécher lentement…

Pendant que j’obéis, Steve ferme les yeux et s’étire le haut du corps puis se caresse le torse légèrement en sueur. Puis, il regarde Karl:

— Tu vois? C’est une petite salope, ce Jim… Maintenant, quand tu veux jouir et que t’as pas de blonde… ou même si t’en as, on s’en fiche… ben tu viens ici et il s’occupe de toi… C’est notre petite cumslut à nous! Putain, déjà à 14 ans!

— Ouais, t’inquiètes, je vais en profiter!

Les deux gars se rhabillent et, avant de sortir, Steve me jette le condom usagé sur le torse:

— Tiens, un souvenir!

Puis, ils ferment la porte derrière eux et vont jouer à leurs jeux vidéo, me laissant presque sur mon appétit, seul dans mon lit et n’ayant pas encore joui, ce que je ne tarde pas à faire. Je me surprends alors à avoir cette pensée: «Ah, les gars!»

À suivre…

 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

VENEZ DECOUVRIR LE NOUVEAU SITE GAY  http://meet68.com
Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 18:30

Cédric et Martin

Coup de foudre

La rentrée scolaire avait eu lieu il y a un mois. À l’arrêt de bus, Cédric était seul, son camarade de classe qui l’accompagnait habituellement étant cloué au lit par une forte fièvre. Cédric prenait chaque matin le transport scolaire pour se rendre au lycée professionnel de la grande ville.

Cédric était un garçon au physique séduisant, sans ostentation, le sourire facile, la parole naturelle, la vêture classique de sa génération. Ses Rekins noires aux motifs bleus étaient le seul signe d’une identification à la mode de sa génération, celle non rebelle, contrairement aux lascars qui ont fait de ces chaussures un code d’appartenance à une communauté en révolte.

Soudain, le regard de Cédric se porte sur le garçon qui arrive nonchalamment vers l’abribus. Ce n’était pas la première fois que Cédric était attiré par la physionomie parfaite de ce garçon filiforme, toujours solitaire – à la limite sur ses gardes – les écouteurs de son MP3 vissés sur ses oreilles.

À l’arrivée du bus, Cédric laissa tous les passagers monter avant lui. Le garçon remarqué s’était installé contre une fenêtre, la place à ses côtés étant restée inoccupée. D’un signe, Cédric demanda la permission de s’y asseoir. Acquiescement de la tête du garçon. Cédric se présenta en lui tendant la main. Le garçon s’en saisit plutôt promptement. Il présenta ainsi à Cédric son visage grave, mince et délicat. Ses cheveux coupés ras convenaient parfaitement à sa beauté fragile. Un blouson sur un sweat blanc à capuche, un jean serré et des baskets à scratch constituaient son habillement. Il se présenta sous le prénom de Martin. Puis Cédric parla un peu de lui, où il habitait, de ses études commerciales, de ses loisirs, de ses goûts. Le garçon écoutait religieusement. Cherchant une faille pour le faire réagir, Cédric se montra provocateur:

— Qu’est-ce que t’écoutes? M.Pokora?

Le jeune interprète du R&B français faisait l’objet d’un véritable culte de la part des midinettes. Martin se sentit touché dans sa personnalité.

— Je suis pas pédé! lâcha-t-il avec une pointe d’agressivité défensive.

— L’un ne découle pas forcément de l’autre, justifia Cédric.

— Ouais, c’est ça… Quand on s’affiche à la couverture de Têtu, je me dis qu’il y a une part de désir inavoué.

Effectivement, M.Pokora avait fait dernièrement la couverture du magazine gay français. Il s’avouait franchement hétérosexuel, comprenant pourtant que les garçons puissent «craquer» pour sa gueule d’ange. Cédric se dit que Martin était bien informé à propos de l’artiste.

— T’inquiète pas, c’est pas non plus ma tasse de thé, avoua Cédric pour «rattraper le coup».

Et alors Martin lui parla de ses groupes préférés et principalement de Coldplay et des Arctic Monkeys. Il fut interrompu dans son argumentation car le bus arrivait à destination. Les deux garçons prirent des directions différentes pour rejoindre leur section respective.

Dans le bus du retour, en fin d’après-midi, Cédric et Martin se retrouvèrent à papoter. Leur conversation était bien entamée qu’il était déjà temps de descendre de l’autocar. Dans le feu roulant de la parole, Martin proposa à son nouveau camarade de prolonger leurs échanges chez lui. Étonné par cette subite initiative, Martin se sentit tout «chose». Il explique à Cédric que sa mère ne rentrera pas du travail avant 20h et que finalement, le fait de recevoir un nouvel ami ne la dérangera pas plus que cela. Cédric est enthousiasmé à l’idée de passer encore quelques heures avec Martin. Un large sourire lui barre le visage.

Martin emmène Cédric dans sa chambre. Impersonnelle, voire spartiate. Rien aux murs. Un coin bureau rangé, un lit et une armoire occupent la pièce. Les sacs à dos se rejoignent au pied du bureau.

— Qu’est-ce que tu bois? Coca? Jus de fruit? Bière? demande Martin.

— Tu bois de la bière, toi? remarque Cédric.

— Non, s’empresse de répondre Martin. Ma mère en achète quand son compagnon vient à la maison.

— Va pour un Coca, tranche Cédric.

Pendant l’absence de Martin, Cédric ne peut s’empêcher de considérer son ami comme un garçon étrange: il semble souvent «ailleurs», peu expansif mais pas pour autant inintéressant, mignon et pourtant si seul. Quand Martin revient avec les deux canettes, Cédric est posté, songeur, face à la fenêtre. Sur le rebord extérieur, il aperçoit une paire de baskets noires qui s’aère. «Martin a donc un problème de transpiration des pieds,» déduit Cédric. Ce qui n’est pas sans effet. Son sexe se manifeste dans son slip. En relevant les yeux, Cédric ne voit pas l’horizon, bouché par les barres d’immeubles HLM, mais il entr’aperçoit deux corps enlacés dans le voile du rideau. Un signe prémonitoire?

Quand Cédric se retourne, Martin voit une étrange lueur dans son regard nimbé dans un fond brillant, humide. Martin sent qu’il doit prendre la parole même s’il lui en coûte. Il veut rapidement clarifier la situation:

— Il faut que je te dise… Je n’ai pas cessé de penser à toi durant toute la journée. Je n’entendais pas le prof, ni les brouhahas de l’amphi et des couloirs, je n’ai pas touché à mon repas à la cantine. Toi seul occupais mon esprit. Tu comprends ce que ça signifie…

— Tu es amoureux! murmure Cédric.

— Oui, c’est vrai. Je vais être plus précis: je suis gay, Cédric, et je comprendrais que tu sois choqué ou irrité de ne voir en moi que quelqu’un d’intéressé…

Cédric a posé son Coca sur le bureau sans y avoir trempé les lèvres. Il s’approche de Martin, ouvre ses bras et le reçoit en corps à corps, lui glissant d’une voix chargée d’émotion: «Je crois que je t’aime…» L’étreinte de Martin s’est subitement raffermie. Les deux garçons sont sur la même longueur d’onde. Enlacés, ils s’écroulent sur le lit, échangeant baiser sur baiser, des courts, des longs, des langoureux, des mouillés…

Les tee-shirts sont retirés, les braguettes sont défaites, les slips sont descendus sur les cuisses et deux pénis vigoureux pointent dans l’attente d’une bouche accueillante. Cédric a fait glisser ses baskets sur la moquette pour pouvoir se débarrasser de son jean. Il semble que Martin hésite à faire de même. Alors Cédric lui saisit les deux jambes, les soulève avec l’intention de les déchausser. Martin se cabre soudain, déclarant, gêné, qu’il est désolé de faire subir à Cédric l’odeur nauséeuse de ses pieds. Mais Cédric n’y prête pas attention. Il retire les baskets par le talon. Une vague de sueur pédieuse s’échoue sous ses narines. Les chaussettes de sport de Martin ont une couleur mordorée et sont d’une humidité foisonnante. L’une est distendue et a tendance à s’affaisser sur le mollet. Des marques d’usure ont attaqué le coton à divers endroits. Au fur et à mesure que les baskets quittent les pieds de Martin, ses chaussettes dégagent des effluves de plus en plus prégnantes, tenaces et pourtant d’une vaporeuse légèreté. Cédric prend le temps de s’imprégner de cette houle qui, à l’identique d’un bateau, lui fait chavirer le cœur mais sans provoquer le dégoût fatal. Pendant ce temps, Martin s’impatiente.

— Ça ne te rebute pas?

— Arrête, c’est une part de ton intimité que je respire… Je serai d’ailleurs flatté de te laver les pieds moi-même si tu me le demandais… Dans une bassine, comme autrefois…

La patience de Martin a assez duré. À présent, il se rebiffe. Il décolle avec hargne les chaussettes de ses pieds et les jette à terre car la queue qu’exhibe Cédric est trop tentante. Il lui faut la gober maintenant. Il fait un effort des mâchoires pour engloutir le sexe charnu et rigide. Il entreprend de le sucer avec art: de doucereux coups de langue sur le gland avant que la bouche n’engloutisse petit à petit le membre. Cédric gémit de plaisir sous les caresses de cette langue saliveuse que Martin prodigue à son engin. Dans le même temps, Cédric parcourt la peau veloutée de Martin le long de ses aines jusqu’à la courbure des fesses, les doigts à la recherche de l’œillet plissé. Martin se cambre, le visage enfoncé dans le pubis de Cédric, la queue appétissante au fond de la gorge. Tandis que les doigts de Cédric entreprennent de détendre un anus frétillant de plaisir. Soudain, Martin se redresse et commande:

— Mets-la moi, Cédric!

— Tu es sûr?

— Pose pas de questions idiotes!

Martin se place sur le dos, les jambes relevées. Il sent que son trou crie de désir d’être irrigué par la volumineuse queue de Cédric. Celui-ci sent sa résistance faiblir, c’est l’amour qui emporte les deux garçons. Cédric s’enfonce dans l’antre de Martin avec délicatesse. Le cul de Martin s’ouvre comme sous l’effet d’une caresse et reçoit avec facilité la vingtaine de centimètres de la tige de Cédric. Commence alors la fusion des sexes. Les va-et-vient de Cédric sont réguliers dans la cavité souple de Martin. À plusieurs reprises, la queue bien plantée au plus profond de Martin, Cédric se penche à la rencontre des lèvres de son amant pour de longues étreintes de langues.

Cédric se sent bien dans le cul de Martin qui s’active pour mettre la pression dans la queue qui l’occupe. Cédric sait que la jouissance ne sera plus longue à éclater. Quand Martin, qui branle sa queue, éjecte la sauce sur son torse, le membre de Cédric est compressé avec une telle volupté qu’il ne se contrôle plus. D’un dernier coup de reins, sa queue est toute entière happée par le cul de Martin qu’il inonde d’une interminable rasade de sperme dans un râle amoureux. Fécondé, Martin lui adresse son plus beau sourire, donnant ainsi à voir un visage épanoui qu’on ne lui imagine pas au premier abord, lui si renfrogné et timide.

Les deux garçons ont l’impression de tomber des nues quand la porte d’entrée se fait entendre et qu’une voix de femme retentit.

— Martin, tu aurais pu fermer la porte de ta chambre, ça sent les pieds dans tout le couloir.

Les garçons se précipitent dans leur pantalon. Ils sont en train de se boutonner quand la maman de Martin apparaît sur le seuil.

— Excuse-moi mon lapin, je ne pouvais pas savoir.

— Euh, commence Martin. Je te présente Cédric…

— Bonsoir madame, répond-il en bafouillant.

— Bien, terminez de vous habiller, je vais préparer le dîner. Cédric? Tu resteras manger avec nous?

— Je vous remercie madame mais je dois y aller…

— Comme tu veux.

Et elle tourne les talons.

— C’est dommage Cédric, tu es le bienvenu dans ma vie, précise Martin, visiblement déçu.

— Ne sois pas triste… On aura d’autres occasions…

Cédric, sans se préoccuper de ce que la requête qu’il va formuler peut avoir de malsain, poursuit:

— Dis, Martin, si on échangeait nos chaussettes… Comme cela ton odeur m’accompagnera cette nuit. Je crois que je ne vais pas beaucoup dormir.

— Moi non plus… J’ai hâte d’être à demain…

— Et moi donc. Alors, fais de beaux rêves… mon lapin.

Cédric insiste sur le petit nom affectif d’un ton qui se veut aussi familier que celui employé par la mère. Un dernier baiser sur la bouche scelle l’amour qui vient d’électriser les deux garçons.

Quand Martin rejoint sa mère dans la cuisine, il a pris une douche et s’est changé. Son visage rayonne. Sa mère lui fait remarquer que cela fait bien six mois qu’il ne lui est plus apparu ainsi. En fait, depuis que le voisin de palier a déménagé sans se soucier davantage des dégâts provoqués dans le cœur de Martin. Leur liaison avait duré deux ans et n’était pas étrangère à la mère de Martin qui avait accepté, en toute connaissance de cause, que son fils soit gay.

— Qu’a dû penser ton ami quand tu t’es déchaussé? s’inquiéta la mère de Martin.

— Disons que ce n’était pas prévu que ça se passe comme cela… Je viens de faire sa connaissance aujourd’hui seulement…

— Et vous venez déjà d’avoir une relation? Martin, je t’en prie, réfrène tes sentiments. Tu sais que je peux tout admettre à condition que tu ne souffres pas à nouveau…

— Je crois qu’on s’est aimé au premier contact. Et l’odeur de mes pieds ne l’a pas gêné plus que ça. Il m’a dit qu’elle faisait partie intégrante de moi. Ça l’a même stimulé, je crois…

— Étrange garçon!

— Non, Cédric est simplement trop cool.

Cédric eut le sentiment d’avoir rencontré l’amant qui lui convenait; Martin avait des principes de fidélité rares. Leur histoire d’amour allait les lier à jamais.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

VENEZ DECOUVRIR LE NOUVEAU SITE GAY  http://meet68.com
Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

DIAL MEET68

DIAL MEET68 Dialogue en direct 100% Gay. Dial Sexe gratuit
Cliquer sur la photo pour entrer

 

XLOVE CAM / XLOVE GAY

FREE VIDEO CHAT HETERO
Cliquer sur la photo pour entrer

 

FREE VIDEO CHAT GAY
Cliquer sur la photo pour entrer


 

 

Catégories Histoires

LES MEGA BITES

DES BITES DE PLUS DE 20 CM

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Recherche

ECRIVEZ MOI

Pour m’écrire
Ayant un blog histoires, vidéos et photos et sI vous voulez que vos histoires fantasmes, tofs, vidéos des trucs que vous avez faits ou que vous voulez faire soient  mises dans les blogs. Envoyez  le moi à meet68@meet68.com
Merci

erog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus