Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 19:36

La science est notre amie

Alors comment avancent tes cours particuliers Mario?" demanda sa mère.

Entre deux bouchées de céréales, le lycéen rougit et articula:

— Bof... pas mal...

Son père intervint dans la conversation:

— Ton professeur a appelé hier soir pour me prévenir que tu faisais des avancées spectaculaires! Il a même dit que tu n'aurais aucun problème à avoir ton bac si tu continuais sur ta lancée!

— Ah! Je savais que mon fils avait du potentiel! s'exclama sa mère.

— Tu vois fiston, quand tu veux! Il suffit de te trouver la bonne motivation!

Mario ne fit qu'acquiescer à ses parents, fixant son bol de céréales comme si c'était la plus fascinante des choses qu'il ait jamais vue; le plug qu'il avait dans le cul lui provoquait une érection permanente et il devait concentrer tout ses efforts pour ne rien laisser paraître de son excitation. En vain! Lorsqu'il quitta la table, une bosse déformait toujours son entrejambe et il crut voir son père lui adresser un sourire narquois.

On était jeudi et depuis lundi, Mario suivait des cours de rattrapage très particuliers avec son prof de science physique. Tous les après-midis, il se rendait au lycée, ils révisaient intensivement pendant deux heures puis le jeune cancre offrait à son professeur un suçage de bite en règle tandis que celui-ci lui pénétrait l'oignon avec divers godes... Mercredi soir, après leur quatrième séance de baise, M Lebel (ils avaient commencé le vendredi, veille des vacances) avait enfoncé un bon gros plug dans le cul de son élève et lui avait ordonné de le garder jusqu'à leur prochaine rencontre. Mario s'était exécuté, à la fois honteux et comblé de plaisir.

Tandis qu'il finissait ses exercices de révision, le jeune rital anticipait le plaisir de la séance particulière de l'après-midi, tout en faisant jouer ses muscles anaux autour du plug. Il se demandait quel serait la nouveauté de cette séance, il espérait que son professeur le baiserait avec sa grosse bite palpitante. Jusque là, il n'avait jamais été pénétré que par des godes et il se sentait assez frustré de ne pas connaître la sensation d'un véritable organe labourant son petit trou...

Il fut interrompu dans ses pensées lubriques par son père qui entra dans sa chambre: "Pour cet après-midi, je pourrais te conduire au lycée en allant au club de rugby, nos horaires correspondent." Malgré la gêne qu'il ressentait à l'idée que son père le conduise chez son prof/amant alors qu'il avait un plug dans le cul, le jeune homme ne pouvait refuser l'offre sans éveiller les soupçons.

Dans la voiture, la conversation fut courte et assez stérile, comme toujours, entre Mario et son père. Alors que Mario descendait de la voiture, son père lui lança un: "Ne me déçois pas!" Visiblement, le fait de voir leur cancre de fils rattraper en une semaine son retard dans la matière a plus gros coefficient pour le bac devait rendre ses parents un peu gaga! Une fois dans la classe, de M Lebel, le futur bachelier se mit studieusement aux exercices que son professeur lui avait préparés. Depuis une semaine, il ne faisait plus que cela et il commençait à connaître les formules du programme par cœur: calcul du vecteur vitesse, les trois lois de Newton, le travail d'une force, les champs magnétiques et blablablabla... Plus vite il finissait les exercices, plus vite il pourrait se livrer aux séances particulières qu'il partageait avec son mentor!

Justement, voici que notre jeune rital vient de terminer son dernier exercice. Le voila qui se dirige vers l'estrade du professeur...

— Eh bien tu as fini?

— Oui m'sieur!

— Viens sur mes genoux, on va corriger tout ça...

C'était devenu un rituel, chaque fois l'adolescent s'asseyait sur les genoux de son professeur et suivant qu'il ait fait des erreur ou qu'il ait réussi un exercice particulièrement difficile, M Lebel lui caressait la nuque, le dos, le ventre, les tétons... Si bien qu'à la fin du dernier exercice, les deux mâles étaient bandés au maximum. C'était à ce moment là que Mario s'agenouillait entre les cuisses de son professeur et lui léchait le corps, commençant par les pieds puis remontant jusqu'à gober le sexe tendu de l'ancien militaire... S'en suivait une longue scéance pendant laquelle élève et professeur jouaient avec des godes et mélangeaient leurs fluides avec toute la passion dont ils étaient capable.

Mais cette fois-ci fut différente, Mario avait réussi tous ses exercices et son professeur était content de lui. "Bien maintenant, penche toi sur la table et montre moi si tu as aussi réussi l'exercice spécial que je t'avais demandé. Il est crucial de le réussir pour suivre la suite du cursus!" Rendu docile par l'excitation, Mario se pencha et laissa au professeur le plaisir de lui retirer son pantalon. Une fois cul nu, il put sentir les grandes paluches de son maître lui tâter les fesses puis les écarter pour admirer le plug qui y était enfoncé...

— Bien, bravo! Tu l'as gardé depuis hier?

— Oui m'sieur, enfin je l'ai enlevé pour aller aux toilettes mais le reste du temps, il était bien enfoncé dans mon cul comme vous me l'aviez ordonné...

— Dommage, un petit jeu scato aurait été amusant... Nooon! Ne fais pas cette tête là mon garçon, je plaisante... les plaisirs scato sont plus loin dans mon programme, il ne faut pas bruler les étapes!

Mario sourit, à moitié rassuré, puis posa la question qui avait hanté sa nuit:

— Alors, vous allez enfin m'enculer?

— Non pas encore mon garçon! Chaque chose en son temps, il faut que tu sois prêt!

— Mais vous m'avez déjà enfoncé gode aussi gros que votre queue, je vois pas ce qu'il vous faut de plus!

Le maître prit le visage de son jeune élève entre ses mains et planta ses yeux dans les siens:

— Mario, tu me fais confiance n'est-ce pas?

— Oui m'sieur!

— Tu n'oublies pas que si tu réussis tous les objectifs que je nous ai fixés, tu auras droit à une récompense demain?

— Oui monsieur mais je vois franchement pas pourquoi attendre plus longtemps pour me...

— Voila pourquoi tu es l'éléve et moi le professeur. Maintenant arrête de discuter mes décisions: et si je te disais que la séance d'aujourd'hui avait pour thème la soumission totale?

Alors qu'il prononçait ces derniers mots, M Lebel sortit de son tiroir de bureau un collier de cuir et une laisse...

— Déshabille-toi!

Lorsque son maître lui avait passé le collier autour du cou, Mario avait ressenti un souffle d'excitation s'emparer de lui. M Lebel lui avait ensuite mis sa laisse et lui avait mis une cagoule aveugle sur la tête.

— À partir de maintenant, tu marches à quatre pattes, tu obéis à mes ordres, tu avances quand je te le dis, tu t'arrêtes quand je te le dis. Tu ne fais rien que je ne t'ai ordonné au préalable. C'est clair?

La bite raide d'excitation, Mario acquiesça, il savait d'instinct qu'il n'était pas censé parler.

— Bon, maintenant tu as rendez-vous avec ton dernier test avant la récompense. Suis moi.

"Quoi? On va sortir? Mais putain je suis cagoulé, torse nu, à quatre pattes et tenu en laisse par mon prof de science physique!"

Son maître tira sur la laisse et Mario avança sans plus réfléchir. Il suivit son maître à l'aveugle, guidé par le rhytme de ses pas et par la laisse tendue. D'après sa connaissance des lieux, ils étaient sortis de la classe puis avaient traversé le couloir jusqu'à l'escalier de service - descendre les marches à quatre pattes n'avait pas été facile! Ensuite, il avait senti du béton sous ses paumes, ils devaient être sur le parking des enseignants; heureusement que pendant les vacances, le lycée était quasi désert!

Horrifié, Mario entendit des bruits de pas s'approcher, au moins une personne arrivait vers eux. Le rouge de la honte lui monta aux joues, il baissa la tête au maximum et souhaita rentrer sous terre mais à ce moment là, une main douce et virile vint lui flatter les flancs.

— Belle bête que vous avez là!

Le ton était bien entendu ironique et pour ce que pouvait en deviner Mario la personne qui parlait n'était pas celle qui lui caressait le dos comme on caresse un chien...

— Alors, il est comme vous l'aviez espéré? dit M Lebel.

— Ça! Vraiment j'aurais pas pu rêver mieux! Ah quel beau cul!

— Justement, t'as pas le droit d'y toucher, pas avant demain en tout cas! C'est de la trop bonne marchandise pour la gâcher comme ça! On lui réserve un traitement grand luxe n'est-ce pas?

Le deuxième inconnu émit un grognement d'approbation tout en continuant de caresser le corps de Mario. Le premier homme reprit la parole et Mario commençait à reconnaitre sa voix:

— J'vous fais confiance pour être bien vicieux les mecs! Mais avec ce qu'on va lui faire aujourd'hui, votre petite pute aura déjà un aperçu du paradis! Allez, en voiture!

— Attends! J'veux être sûr que t'as bien compris la règle: tu touches pas à son cul ok? Si tu ne fais que l'éffleurer, j'te garantis que je te tabasse, c'est bien clair?

— Hé mais c'est qu'il s'énerve le ptit chimiste! T'inquiètes pas, j'y toucherai pas à son précieux trou du cul! Comme si j'étais né d'la dernière pluie!

— J'veux juste être sûr de bien m'être fait comprendre. Je veux pas que ça se passe comme avec le petit Yacine! Son père a failli nous coller un procès au cul!

— Yacine, c'était différent et puis ce sont mes oignons. Celui là est à toi, je comprends que tu te sentes responsable! Bon on y va maintenant ou on attend que quelqu'un nous voit et appelle les flics?

Pendant le dialogue, Mario avait enfin reconnu la voix de monsieur Tiriac, un des profs de sport du lycée qui s'occupait entre autre du club de foot et de handball. Alors, lui aussi il était dans le coup? Qu'est-ce qui allait se passer bordel? On le fit monter dans le coffre d'une voiture. Avant qu'il ne se referme, Mario sentit la main du deuxième inconnu lui caresser la tête. Ensuite Mario entendit des bruits de portières, puis le moteur, quelques cahots, il perdit un peu la notion du temps et se mit à suer... Lorsqu'enfin la voiture s'arrêta et qu'on ouvrit le coffre, une main s'empara tout de suite de sa laisse.

— Allez, viens par ici mon coco. Tu vas adorer, j'en suis sûr!

Frédéric, Ludovic, Aziz et Quentin faisaient tous les quatre partie du club de foot du lycée et venaient de finir un de leur entraînement quotidien des vacances. L'entraîneur débarqua dans les vestiaires alors qu'ils ne s'étaient pas encore débarrassés de leurs crampons:

— Hé vous trois! Vous voulez vous marrez? V'nez avec moi! Ludo tu viens aussi!

Les quatres camarades de classe suivirent leur coach, le regard mi-interrogateur mi-amusé, lorsqu'il comprirent qu'ils se dirigeaient vers les toilettes... Devant la porte des toilettes pour hommes se tenait M Lebel, leur professeur de Science-Physique... de plus en plus étrange. "Qu'est-ce qu'il vient foutre ici celui la?" L'entraîneur et le prof s'échangèrent une grimace complice puis le coach s'adressa à ses footballeurs amateurs:

— Bon les mecs, Lebel et moi on vous aime bien alors on vous a préparé une - hum! - surprise... Avant de commencer quoi que ce soit, j'dois vous rappeler, on est là entre mecs, y'a pas de soucis, on est tous faits pareil alors la jouez pas chochotte et montrez nous qu'on a eu raisons de vous choisir, OK?

Les quatre jeunes gens acquiessèrent, intrigués. "C'est parti!" lança le coach en entrant dans les toilettes. Fred et ses potes le suivirent, le prof de science physique fermait la marche. Il accrocha un panneau "hors service pour problèmes de tuyauterie" sur la porte et la ferma à clef; ils étaient désormais enfermés dans les toilettes. M Lebel ouvrit l'une des cabine et à la stupéfaction de ses quatre élèves, il en fit sortir une jeune homme soumis, marchant à quatre pattes. Son corps était nu et assez musclé, sa tête était recouverte d'une cagoule de cuir, laissant libre sa bouche et ses yeux, un collier de chien se fermait autour de son cou et était relié à une laisse courte que tenait fermement le prof de science, un jockstrap recouvrait son intimité en laissant ses fesses à l'air.

— Chienne? Lèche moi les pompes!

Lorsque le jeune homme-chien se pencha pour lécher les rangers du prof, il exposa sans pudeur le gode noir bien calé au fond de son cul. Les quatre camarades n'en revenaient pas! Ils échangèrent des regards inquiets et interrogateurs. C'est le prof de sport qui interrompit le silence, il était allé farfouiller dans un coin de la pièce pendant que M Lebel sortait le "chien" de sa cabine:

— Alors les jeunes? J'parie que c'est la première fois que vous voyez un truc pareil?

— Mais qu'est-ce qui se passe?

— Il se passe qu'on a décidé de vous faire un cadeau: on vous offre cette pute sur un plateau!

— Quoi?

— J'ai peur de comprendre...

— Y'a pas de quoi avoir peur justement! On est là pour prendre du bon temps!

M Lebel intervint dans la conversation:

— Approchez vous tous les quatre!

Devant son ton autoritaire, les footballers en herbe s'exécutèrent sans broncher.

— Vous voyez cette lope à mes pieds?

— ... Euh, oui monsieur...

— Bien, cette lope est là pour satisfaire vos moindres désir du mieux qu'elle peut. C'est pas un mec, c'est pas une pute, c'est même pas un humain, c'est une chienne! Votre chienne! C'est clair?

Ludovic déglutit, Aziz sourit nerveusement, tous les quatre étaient blanc comme un linge.

— Une seule règle. Vous! Ne! Touchez! Pas! À! Son! Cul! C'est bien compris?!

— ... Oui monsieur...

— Bon, elle est à vous.

M Lebel tendit la laisse à Frederic et s'écarta. Les ados se regardèrent en silence, les mains tremblantes, Fred laissa tomber la laisse. La "chienne" la ramassa dans sa gueule et leva la tête dans l'attente d'une réaction de ses nouveaux "maîtres". Ce fut encore M Tiriac qui rompit le silence:

— Oh putain je vous savais pas aussi coincé les p'tits gars! On vous offre un vide-couille et vous n'en faites rien! C'est pourtant pas compliqué regardez!

Le prof de sport s'empara de le laisse et colla la tête du clébard sur son entrejambe.

— Regardez comment elle aime ça la salope! Vous voyez ça les jeunes?

Il baissa son pantalon de jogging et son slip juste assez pour faire sortir son service trois pièces, le soumis se précipita pour avaler la longue queue odorante et se mit à la téter avec ferveur tout en massant les couilles de son bienfaiteur.

— Aah! Les mecs, aucune de vos petites copines coincées ne sera autant avide de queue que cette truie ici présente! Vas-y ma belle, pompe-moi le dard! T'es une bonne chienne! Bonne chienne!

Mario était devenu une vrai pute en chaleur, il n'en revenait pas lui même, toutes ses inhibitions étaient levées comme par magie. Il pompait la bite du professeur de sport devant quatre de ses camarades de classe et il aimait ça! Bordel, Frédéric et Aziz étaient même deux de ses meilleurs potes! Si seulement ils savaient qui était en dessous de la cagoule, quelle tête ils feraient! Tout en suçant les délicieuses couilles poilues du coach, Mario ne quittait pas des yeux M Lebel qui était en retrait au fond de la pièce... "Et tout ça, c'est grâce à lui! Je suis qu'une salope mais qu'est ce que c'est bon!"

— Allez Fred, à ton tour!

M Tiriac passa la laisse dans les mains du jeune homme. Frédéric eut l'air d'hésiter mais lorsque la chienne se rua sur son entrejambe, il ne résista pas et laissa lui aussi tomber ses inhibitions. Fébrile, il retira son short et frotta la tête de la chienne contre son sexe bandé à travers son caleçon. Plus il était rude, plus la chienne semblait aimer, ouvrant la bouche et gémissant pour avaler son engin. Il retira son caleçon. "Oh putain! Suce moi la queue salope!" et s'enfonça dans la gorge du soumis sans plus attendre. Il prit la tête de la chienne entre ses deux mains et lui baisa la gueule sans ménagements. Devant la scène, Quentin sortit sa bite de son short et se mit à se masturber frénétiquement tandis qu'Aziz se caressait l'entrejambe. Au bout de quelques minutes de ramonage frénétique, Frédéric convulsa de plaisir et largua la purée au fond de la gorge de Mario. "Démeeeent!"

"À mon tour!" s'écria Quentin qui pénétra la gueule de la chienne pleine de foutre sans même lui laisser le temps d'avaler. Alors que le jeune élève s'épuisait en coups de queue dans le fourreau accueillant, une trainée de sperme dégoulina lentement du coin de la lèvre du soumis. Sans réfléchir, Frédéric la receuillit avec son doigt et la porta à sa bouche. Contrairement à son camarade, Quentin se calma rapidement et s'efforça de varier le rythme du pompage, laissant la salope lui sucer la queue sur la largeur ou lui sucer les couilles, ne lui laissant que son gland à suçoter ou au contraire, s'enfonçant au plus profond de la bouche acceuillante... "Elle me fait une gorge profonde les mecs!" Malgré tous ses efforts pour faire durer le plaisir, l'adolescent au sang chaud ne tarda pas a exploser contre le palais de Mario. Comme une bonne chienne, celui-ci prolongea le plaisir en s'assurant qu'il en restait plus une goutte de sperme à pomper puis se tourna vers Aziz qui avait déjà quitté ses vêtements.

Son camarade n'hésita pas un instant et colla son entrejambe odorant dans la gueule du soumis. "T'es vraiment une chienne alors! Et pas la moins salope en plus! J'ai un cadeau pour toi! Avale ça!" Alors qu'il venait de prendre en bouche le sexe encore mou du jeune rebeu, Mario eut la gorge envahie par un liquide chaud et salé, de la pisse! Sous le choc, le jeune soumis eut à peine le temps de réagir, avalant une gorgée à contre-cœur pour ne pas se noyer. "Avale tout je te dis!" Sa tête était immobilisée et la pisse jaillissait toujours au fond de sa gorge, il était totalement impuissant! C'est en cédant à ce sentiment que Mario se mit à boire le liquide âcre, d'abord timidement puis de plus en plus gouluement. Découvrant le plaisir de la soumission totale, l'adolescent y céda totalement. "Ah ouais! Je savais bien que t'étais aussi une chiotte ambulante! Bois tout et tu auras le droit de pomper aussi mon jus!" Après avoir avalé jusqu'à la dernière goutte de pisse, Mario garda le sexe de son camarade en bouche et continua à le téter avidement. Sans tarder, celui-ci gonfla d'excitation et prit des proportions plus qu'honorables. Le soumis eut beaucoup de mal à l'avaler sur toute sa longueur mais sa récompense fut de pouvoir enfouir son nez dans les poils pubiens et délicieusement odorants du jeune rebeu. "Hum! Tu suces aussi bien que mon cousin! Et t'es presque aussi salope!"

Excité, Quentin vint se placer à genoux derrière Aziz et glissa sa langue entre ses fesses velues. Devant la réaction positive d'Aziz, il écarta les deux globes charnus et lécha l'œillet vierge de son fantasme de longue date. Sucé, léché et régalé des deux côtés, l'adolescent eut peine à retenir sa jouissance et bientôt Quentin sentit sa rosette se contracter autour de sa langue alors qu'Aziz déversait sa semence contre le palais de Mario qui s'en délectait...

— C'est ton tour Ludo!

— Nan, je fais pas ça moi! Je suis pas un porc comme vous pis j'ai une copine!

— Putain t'es lourd avec ta copine toi! On voit tous que t'est bandé comme un taureau en dessous de ton short. Fais pas ta connasse!

Quentin s'agenouilla et baissa le short de son camarade de classe tandis que Frédéric passait derrière lui pour l'empêcher de se débattre. Aziz guida la bouche de la salope vers la queue de Ludovic qui malgré ses dires, dégoulinait de précum. Mario ne se fit pas prier pour engloutir la bite de l'hétéro et lui donner la meilleure pipe de sa vie. Ludovic gémit et se laissa aller au plaisir, ses hanches s'agitant frénétiquement en quête de sensations toujours plus fortes tandis qu'Aziz dictait à Mario son rythme de pompage. Les déhanchements de son camarade donnèrent une idée à Fred qui demanda à Quentin de lui lécher les doigts. Quentin s'exécuta sans poser de questions, les yeux rivés sur le spectacle du soumis pompant Ludo. Une fois ses doigts bien humides, Frédéric glissa sa main entre les fesses de Ludovic et lui titilla le trou du cul. Le pompé sursauta mais lorsque Fred insista, il se mit à gémir. "Aziz! Fais passer la pute derrière, on dirait que Ludo aime bien se faire tripoter le cul!" Aziz, goguenard, plaça la salope à quatre pattes derrière Ludovic et enfonça sa tête entre les fesses charnues du jeune footballer.

Mario n'avait jamais léché de cul avant mais attrapa vite le coup de langue. Bientôt, Ludovic se tortillait et gémissait de plaisir, écartant lui même ses globes fessiers pour donner à la délicieuse bouche un meilleur accès à son trou. Voyant la pute et son pote prendre autant de plaisir, le sexe d'Aziz reprit de la rigueur. En tirant sur la laisse, il obligea la chienne à quitter les fesses de Ludo et l'obligea à s'allonger sur le dos, il guida ensuite Ludo pour qu'il s'assoit sur la bouche de la salope. Dans cette nouvelle position, le rimming se fit plus intense encore. Aziz rajouta son grain de sel en venant glisser sa bite entre la bouche et le trou. Excité comme un diable, Quentin se plaça au dessus de Mario et prit la queue de Ludovic en bouche, suçant d'abord maladroitement puis prenant plus d'assurance au fur et à mesure qu'il apprivoisait les nouvelles sensations. Ludovic n'en pouvait plus d'être au centre de tant d'attention, la langue du soumis lui pénétrait le cul, la queue d'Aziz venait parfois butter contre son petit trou ou se faire pomper par la bouche avide de la lope, Quentin s'éclatait et lui suçait la queue comme un pro - décidément tout le monde pompe mieux que Marie!? - et sans réfléchir Ludovic ouvrit grand la bouche pour accueillir le membre juteux de Fred qui n'en demandait pas tant. À force de salive et d'attention, son anus finit par se détendre et sans même y penser, Aziz poussa son gland dans ses profondeurs accueillantes. "Wouaou!" s'écrièrent en cœur les deux ados. Ludo était tellement ouvert qu'Aziz s'enfonça jusqu'à la garde d'un seul coup de reins tandis que Mario continuait à sucer le moindre carré de peau qui passait à sa portée: les couilles d'Aziz, le scrotum de Ludo ou la queue d'Aziz lorsqu'elle ressortait du cul de son camarade. Le jeune beur eut à peine le temps de faire quelques va-et-vient que Ludo jouissait déjà. Sa jouissance déclencha celle d'Aziz alors que ses muscles se contractaient autour de son mandrin, puis celle de Quentin qui jouit lorsqu'il sentit le sperme de son pote lui jaillir au fond de la gorge et enfin celle de Fred explosa, le gland bien calé contre le palais de Ludo. Convulsant et jutant ensemble, les quatre amis connurent l'orgasme le plus intense de leur jeune vie sous le regard bienveillant de leurs professeurs...

Après la jouissance, il fallut quelques minutes aux ados pour reprendre leurs esprits. Ils se rhabillèrent sans manquer de se caresser au passage et filèrent sans dire un mot. Ils devaient encore prendre leur douche et se changer dans les vestiaires et il ne fallait pas trop attirer l'attention...

Une fois les ados partis, Mario demeura seul avec les deux professeurs.

— Alors comment c'était fiston?

— Génial! J'avais jamais ressenti encore autant de plaisir! Et encore, j'ai même pas joui!

— Ça fait plaisir de voir des p'tits jeunes s'amuser! En tout cas, à moi ça m'a donné envie!

— Tu as toujours envie, coach de mes deux!

— C'est pas faux! Allez salope, reste sur le dos, je vais te faire goûter mon cul!

M Tiriac recouvrit le visage de Mario avec son cul poilu. Ses fesses étaient en sueur et sa rondelle avait un arrière-goût de noisette qui n'était pas pour déplaire à l'ado qui ne se fit pas prier pour lui bouffer.

— Pendant que ton cul est occupé, je vais tester ta gorge coach!

M Lebel dégraffa le haut de son pantalon et donna son gros chibre à téter au prof de sport qui l'engloutit avidement tout en branlant sa propre queue épaisse et poilue.

— Hum tu fais ton viril mais t'es une suceuse née toi aussi! Et ta barbe mal rasée contre mes couilles, c'est une sentation à laquelle je pourrais m'habituer! Faudra passer par mon labo de temps en temps coach!

Le prof de sport ne pouvait que gémir, la bouche pleine de ce succulent engin. Le coté "ancien militaire" de Lebel ne tarda pas à se manifester et il prit les commandes des opérations:

— Suce un peu Mario pour lui montrer à quel point tu es vicieuse!

Tiriac quitta à regret la queue du prof de science, se retourna tout en laissant son cul sur la bouche baveuse de Mario et extirpa le sexe du jeune rital de son jockstrap.

— Allez suce mon éléve! Il l'a bien mérité!

Mario sentit avec délice sa queue glisser sur la langue du coach et se loger bien au fond de sa gorge, il se concentra encore plus sur son rimming tandis que M Lebel se déplacait pour admirer la pipe que lui donnait le prof de sport.

— À voir comment tu tètes la bite de mon éléve, on croirait que t'est tombé amoureux! Gros vicieux, je parie que tu adorerais avoir sa belle bite au fond de ton cul!

M Tiriac quitta l'entrejambe du lycéen à regret pour demander:

— Je peux me la foutre au cul?

— Bien sûr, après tout, on n'a pas le droit de toucher à son cul mais je suppose qu'on peut s'amuser avec son chibre! Qu'est-ce que t'en dis? Il t'a bien préparé la rondelle?

— Ah ça ouais putain! Ce petit a une langue en or!

— Alors c'est parti!

Le prof de sport se releva et pivota, s'accroupit au dessus du ventre du jeune rital et lui roula un patin d'enfer, frottant la jeune queue vierge sur son trou poilu.

— C'est ta première fois petit?

Sans attendre un réponse évidente, il s'empala d'un coup sur le chibre palpitant du jeune rital, sous les encouragements du prof de science physique qui fessa le cul du sportif. Mario et Tiriac criaient tous les deux comme des bêtes en copulant frénétiquement sur le sol. Leurs corps étaient brûlants et couverts de sueur et leurs bouches cherchaient leurs souffles. M Lebel était aux premières loges pour voir le cul avide de Tiriac gober la queue de son élève; cette vision l'exitait au plus haut point et il décida de participer pleinement à l'action.

— Tiriac, ton cul a l'air si bon qu'il faut que j'y rentre aussi!

Alors que le coach allait protester, l'ancien militaire força son gland dans l'entrée déja occupée et quelques coups de reins plus tard, son énorme sexe remplissait les entrailles du prof de sport. En lachant des jurons, l'empalé commença à bouger son cul pour déguster la double pénétration. Lentement mais de plus en plus frénétiquement, les trois corps fusionnés recommencérents leur va-et-vient animal, grognant et hahanant sur le sol des toilettes...

— Ah! Je vais pas tarder à...

— Humf moi non plus c'est trop les mecs!

— Quel cul mais quel cul!

Dans un dernier coup de reins, les trois mâles se déchargèrents simultanément, le cul de Tiriac palpita autour de ses deux étalons qui crachaient leurs spermes au plus profond de ses entrailles, leurs trois corps convulssant de jouissance. Mario sentait le chibre de Lebel pulser à ses côtés, presque à l'unisson, tapissant le chaud conduit de sperme brûlant. Tiriac jouissait sur le ventre de l'adolescent, le cul rempli, comblé et repu... Les trois amants s'embrassèrents et se caressèrent, le corps luisant de sperme et de sueur. Mario et Lebel laissant leurs sexes liberer leurs dernières gouttes de semence au fond du cul bouillant du prof de sport.

Après l'orgasme, Mario s'endormit dans les bras de M Tiriac tandis que M Lebel lui suçotait la queue. Les deux adultes se relevèrent, Lebel couvrit le corps du lycéen d'une couverture et Tiriac se dirigea vers le fonds de la pièce. Lebel le rejoint peu aprés:

— Alors tout est bien enregistré?

— Ouaip, ton client sera ravi!


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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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