HISTOIRES GAY

Dimanche 19 avril 7 19 /04 /Avr 15:08
Jeune vulcanologue en Indonésie

Léo et Quentin à Bali

10 000 mètres au-dessus du golfe du Bengale, le 10 juillet 2007. Léo sourit dans la pénombre en regardant son jeune frère profondément endormi dans la cabine du Boeing 777 de Malaysia Airlines qui les emmène en Indonésie via Kuala Lumpur. Léo, adolescent en classe prépa première année HEC, n’en revient pas de se retrouver, avec son «petit frère» de 16 ans, ado lui en première S au lycée Henri IV à Paris. Le petit frère en question, Quentin, cheveux blonds tout bouclés, visage doux et légèrement boudeur, grands yeux surmontés de longs cils, appuie son joli minois contre l’épaule de Léo, le «grand frère».

Léo sourit en voyant la tenue de son frangin qui a voulu renouveler sa garde robe avant le départ. Il est hyper fashion le Quentin avec son jean blanc slim taille basse. Léo se demande par quel miracle Quentin réussit à le conserver sur les fesses. Là, Quentin est sur le côté, les genoux ramenés presque sous le menton, offrant à qui passe dans le couloir, une jolie vue sur son caleçon fleuri aux quatre cinquièmes sorti de son abri! Un peu indécent le petit frère, ses petites fesses sont fermes et rebondies et sa raie serrée emprisonne un peu du caleçon et se dessine encore davantage. Léo constate que son frère a ouvert les trois premiers boutons de sa braguette et que l’adolescent présente une jolie érection.

Léo ressent une bouffée d’émotion en pensant à l’été 2005 au Cambodge, passé avec ses parents et son frère. Son jeune frère avait failli mourir d’une fièvre non identifiée, en pleine jungle, pendant un trekk. Léo repense à Quentin, âgé de 14 ans à l’époque, à ses cheveux bouclés trempés tellement la fièvre était forte. Son père et lui s’étaient relayés pour le rafraîchir dans une rivière, faisant tomber sa fièvre de quelques dixièmes. Léo avait eu honte quand, portant Quentin tout nu dans ses bras, il avait eu une brutale érection après avoir effleuré de son bras les testicules tout lisses, saillant entre les cuisses.

Depuis deux ans, il n’avait plus connu une telle intimité avec son frère et là, il se retrouvait en sa compagnie pour un mois, à la découverte des volcans indonésiens. Ce phénomène de Quentin, hyper crack au lycée, avait trouvé le moyen de gagner un concours américain de vulcanologie, réservé aux scientifiques en herbe; c’était la passion de Quentin depuis qu’il avait dix ans, après un voyage en Sicile. Deux places d’avion avec un séjour tout payé! Génial!

Léo venait de rompre avec son amant, un camarade de prépa, et avait envie de se changer les idées. Avant le départ, la mère des garçons, traumatisée par le voyage au Cambodge, n’a pu s’empêcher d’accabler Léo de recommandations et Léo sourit une nouvelle fois en constatant que son frère se porte très bien si l’on en juge par l’état de son entrejambe. Léo s’amuse à caresser doucement, à travers le tissu, la jeune virilité de son frère endormi. Il a chaud au visage quand il se sent durcir; au moins sa queue est-elle à l’aise, sous l’ample bermuda beige qu’il porte. La douce lumière de l’écran vidéo intégré dans le fauteuil juste devant, éclaire le visage d’ange un peu boudeur de Quentin, sa bouche si bien dessinée avec des lèvres un peu pulpeuses que tant de filles de la classe ont rêvé d’embrasser. Léo pense y voir un sourire, son coquin de frère doit faire un rêve érotique, aidé en cela par les gestes de plus en plus précis de Léo qui s’amuse maintenant à titiller le gland de Quentin qu’il a réussi à libérer du jean et du joli caleçon à fleurs; heureusement qu’il a remonté la couverture pour voiler la jolie queue de l’adolescent, de plus en plus voyante!

Tout à coup, Léo sent que son frère va venir. Il retire vite sa main, se retourne vers le hublot, faisant semblant de dormir. Il n’est pas loin d’éclater de rire quand il entend le gémissement de Quentin qui n’a pu retenir sa sève et inonde la couverture. L’adolescent, en voulant limiter les dégâts, s’en est pris plein la main; de l’autre côté de l’allée, une brave dame jette des coups d’œil plus que réprobateurs vers les deux garçons. Ce qui fait le plus marrer Léo, c’est que son frère a cru qu’il s’était fait jouir tout seul, le pauvre Quentin est rouge comme une tomate, Léo le réconforte en lui disant que blanc sur blanc, ça se verra pas et qu’à son âge, il est normal d’avoir des émissions nocturnes!

Quentin, après un rapide passage aux toilettes pour tout remettre en ordre, retrouve sa bonne humeur en dégustant son petit dej. Dans une heure, atterrissage à KL puis vol vers Jakarta, l’adolescent est de plus en plus excité en pensant aux volcans qu’il va explorer. Quelques heures plus tard, dans le hall de l’aéroport de Jakarta, les deux adolescents rencontrent leur contact local, un vulcanologue indonésien réputé qui va les accompagner durant leur périple. Derrière lui, deux frêles silhouettes intimidées, surmontées de tignasses bien noires, restent en retrait. Le vulcanologue les présente comme ses deux fils qui, en vacances, peuvent les accompagner si les deux français donnent leur accord. Quentin et Léo sentent le regard suppliant des deux garçons et donnent leur accord.

Tim et Tom sont jumeaux; leur mère est australienne d’origine grecque, les deux garçons ont l’âge de Quentin. Léo est frappé par la beauté des deux jeunes métis, la finesse de leurs traits, leur peau veloutée, leurs muscles joliment dessinés, leurs yeux noirs pétillants, immenses, leurs cheveux épais, un peu hirsutes. Léo ne peut s’empêcher de fixer leurs jambes fines mais musclées, presque nues, les deux garçons ne portant qu’un short de sport usé, vraiment trop petit pour eux et un tee-shirt lui aussi usé. Léo et Quentin sont surpris en entendant les deux garçons, parfaitement bilingues, s’exprimer dans un anglais parfait, leur père se prive de tout pour leur donner la meilleure éducation dans un lycée privé de la capitale; il enseigne dans un lycée réputé et l’été, il accompagne les touristes fascinés par les volcans.

Après les formalités, les cinq s’entassent dans un vieux 4x4 Toyota qui affronte les gigantesques embouteillages de la mégapole de plus de dix millions d’habitants. Deux heures plus tard, Léo et Quentin foncent sous la douche dans l’hôtel Novotel où on les loge; les deux frères sont trop excités, téléphonent à leurs parents, dînent dans le joli jardin de l’hôtel puis s’endorment vite fait dans leurs lits jumeaux, Léo tout nu, Quentin avec un long bermuda CK.

Le lendemain, à huit heures, le réveil sonne; pour faire enrager son frère, Léo, tout nu, saute sur le lit de Quentin et entame un combat de lutte. Quentin veut repousser son frère mais ses protestations sont vite étouffées quand les fesses de Léo écrasent son visage! Soudain, Quentin sent son caleçon CK glisser le long de ses jambes. Il veut se débattre mais il est bel et bien prisonnier sous le poids de Léo. De plus, il sent son sexe durcir. Quentin gémit doucement quand il sent la bouche de Léo prendre possession de sa verge maintenant bien tendue. La bouche de Léo ne la relâche pas avant que d’en avoir extrait tout son jus blanc qu’elle avale jusqu’à la dernière goutte. Quand tout est fini, Léo se retourne, Quentin est rouge brique et file vite vers la douche, trop troublé par ce qu’il vient de vivre.

Les deux garçons retrouvent le 4x4 devant l’hôtel, Léo s’installe devant à côté du père, Quentin, derrière, sur le fauteuil du milieu entre Tim et Tom, toujours vêtus de leur mini short bleu et d’un T-shirt. L’expédition démarre vers Bandung. «Au lycée, on a étudié la conférence de Bandung en cours d’histoire» lance Quentin; manifestement cela ne dit pas grand chose à Léo mais Jim, le prof indonésien est impressionné par les connaissances de Quentin qui commence à parler volcanisme de façon très pointue. Soudain, Léo, dans le rétroviseur, voit rougir son frère. C’est que Quentin a surpris du regard un testicule de Tim s’échappant de la lisière du short. La vue de la petite boule dorée et lisse, bien ronde l’a plus que troublé. Quentin sent bouillir ses hormones adolescentes et sent sa verge bouger, durcir. Son trouble s’accroît quand il sent la jambe nue de Tom frôler la sienne dans un virage un peu accentué.

Pendant l’arrêt à Bandoung, Léo décide d’acheter un short ample avec des poches pour son frère, vêtement plus adapté que le jean moulant; les quatre garçons filent vers une boutique Quicksilver où Quentin va essayer plusieurs modèles. Les quatre garçons s’entassent dans la même cabine d’essayage, Tim et Tom se dérident de plus en plus et rient beaucoup en voyant Quentin presque tout nu, en caleçon, la queue à demi bandée à l’intérieur! Léo, d’humeur généreuse, veut offrir un short à chacun des deux ados indonésiens. Les jumeaux se débarrassent de leur mini short pour essayer et les deux jeunes français sont suffoqués en voyant qu’ils sont tout nus et pas du tout gênés d’exposer leur jeune anatomie aux proportions parfaites! Leurs deux queues sont fines, lisses et plutôt longues, les deux garçons ne sont pas circoncis; les deux boules sont bien individualisées et pendent assez bas pour des garçons de seize ans et ce qui frappe les deux jeunes français, c’est l’absence de toute pilosité sur leur pubis.

Léo se promet de leur demander la raison et fait preuve d’un culot monstre, quand Tim se penche pour enfiler un autre short, Léo, juste derrière le jeune indonésien, glisse sa main entre ses cuisses et caresse les deux couilles de l’adolescent puis remonte la hampe qu’il sent vite durcir, atteint le prépuce qu’il fait coulisser, passe un doigt sur le gland et le méat un peu mouillé puis enfin caresse le pubis imberbe. Quentin rougit, il sait que son frère est gay mais là, il exagère trop! Léo s’attend à une réaction brutale mais Tim se retourne, le visage rieur et rigole avec son frère, échangeant quelques mots en indonésien. Tom saisit la queue de son jumeau et s’amuse à la branler quelques secondes; les deux garçons rient aux éclats. Finalement les quatre ados achètent la même tenue et discutent bruyamment dans la rue. Léo, toujours aussi direct, obtient une explication: la famille des jumeaux fait partie d’une secte proche des tantristes, une des variantes de l’hindouisme, religion dominante à Bali où est né leur père. La pureté nécessite l’absence de poils en dehors de la tête, et surtout au-dessous de la ceinture.

Direction le premier volcan! Le Merapi près de Jogjakarta, un volcan dangereux et dur à grimper. Le père, suivi des quatre ados de plus en plus complices, tous les quatre torse nu avec l’ample short à poches. Le caleçon aide Léo et Quentin à garder le leur mais Tim et Tom ont un grave problème, c’est leur seul vêtement et Léo rigole en voyant quelques centimètres apparents de la raie des fesses des deux garçons. Les shorts semblent juste retenus par la bosse du sexe des deux ados qui ont les fesses plus plates que celles des jeunes français. Léo rigole bien en marchant derrière Tim et en tirant sur son short, montrant un peu plus de ses fesses à chaque fois. Quentin, plus sérieux, préfère observer son volcan et discute de la nature et de l’âge des laves avec Jim.

Au sommet, les ados poussent des hourras tellement le spectacle du cratère fumant est somptueux; du soufre affleure par endroits et Tim promet un bain dans des sources naturelles d’eau chaude. Après le pique-nique, les quatre garçons abandonnent Jim qui fait une petite sieste et rejoignent la source chaude. Aussi sec, en trois secondes, Tim et son frère se retrouvent tout nus mis à part un petit cordon qui entoure la taille; Léo et Quentin sont encore éblouis par la beauté insolente des jeunes balinais... et par leur culot! Léo ressent une violente érection en voyant les deux petits culs et les couilles des deux ados qui plongent en écartant leurs longues jambes finement musclées. «L’eau fait 38 degrés!» crie Tom qui repique une tête sous l’eau présentant son petit cul bien ouvert avec son trou bien visible aux regards de Léo et Quentin et invitant les français à le rejoindre. Léo se met nu, bouscule un peu Quentin qui fait sa crise de timidité rougissante. «Tu es bien dur aussi, petit frère!» rigole Léo. «Tu es drôlement bien monté!» Quentin rougit encore davantage et se décide à plonger à son tour.

Pendant trente minutes, c’est la rigolade dans la piscine naturelle; Léo a trouvé un jeu très intelligent, digne d’un brillant élève de terminale, attraper ses camarades par la queue! Le pauvre Quentin répand sa semence dans le petit lac après que Tim, Tom puis son frère aient empoigné un peu trop sa queue hyper excitée. Il n’a pu résister au moment où Tom a trop tiré son prépuce en arrière à l’instant même où Léo poussait un doigt sur son anus serré. Léo fait jouir Tim, allongé sur le dos, faisant la planche; Tom réclame sa part de calins et Quentin se lance, encouragé par les autres. Léo proclame: «Je vais t’apprendre quelque chose petit frère!» puis il fait asseoir Tom sur un rocher. Léo écarte les jambes de Tom puis plonge son visage vers l’entrejambe du garçon qui ne peut retenir un cri de surprise quand il voit la moitié de son sexe englouti dans la bouche de Léo. Léo fait alors un petit cours de fellation à son frère qui s’est approché tout près. «À toi maintenant!» Léo plaque sa main sur la tignasse blonde et bouclée de Quentin et introduit le gland du jeune balinais entre les lèvres serrées de l’apprenti suceur. «Ne lui mords pas la queue! Fais gaffe!» Ce que n’avait pas prévu Léo, c’est que Tom, plus que troublé, allait exploser si vite. Quentin panique quand le jus chaud et épais de Tom envahit son palais. Léo appuie fort sur sa tête. «Avale, tu verras, c’est trop bon!» Quentin, toujours bon élève, s’applique à bien faire mais manque de s’étouffer en sentant le gland cracher encore tout au fond de sa gorge.

Mais tout le monde débande vite quand Tim sonne l’alerte! Jim est en train de les rejoindre; les ados sautent dans leurs shorts; Léo rigole en voyant du sperme couler encore des lèvres de son frère, sur son menton! «Toi qui aimes les volcans, tu as été servi avec Tom, quelle éruption!» Plus tard, en redescendant vers la voiture, Léo demande à Tim la raison du cordon serré autour de la taille; Tim lui explique que son but est d’isoler la partie impure du corps de la partie pure, au-dessus de la ceinture; c’est un rite religieux. «Tu verras à Bali, tu n'entreras pas dans les temples sans ta ceinture! C’est comme la nudité,» reprend le jeune balinais. «Tu verras des balinais se baigner entièrement nus car ils se pensent invisibles à ce moment là.» Léo rigole en voyant Tim serrer un peu plus la ceinture de son bermuda qui dévoile à nouveau le haut de ses fesses. «Ta partie impure va être bien isolée!»

Une heure de voiture plus loin, les cinq s’installent dans un petit hôtel paradisiaque, au milieu de rizières étagées et de plantations de café. «C’est un des cousins de mon père qui est le gérant,» déclare fièrement Tom. «Il y a un spa et on aura droit aux massages gratuitement!» Léo et Quentin découvrent avec plaisir les deux chambres qu’ils vont partager tous les quatre. Ils décident de réaliser l’amitié des peuples en dormant Léo avec Tim et Quentin avec Tom. Les lits sont king size et pourraient accueillir les quatre ados dans un seul.

Les jeunes foncent vers la piscine à débordement, dominant une rizière inondée, brillant sous les rayons du soleil. Le jeune riz vient d’être replanté et offre une couleur vert crue aux regards éblouis des jeunes français. «C’est plus beau qu’un champ de maïs!» remarque Quentin. Les jeunes font la course autour de la piscine et c’est la cata! Quentin trébuche et plonge direct dans la rizière sous les yeux ébahis d’un vieux paysan. Tim et Tom pleurent de rire, Léo se joint à eux quand il voit Quentin émerger, avec son beau maillot blanc de surf Quicksilver, couvert de boue liquide. «Il y a une douche pour la piscine?» Tom entraîne les trois autres garçons vers une douche en plein air, au milieu des bougainvilliers et des frangipaniers. «À poil, petit frère! On est les seuls.» Quentin ne peut faire autrement et se fait bientôt étriller par trois paires de mains couvertes de crème moussante. Quentin, qui a l’impression d’avoir 40 de fièvre tellement il est rouge de visage, préfère fermer les yeux. Il pousse de petits cris de souriceau quand il sent un doigt plein de mousse forcer son anus, d’autres doigts le décalotter, une main serrer sa hampe. «Arrêtez, je vais jouir!» gémit il plaintivement. «T’en mourras pas!» réplique son frère qui se précipite pour gober le gland plein de savon puis vite plein de la sève du garçon. «Pas mauvais ton sperme mélangé au gel douche au jasmin!» rigole encore Léo. Léo réalise soudain que les jeunes indonésiens ont perdu leur langue; il abandonne la verge de son frère, se retourne et découvre avec horreur la tronche de deux vieux américains en maillot à fleurs qui manifestement veulent utiliser la douche. «C’est beau d’être jeunes!» proclame l’un deux. «Ne vous tracassez pas, on reviendra dans cinq minutes!» Léo s’est senti rougir, cela ne lui était pas arrivé depuis un bail. Quant à Quentin, il est quasiment tombé dans les pommes et se retrouve affalé dans la cuvette de la douche. Son frère se précipite pour le relever, les deux Américains ne bougent pas, manifestement le spectacle offert par les quatre ados tout nus ne semble pas leur déplaire, l’un se propose d’aider Léo et prend Quentin par les pieds tout en gardant les yeux braqués sur la verge du garçon évanoui.

On installe Quentin dans le bungalow qu’il partage avec ses potes, le jeune français se réveille, tout étonné en voyant cinq personnes dont deux vieux, groupés autour de lui. Quentin devient écarlate et cherche sans succès quelque chose pour voiler sa nudité, heureusement les deux Américains quittent le bungalow et nos quatre amis se retrouvent entre eux. Quentin réconforté, les quatre gagnent le spa pour la séance massage offerte par l’hôtel. Tim et Tom sont tout excités et proposent aux deux jeunes français de se faire masser par eux et par leurs cousins qui ont à peu près leur âge; ils ont appris les rudiments avec le masseur officiel de l’hôtel de leur oncle. Léo et Quentin acceptent et la petite troupe gagne le parc de l’hôtel où des lits de massage sont installés à l’abri des regards, entre des haies de plantes tropicales. «Wow, c’est le paradis ici!» s’exclame Quentin. Il y a une cabine pour deux avec deux lits qui se font face, les jeunes indonésiens installent Léo et Quentin à plat ventre, une petite serviette sur leurs jolies fesses, puis ils appellent leurs cousins. «Fermez les yeux!» Léo et Quentin se retrouvent face à face, leurs bouches peuvent se toucher. Ils obéissent, attendant le cœur légèrement battant, le début de la séance.

Quentin gémit doucement quand il sent qu’on lui retire sa serviette, il sait qu’il s’expose, tout nu, au regard des deux cousins qu’il ne connaît pas; il gémit à nouveau quand il sent une huile couler le long de la raie de ses fesses écartées par deux mains inconnues. Quand l’huile atteint son anus, il sent un doigt le caresser, pousser doucement, pénétrer de quelques millimètres, puis descendre plus bas, le long de son périnée. Il respire très fort Quentin quand les doigts du masseur se sont glissés entre ses cuisses et ont tiré sa verge durcie en arrière. Les doigts experts enduisent maintenant ses boules de la même huile parfumée puis les font rouler doucement. Quentin ronronne comme un chat et croit devenir fou de plaisir quand il sent quatre mains le caresser en même temps, il ne peut retenir un petit cri quand un doigt s’enfonce résolument à l’intérieur de son petit cul rebondi puis crie plus fort en sentant quelque chose d’indéfini chatouiller son méat, pincé entre deux doigts. Quentin gémit de plaisir, pousse de petits cris continus maintenant, sent qu’on lui enfonce comme une plume à l’intérieur de sa verge, par le méat. Il explose de longs jets de crème blanche mais les doigt sur son gland ne se sont pas retirés, bien au contraire, mais continuent leur travail. Son frère a pris son visage entre ses mains puis les deux frères échangent un baiser passionné. Léo même connaît les mêmes plaisirs que Quentin, jouissant à peu près au même instant et aussi violemment. «Ouvrez les yeux et retournez vous!» dit alors Tom. «Voici mes cousins!» Léo et Quentin font la connaissance de deux beaux garçons d’à peu près leur âge, qui sourient en montrant leurs doigts pleins du sperme des deux jeunes français.

«À nous!» dit Tim et les deux jeunes balinais ôtent leur short puis s’allongent sur Quentin et Léo, entamant une sorte de danse érotique, se frottant contre leur peau huilée. Les sexes de Tim et de Tom ont vite gonflé et les deux petits diables les frottent de plus en plus fort contre ceux de Quentin et Léo. Les deux cousins restent en retrait mais ne perdent pas une miette du spectacle, une main s’activant dans leur short. Quentin et Léo ont déjà redurci et hurlent quand ils sentent leur sève monter à nouveau. Tim surprend Quentin en remontant pour jouir sur le visage du jeune français qui en prend plein les yeux, au sens propre du terme! Quentin et Léo vont jouir une nouvelle fois, cette fois dans la bouche des deux jeunes balinais.

Tard dans la nuit, la discussion continue dans le bungalow des jeunes. Les jeunes balinais ont confié un secret à Léo et Quentin, ils vont être initiés dans deux semaines dans un temple de Bali. Depuis plusieurs générations, leur famille suit les règles d’une secte proche du tantrisme, religion où sexualité et rites religieux sont intimement mêlés. Leur gourou prône la révélation par l’acte sexuel entre les adolescents mâles, après leur seizième année sur terre; les adolescents, par l’orgasme prolongé et violent, entrent dans une transe mystique les faisant entrer en communication avec les dieux. Les rites initiatiques, publics, sont tellement intenses que beaucoup de garçons s’évanouissent. «On vous a fait goûter une petite partie aujourd’hui,» révèle Tom. «Mais, si vous acceptez, vous serez initiés avec nous, cela ne vous engagera pas pour la vie, la tolérance fait partie de notre religion.» Léo et Quentin, désireux de tout connaître de la vie, acceptent avec enthousiasme. Aussitôt, Tim et Tom entreprennent le rasage intégral de Léo et Quentin, première étape vers l’initiation. Les quatre ados finissent la nuit, endormis sur le même lit, jambes et bras emmêlés.

Il faut, le lendemain, beaucoup de temps à Jim, le père des deux jeunes balinais, pour réveiller les garçons. Le pauvre Jim est plus que gêné en voyant les corps dénudés emmêlés et les jeunes sexes bien vigoureux dès le matin! La journée est consacrée à l’ascension d’un nouveau volcan où des indonésiens vont exploiter et remonter le soufre dans des paniers, un vrai travail de forçat, raconte Jim. La petite troupe passe la nuit dans une plantation de café, il fait encore près de trente degrés et les ados, sortis discrètement de leur chambrée, goûtent aux plaisirs de l’amour en plein air, au milieu des plants de café.

Le lendemain enfin, on prend le ferry pour Bali, l’île magique pour Léo et son frère. Un taxi emmène les cinq vulcanologues sur la côte est, près du volcan Agung... et près du sanctuaire où les jeunes doivent recevoir l’initiation. «Wow!», le village d’Ahmed est paradisiaque avec sa plage de sable, couverte de bateaux de pêche tout colorés. La journée plage est fantastique, Quentin et Léo, avec leur masque et leurs palmes, découvrent des poissons de toutes les couleurs; un copain des jumeaux a emmené les jeunes sur son bateau et on peut se baigner en faisant l’économie du maillot. Quentin n’a jamais été aussi bien dans sa vie, il plonge aux côtés de Tom. Léo les trouve vraiment trop mignons tout nus dans l’eau transparente, leurs queues bien dures, leurs petites fesses fermes et brunes pour Tom et blanches pour Quentin. Tim dit à Léo que les deux jeunes français doivent se préparer pour l’initiation et perdre leur aspect bicolore! Trois jours de bronzage intégral, sur une petite crique et le problème est résolu.

Enfin, deux jours après la dure ascension du mont Agang, le cœur battant, Quentin, un peu effrayé et Léo, qui essaie de le rassurer, accompagnent Tim et Tom pour le temple de la secte. Ils y séjourneront trois jours et trois nuits pour y vivre leur initiation avec des dizaines d’autres jeunes postulants. Quand les quatre garçons pénètrent dans la cour du temple, illuminée par des torches, ils sont impressionnés par la musique assourdissante des gamelans, orchestres de percussions. La musique est lancinante, toujours répétée. Les garçons se dépouillent de tous leurs vêtements, les confiant à de jeunes garçons, habillés d’un sarong. Quentin frissonne malgré la chaleur. Autour de lui se pressent une vingtaine d’adolescents nus comme le jour de leur naissance.

Les futurs initiés doivent d’abord boire une mystérieuse mixture, chargée de les emmener vers les transes mystiques puis ils doivent courir, faire douze fois le tour de l’enceinte du temple. Quentin sent sa queue battre contre son ventre dur, ses testicules voler dans tous les sens. Les deux Français constatent l’absence de toute présence féminine. Bientôt, les garçons sont en nage et doivent se purifier dans un bassin où les eaux sont sacrées. Un prêtre ceint Quentin d’un cordon rouge à la taille puis le conduit dans le bassin où il doit s’immerger. Dès ce moment, les rites tantristes ou plutôt ceux de cette secte du tantrisme, peuvent débuter.

Dans le bassin, les initiés de l’année précédente, commencent à agacer les virilités de leurs cadets, caresser leurs fesses, jouer avec leurs couilles. Quentin ne s’est jamais senti aussi dur, effet de la boisson mystérieuse et des agaceries des «prêtres en herbe». Un jeune balinais plonge entre ses jambes écartées, attrape ses couilles et les tire en arrière décalottant un peu plus le gland déjà sorti aux trois quarts. Quentin gémit un peu, mais la douleur l’excite un peu plus. Après la cérémonie du bain, les garçons doivent être rasés une nouvelle fois, oints d’une huile sacrée et massés. Quentin doit s’allonger sur une table de pierre polie, trois adolescents, juste vêtus de la ceinture rituelle, vont le raser soigneusement puis frotter tout son corps avec une mixture d’huile et de sable mêlés, le garçon doit résister pour ne pas jouir quand un garçon masse son gland avec cette pâte sableuse. Le jeune masseur lui dit en anglais que c’est pour adoucir sa peau. Après avoir absorbé un nouveau breuvage, Quentin doit s’allonger sur une dalle tellement polie qu’elle lui paraît presque aussi douce qu’un matelas. Et, pendant de longues heures, ses cuisses, ses fesses, sa queue, ses couilles vont subir les assauts de dizaines de mains plus expertes les unes que les autres. Quentin est retourné sur le ventre, sa queue frottant contre la pierre de la table. Divers objets plus insolites les uns que les autres, vont pénétrer son cul, lui arrachant soupirs, gémissements et cris. Quentin va entrer en transes, sans jamais éjaculer, son gland est devenu violet foncé.

«Il est temps!» décide le maître de cérémonie. Quentin est retourné sur son dos, un jeune prêtre saisit sa queue, il sent ses couilles se contracter violemment, un flot de semence remonte le long de l’objet puis jaillit. Les jets de sperme inondent le ventre de Quentin et atteignent même son visage, ses cheveux. L’orgasme est tellement violent que l’adolescent tombe dans les pommes. Quentin jouira quatre autres fois durant la nuit, dans la bouche ou dans le cul d’autres initiés, il recevra la semence d’une dizaine d’autres adolescents, prêtres ou initiés. Léo et son frère vont dormir près de 24 heures au milieu de leurs compagnons aussi épuisés qu’eux.

Les huit derniers jours dans l’île sont consacrés au repos. Tim et Tom initient une nouvelle fois les deux jeunes garçons... mais c’est au surf maintenant! Bali est un paradis du surf et les deux jeunes balinais écoeurent les deux français par leur niveau. Quand ils reprennent l’avion à Denpassar, Quentin et Léo ont la larme à l’œil mais ont juré aux jumeaux balinais de revenir aux prochaines vacances d’été.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:43

Les aventures d'Augustin (1)

Première partie: le lycée saint Joseph

Augustin, étudiant à l’école Centrale, est tout intimidé en franchissant le portail du lycée où il va exercer la profession de surveillant d’internat durant l’année. Le jeune homme ne passe pas inaperçu, mêlant le côté intello brillant de son père, prof à la Sorbonne, et la beauté éclatante de sa mère, jeune femme vénitienne, issue d’une vieille famille patricienne. Augustin a su cultiver l’adage «une âme saine dans un corps sain», sa mère l’ayant inscrit très jeune dans un club de natation. Bref, Augustin, avec son mètre quatre-vingt, bien bâti tout en restant fin, avec ses cheveux bouclés, blond vénitien, est le centre des regards de nombreux élèves quand le proviseur le présente dans la grande salle qui sert aussi de réfectoire. Le proviseur explique la spécificité de l’établissement qui accueille des élèves «rebelles» de bonne famille qu’on a dû retirer du système «classique» pour les «interner» dans ce lycée de la banlieue ouest de la capitale. Les parents ont des ambitions pour leurs chérubins et veulent les récupérer!

Augustin va tomber amoureux pour la première fois de sa jeune vie, dès le premier après-midi! Et de trois garçons en même temps! Le lieu du coup de foudre: la cour du lycée! Dans un coin éloigné, un groupe d’élèves est rassemblé et Augustin, qui surveille la cour entre midi et quatorze heures, s’approche du groupe, écarte quelques adolescents et surprend trois garçons en train de danser, les écouteurs vissés aux oreilles. Les trois adolescents se ressemblaient étrangement, mêmes converse aux pieds, même jean en velours slim taille basse qui tient par miracle sur leurs petites fesses, même sweat court à rayures et capuche, mêmes cheveux en pétard! Les jeunes se déhanchaient avec une bonne dose d’énergie, bougeant les bras de gauche à droite en faisant des vagues dans tous les sens, les pieds restant rivés au sol. Un des garçons mimait avec ses bras, l’action de se mettre du gel dans ses cheveux tout en effectuant de petits déhanchés. Un des garçons avait des petites fesses bien rebondies mais un autre avait les fesses toutes plates comme de nombreux ados. Augustin se prend à rêver, observant les caleçons ou les boxers des trois garçons, bien visibles derrière et devant! Le garçon blondinet, au petit cul tout rebondi se rend-il compte que son boxer lui rentre dans la raie des fesses la dessinant ainsi parfaitement?

Augustin sursaute quand un ado, derrière lui, l’informe que les trois sont les meilleurs tecknokillers de la classe de première S. Augustin, qui n’est pas beaucoup sorti de ses livres et de l’eau de la piscine, prend un air ahuri qui fait rigoler la bande d’ados autour de lui. «On va vous les présenter, monsieur! Le blond avec les cheveux tout bouclés, s’appelle Corentin! Le brun avec des cheveux qui partent comme des éclairs dans tous les sens, s’appelle Quentin et le deuxième blond avec les cheveux bien rangés qui repiquent vers le haut et le caleçon rose s’appelle Fabian. Il est allemand, de Berlin; il est venu à Paris avec sa mère pour échapper à une bande de trafiquants de drogue. Les trois sont inséparables depuis la classe de seconde quand Fabian est arrivé. Vous les trouvez trop mignons, monsieur!» «Tous les profs du bahut les adorent depuis le drame de l’année dernière.» Augustin se promet d’en savoir plus et, un peu honteux de l’intérêt trop visible qu’il porte aux trois ados, s’éloigne dans un autre secteur de la cour.

Dès le lendemain, l’occasion lui est donnée de retrouver son jeune trio. Le proviseur lui a demandé de convoquer immédiatement Fabian, quitte à déranger le cours de maths. Augustin frappe à la porte de la classe 24. Une forte femme, Béatrice Berthier, surnommée BB par les élèves (!), habillée comme un perroquet, lui ouvre en souriant. Sur l’estrade, Augustin reconnaît un de ses tecknokillers, le blond Corentin qui tire la langue en essayant de résoudre un problème de maths plutôt ardu! Augustin le trouve vraiment craquant, ce grand garçon tout mince avec ses longues jambes couvertes d’un joli duvet blond; Augustin remercie l’été tardif, plusieurs des ados, dont Corentin, portant des bermudas, toujours taille basse malgré les efforts du proviseur pour les interdire! Corentin souffle sur une mèche blonde, Augustin remarque l’acné juvénile, les grands yeux bleus. Tout à coup une tempête de rires secoue la classe, le bermuda de l’ado, toujours accro à la mode sagger, a glissé aux genoux pendant qu’il écrivait avec sa craie! Corentin, confus, devient rouge comme une tomate, aussi rouge que son mini boxer moulant parfaitement ses jolies formes intimes. La prof ne se démonte pas: «Au début de l’année, avec tes cheveux longs, je ne savais pas trop si tu étais une fille ou un garçon, maintenant je sais!» Re tempête de rires. BB reprend: «Et puis, essaie de ne pas arriver en retard presque chaque matin!» BB, qui n’aime pas beaucoup le jean velours, seconde peau, ultra moulant du mollet aux fesses que porte souvent Corentin en rajoute une couche: «Et bien mon garçon, si tu mets vingt minutes pour rentrer tes jambes dans ton jean et aussi tout ce qui fait de toi un garçon, je comprends que tu arrives en retard! Méfie-toi, quand c’est trop serré, la fertilité des garçons diminue, demande au prof de bio!» Elle est douée, BB, pour mettre les rieurs de son côté. De toute manière, les élèves l’adorent. Augustin apprendra bientôt que cette vieille de 50 ans ne choisit, malgré son agrégation brillante, que des classes un peu difficiles avec des ados souvent rebelles, noyés parfois dans leurs problèmes. Le miracle, c’est qu’elle les remet à flot, ne plaignant pas les heures de soutien non rétribuées. De plus, elle a payé en partie de sa poche, la participation de Fabian au voyage scolaire de fin de seconde. Bref, sa classe se ferait hacher menu pour elle!

Enfin, bref, Augustin transmet la demande du proviseur et jette un coup d’œil vers ledit Fabian qui s’effondre en larmes sur son bureau. Augustin est bouleversé, ému par le geste de Quentin, le joli brun assis à côté de Fabian. Quentin entoure l’épaule de Fabian de son bras et lui parle doucement à l’oreille. Toute la classe respecte un silence total, suppliant BB du regard. Le pauvre Augustin ne comprend rien; les deux délégués élèves exigent de pouvoir accompagner le jeune allemand. Quand les trois adolescents ont quitté la salle, BB, gentiment, lui explique que Fabian, avec ses seize ans tout récents, est le plus jeune de la classe mais aussi le plus paumé. Ce n’est pas un problème de langue, le garçon est parfaitement bilingue grâce à sa mère française, mais son père les a abandonnés, sa mère a vécu ensuite avec un architecte qui l’a aussi plaquée, sans argent. La mère et le fils ont dû déménager et, dans son nouveau lycée «difficile», Fabian a été racketté par une bande de jeunes turcs qui l’ont obligé à dealer. BB, vraiment désolée du désespoir intime qui habite ce garçon s’est jurée de l’aider. Elle raconte comment la classe, et surtout Corentin et Quentin, ont soutenu le jeune allemand. Corentin et Quentin s’approchent du bureau, expliquent à BB que la mère de Fabian est hospitalisée et n’a plus un euro disponible pour payer la scolarité de son fils. BB demande à Augustin de garder ses «petits», pendant qu’elle s’en va défendre son protégé dans le bureau du boss. Son absence va durer toute l’heure et les ados lui racontent la jeune vie de Fabian.

Corentin commence le récit: «Quand Fabian a changé de lycée, à Berlin, ça a été un vrai choc pour lui, il a été tout de suite pris en grippe par une bande de jeunes turcs, menée par Göker, un dur de sa classe. Ils se sont moqués de son côté efféminé avec ses jolis cheveux blonds bien rangés, ses grands yeux trop doux. Fabian a été tout de suite traité de fils de riche, d’intello. Quinze jours après la rentrée, Fabian est tombé dans un premier traquenard. En marchant dans la rue, son MP3 vissé aux oreilles, il a été saisi par quatre jeunes de la bande de Göker et entraîné dans une arrière-cour. Là, les gars de la bande ont commencé à le gifler, Göker lui balançant un coup de poing directement sur les parties génitales. Göker lui a expliqué alors qu’il voulait 100 euros dans les trois jours. Fabian a eu beau protester, affirmant que lui et sa mère étaient aussi pauvres qu’eux mais la seule réponse fut une nouvelle volée de coups. Trois jours plus tard, comme convenu, Fabian a versé sa rançon de cent euros, toutes ses économies y sont passées. Göker réclame à nouveau cent euros pour la semaine suivante. Le deuxième incident grave, raconte ensuite Quentin, eut lieu huit jours après, à la fin du cours de sports, sous les douches. Un des potes de Göker est venu chercher en urgence le prof et dès que ce dernier eut quitté le gymnase, cinq gars sont tombés sur Fabian sans que le reste de la classe n’ose bouger pour lui venir en aide. La bande de Göker règne par la terreur. Fabian, qui se douchait en maillot de bain, est tiré au milieu du vestiaire, Göker, en souriant, lui ordonne de se mettre tout nu. Fabian refuse, explique qu’il n’a plus d’argent mais la bande lui tombe véritablement dessus. Fabian se retrouve allongé sur le ventre, sur le carrelage, il sent qu’on lui arrache son slip, qu’une main se glisse entre ses fesses, s’empare de son sexe, cherche ses testicules. Une autre main le baillonne tandis que la main, qui a enserré ses couilles, les broie de plus en plus fort. Fabian sent qu’on lui savonne son petit trou. Göker revient avec un balai et commence à frotter le bout du manche sur l’anus de Fabian qui se tortille. Heureusement, le prof, alerté par un élève plus courageux que les autres, intervient juste à temps pour éviter le pire, mais le garçon va rester longtemps prostré, en boule, sanglotant dans la salle des douches. Le garçon ne parlera pas, ni le proviseur, ni le prof de sports, n’en sortiront un mot. Fabian ne dira rien non plus à sa mère qui apprendra l’agression de la bouche d’un de ses camarades de classe, plusieurs mois après.» Augustin, ému par le récit, sent les larmes lui monter aux yeux.

Deux heures après, BB réunit un mini conseil de guerre avec sa classe de première S; Augustin demande s’il peut rester, BB accepte avec chaleur. Elle raconte l’entrevue dans le bureau du proviseur. Göker, le persécuteur de Fabian doit être jugé pour trafics, racket, violence et Fabian doit témoigner au tribunal pendant les vacances de la Toussaint. L’adolescent reste trop fragile, les copains de Göker ont menacé de lui «couper les couilles, excusez moi si je vous choque mais ce sont les termes exacts du garçon» s’il revenait se pointer dans la capitale allemande. «Ce serait dommage!» suggère Corentin qui ne fait rire personne. BB ajoute que, pour ne rien arranger, la mère de Fabian ne peut plus payer la scolarité dans ce lycée privé, Fabian devra quitter l’établissement après les vacances de la Toussaint. Quel tollé dans la classe, BB doit rassurer ses potaches en jurant que ça ne se passerait pas comme ça! Elle dévoile son plan de bataille, Augustin n’en revient pas de l’énergie de BB! Premièrement, elle lance une souscription, tous les élèves lèvent le doigt pour accepter de contribuer et de passer dans toutes les classes, BB se chargeant des profs. Deuxièmement, BB accompagnera Fabian à Berlin et demande à Corentin et Quentin de venir. Augustin demande à se joindre au groupe, ce qui est accepté aussitôt. Troisièmement, BB qui voit le jeune allemand décrocher en maths, demande des volontaires pour aider le garçon chez lui. Re unanimié, toutes les mains se lèvent. Augustin, brillant étudiant à Centrale, s’occupera de Fabian, aidé par les inséparables Corentin et Quentin, un peu moins costauds dans la matière.

Le mercredi suivant, Augustin retrouve Quentin et Corentin au Paranoid park du coin! Il éprouve une bouffée de désir qui l’inquiète en voyant évoluer les deux adolescents sur leurs skates. Les deux garçons évoluent torse nu. Il rougit, admirant les corps finement musclés, un peu maigrounets, le toupet de ces garçons qui n’ont aucun complexe à montrer leur caleçon. Augustin, un peu honteux, s’imagine caressant les jambes des deux garçons, glissant sa main dans le large bermuda, atteignant les couilles qu’il imagine douces, effleurant le périnée, l’anus, le gland. En s’imaginant pousser son doigt dans l’anus des garçons, il se sent durcir dans son jean et sent aussi que ça se voit. Corentin l’interpelle en riant: «C’est de nous voir faire du skate qui vous met dans cet état, monsieur?» Dix minutes après, Augustin, encadré par les deux skaters, se rend au domicile de Fabian.

Il fait hyper chaud dans le petit T2 qu’occupe Fabian avec sa mère sous les toits d’un vieil immeuble. Augustin est trop troublé, Fabian les accueille torse nu, ne portant qu’un petit caleçon. Il chahute gentiment avec ses deux potes qui entrent à leur tour et Augustin voit très bien la tige de l’ado bouger dans le caleçon. Il a encore plus chaud quand il voit Quentin et Corentin se mettre aussi en caleçon. «Ne vous gênez pas, monsieur, on crève de chaud chez Fabian! On va d’ailleurs prendre une douche avant de bosser.» Le jeune surveillant, qui était du genre timide à cet âge, n’en revient pas, les trois caleçons ont volé et, toujours en chahutant, les trois ados, tout nus, la quéquette secouée dans tous les sens, gagnent ensemble la salle de bains! Augustin s’effondre sur le canapé, son cœur bat la chamade, son sexe lui fait mal tellement il est dur. Il ferme les yeux mais un flot d’images le submerge, les torses imberbes, les couilles dansant entre les cuisses finement musclées des adolescents, couilles restées imberbes pour Fabian et Corentin, plus grosses et plus poilues chez Quentin, les fesses bien dures, plates chez Fabian, rebondies chez ses deux copains.

Augustin rouvre les yeux en entendant rire, les garçons sont revenus, encore nus, s’essuyant à peine pour conserver un peu de fraîcheur. «Et vous, il faut vous doucher aussi!» Augustin finit par accepter et se dirige vers la salle d’eau. Les garçons sont sans pitié: «Il faut laisser vos fringues sur cette chaise.» Augustin doit s’exécuter et tourne le dos aux trois garçons pour se dénuder; il file vite, la verge bien bandée, ce qui fait rire encore davantage les trois petits diables. Augustin se douche à l’eau glacée, faisant tomber son érection, puis réintègre le salon. Les trois ados sont assis autour de la table ronde, tout nus, assis sur une serviette, commençant leurs révisions de maths. Augustin constate qu’une chaise, couverte aussi par une serviette, lui est destinée. Rouge comme un écrevisse bien cuit, il prend place: «Que les maths commencent!» proclame Corentin. Le plus drôle, c’est qu’on va bien bosser durant près de trois heures.

Vers 20h, on sonne à la porte et Corentin, sans complexe, ouvre toujours tout nu en criant que c’est le livreur de pizza. Le livreur est plutôt confus en voyant les quatre, nus comme des vers, avec tous les bouquins de maths sur la table! Quentin proclame solennel en désignant Augustin: «C’est Acadomia, prof à domicile, sauveteur des âmes perdues en maths!» Le pauvre livreur, qui ne doit pas être plus âgé que les trois diables de la première S, se demande ce qu’il doit croire; Augustin met fin à son supplice en lui versant un large pourboire en plus du prix de la pizza et le jeune livreur s’enfuit sans demander son reste! Le repas se fait sur le tapis sur lequel Fabian a étalé une nappe. Quelle rigolade chez les trois plus jeunes, surtout quand Fabian fait couler de la sauce tomate sur son sexe redressé comme un i et bien décalotté. «Je vais arranger ça!» Et Corentin de se pencher et d’avaler le gland rouge de sauce tomate! Quentin se marre: «C’est de la sauce Aurore que tu vas avaler quand Fabian aura juté, rouge plus blanc égale rose! Les gars, il faut s’occuper de notre pion préféré! On va lui mettre un bandeau sur les yeux, il est trop timide!» Les trois adolescents se jettent sur Augustin qui ne se défend pas beaucoup! Le bandeau lui fournit une excuse! Il ne sait plus qui fait quoi! Il sent une paire de couilles toutes douces lui chatouiller le nez et se résout à gober ces œufs tout frais, les mordillant doucement. Il sent qu’une bouche a pris possession de son sexe, qu’une langue titille son gland tandis que des doigts tirent sur la peau de ses bourses. Il prévient quand il se sent venir trop vite mais la bouche l’enfourne encore plus profondément et ses jets de sperme atteignent le fond de la gorge de quel adolescent?

«Suce-moi!» Toujours avec son bandeau sur les yeux, Augustin a reconnu la voix de Corentin et sent le gland de l’adolescent lui chatouiller les lèvres. Il le tète jusqu’à ce qu’il sente le sperme gicler et ouvre grand la bouche pour avaler la semence jusqu’à la dernière goutte. «C’est Fabian qui va te prendre, il a la queue la plus fine et ne te fera pas trop mal.» Vraiment prévenant Corentin. Augustin crie quand le jeune allemand l’enfile sans trop de douceur. Quand Fabian retire sa verge, il sent le sperme s’écouler doucement de son anus. Corentin, l’esprit décidément très pratique remarque: «Ne tache pas trop la nappe et fais moins de bruit, il y a des voisins!» Fatigués par leur soirée «maths and love», les quatre s’endorment sur le tapis.

À six heures, quand sonne le réveil de son portable, Augustin jette un coup d’œil ému aux trois ados emmêlés; leurs visages apaisés sont encore ceux d’enfants mais leurs organes génitaux sont bien ceux de jeunes adultes. Augustin a une nouvelle bouffée de désir en voyant Fabian allongé en chien de fusil, les testicules lisses coincés derrière les cuisses serrées. Il se penche doucement pour déposer un baiser sur les deux boules du garçon endormi puis va dans la cuisine préparer le petit dej; il est bientôt l’heure de rejoindre le lycée et Augustin prend son service dès 7 heures. À 8h05, quand il voit les trois inséparables franchir le portail, Augustin a beaucoup de mal pour prendre son air de pion sévère en tançant les garçons pour le retard. Quentin, ironique, explique qu’ils ont eu une nuit agitée!

Enfin, novembre débarque et le grand jour est arrivé, BB, en chef de commando, mène sa troupe composée de trois ados de 16, 17 ans et d’un jeune adulte, pas beaucoup plus mature! La troupe prend le train de nuit, direction Berlin HauptBanhof. Dans un compartiment prennent place les garçons tandis que BB a droit à un wagon-lit, «étant donné son grand âge» lui lance Corentin en rigolant. Les boys sont trop contents d’être entre eux; il fait chaud dans le compartiment dans tous les sens du terme. À peine le train lancé sur les rails, les trois ados se débarrassent de leurs vêtements et se fichent de la tête d’Augustin à qui BB a demandé de surveiller les trois garçons! Corentin proclame que les quatre vont prêter serment de rester toujours amis, chacun va boire le sperme des trois autres puis chacun sera pris par les autres! «Ça va pas!» reconnaît Quentin qui a un peu plus les pieds sur terre. «Ça nous ferait jouir six fois en 10 heures!» «Bon, on se contentera de la bouche! Celui qui est sucé s’assoit sur le lit d’en haut, les autres attendent leur tour.»

C’est en pleine action que les ados sont surpris par les coups sur la porte! «C’est moi, j’ai un papier important à étudier avec vous avant la convocation chez le juge.» Panique dans le compartiment, on fonce sur les sous-vêtements et Corentin se résout à ouvrir, pas très à l’aise. BB le regarde bizarrement, Corentin baisse les yeux et s’aperçoit qu’il a enfilé son caleçon à l’envers. BB le regarde encore plus bizarrement quand il parle: «Tu as la langue toute blanche, tu dois avoir une crise de foie mon garçon!» Quentin et Fabian se regardent en essayant de ne pas éclater de rire. Quant à Augustin, il n’est pas du tout à l’aise. Les quatre garçons enfilent un T-shirt et s’installent pour étudier les documents. Augustin donne un petit coup de coude à Fabian qui ne voit pas que le bout de son sexe dépasse du petit caleçon à fleurs qui cache ses parties intimes. Fabian rougit comme une tomate et rectifie la tenue.

Bref, après une deuxième partie de nuit plus calme, les cinq débarquent dans la nouvelle gare de Berlin. Du taxi, ils observent bouche bée les grands travaux de la capitale de l’Allemagne réunifiée, le Parlement avec sa coupole de verre, la Potsdamer Platz avec ses buildings Sony et Daimler. Pas moyen de faire desserrer les dents à Fabian qui se révèle un bien piètre guide; BB, très maternelle, le couvre des yeux. Au tribunal, le lendemain, Augustin va vivre une de ses journées les plus riches en émotion. Longtemps il gardera en mémoire les sanglots de Fabian exposant sa jeune vie berlinoise qui lui laisse encore tant de cauchemars. Le garçon raconte tout, sans se dégonfler, malgré les regards menaçants des jeunes turcs.

Le soir même, pas moyen de faire rester Fabian un jour de plus, la petite troupe reprend le train de nuit. Quand la rentrée de novembre s’effectue, Fabian est suffoqué quand toute la classe lui saute dessus pour l’embrasser, le rassurer. Sa mère est sortie de clinique et la collecte permet au jeune allemand d’assumer tous les frais de scolarité pour plus d’une année. La nuit fut extraordinaire, les quatre inséparables font la fête avec BB et la mère de Fabian puis, après le départ de BB, les quatre garçons s’endorment ensemble, dans la chambre de Fabian après avoir fait l’amour, sans bruit, tout en douceur, à tour de rôle, mêlant leurs caresses, leurs jambes, leurs bras, leurs sexes, retenant leurs cris.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:40

La face cachée de Benjamin (2)
 
Après l’après-midi inoubliable passée à faire l’amour à Lucas, Benjamin et les deux merveilleux jumeaux de mon petit frère, je passai le reste de la semaine à attendre ce fameux samedi où nous devions tous nous rejoindre après le match de foot de ces terreurs du sexe, avec en bonus l’invité mystère des jumeaux dont même Benjamin ignorait l’identité. Il avait pourtant tout essayé pour en savoir plus (il a même refusé de leur faire l’amour pendant le restant de la semaine car ces derniers n’ont rien voulu lui dire). Moi, de mon côté, mis à part deux ou trois pipes avec mon Lucas et la soirée où mon diable de frère s’est aventuré dans mon lit, je n’ai rien fait, préférant me réserver pour cet après-midi.

C’est donc tout excité que moi et Lucas partons en direction du terrain de foot avec une seule idée en tête: passer un moment aussi torride que mardi dernier! Arrivés là-bas, nous assistons au match où l’équipe de Benjamin s’impose par 4 à 1 avec deux but de Julien et 3 passes décisives de mon frère. D’ailleurs je remarque de temps en temps quelques gestes déplacés de nos trois compagnons qu’ils ont entre eux sur le terrain. Je commence vraiment à bander dur. Heureusement que le match est terminé et que nous allons enfin bientôt pouvoir passer à l’action. J’ai une envie folle de faire l’amour à ces deux blondinets, copies parfaites l’un de l’autre, et ce n’est sûrement pas leurs regards pervers à mon encontre tout au long du match qui ont arrangé le tout! Lucas est dans un état tout aussi excité que moi, voire bien pire, puisqu’il n’a pas pu éviter de mettre sa main dans le pantalon pour remettre tout son matériel en place durant le match!

Juste avant de rentrer aux vestiaires, Benjamin, Julien et Ethan viennent nous rejoindre. Nous les saluons (bien entendu je ne salue pas mon frère car j’en ai eu l’occasion dès ce matin), puis nous les félicitons pour leur belle victoire, et je lance à Julien:

— Bravo pour tes deux buts! Tu mérites que je t’offre une belle récompense!

— J’ai hâte, mais il va falloir attendre un peu! Il faut d’abord qu’on se douche et qu’on aille à la maison car c’est là-bas que notre invité doit nous rejoindre, me répond-il.

Puis, discrètement, il prit ma main et la mit à l’intérieur de son short où, à travers le tissu de son boxer, je sentis sa queue qui avait déjà pris des proportions très intéressantes. Puis il me chuchota à l’oreille:

— Elle sera rien que pour toi tout à l’heure!

C’est alors qu’Ethan s’exclama avec sa petite tête blonde remplie d'innocence qui me fit fondre:

— Et moi, alors! Je sais bien que je n’ai ni mis de but, ni fait de passes décisives mais je suis défenseur et j’ai quand même bien fait mon travail!

— Tu as même fait mieux que ton travail, et pour cela je vais aussi bien m’occuper de toi. De toutes façons, vous allez de paire. Si je m’occupe de Julien, je m’occupe aussi de toi, repris-je.

— Je suis rassuré, répondit le blondinet.

— C’est très joli tous ça, Guillaume, mais il n’y a pas que toi qui as besoin de se vider. Laisses-en pour les autres, rétorqua mon frère.

— Il te reste Lucas qui de plus meurt d’envie de te retrouver au fond de lui. Enfin, d’après ce qu’il m’a dit durant le match. N’est-ce pas Lucas? lui lançai-je, sourire aux lèvres.

— Euh oui, mais enfin t’étais pas obligé de lui dire, répondit-il gêné.

— T’as pas à être gêné. Au contraire, j’en serais très heureux. Et puis tu vas voir: je suis cent fois meilleurs que le frangin quand je suis au top de ma forme, dit Benjamin.

Sur ces paroles, nos trois footballeurs regagnèrent le vestiaire. Ils en sortirent 10 minutes plus tard et nous partîmes en direction de la maison des jumeaux qui se trouvait à cinq minutes du terrain de foot.

C’était une grande demeure située dans un quartier assez riche à la vue des maisons et des voitures de l’entourage. Nous rentrâmes dedans et nous gagnâmes la chambre d’Ethan qui était la plus grande. L’intérieur de la maison était tout aussi joli que l’extérieur mais, pour l’instant, ce n’était pas mes préoccupations. À peine arrivé dans la chambre que Benjamin se jeta sur Lucas, le plaqua sur le grand lit d’Ethan et le dévêtit, lui laissant son boxer blanc ultra moulant et tout déformé pour seul habit. Lucas gémissait déjà sous les caresses et les baisers de mon frère qui parcourrait tout son corps. Sa bite ne demandait qu’à être libérée. Elle le fut 10 secondes plus tard, pour se retrouver de nouveau prisonnière mais, cette fois-ci, dans la bouche de Benjamin. Mon amoureux gémissait de plus belle sous les va-et-vient ravageurs de mon frère qui semblait assoiffé de sperme au regard de la passion qu’il mettait à sucer. Les jumeaux et moi-même regardions le spectacle avec envie. Julien prit alors la parole:

— On ne va pas rester là à les regarder, j’en peux plus moi aussi et puis j’ai trop envie de toi, Guillaume!

— Mais il faut que l’on en garde pour tu sais qui, reprit Ethan.

— Vous pourriez peut-être dire qui c’est, maintenant qu’il va bientôt arriver. Comme ça on pourrait établir un plan pour s’amuser, lançai-je aux jumeaux.

— Il a pas tort, répondit Julien. Moi, je suis pour qu’on leur dise maintenant!

C’est à ce moment-là que Lucas inonda la bouche de Benjamin dans un raz de marée de sperme, avec un gémissement tel que cela donnerait envie à n’importe quel mec de se faire sucer par mon frère! Après s’être roulé un patin des plus sensuels, nos deux jeunes amis se redressèrent l’air de rien, même si Lucas semblait être complètement déconnecté de la planète, pour savoir qui était ce fameux invité mystère!

— Bon, ok! on va vous dire qui c’est. Mais, d’abord, promettez-nous de suivre nos plans, dit Ethan.

— Pas de problèmes, répondîmes en choeur moi, Benjamin et Lucas qui se rhabillait.

— Bon, alors, voilà, je vous explique. Il y a deux semaines, nous étions invités à manger chez des nouveaux voisins. Et il se trouve que ces voisins ont un fils de 18 ans. Il s’appelle Félix et c’est tout simplement une bombe. Il est métis, aux cheveux noirs, courts et bouclés. Les yeux verts, je dirais 1m80 pour 60kg, une silhouette fine et élancée, une voix douce… Enfin, bref, Julien et moi, on a bandé toute la soirée rien qu’en le voyant. En plus ce mec est d’une gentillesse et d’une timidité qui mérite qu’on s’occupe de lui. Donc voilà, maintenant vous savez qui est notre invité mystère, conclut Ethan qui avait passé la main dans son jean pendant qu’il parlait.

— C’est bien joli tout ça! Mais comment pouvez-vous affirmer que ce mec est gay? demanda Lucas.

— Eh bien, c’est tout simple! Nous étions dans sa chambre en train de regarder un film sur son PC, quand il est parti aider sa mère à servir le dessert. Et nous, curieux et excités comme y a pas, on a fouillé les dossiers de son ordinateur!

— Et… m’impatientai-je

— Bah! On est tombé sur un sous sous sous sous et re sous dossier nommé «pour plaisir solitaire». On l’a ouvert et on est tombé sur le kit parfait de branlette pour jeunes mecs gays. Il y avait une collection de photos de jeunes mecs dans toutes les positions possibles, des vidéos, des récits de cul… Alors si, avec ça, il n’est pas gay, moi, j’arrête de faire l’amour pendant cinq ans, dit Julien en souriant.

Nous établîmes alors un plan digne des plus grands films hollywoodien… de cul, avant l’arrivée de Félix. C’est seulement cinq minutes après avoir terminé, que la sonnette de la maison se fit entendre.

Ethan partit ouvrir et remonta nous rejoindre dans sa chambre avec Félix, qui était véritablement un beau gosse comme il nous l’avait décrit auparavant. On fit brièvement les présentations, les jumeaux et Benjamin racontèrent leurs exploits de footballeurs puis on s’installa devant la console. Moi je faisais équipe avec Julien, Ethan avec Félix et Lucas avec Benjamin. On sentait bien que Félix n’étais pas très à l’aise au milieu d’ados plus jeunes que lui mais ce n’est pas cela qui l’empêcha de gagner la majorité des parties avec Ethan. Le pauvre en avait l’air presque gêné, ce qui le rendait encore plus craquant. S’il savait ce qu’il l’attendait! Au bout d’une heure et demie de jeu, Julien proposa d’arrêter:

— Bon, moi, j’en ai marre. Si on faisait autre chose?

— Comme quoi? répondit Lucas.

— Bah! On a des films de cul à regarder: ça vous tente? reprit Julien.

— Pas de problème pour moi, dis-je.

— Euh! Mais peut-être que ça dérange Félix? Après tout, il a peut-être pas envie de se branler avec des ados de 14 et 15 ans, c’est plus de son âge et puis il a peut-être une copine en plus! lança Ethan.

— Qui t’a dit qu’on se branlerait? reprit Julien en rigolant.

— Non, ça me dérange pas du tout. Enfin j’en meurs pas d’envie non plus mais, euh, en fait… j’suis pas contre… C’est comme vous voulez, vous… vous êtes chez vous et puis j’ai pas de copine, balbutia Félix tout rouge.

— Benjamin et moi, ça nous dérange pas, mais tu sais bien qu’on risque de… enfin tu vois ce que je veux dire, je vais pas te faire une photo, dit Lucas.

— On a la chambre d’amis de disponible, vous inquiétez pas vous aurez votre intimité, si l’envie vous prend! Et comme elle vous prendra! rigola Ethan.

Félix qui écoutait la conversation avec les oreilles grandes ouvertes semblait perdu. C’est alors que Julien lui expliqua:

— Écoute, Félix, j’espère que ça va pas te choquer mais Lucas et Benjamin sont gays et ils sortent ensemble. Nous cela nous dérange pas du tout, c'est nos copains avant tout. Alors, voilà, si tu es homophobe, on va te demander de partir! Même si nous ne pensons pas que tu le sois, vu comment tu es si aimable et si généreux.

— Non, non je… ça ne me dérange pas du tout, je suis très ouvert sur le sujet, s’empressa-t-il de répondre.

— C’est cool! On va pouvoir commencer alors, et puis maintenant que Félix est au courant, vous êtes plus obligés de vous retenir, les petits pédés, dit Julien en s’adressant à Lucas et Benjamin.

— Ouais! Fais le malin! En attendant, nous on a autre chose que nos deux mains pour nous soulager, reprit Benjamin.

Ethan lança donc le film. Pas la peine de vous dire que tout le monde bandait avant même que ce dernier ne commence. Au bout de cinq minutes, tout le monde avait déjà la main dans le pantalon sauf Félix qui, par gêne, n’osait rien faire, même s’il en mourait d’envie au vu de l’immense érection qui déformait son jean. D’ailleurs son regard était plus porté sur Benjamin et Lucas qui s’embrassaient et se caressaient sous nos yeux. C’est alors que Julien et Ethan baissèrent leurs pantalons et enlevèrent leur t-shirt pour se retrouver vêtus uniquement d’un boxer Calvin Klein noir identique. Ils étaient si bandants que je me serais bien jeté sur eux tout de suite! Mais, patience! Le moment que j’attendais ne saurait tarder à arriver. Ils se caressaient sans gêne et guettaient le regard de Félix qui n’en pouvait plus et qui finalement passa une main dans son pantalon. Julien prit alors la parole:

— Bon, allez, les mecs, vous allez pas rester comme ça! Faites comme nous!

Il ne fallut que dix secondes à Benjamin et Lucas pour se retrouver en boxer. Je ne mis pas grand temps à les rejoindre. Félix, qui semblait de plus à plus à son aise au vu de la tournure des évènements, nous rejoignit également… Et putain! Quelle bite! On pouvait deviner qu’à l’intérieur du tissu se cachait au moins 25cm. Un autre détail nous frappa et nous excita: il était totalement imberbe. On était tous en train de mater Félix, d’ailleurs cela le rendit complètement rouge. Ethan prit alors la parole:

— Putain, Félix! Elle a l’air énorme, et trop belle!

— Euh, merci, chuchota-t-il.

— Tu t’épiles? Demanda Benjamin.

— Euh... oui, je trouve ça plus beau un mec sans poil, répondit-il, gêné, sentant qu’il avait dit une bêtise.

Ethan se leva et se dirigea vers Félix avec sa petite tête d’enfant malicieux. Il était toujours aussi bandé. Arrivé devant lui, il prit la parole:

— C’est clair, c’est tellement bandant ou, plutôt, tu es tellement bandant, dit-il en posant la main sur son boxer puis il déposa un baiser dans son cou et reprit: Aujourd’hui, tu as cinq mecs gays rien que pour toi, alors profites-en!

Enfin, pour l’instant, il n’avait qu’Ethan car mon Lucas commençait déjà à sodomiser et à branler mon petit frère qui prenait vraiment son pied au vu de ses gémissements. Je commençais vraiment à me demander s’il ne préférait pas mon Benjamin à moi. En même temps, moi, les jumeaux me faisaient fondre de désir! D’ailleurs, Julien et moi étions déjà en 69. Je dévorais à pleines bouchées la bite de mon ange blond pendant que lui faisait de même. Nous interrompîmes nos ébats pour rejoindre Ethan et Félix qui portaient toujours leurs boxers. C’est alors que nos deux jumeaux se mirent en spectacle devant nous rien que pour nous exciter, et cela marchait très fort! Ils s’embrassaient, se caressaient…

Julien baissa le boxer d’Ethan et commença une fellation ultra sensuelle. Félix n’en pouvait plus, il baissa son boxer et commença à se branler. Sa bite était vraiment énorme. Je n’avais qu’une seule envie: l’avoir dans la bouche. Je ne lui laissai le temps que pour un va-et-vient avec sa main avant de déposer ma langue sur ce joli gland chaud et humide. J’essayai de gober son engin au plus profond mais je ne pus le prendre en entier. Je le suçais du mieux possible en m’attardant sur les points les plus sensibles, et apparemment ça marchait fort au vu de ses gémissements. C’est alors que les langues de Julien et Ethan me rejoignirent au niveau du bassin de Félix. On se mit à trois sur sa queue et ses couilles en changeant les rôles. Nos langues se mêlaient autour du sexe de Félix. Inutile de vous préciser que notre invité était au septième ciel. Ses belles mains venaient parcourir nos cheveux. De temps en temps, Ethan allait retrouver la bouche de Félix pour l’embrasser fougueusement. Au bout de trois minutes, il nous fit savoir qu’il allait jouir:

— Hummm… hum, oui… les mecs ça vient!

À peine cinq secondes plus tard qu’il balançait déjà la sauce. D’abord dans la bouche d’Ethan puis ensuite sur son ventre, Julien et moi se chargeant de tout nettoyer. Félix avait du mal à retrouver ses esprits, mais il réussit tout de même à nous parler:

— Merci, les gars! C’était trop bon! J’avais jamais rien fait avant mais là je crois que je vais devenir accro! En plus, je vous l’avais pas dit mais je suis gay alors j’apprécie plus qu’autre chose la bouche de jolis garçons comme vous!

— Oh! Mais tu vas apprendre à apprécier autre chose que nos bouches, petit coquin! Et puis on savait que t’étais gay sinon on aurait jamais osé faire tout cela, reprit Ethan.

— Ça se voit tant que ça? balbutia Félix.

Ethan lui raconta alors la même histoire que tout à l’heure. Entre temps, Lucas et Benjamin nous avaient rejoints après que mon amoureux se fut déversé dans le cul de mon petit frère. Ce dernier bandait toujours et regardait avec envie la queue de Félix qui, même au repos, avait des dimensions plus qu’intéressantes. Il s’approcha de celle-ci et la prit en bouche en un rien de temps. Elle retrouva vite les proportions de tout à l’heure. Il s’arrêta alors, remonta au niveau de la bouche de Félix qui se mordait les lèvres de plaisir, lui déposa un baiser et lui chuchota dans l’oreille:

— Prends-moi, je meurs d’envie de la sentir en moi, elle est tellement belle et grosse!

— Je suis gâté aujourd’hui… mais j’ai jamais sodomisé personne. Je sais pas comment m’y prendre, j’ai peur de te faire mal, reprit Félix.

— T’inquiète pas bébé! Je te guiderai et puis c’est pas la première qui passe par là: Lucas vient déjà d’ouvrir la voie.

Sur ce, Benjamin se mit à quatre pattes, les fesses en face de la bite de Félix qui déposa son gland sur le trou de mon frère. Puis il s’introduisit lentement pour finalement entrer entièrement avec une facilité déconcertante vu la taille de l'engin. Il commença ses mouvements de va-et-vient pendant que Lucas pompait avec application la queue de Benjamin. Félix s’en donnait à cœur joie, ses couilles claquaient contre les fesses de mon frère qui gémissait de plaisir sous les va-et-vient ravageurs de la bite de notre nouveau compagnon et de Lucas sur la sienne. De mon côté, je n’étais pas en reste. Je donnais à mes jumeaux la récompense promise qu’ils méritaient. Je les suçais tous les deux à tour de rôle puis j’essayais en même temps, et ils aimaient. Il n'y avait qu'à regarder leurs petites têtes blondes avec leurs beaux yeux bleus qui pétillaient:

— Hum... Oui, putain! Guillaume, c’est… hum... trop bon! Je t’aime, mon amour, dit Julien.

— On… On t’aime, reprit Ethan. On va te faire juter comme jamais!

Ils me repoussèrent alors et Julien me proposa ses fesses en cadeau. Je les acceptai volontiers tout en proposant les miennes à Ethan. J’étais pris en sandwich, en train de limer le cul de mon beau Julien, et en train de me faire ramoner par son sublime jumeau. J’étais au paradis, jamais je ne m’étais senti aussi bien avec deux garçons. Pour tout avouer, c’était encore mieux qu’avec Lucas. Julien jubilait sous mes va-et-vient, mes baisers dans son cou, mes caresses sur sa bite. Moi, je jouissais sous la sodomie que me faisait Ethan.

La chambre s’était transformée en une chorale de gémissements tous aussi jouissifs les uns que les autres. Entre nous, Benjamin, Félix et Lucas, impossible de dire qui prenait le plus son pied. C’est Félix qui vint le premier dans le cul de mon petit frère. Notre invité proposa alors ses magnifiques fesses à Lucas qui, après avoir préparé le terrain, le sodomisa avec entrain. En même temps notre hôte suçait avec passion la queue de Benjamin. Ces deux-là ne tardèrent pas à se déverser dans Félix. Devant ce spectacle et surtout avec tout l’amour que je portais à mes jumeaux, je ne tardai pas à tout lâcher au plus profond de Julien qui éjacula à son tour entre mes doigts. Ethan ne m’inonda le cul que deux minutes plus tard pendant que j’embrassais amoureusement Julien.

Nous nous écroulâmes tous sur le lit, épuisés par notre jouissance collective. Nous mîmes au moins dix minutes à nous en remettre, puis nous prîmes ensuite notre douche, moi avec mes jumeaux. Je les lavais, ils me lavaient. On se caressait, on s’embrassait, ce fut un moment magique.

À partir de cet instant, je sus que j'aimais Julien et que je ne le quitterais plus. Lucas ne le prit pas mal car lui avait trouvé en mon frère ce que j’avais trouvé en Julien. Félix, lui, repartit la tête dans les étoiles et dans le boxer d'Ethan. Par la suite, nous avons recommencé nos ébats tous les six. Même si cela se faisait de plus en plus rare car chacun aimait son partenaire et se consacrait uniquement à lui.

En espérant que cela vous ait plus!


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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