Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:57
Frangin-Frangine 

 De tous les hommes que j'ai connu, à tous les sens du terme, celui qui m'a laissé le plus longtemps songeuse est mon frangin, mon frère Alain, d'environ 12 ans mon aîné. Avec mon père il a été le premier homme qui m'ait approché, ma première approche de la gent masculine, ma première approche de l'autre sexe, si essentiel à notre espèce, sans lequel personne, même toi, cher(e) lecteur(trice), n'existerait, donc me lirait ! Bon, voilà encore une enfonceuse de porte ouverte qui se manifeste, allez-vous grommeler. Et bien grommelez ! Donc ce frangin, dès mon plus jeune âge, a été un objet de curiosité passionnée de ma part, bébé je rampais entre ses jambes, celui avec qui, plus tard, je faisais ses devoirs, que je l'em… pour qu'il s'occupe de moi alors que, adolescent, il avait d'autre intérêts, plus tard, plus grande, je le regardais vivre, je l'admirais, il me paraissait, beau, paré de toute les qualités, et surtout d'une : c'était un « grand ». Puis vint l'âge de la puberté, où de ma poitrine jaillirent deux petits seins aux pointes roses, d'abord tendres bourgeons, puis petites mandarines et enfin jolies oranges dont je n'étais pas peu fière. Mon ventre orna ma tendre cicatrice d'un duvet qui l'ombragea, mes fesses s'arrondirent, mes jambes perdirent leur côté faunesque et mes cuisses commencèrent à combler le vide qui les séparait et toutes les quatre semaines quelques pétales de rose rouge vinrent tâcher mes petites culottes bien sages de jeune fille. Bref je devins progressivement femme, comme des milliards avant moi. Et je commençais à sentir en moi cette curiosité de l'autre sexe, cette autre partie de l'espèce dont le comportement faisait le fonds de nombreuses conversations des collégiennes que nous étions. Car on en parlait, des garçons, que de bêtises avons-nous pu dire et entendre ! Mais de quoi parler à 15/16 ans, sinon des copines, des profs et des garçons ! C'était une époque pas si lointaine, en Suisse où j'habite, où il était inconvenant, voire scandaleux, d'avoir des « rapports » (comme on disait encore) avec le mâle sans avoir la caution officielle sinon du mariage, du moins de vagues fiançailles, en tout cas dans le milieu petit-bourgeois qui étais le mien. J'étais, de plus, dans une école confessionnelle dont le calvinisme pur et dur semblait être pour nos parents un gage de bonne éducation, etc., etc. Le seul mâle proche qui ne me paraissait pas être un vieillard de 30 ou 40 ans était donc mon frère. Je le regardais avec les yeux de Chimène car je savais que toutes mes copines étaient folles de lui, leurs frangins, à mes copines, étant tous plus jeunes ou boutonneux de mon âge. Quant à Alain, mon frère, il m'ignorait avec affection et occupait tout son temps à ramener à la maison des filles que je détestais aussitôt, les trouvant à chaque fois moches, cons, vulgaires ou les trois à la fois. Quelques années passèrent ainsi ; je terminais mes études et obtenais ma maturité (le « baccalauréat » suisse, pour vous, Français ignares) et fêtais mes 18 ans. J'étais devenu une jolie jeune fille, brune, svelte, avec une jolie poitrine, un popotin mignon et un minois avenant. J'avais découvert toute seule les plaisirs de la masturbation dont je ne me privais pas, explorant toutes les arcanes de mon corps et du plaisir féminin sans retenue. J'avais eu quelques contacts assez érotiques avec une de mes amies et avais découvert les plaisirs saphiques avec délice. C'était Alice, mon amie, qui m'avait initiée aux joies de Lesbos et je m'étais repue de son corps d'adolescente et parcouru tous les dédales de son intimité d'une bouche gourmande, offrant de mon côté mon corps sans retenue à sa lubricité. En un mot j'étais vierge et lesbienne ! Enfin je croyais ! Et puis il arrive ce qui arrive toujours quand on vit à plusieurs adultes dans la maison familiale. Je venais de finir de prendre ma douche, j'avais coupé l'eau et j'avais commencé à glisser un doigt dans ma chatte et derrière le rideau de douche, je commençais à ressentir l'humidité du plaisir qui commençait de sourdre de mon minou. Soudain la porte s'ouvrit. Merde de merde ! J'avais oublié de fermer ! Paralysée, la main entre les cuisses, je me figeai, silencieuse. J'entendais des bruits de vêtements, de fermeture éclair, puis la cascade de l'eau qui coulait dans la baignoire en face de la douche. Je risquais un oeil prudent par la fente du rideau et vit mon frère, nu, qui tâtait l'eau du bain, penché en avant. Je ne voyais ses fesses musclées, superbes, et ses couilles qui ballottaient pendant qu'il bougeait, et aussi surtout son sexe, jaillissant de son buisson foncé, toute molle, mais quand même impressionnante dans sa flaccidité. J'avais déjà entrevue des sexes d'hommes, à la sauvette, celui de mon père un jour à la piscine, quand il avait perdu son maillot en plongeant, ceux d'autres hommes, entr'aperçus aussi à la sauvette dans des circonstances similaires. Mais c'était toujours d'assez loin et en public. J'avais toujours détourné les yeux non sans avoir sournoisement enregistré tous les détails, les bourses plus ou moins velues, le renflement du gland, le prépuce plus ou moins fripé (ou son absence chez certains) et puis j'avais ouvert, comme tous les enfants, le dictionnaire à la page des planches anatomiques. Mais là c'était tout près ! Et j'avais tout le temps de le regarder bouger ! Et cela me fascinait, je lui trouvais une sorte de beauté disons fonctionnelle. C'est ça, fonctionnelle, on sentait que c'était fait pour un emploi bien défini : entrer dans le corps d'une femme (rassurez-vous, je sais très bien que cela rentre très bien aussi dans celui d'un homme). Et puis je vis mon frère entrer dans son bain, en enjambant le bord de la baignoire il me montra ainsi le trou de son cul (excusez-moi mais c'est la seule définition qui me soit venue), ce qui m'attendrit aussi, car je constatais qu'il ressemblait tout à fait à celui de mon adorable amante. L'eau de la baignoire commençait à remplir la chambre de bains (c'est ainsi qu'on dit en Suisse) de vapeur et je voyait l'homme qui était mon frère se nettoyer. Il se leva à un moment et sa main alla sur son sexe et entre ses fesses pour se laver. Puis elle revint sur son sexe et l'enveloppa et commença un lent va-et-vient sur cette cet organe allongé qui commença à enfler et à prendre une dimension respectable, enfin, à mes yeux. Je compris aussitôt : mon frère se branlait devant moi, je veux dire que je le voyais se masturber avec lenteur, pour faire durer le plaisir. Il avait les yeux fermés et semblait prendre un plaisir infini. Cela m'excita beaucoup et je repris alors ma masturbation personnelle, les yeux fixés sur lui et sur sa queue. Et soudain, patatras, le rideau, derrière lequel je me cachais, glissa et me découvris, nue, la main entre les cuisses, le regard fixé sur la queue de mon frère qui se branlait. Pendant une fraction de seconde tout sembla se figer. Puis mon frère sourit et, la main toujours sur sa queue me dit : « alors petite soeur on se branle en famille maintenant ? » et il se mit à rire. Je me mis à rire moi-même et je lui répondis, sans trop réfléchir : « ça doit être dans nos gènes », il répliqua alors « pas des gènes, quand il y a des gènes, y a pas de plaisir ! » et il éclata de rire. Je m'approchais de lui et lui dit « tu n'es pas gêné, toi, je le suis un peu, moi ! » « Pourquoi es-tu gênée, il n'y a pas de mal à se faire du bien. Et puis dis-moi, Fred, je te trouve super bien gaulée, tu as des seins superbes et un cul très bandant », « Tu n'es pas mal non plus et tu as entre les mains un engin assez sympathique ! ». « Parce que tu t'intéresses maintenant aux engins des hommes, ta copine va être super jalouse ! ». Interdite je le regardais, il savait ! Moi qui pensais avoir gardé ma « coupable » relation secrète ! « Tu savais ? », «Et oui, depuis un bout de temps, remarque, je ne suis pas choqué, c'est ton truc et ça ne regarde que toi ! Mais tu n'as jamais eu de copain, non, je me trompe ? » « Non, c'est vrai, mais rien ne dit que ça ne me plairait pas ! » répondis-je avec un air de défi et en relevant le menton d'un air un peu provoquant. « Et bien approches un peu, petite insolente, et viens regarder ma zigounette de plus près, comme ça tu verras bien comment c'est fait ! ». En fait mes yeux n'avaient pas quitté la zigounette en question mais celle-ci s'était affaissée et reposait, flasque, ses les deux bourses de mon frère. « Et puis je ne la trouve pas si intéressante que ça, ta zigounette, elle est toute petite et toute molle ! ». Et là, à ma grande surprise, il saisit ma main et la porta sur son sexe. Je ne me dérobais pas et le pris sa queue dans ma main. C'était chaud, c'était doux, c'était tendre. Puis je sentis qu'elle reprenait du volume, je sentais le sang battre à l'intérieur. Je la vis se raidir, s'allonger, durcir et je vis surgir le gland, avec son méat rose. Fascinée je m'approchais et regardais de plus prêt ce sexe d'homme, je me mis à genoux et approchais mon regard sur cette queue à la peau un peu foncée, striée de veinules bleues, à ce gland rouge foncé, à ces couilles rondes, un peu dissymétriques, qui ballottaient pendant que de mes deux mains je soupesais et manipulais cette bite que je trouvais superbe. « Tu peux la prendre dans ta bouche si tu veux » me dit-il d'une voix un peu étranglée. J'avais entendu parles des fellations, des pipes quoi ! Certaines de mes copines m'avaient avoué en avoir fait à des garçons. Certaines avaient aimé, voire adoré, la plupart m'avaient avoué l'avoir fait pour faire plaisir à leur copain et certaines même en avait été dégoûté (« si tu savais quelle impression de recevoir dans la bouche tout ce sperme, c'est dégueulasse ! »). J'étais donc devant cette bite fraternelle, à portée de bouche. Allais-je donc sucer la queue de mon frère ? La question m'effleura peut-être l'esprit un dixième de seconde mais ma bouche s'ouvrit d'elle-même et enfourna cette bite avec excitation et délice. Hum, c'était donc ça ! Un corps chaud et dur qui emplit la bouche, sans goût particulier (mais il sortait du bain), autour duquel ma langue s'enroula. Ma première pipe ! J'étais super excitée et une de mes mains alla vers mon ventre et trouva instinctivement sa place dans ma chatte. J'étais surexcitée, je me masturbais en suçant la queue de mon frère ! Celle seule idée me faisait frémir, le plaisir trouble de la transgression, mêlée cette première, me faisait un effet extraordinaire. J'eu presque aussitôt un orgasme d'une puissance énorme. J'aimais ça ! Cette idée me galvanisa et je me mis à sucer cette queue avec frénésie, l'enfonçant profondément jusqu'au fond de ma gorge, me branlant aussi frénétiquement. Je sortis la bite de ma bouche pour mieux la voir, je la branlai doucement, donnant de temps à autre un baiser tendre sur le gland suivi d'un coup de langue qui l'enveloppait, lui trouvant une saveur un peu âcre que je trouvais délicieuse. Un jet blanc et puissant jaillit alors du méat, me frappant au visage, tout chaud. Je me précipitais alors sur le gland que je pris dans ma bouche et je bus à grandes gorgées ce sperme qui coulait pour la première fois dans ma bouche. Je l'avais eu, ma première pipe ! Avec une voix un peu étranglée il me dit : « tu as tout avalé, c'est bien, tu es une bonne petite suceuse qui ne fait pas les choses à moitié ». La voix de mon frère me ramena sur terre. Et il me releva, me souleva le menton et me prit la bouche et me donna un baiser où nos deux langues se partagèrent sa semence. Je sentis ses mains qui parcouraient mon corps, s'arrondissant sur mes seins, glissant sur mes fesses et venant de glisser entre elles pour titiller mon anus. J'étais folle de désir et je me serrais alors contre lui. Je sentis sa queue qui retrouvait de la raideur contre mon ventre. « Non, me dit-il, je ne peux pas te baiser, tu es ma soeur ! » « Ta soeur qui viens de te sucer et d'avaler ton sperme ! Baises-moi, je veux que tu sois le premier ! » J'étais déchaînée, je ne me contrôlais plus, il me fallait une bite dans le con, une queue dans la chatte. Allons dans ma chambre, rhabille-toi, je te rejoins dans un moment ! Me dit-il. Nous nous rhabillâmes furtivement, sans nous regarder, émus et gênés mais très excités, enfin surtout moi, je pense. Je sortit la première, jetais un coup d'oeil dans le couloir, rien, rien qui pouvait laisser penser que je venais de me livrer à l'impensable, à la transgression suprême : l'inceste. Mais rien ne comptait plus pour moi que de me faire baiser à la minute présente, que ce soit par mon (et surtout par lui) ou n'importe qui d'autre. Je crois qu'à cette minute présente n'importe quel homme aurait pu m'avoir, là et tout de suite, tant je me sentais chienne en chaleur. J'étais à la fois effarée de cette sensation et aussi follement excitée et presque fière de me sentir autant femme, enfin, femelle serait plus exact. J'avais le venter empli d'une délicieuse chaleur et je sentais que mon minou commençais à mouiller ma culotte et mes cuisses. Je n'avais qu'une envie, recevoir un sexe d'homme au plus profond de moi-même. Je suppose que cette sensation a du arriver à de nombreuses femmes mais pour moi c'était le première fois ! J'allais directement dans sa chambre et, le coeur battant à 100 à l'heure, je m'assis sur le lit, le regard tourné vers la porte, attendant mon frère, mon futur premier amant. Il ne tarda pas et referma la porte. Il s'arrêta devant moi, toujours assise et me dit doucement : »Tu es bien sûre de ce que tu veux ? C'est un choix sans retour et je ne t'en voudrai pas si tu changes d'avis ! ». « Moi, je t'en voudrais si tu me repousses ! ». « Ma Frédérique, ça fait si longtemps que je te désire, ça a commencé que tu as commencé à devenir femme et que je t'ai vu t';épanouir, quand tes seins ont tendu les pull-overs trop petits pour toi, que tes fesses ont arrondi le fond de tes jeans, quand tu as commencé à t'amuser avec ta copine Alice. ». « Alors baise-moi ! Je t'en supplie, fais de moi une vraie femme, prends moi partout, je veux que ce soit toi le premier ! ». « Mais pourquoi donc moi ? Tu es assez mignonne pour trouver ce qu'il te faudrait sans me le demander, même si, je ne te le cache pas, tu me fais bander et que j'y prendrai grand plaisir ». »Parce que tu es mon frère, que cela n'aura pas de suite, que tu pourras me rendre femme et que ça reste entre nous, et aussi parce que j'aime Alice et qu'en quelque sorte je ne la tromperai pas. » Il se mit à rire « Je vois, l'inceste, tant que ça ne sort pas de la famille ça n'est pas très grave ! ». Je me mis aussi à rire devant l'aspect cocasse que ça prenait. Puis je me levais et lui prit les mains et le fis asseoir. « Je vais te faire ce que me demande Alice de temps en temps ». J'allais à sa chaîne hi-fi et choisis un CD de Diana Kroll dont la voix rauque me donne toujours le frisson, et sur un blues langoureux je commençais à onduler lascivement, les yeux fermés. Je fis le vide dans mon esprit et laissais la musique entrer en moi et, lentement je commençais à soulever mon pull que je jetais négligemment dans un coin, la musique continuait à m'envoûter. Je fis sortir de mon jeans mon chemisier et le déboutonnais, bouton après bouton. J'avais maintenant ouvert les yeux et les plongeais dans le regard de mon frère, il s'était laissé aller en arrière et me regardait fixement. Je fis coulisser ma ceinture et la jetai sur le lit, près de lui, et je commencer à baisser mes jeans en tortillant du cul et en lui tournant le dos, pour qu'il le voit bien, mon cul. Quand j'eus enlevé le jeans je me retournais et je vis qu'il avait défait sa braguette et sorti son sexe qu'il caressait d'une main négligente, le regard fixé sur mes hanches, sur mes fesses et sur mon entrejambes. J'étais maintenant en soutien-gorge et en petite culotte, toujours ondulant sur la voix de la chanteuse. Elle chantait maintenant un autre blues, déchirant et sa voix venait jusque dans mon ventre attiser la chaleur qui le brûlait, je fis passer mes mains dans mon dos et dégrafais mon soutien-gorge. Il tomba et mes seins jaillirent, insolents et moqueurs, la petite fraise de leur pointe toute dressée, toute émoustillée sous le regard qui les admirait. Je les pris chacun dans une de mes mains et entre le pouce et l'index je fais rouler leurs mamelons roses et les pinçais jusqu'à m'en faire mal. Mon frère commençait à se masturber frénétiquement. Je fis glisser ensuite mes mains vers les hanches et glissai mes pouces sous l'élastique de ma petite culotte de coton qui n'avait jusqu'alors connu que des mains féminines. Je présentai alors mes fesses au regard de mon frère et, en me baissant, je fis descendre cette culotte jusqu'à mes pieds, lui offrant, je le savais pour m'être admirée dans la glace de ma chambre les soirs où je voulais m';exciter pour me masturber, mes fesses et ma vulve de presque petite fille. Je sentis alors quelque chose de chaud et d'humide me tomber sur les fesses et les jambes. Surprise, je me retournais pour vois mon frangin, qui s'était levé et qui, derrière moi, finissais de se branler à quelques centimètres de moi. Une ou deux giclées sortirent encore de son sexe, venant s'étaler sur mon ventre et mon sexe. Il se déshabilla alors en un tournemain. Nous étions nus tous les deux, debout, à quelques centimètres l'un de l'autre. Plus grand que moi il me dominait d'une bonne tête. Il ouvrit les bras et je me blottis dedans, mes seins contre sa poitrine, mon ventre contre son sexe que je sentis durcir à nouveau. Il me poussa doucement vers son lit, me fit asseoir puis m'allongea. Il se coucha à mes côtés, me donna un long et doux baiser et je sentis sa main qui partait vers mon ventre et qui s'arrêta sur ma chatte. A cette muette invite je répondis en ouvrant mes jambes. Je sentis un doigt qui se glissa dans ma chatte et commença à le visiter de bas en haut et atteignis mon petit clitoris et qui me donna un frémissement complet du corps. Il se souleva et vint, gigantesque, me recouvrir de son corps, musclé et lourd. Je sentais entre mes jambes la dureté et la chaleur de son sexe. Puis je sentis sa main qui quittait mon sexe et empoigner le sien et le guider vers ma grotte secrète qui n'avait connu que les baisers d'Alice et mes caresses. Je sentais que quelque chose de gros chercher à se frayer un passage au sein de moi-même et je ressentais confusément ce besoin d'être « poignardée » par ce sexe orgueilleux. Je creusai alors les reins pour mieux m'ouvrir et m'offrir, le con ruisselant de désir et d'un lent et puissant effort je ressentis le pénétration. Une vive douleur me fit alors pousser un petit cri amis le besoin bestial qui m'animait me fit tout de suite oublier cette douleur. Mon frère allait et venait puissamment en moi, m'arrachant des petits gémissements étranglés qui devinrent rapidement des gémissements de plaisir. Je sentais monter en moi, du plus profond de mon être un éblouissement sensuel, une onde merveilleuse de chaleur, une boule de feu qui se développait sans apparemment avoir de limite et soudain j';explosai de jouissance, une source infinie de joie et de bonheur physique m'inonda, corps et âme : je venais d'avoir un orgasme cosmique qui dépassais tout ce que j'avais pu connaître entre les bras d'Alice ou en me caressant. J'étais devenue femme... Mon frère continuait à labourer mon ventre, lentement, tendrement et je ressenti, moins fort cette fois, un second orgasme qui me souleva et je sentis à ce moment la semence de mon frère exploser au fond de mon ventre, brûlante là encore et qui m'inonda les entrailles. J'étais vraiment devenue femme ! Que dire après cela ? Peu de temps après mon frère est parti à l'étranger pour son travail, j'ai trouvé un job dans une ville voisine. Mais chaque fois que nous nous revoyons nous refaisons l'amour avec la même passion et nous nous quittons avec la même facilité. Il est marié et heureux en ménage, je suis toujours avec Alice, mais rien ne pourra briser le lien magique et sensuel qui nous unit désormais et qui fait de nous des complices et des amants fraternels. 


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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:56
Pyjama party entre filles 
  
 Ca faisait deja assez longtemps que je savais etre lesbienne, je dois avouer que les hommes ne m'ont jamais attirer et encore moins vers 14 ans ou plusieurs evennement me disuadait d'aller voir les hommes... Toujours est il que j'étais un peu fatiguee cette soiree la et que je n'etait pas dans mes meilleurs etats d'ame quand ma meilleure amie dans le temps me traina chez elle pour profiter de la vie un peu, party de pyjama entre filles, ca allait surment remonter mon moral. Encore aurait il fallu pour moi quune dentre elle soit interresser, elles etaient tous hetero... Mais bon en chemin, moi et une autre fille faisons connaissance dans le bus et elle a lair vraiment sympatique. Mon amie la deja rencontrer plusieurs fois dans ce trajet mais ne lui avais jamais parler. Faut dire quelle ne va pas necessairement parler a des filles avec un chandail sur lequel apparait le drapeau gai... Non seulement je lui parle pendant une bonne demie heure dans le bus mais je sens quon connecte vraiment. Rendue a larret ou on devrait descendre, je lui fait mes adieux, puis elle descend en meme temps. "J'ai manquer mon arret depuis comme 20 minutes" m'avoue t elle. Mais mon amie sens bien que moi et elle on est faite pour sentendre, alors elle l'invite a notre soiree et en un coup de telephone, la fille annule ses plans et nous rejoint a la fete. On arrive donc nous 3 a l'appart de mon amie, et 2 de nos copine nous attendent aussi. On entre et on commence a ecouter des films. Mon amie va dans sa chambre rendu a la moitier du film, et moi et la petite nouvelle on fait de plus en plus connaissance dans la salle de sejour. On a parler pres de 2 heures avant de se rendre compte que tout le monde etait parti dans la chambre avec ma meilleure du temps. Alors, nous en avons profiter pour fermer la porte de la salle de sejour, pour discuter plus en profondeur sans gener les autres. On a parler surtout de notre homosexualité. Toute les deux tres lesbiennes et assez reserver, on preferait ne pas les inclure dans le sujet. Et pres de quelques minutes apres avoir decouvert quon etait toute deux celibataire de nouveau, on sest mise a sembrasser tres passionnement. Nos langue ne faisais plus quune, et pendant quelle gemissais tout doucement, pas trop fort pour ne pas aviser les autres de notre presence, moi je mouillais comme une folle. Je sentait mon string tremper, et un chance que je suis une fille tres hygienique, javais 3 paires de culottes de rechange au cas ou... Je commencais a chauffer un peu trop alors je me suis mise a mamuser plus. Je lui enleve son chandail, qui ne revellait pas mieux quune belle poitrine ferme et petite comme je les aime, sans plus. Je me met a la petrir, a la mordiller sur les mamelons, a la lecher lembrasser, elle adorait aparement! Elle mis sa main sur mes seins pas vraiment different des siens et elle se mis a rougir de plus en plus, peut etre parce que ma main avait descendu dans mes petite culotte toute humide deja. Je lui touchais le clitoris et le titillais pour la voir agacer et rougir de plus belle. Comme elle mouillait de plus en plus jintroduit lentement un doigt entre ses levres, et alla carresser lentree de son vagin. Je nen cru pas mes yeux, elle explosa literalement sur ma main, tout le liquide qui etait coincer en dedans delle si profondement setait deverser sur mes doigts. Elle gemit un peu plus fort puis se tut. Jenlevai son pantalon maintenant innonder de liquide parfait, et je le mis a part. Je commncai a recolter le fruit de mon travail, je la lecha doucement sur le ventre pour arrivee rapidment entre ses jambes,dou il emannais tant de chaleur et une odeur affrodisiaque. Je ne pu menpecher plus longte,ps, je la devorai de tout mon etre. Le mieu pour moi cetait glisser entre ses levre avc ma langue et sentir ses petites levre se gonfler au fur et a mesure. Et elle adorais aussi. Je restais surtout sur son petit bouton de plaisir et le contournais doucement de mes levres pour donner de petit coup de succion rapide pour lexiter davantage! Mes amies netait toujours pas dans le coin et elle gemissais pourtant de plus en plus. Je regardais autour puis jappercu du coin de loeil des yeux qui nous observais de la salle de bain relier au sejour. dans le noir, mais bel et bien la, ma meilleure amie se doigtait en nous regardant. Elle netait ^pas tres subtile, mais je le fut plus quelle. je me degager de la nouvelle pour me diriger vers la salle de bain, disant a la jeune de me rejoindre prendre une douche pour terminer tout ca. Mon amie fit vite de se cacher en oubliant de serrer son pantalon. Moi je savais quil etait la mais nen fit pas un cas. Et la nouvelle etait trop exiter pour remarquer. Jenleva mes vetements et dit a lautre de mattednre a la douche, de se caresser en attendant. Mon amie se doigtait encore dans le petit placard, cest ce que jappris en ouvrant la porte. Puis je mis un doigt sur sa bouche pour quelle ne dise plus rien. Jentrai avec elle puisque cetait assez grand. Javais pris le pantalon avec moi. Jentendi la nouvelle gemir et soritir de la douche surprise de ne pas etre venue avec mon aide. Mais je maffairais deja a ma meilleure amie dans le placard, qui elle en voulais a mon clitoris. Elle le lechait avec intensite pendant que je la lechait aussi. Jetait par dessus elle en position 69 et tout mon liquide allait directement sur son visage. Elle voulias crier et elle se retenais car elle savais que si quelquun arrivais, jirai moccuper de la suivante. Elle me lecha de toute sa langue a la longueur de ma vulve toute trempee. Elle avalais tout ce quelle pouvais pendant que jintroduisais ma langue dans son petit vagin etroit. Elle me disais que jetait une vraie saloppe de faire ca a autant de fille dans une meme soiree, et den avoir laisser tomber une. et Je lui repondit que jetait effiquetivement sa saloppe, mais uniquement a elle pour la nuit. Et ce ce, je me mis de tout mon poids sur sa bouche et me mis a baiser sa gueule de grand coups poendant quelle ecrasais ma tete entre ses cuisses. Je lui caressa la vagin dun doigt et de lautre main lui titllais lanus. Elle adorait ca. Elle mouillais par jet dans ma bouche et en mis partout dans mon visage et se frottant la vulve sur mes levres mes joues... Elle arreta de se fortter et mobligea a regarder sa vulve rougit dexitation, ce que je fit. Elle commenca a se caresser avec vigeur et javais limpression que son clitoris allais arracher a force dautant de rudesse. je baisais toujours sa bouche et sentait ses cris de jouissance etouffer par mon sexe. Les vibration de sa voix mexitait davantages et je lui crachai tout mon liquide direct dans la gorge. Elle vint en meme temps et comme javais les yeux tres pres, ca me vola direct en plein visage. Je nen pouvais plus. Javais jouie! J me levai puis elle me dit que je devas rester. Elle netait pas encore satisfaite. Mais je sorti du placard...pour retrouver les 3 autres filles nues et saoulent dans la salle de bain. Une se carressais le clitoris, une autre avait amener un dildo et se lentrais dans la vulve, la nouvelle elle attandait. Je me mis sur celle qui se caressais et la lacha dun coup de langue furtif. Je pris le dildo de lautre et pris ma meilleure amie en otage. Les filles me suiverent toutes puisque javais maintenant lexitation de la clitoridienne, le dildo de lautre, et que je navais pas tout a fait finie avec la nouvelle. Je les amena jusquau salon ou je leur dit de se placer sur le divan une a coter de lautre sur le coté. elles le fient et je les lechait toute en meme temps en enfoncant le dildo dans le cul de ma meilleure amie qui etait en dernier dans la rangee. Elle gemissais toutes, elle criaient. Et je fini par leur faire lamour en frottant ma vulve contre leur vulve une apres lautre. Cetait lextase. Laissez moi vous dire que jamais je nai refuser un pyjama party par apres! 


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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:54
MMMF 
  
 Un matin en sortant du lit avec une bonne gaule matinale, je suis allé sous la douche. Une fois sous l’eau chaude, je regardais ma verge bien vive et à ce momment la je me suis mis à me caresser les parties. Avec un peu de savon sur mon bas-ventre je fis des mouvement de va-et-vient. Au momment ou j’ai passé une main sur mes deux fesses, je me suis mis à bander encore plus fort. Vu cette exitation, j’ai encore plus raproché ma main de la fente de mes deux fesses j’usqu’a me toucher l’anus. J’avoue qu’a chaque fois qu’une fille m’avait touché comme ça, j’avais toujours aimé mais là je ne sais pas pourquoi mais c’était grandiose! Vu mon exitation, je passa alors mon autre main derrière en lachant ma bite. D’une main j’écarta une fesse et de l’autre je carressais mon fondement. Des sensations nouvelles parcoururent mon corps, j’etais très exité, à un tel point que je pris alors l’initiative de m’enfoncer un doit dans le cul. J’ai d'abord commencé à le rentrer doucement, ça faisait bizarre ! Mais une fois les premiers centimètres passés. ça rentrait tout seul. J’ai donc commencé un mouvement de va et vient. Je devenais surexcité, et avec mon autre main je me suis mis à écarter encore plus la fesse pour y passer un deuxième doigt. A ce momment là une pensée me traversa l’ésprit. J’étais entrain de me dire que je pourais même y rentrer un sexe et que ce serait même plaisant ! Déjà ce que mes deux doits me procuraient comme plaisir, alors avec un vrais sexe ! Cela me dérangait de penser à ça car je ne me sens pas du tout homo. Après encore quelques mouvements de va et vient, je sortis mes doigts et là encore une super sensation ! Excité comme pas possible et avec ces drôles d’idées dans la tête, je sortis de la douche, me séchai et je me mis devant mon ordinateur connecté à l'internet. Je suis alors allé surfer sur des sites sur le sujet de mes pensées. Je suis d’abord tombé sur des sites purement homos mais cela ne me faisait rien. Je ne pouvais pas supporter l’idée d’embrasser un mec et de ne faire ça qu’avec un mec. Le plaisir que je recherchais était purement sexuel. Je suis alors tombé sur un site où je voyais à la fois deux mecs et une nana, ou bien l’inverse, et encore bien d’autre combinasons. J’ai alors regardé une par une les photos de ce site et je voyais des hommes prendre le derrière d’une femme pendant qu’ils se faisaient eux même prendre. Il y avait même des gros plans qui montraient bien le penis du première mec dans les fesses de la femme et une autre queue danc son cul. J’avais avec une gaule monstre et je me touchais le petit trou. Je me mis alors a me faire mon scénario. Et c’est là où mon fantasme commence. Je me voyais dans un salon, posé sur un canapé avec une fille (Tina) à coté de moi et un autre mec (Fred) à coté de la fille et encore un autre sur un fauteuil. Nous étions tous nu. La fille me roulait une pelle pendans qu’avec ses deux mains elle nous branlait, l’autre mec (Seb) qui était avant dans son fauteuil lui léchait la vulve. Peu de temps après elle nous dit: - J’ai envie de vous sucer tous ensemble. On s’est alors tous mis debout et en position pour qu’elle puisse nous faire plaisir. Elle nous suça alors les uns aprés les autres et même parfois tous en même temps. Elle me dit: - Met toi sur le canapé, j’ai envie de vous sentir en moi, et toi Seb prend moi le petit trou. - Seb dit: je vais prendre mon lubrifiant et je prépare ton petit cul ! - Fred nous dit alors: Ben moi alors je vais tourner pour vous donner ma queue ! Au momment où il dit ça, je senti une grande excitation en moi et je voyais Tina dans le même état que le mien rien qu’à avoir entendu les paroles de Fred. Seb revenu avec le lubrifiant et des préservatifs et après que chacun de nous ait mis sa capote, je m’assis sur le canapé et Tina se mis sur moi et guida ma verge dans sa chatte. Moi je regardais Seb lui mettre du lubrifiant sur l’anus et pendant qu’il se badigeonnait le sexe je me suis mis à étaler le lubrifiant sur le trou de Tina et de lui mettre un puis deux doits dans le cul comme pour un peu la préparer à la bitte de seb. Elle bougait d’elle même pour mieux faire rentrer mes doits et elle a commencé à gémir. Quand je lui touchais le cul, je sentais le mien se dilater. Une fois que Seb eut fini de recouvrir sa queue de lubrifiant, il s’avança et posa son gland sur sa rosace. Tina bougea d’elle même en arrière pour faire rentrer à son rythme la bite de Seb. Sans faire de va et vient elle rentra la queue tout doucement mais entièrement et resta un moment sans bouger pour qu’elle puisse habituer son trou à la queue de Seb. A ce momment là, Fred passa au dessus de moi en écartant les jambes et en en passant une de chaque coté de mon corps. Il posa ses fesses juste au dessus de ma tête sur le dossier du canapé présantant ainsi sa bite tendue à la bouche de Tina. La vision que j’avais était super, les seins de Tina me tapaient sur le visage et je pouvais voir sa bouche sucer vigoureusement la verge de Fred et pendant que je lui prenais la chatte, Seb lui défoncait le cul. Rien qu’à imaginer Tina se faire sodomiser j’aivais l’impression qu’il me manquait quelque chose, je sentais mon cul se décontracter. J’était alors excité comme un fou et je pense que je n’étais pas le seul. Pendant que nous étions tous entrain de bouger pour activer les mouvement de va et vient, je penchai ma tête en arrière pour avoir une plus belle vue sur la fellation de Tina et je la voyais s’enfoncer le sexe de Fred entierement dans la bouche jusqu’à la base de son ventre. Elle lui faisait une pipe mortelle ! Il était entrain de gémir. A chaque fois qu’elle rentrait la bite de Fred entierement dans sa bouche, elle restait une petit moment sans bouger la tête, les seules vibrations étant celles de son corps agité par la double pénétration qu’elle se prenait. J’avais toujours la tête penchée en arrière et je la regardais sucer. Après un autre va et vient de la bitte de Fred dans la bouche te Tina, elle sortit doucemet la verge de sa bouche en s’amusant avec les fils de salive gluante qui pendaient entre ses lèvres et le penis de Fred. C’était super de voir ça ! Elle s’amusée tellement avec sa salive qu’elle avait de la bave qui coulait le long de son menton et qui gouttait sur mon visage et sur ma bouche. Je trouvais ça vraiment excitant ! Peu de temps après, Tina se dégagea de nos trois bites et se mit à quatre pattes sur le sofa, elle me tendit le tube de lubrifiant et me dit de la prendre. J’aivais déjà bien pilonné sa chatte et je n’avais qu’une envie, c’était de lui prendre la cul. Seb se mit debout devant Tina et lui mit sa pine dans la bouche. Moi je me suis penché, j’étais presque dans la même posision que Tina et je me mis à lui faire un anulingus sur son trou encore ouvert. J’ai d’abord léché le tour de son anus qui était trés humide et chaud et je poussais avec ma langue le lubrifiant qui resté autour de son trou pour lui mettre dedans. Je rentré alors ma langue le plus profond possible et je faisais un mouvement de rotation à l’interieure de son trou ouvert. Elle commencait à gémir de plaisir tout en se massant le clitoris, et me demanda alors de la prendre. Quand à sa demande, je me suis redressé pour commencer à la prendre, Fred c’était déjà mis à califouchon par dessus Tina et me faisait face avec sa bite juste devant ma bouche. Sa verge était encore pleine de la bave que Tina avait laissée. J’ai bien sûr compris ce que voulait Fred mais j’avais peur de commencer quoi que se soit, car je n’avais jamais fait ça avec un mec, et je ne me sent pas du tout homo ! J’ai alors repensé à mon expérience dans ma douche et je me suit dit que quoi que je fasse c’etait juste pour prendre mon pied et de voir les autres prendre le leur. Je savais et je sentais que tout le monde étaient là juste pour ça, pour s’éclater ! Alors je mis mes mains sur les hanches de Tina et commencai à la pénétrer, je laissa ensuite Fred emmancher son sexe dans ma bouche. Fred commencait à bouger dans ma bouche et je mis mes mains sur ses fesses et le stoppai pour lui faire comprendre que j’allai bouger à sa place. Je le sucai au même rythme que je sodomisais Tina et je me suis rappelé combien moi aussi j’aimais les bonne pipes. Je pris donc l’initiative d’enfiler sa queue entierement au fond de ma gorge comme l’avait fait Tina. C’etait pas facile car une fois que je l’avais bien rentrée et que ma levre inferieurr se collait à ses bourses, j’avait presque envie de tousser mais aprés quelques va et vient il n’y avait plus de problèmes, j’arrivais à l’avaler sans dificulté. Je Gémissais ! Fred criait de plaisir, Tina aussi mais sa jouissance était assourdie par la verge de Seb qu’elle avait dans sa bouche. Seb lui respirait très fort et ne manquait pas une miette de nos ébats. J’avais encore la queue de Fred dans la bouche et je décidai de l’enfoncer aux maximum dans ma gorge et de rester un moment comme ça sans bouger. J’avais une main sur une de ses fesses et avec l’autre j’ai mis un peu de lubrifiant sur mes doigts pour ensuite lui mettre un puis deux doigts dans le cul en faisant des mouvements de va-et-vient. Je savais que cela procurait un plaisir monstre ! D’ailleur il me le faisait comprendre en essayant de pousser encore plus ma tête vers son ventre et en donnant des petits coup de reins. Fred relacha d’un coup ma tête et se retira très vite. Il dit : « Oua ! C’est trop bon mais j’ai faillit jouir et je ne veux pas encore, vu comme c’est parti j’ai encore envie d’en profiter ». A ce momment là, Tina se sortit la bitte de Seb de la bouche et se retourna. A en voir encore sa bave autour de la bouche Tina avait encore du pratiquer le même jeux de salive qu’elle avait fait à Fred. Au momment où elle vu que moi aussi je venais de sucer Fred et que j’avais les doits pleins de lubrifiant, elle s’est mise à bouger son cul comme une folle. Visiblement ça devait l’exciter un max de voir des mecs se toucher. Fred était encore entrain de se contrôler pour ne pas jouir et il descendit du sofa et s’allongea sur le tapis du salon. De mon côté, j’avais encore le goût de la capote de Fred dans la bouche. Les mouvement de plus en plus rapides de Tina commencaient aussi à me faire venir. J’ai à ce moment là pris les fesses de Tina et je me suis retiré. Elle s’est alors levée et me fit descendre du sofa, me prenant les hanches et en me tirant vers elle et elle me dirigea vers Fred qui était alongé sur le tapis en me faisant comprendre de m’empaler sur lui. A ce momment la je lui dis : - Attend, tu veux que je fasse quoi ? - J’ai envie de le voir te sodomisier, je suis toute exitée rien qu’à y penser ! - Mais je sais pas, j’ai jamais fait ça ! - Justement fait le alors ! Allez ! Allez ! Pose toi sur lui, tu verras on va bien s’éclater et ça va te plaire. Quand elle me dit ça, je me suis mis a frisonner de plaisir et j’avais envie d’être déjà sur la queue de Fred. De toutes façons, on était tous là pour se faire plaisir. Je me suis alors laissé diriger, elle me positionna juste au dessus de la verge de Fred et avec le lubrifiant qu’elle venait de se mettre dans la main elle me badigeonna le derrière. A ce moment là je regardais Seb qui était entrain de se branler et regardant Tina s’occuper de moi. Je voyais que ça l’exitait de voir que j’allais me faire prendre par Fred. Tina me positionna le gland de Fred juste au dessous de mon trou du cul de façon à ce qu’il soit pret à rentrer et elle me dit de ne plus bouger. Elle se mit alors à quatres pattes juste devans moi mais son visage face à moi et son cul juste devant Seb. Seb n’a pas posé de question et c’est mis à la pénétrer. Tina a commencée à respirer de plus en plus fort et elle posa une main sur mon épaule en me pousant en arriere. Je me suis alors enfoncé doucement sur Fred qui comme moi attendait que ça ! J’étais tellement exité que mon anus devait être bien détendu. Au momment où son gland à commencé à presser sur mon anus et à rentrer, je me suis mis à pouser un crit de plaisir. Ca me procurait un grand plaisir ! Tina me dit : - Vas-y pousse, ça rentrera mieux, fais moi confiance ! Je me suis donc mis à pousser et effectivement la verge de Fred s’est mise à rentrer complètement, j’ai alors encore poussé un crit de jouissance . J’avais à ce moment là toute bite de Fred entière dans mon cul. Tina folle d’excitation pris ma tête et me léchait comme une folle pendant que je me faisais prendre par Fred et que Seb la pénétrait en changeant régulièrement de trou. Je me sentais bouger sous les coup de bite que Fed me donnait et je voyais aussi Tina partir d’avant en arrière. Nous étions tous en train de gémir. Je prenais un pied fou avec ces nouvelles experiences ! Un peu moins d’une minute après, Seb se retira de Tina et enleva sa capote pour en remettre une autre. Je venais de comprendre qu’il voulait changer de partenaire. Moi je prenais mon pied et j’avais pas encore envie de changer. En fait, après avoir mis son préservatif, il se mis derrière moi, attrapa le lubrifiant et il s’en mit sur la queue et en fit couller un filet sur mon cul et sur la pine de Fred qui faisait des va-en-vient dans mon trou. Seb passa par dessus les jambes de Fred et il nous dit : - Arrêtez de bouger, je vais aussi la mettre ! Je n'ai rien dits et je me suis laissé faire. Tina était allongée sur le dos à coté de moi, elle était sur excitée et se masturbait en nous regardant. Je commencais à sentir le gland de Seb se coller contre le haut de mon cul et la verge de Fred. Seb écarta alors mes fesse et commenca à avancer son bassin, je sentais que ça pouvait rentrer alors je me mis encore à pousser et le gland se mis à rentrer puis sa bitte entiere. J’ai encore pousé un gémissement de plaisir, ils se sont alors mis à bouger ensemble. Je me faisais prendre en double pénétration ! ! ! Je pouvais enfin savoir ce qu’une fille devait ressentir quand on la prenait en double ! Je sentais que le tour de mon cul était tendu mais il se relachait petit à petit. Après plusieurs va-et-vient je commencais à sentir venir mon éjaculation tellement je prenais mon pied. Mais avant que je me lache, Fred se retira et me poussa en me mettant sur le dos juste à coté de Tina. Tina et moi étions alors sur le dos, nos visages l’un à coté de l’autre et Seb et Fred se redressèrent en se raprochant de nous et en se branlant. Et Seb nous dit : - Allez ! Allez ! Ouvrez la bouche, ouvrez la bouche je ne tiens plus ! J’ai hésité, mais pas longtemps vu la pression que Seb gardait en lui, j’ai alors ouvert la bouche mais pas autant que celle de Tina que je voyais même tirer la langue. Puis j’ai ensuite fait comme elle. A ce momment là Seb se mit à éjaculer en contrôlant la direction de ses jets et nous déversait tour à tour son sperme dans la bouche. Tina était déjà entrain d’avaller quand Fred se mit aussi à gicler sur nos faces. Fred lui n’en avait pas seulement mis dans nos bouche mais aussi sur le menton, les joues, le front et même presque dans les yeux. J’aivais dans la bouche une bonne quantité de sperme, j’ai ensuite fermé la bouche et je me suis mis par dessus Tina, j’ai enlevé ma capote et en ai remis une autre. Tina a tout de suite compris ce que je voulais faire. Je me suis mis à la pénétrer et elle ouvrit en grand sa bouche. Je lui ai ensuite laissé couler le sperme de ma bouche à la sienne. Elle aimait ça et après qu’elle ait tout avalé, d’une main elle poussa le sperme qui restait sur mon visage vers ma bouche et de l’autre elle faisait la même chose sur le sien et elle se mit à m’embrasser tout en jouant avec le sperme et nos langues pendant que moi je me bougeais en elle. Je n’avais pas encore joui et je crois qui que si je l’avais fait je n’aurais pas accepté de me faire gicler dessus, mais j’étais excité comme un fou, et ça me plaisait ! A coté de nous Seb et Fred s’étaient mis en 69 et se netoyaient la queue. Je suis alors sorti de Tina et j’ai commencé à rechanger de capote, prendre le lubrifiant et badigeonner le cul de Fred pendant qu’il se faisait sucer par Seb. Je voyais Tina chercher un gode ceinture dans son sac et le mettre autour de sa taille. La resemblance du faux sexe était troublante. Tina me prit le lubrifant des main, en remis sur mon cul qui était cette fois bien ouvert. Avant que Tina me prenne j’ai commencé à sodomiser Fred, c’était la premiere fois pour moi et c’était top ! Tina à ensuite commencé à me mettre son gode dans le cul et il rentra très facilement. Je bougeais entre le cul de Fred et le gode de Tina, c’était génial et je me suis vite mis à éjaculer. J’ai juste eu le temps de sortir ma queue du cul de Fred et enlever ma capote et je me suis alors mis à tout balancer à la fois sur l’anus de Fred et dand la bouche de Seb, Tina continuait à bouger deriere moi et je voyais mon sperme couler le long de la queue de Fred et goutter sur la visage de Seb qui parfois reprenait la bitte de Fred en bouche. J’avais joui comme jamais ! ! ! Voila pour mon fantasme, j’èspere qu’il vous à plu et qu’il vous à donné envie. Je n’ai jamais eu de relations bi mais ça me tente comme pas possible 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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