Vendredi 15 mai 5 15 /05 /Mai 22:05

 

 Bonne Nouvelle !



Novembre 2007, nous vous informions d'un décrêt interdisant la production, et la vente des arômes/poppers. A notre plus grand désespoir, et au votre aussi... Nous vous disions alors que nous serions les premiers à vous informer de la suite des évenements... Il y a une suite ! Le rapporteur du décrêt en question a été sensible aux demandes des professionnels: l'interdiction est levée dès ce milieu de mois de mai 2009.
Retour en priorité des flacons de poppers GATE, HOT, TRIP, MOVE que vous connaissez sans doute, ou allez découvir très bientôt ! !


DISPONIBLE ICI  
 

Par meet68 - Publié dans : INFORMATIONS
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Jeudi 7 mai 4 07 /05 /Mai 00:14

La nouvelle symphonie de Florian (1)


Ah ce maudit solfège! Pourquoi est-il si important pour faire du piano? Au moins pour mes cours de guitare, je n’en ai pas besoin!» ronchonnait Florian.

Le jeune adolescent âgé de bientôt 15 ans, était passionné par la musique. Il pratiquait le piano depuis l’âge de huit ans et la guitare depuis maintenant quatre années. Pourtant ses parents ne baignaient pas dans le monde de la musique mais le garçon, dès son plus jeune âge, fut pris d’intérêt pour cet art et n’en perdit pas un brin de passion. Sa mère infirmière et son père ingénieur en aviation, l’encouragèrent à persévérer dans cette voie en l’inscrivant au conservatoire de la ville où il prenait ses cours de piano et de solfège depuis maintenant cinq ans. Le garçon, blond aux yeux bleus comme sa mère, suédoise, était également très doué dans les études car il affichait un brillant 18 de moyenne arrivé en troisième. Inutile de préciser que c’était le premier de sa classe et du collège. Même en sport il se débrouillait très bien avec son 1m75 et ses 55kg, il faisait d’ailleurs partie de l’équipe d’athlétisme de son collège où il brillait en saut en longueur et aux 200 mètres. Autant dire que Florian était le fils, l’élève, le petit ami idéal.

D’ailleurs sa beauté et son intelligence attirait toutes les filles du collège mais celui-ci, pas intéressé du tout, les renvoyait balader une par une, ce qui forcément à la longue intrigua ses copains. Mais Florian, très malin, s’était inventé une petite amie qu’il aurait rencontrée en vacances et qu’il aimait au plus haut point. Il avait d’ailleurs ramené une photo où ils étaient dans les bras l’un de l’autre. En réalité cette fille sur la photo n’était qu’une amie de vacances, mais tout le monde dans son collège le croyait fou amoureux d’elle et c'était là l‘essentiel. En réalité, et vous l’aurez deviné, Florian aime les garçons, mais ça, il n’y a que lui à le savoir. Sa grande timidité et sa pudeur l’empêcheraient sûrement de franchir la barrière du premier petit ami, pensait-il, à moins qu’un autre garçon fasse le premier pas. Mais pour lui, ce n’était sûrement pas pour demain. S’il savait…

— Florian, tu vas être en retard à ton cours de piano, je démarre la voiture et je t’attends.

— Oui maman, j’arrive tout de suite, je finis de relire ma partition, j’en ai pour une minute, répondit-il.

Et deux minutes plus tard, l’adolescent était dans la voiture en route pour son cours de piano et toujours le nez dans sa partition de Sergueï Rachmaninov, il ne se rendit même pas compte que la voiture était arrêté.

— Chéri, je ne pourrai pas revenir te chercher, je reprends le travail dans une heure, tu devras prendre le bus. En revenant, il y a tout ce qu’il faut dans le frigo pour que tu manges et ne te couche pas trop tard, et fais attention en rentrant, et n’oublie pas…

— Oui maman, je sais me débrouiller depuis le temps! T’inquiète pas, et puis j’ai bientôt 15 ans, je ne suis plus un bébé! Répondit Florian gentiment.

Il avait l’habitude de se retrouver seul le soir à la maison car son père était souvent en déplacement pour la semaine, et sa mère était de nuit, au moins une fois toutes les trois semaines. C’est d’ailleurs cette solitude qui lui permet de progresser très rapidement en musique et d’être doué à l’école. Avant, il avait le droit à sa baby-sitter personnelle mais depuis ses douze ans, il refusait d’en avoir une, et comme s’était un garçon sage de nature, ses parents acceptèrent sans trop protester, malgré une mère très inquiète de nature pour son fils unique. Le garçon embrassa sa mère puis quitta le véhicule, tout sourire, sa partition dans les mains.

Il poussa la grande porte du conservatoire, marcha dans le long couloir et entra dans la salle de son cours où devait l’attendre son professeur, une dame âgée d’une cinquantaine d’années que le garçon aimait bien malgré sa grande sévérité sur sa technique au piano. Mais aujourd’hui, cette dernière était en retard et, au bout de dix minutes, une responsable du conservatoire vint voir Florian pour lui annoncer qu’elle ne pourrait venir. Elle lui proposa de rentrer chez lui où bien d’assister à un autre cours. Florian voulut rester dans la salle pour s’entraîner au piano, mais aucun élève n’avait le droit de rester seul dans une salle, surtout avec un piano d’une valeur de 10 000 euros. Alors le jeune homme décida d’assister en spectateur à un autre cours car il n’avait rien à faire chez lui et puis, on ne s’instruit jamais trop musicalement.

Florian entra donc dans la salle où se déroulait un cours de violon. La responsable du conservatoire informa le professeur sur la situation de Florian et quitta la pièce. Le jeune garçon s’assit donc sur une chaise et commença à écouter le cours pendant… cinq secondes, c’est-à-dire juste avant d’apercevoir un ange tombé du ciel. Le plus beau garçon qu’il avait vu jusqu’à maintenant: métis, cheveux bouclés, courts, yeux verts, faisant à vue d’oeil sa taille et son poids . Ce fut le coup de foudre, du moins physiquement et c’est sûrement pas son boxer tout déformé qui pouvait dire le contraire. Durant dix minutes, Florian ne put détacher son regard du garçon. Leurs regards se croisèrent d’ailleurs de temps en temps. Il se demandait comment avait-il fait pour ne pas le remarquer avant, pourquoi ne l’avait-il pas croisé dans les couloirs? Toutes ces questions lui trottaient dans l'esprit mais surtout, il bénissait sa professeur de ne pas être venue aujourd’hui. Puis soudain:

— Florian, veux-tu venir jouer du violon? Dit l’enseignante, le sortant de son rêve.

— Euh, c’est-à-dire que, euh… je ne suis pas sûr d’ y arriver, puis j’ai pas de violon, répondit-il tout étourdi et gêné.

— Vu ton niveau au piano, à la guitare et tes connaissances, tu ne devrais pas avoir de mal, et puis ça te sera instructif, reprit-elle.

— D’accord mais il me faut un violon, sinon je risque d’avoir du mal, et puis c'est pas du tout pareil que le piano et la guitare, je…

— Je sais tout ça, mais essaie quand même! Tu prendras le violon de Mathis, comme c’est lui le plus en avance, cela ne le pénalisera pas et puis il t’aidera. C’est le garçon là bas, dit-elle en pointant du doigt le prince charmant de Florian qui fut ravit mais aussi très intimidé.

Mathis adressa un grand sourire à notre beau blond qui le déstabilisa, à tel point qu’il faillit tomber en allant rejoindre le garçon. Celui-ci tendit son violon à Florian, leurs mains s’effleurèrent, ce contact ne manquant pas de réveiller l'érection de notre apprenti-violoniste, qu'il parvint quand même à dissimuler malgré un jean qui le mettait en valeur. Le cours se déroula ainsi pendant une demie heure où les deux garçons furent très complices, et prit fin dans une ambiance très chaleureuse.

— Tu te débrouilles plutôt bien pour un débutant, tu devrais continuer, dit Mathis.

— Merci, mais j’ai déjà le piano et la guitare, ça ferait un peu beaucoup je crois, répondit Florian.

— Dommage, j’aurais aimé t’avoir dans mon cours, je me suis bien amusé avec toi.

— Moi aussi, mais on peut toujours se voir, reprit Florian épaté par la proposition qu’il venait de faire.

— Effectivement, ça serait cool! Si tu veux, je te donne mon numéro de portable et mon MSN, comme ça on pourra faire plus connaissance tous les deux. T’as l’air sympa et j’aime bien les mecs cools! J’espère que je ne t’effraye pas à te donner tout ça alors qu’on se connaît à peine mais j’ai plutôt le contact facile avec les gens que j’apprécie, c’est dans ma nature.

— Pas de problème et puis on pourra faire de la musique ensemble, chez moi j’ai un piano et deux guitares, si tu ramènes ton violon, on pourra se faire des impros sympas. En plus, mes parents sont souvent absent donc cela ne posera pas de problème.

— Ok, c’est cool, on en discute sur MSN, mon bus va pas tarder, dit Mathis.

— Bah de toute façon moi aussi je prends le bus, donc je t’accompagne!

Les deux garçons se séparèrent à l’arrêt de bus car chacun partait dans la direction opposée. Florian faillit ne pas s’arrêter devant chez lui car ses pensées étaient bien ailleurs. Arrivé chez lui, il prit deux trois trucs à manger dans le frigo et partit dans sa chambre devant son ordinateur. Une chambre d’adolescent ornée de poster des Velvet Underground, des Sonic Youth ou encore des Hives, avec une guitare électrique et son ampli ainsi qu’une guitare folk déjà bien usée, et bien sûr, beaucoup de bordel.

Une fois qu'il eut englouti tous ce qu’il avait à manger, il se connecta sur sa messagerie. En moins de deux, il entra l’adresse MSN de Mathis qui à son grand bonheur était connecté. Les deux garçons passèrent la soirée à discuter; ils en apprirent beaucoup l’un sur l’autre. Même goût musicaux, même centre d’intérêts, bref ils étaient fait pour s'entendre. Florian apprit que son prince charmant avait le même âge que lui, qu’il était en troisième dans un collège situé de l’autre côté de la ville, qu’il faisait également du basket-ball et surtout, qu’il était célibataire. Mais ce qui l’intrigua encore plus, c’est cette phrase balancée par la suite par son interlocuteur: «Les filles, je m’en fous un peu!» Et ce qui l’étonna encore deux fois plus, c’est-ce que lui a répondu: «Moi aussi.» C’est à ce moment là que Mathis dut se déconnecter, après avoir programmé de passer la soirée et la nuit de demain vendredi chez Florian.

Ce denier ne ferma pas la fenêtre de la conversation, laissant à l’image la photo de son nouvel ami. Beaucoup de choses se bousculaient dans sa tête. Qu’allait-il faire demain avec ce garçon qu’il connaissait à peine? Et pour la première fois, Florian eut la sensation que quelque chose pouvait se produire, même s'il ne se faisait pas trop d'espoir non plus, ce qui ne manqua pas de réveiller une monstrueuse érection qui sommeillait depuis la fin du cours de violon. Et là il fallait agir! Le jeune blond enleva son t’shirt et son boxer et se retrouva nu devant l’écran de son ordinateur avec la photo du visage de son premier coup de foudre. Il commença par décalotter sont gland de son sexe de 16 centimètres et tout en regardant son écran, il commença des caresses avec ses fins doigts terminant de magnifiques mains. Puis il entreprit des va-et-vient de plus en plus rapides. Il gagna ensuite son lit où il continua ce qu’il avait commencé, tout en se caressant le corps. Au bout de cinq minutes, il cracha quatre puissants jets de sperme qui mourrurent sur sa poitrine. Il nettoya tout ça avec un mouchoir puis se plongea sous sa couette en pensant à Mathis. Mais ce qu’il ne savait pas, c’est que de l’autre côté de la ville, son nouveau copain venait de terminer la même chose que lui, avec les mêmes pensées, ainsi que beaucoup d’idées en tête pour demain soir.

Le lendemain soir arriva très vite. Après un réveil et une journée de cours plutôt difficile en terme de concentration pour les raisons que vous aurez devinées, Florian partit rejoindre l’entrée du conservatoire où il devait rejoindre Mathis qui l’attendait déjà. Les deux garçons se serrèrent délicatement la main puis partirent en direction de la maison du jeune blond, en se racontant leur journée comme deux copains se connaissant depuis toujours. Mathis n’arrêtait pas de mater les fesses de Florian sans que celui-ci s'en rende compte. Il faut dire que moulées dans un jean slim, celles-ci lui faisait très envie. Mais les siennes, également serrées dans ce genre de pantalon, n’y avait rien à envier, et ça Florian l’avait remarqué. Arrivés à destination, ils rencontrèrent la mère de ce dernier qui partait au travail pour la nuit.

— Bonjour Maman, je te présente Mathis, il est au conservatoire avec moi, et il vient passer la soirée et la nuit à la maison.

— Enchanté Mathis.

— Bonjour Madame, répondit le jeune homme.

— Tu aurais dû me dire que tu ramenais un copain à la maison, je vous aurais préparé quelque chose à manger, reprit sa mère.

— C’est pas grave, on commandera une pizza, dit le garçon le sourire aux lèvres.

— Bon moi je dois y aller, je vais être en retard. Je vous fais confiance, pas de bêtises, huh!

— Oui maman, à demain et bon travail, reprit Florian en l’embrassant.

— À demain les garçons.

Elle était très heureuse de voir que son fils avait ramené un copain à la maison car l’adolescent n’en ramenait pas très souvent et était la plupart du temps enfermé dans sa chambre à faire de la musique ou devant son ordinateur. Les deux amis se dirigèrent vers la cuisine où ils grignotèrent quelques cochonneries puis prirent la direction de la chambre de Florian.

— Tu veux faire quoi? Demanda-t-il.

— Comme tu veux. T’as qu’à me jouer quelques morceaux de guitare, que je te voie à l’œuvre, répondit Mathis.

Florian prit donc sa guitare et commença donc à jouer des morceaux de son répertoire, c’est-à-dire Nothing Else Matters des Metallica ainsi que du Neil Young et du Bob Dylan. Tout cela dura pendant une bonne heure.

— Waw, tu joue super bien, c’est franchement génial! S’exclama Mathis.

— Merci, mais j’ai un bon public, c’est pour ça. Si tu veux je te donnerai des cours.

— Oui ça serait cool. Et puis je ne peux refuser la proposition d’un beau professeur comme toi. Mais tu risques d’avoir beaucoup de travail, reprit-il en rigolant.

Cette réponse ne manqua pas de troubler Florian qui avait cru mal entendre.

La soirée avança dans une ambiance très agréable. Les deux garçons avaient maintenant terminé de dévorer la pizza qu’ils venaient de commander.

— Tu veux qu’on regarde un film? Demanda Florian.

— Oui pourquoi pas, répondit-il.

— Ça te tente, Saw 4? Je viens de le récupérer et je l’ai toujours pas regardé, tu as vu les trois autres?

— Oui, et c’est franchement, euh comment dire… assez sanglant. Et puis si j’ai peur, tu seras là pour me rassurer, reprit le beau métis en souriant à son ami.

Alors là, si c’est pas du rentre dedans, je sais pas c’est quoi, pensa Florian, qui était vraiment de plus en plus troublé devant la tournure des propos de son invité.

— Oui, reprit-il rouge comme une tomate.

Les deux garçons s’installèrent dans le canapé et commencèrent à regarder le film, qui au passage était encore plus gore que les précédents. Au fur et à mesure que celui-ci avançait, Mathis se collait de plus en plus à Florian après chaque sursaut provoqué par les scènes du film, pour finalement terminer cuisse contre cuisse. Le jeune blond devenait vraiment rouge et gêné par la situation. Mathis l’avait compris et décida d’en rajouter une couche en posant sa main sur la cuisse de Florian, ce qui déclencha une terrible érection chez ce dernier. Et celle-là n’était vraiment pas dissimulable. Il priait pour qu'elle ne soit pas remarquée.

— Excuse moi, je croyais que c’était ma cuisse, dit Mathis d’un air allumeur.

Celui-ci ne manqua pas de remarquer l’incroyable érection de son ami et décida d’en rajouter une couche en pointant du doigt son entrejambe.

— C’est le film où ma main qui te fait cet effet là?

Alors là, Florian était encore plus rouge que rouge, et ne savait vraiment plus où se mettre et quoi répondre.

— Euh, non c’est… je sais pas…

Ce qui va suivre dépassait toute les espérances de notre futur ex-puceau. En effet Mathis se leva et vint s’asseoir sur les genoux de Florian, face à lui.

— Tu n’as pas à avoir honte, tu me fais le même effet, dit-il en montrant son énorme érection à travers son jean. Et cela, depuis que je t’ai vu entrer dans la pièce de mon cours de violon.

Mathis déposa alors un baiser sur la joue de Florian qui était pétrifié, immobile, mais intérieurement, incroyablement heureux. Le jeune métis prit vite les choses en mains. Il commença à embrasser, lécher tout le visage du jeune blond, bouche, cou, nez, joues, oreilles, front, tout y passait. Il retira ensuite son polo ainsi que le t’shirt de Florian qui se laissait totalement faire. Il s’attaquait maintenant à sa poitrine en lui léchant les tétons. Sa langue parcourut ensuite les moindre recoins de son torse totalement imberbe, puis sa main vint se déposer, puis caresser la bosse formée par son jean.

— Il va falloir libérer tout ça, sinon on risque d’avoir du mal à continuer, reprit Mathis en rigolant pour essayer de détendre Florian.

Ce qui fonctionna bien car celui-ci partit dans un fou rire certes un peu nerveux mais très joyeux.

— Tu sais, je ne veux pas te forcer, mais j’ai très envie de toi, reprit-il.

— Moi… moi aussi, mais j’ai peur… J’ai jamais rien fait tu sais!

— T’inquiète pas, ça ne peut que bien se passer, tu es bi ou gay au moins? Sinon tu risques sûrement de pas aimer! Reprit Mathis.

— Je crois, enfin, j’en suis presque sûr, que je suis gay, chuchota-t-il.

— Alors on est deux.

Les deux adolescents se levèrent du canapé. Ils étaient maintenant face à face, proche l'un de l'autre, torses nus et bandés comme des ânes. Leurs bouches entrèrent en contact, puis ce fut le tour de leurs langues qui dansèrent une valse endiablée pendant que leurs mains se baladaient sur les fesses de l’autre. Le temps semblait s’être arrêté pour Florian, il allait connaître sa première expérience sexuelle après son premier baiser et tout ça dans la même soirée. Mathis commença à déboutonner le slim de son copain, puis le laissa glisser le long de ses jambes recouvertes de très fins poils blonds, pour finir par le retirer ainsi que ses chaussettes qui laissaient place à de superbes pieds. Florian était magnifique, il respirait la jeunesse, l’innocence. Sa nudité était maintenant uniquement cachée par un boxer CK blanc, moulant parfaitement l’objet de tous les désirs. Mathis posa les mains du jeune blond sur le bouton de son pantalon, l’invitant ainsi à l’enlever. Celui-ci s’exécuta et en moins de deux, les deux garçons se retrouvèrent en boxer. La queue du jeune métis était immense, sûrement plus de 20cm, ce qui d’un côté attira terriblement Florian, mais d’un autre côté lui fit peur. Il devrait sucer, voire même se faire prendre par ce monstre. Il posa la main dessus:

— Elle est immense!

— T’inquiètes pas mon amour, je ne te ferai aucun mal, mais que du plaisir, dit Mathis.

Mon amour, il venait de l’appeler mon amour, Florian n’en revenait pas. Son partenaire le prit ensuite dans ses bras comme une princesse et le déposa couché sur le dos, sur son lit. Il se coucha ensuite sur lui et commença son exploration. Après un long et langoureux baiser durant lequel leurs sexes se frottaient à travers leurs boxers, Mathis commença à descendre sa langue sur la poitrine puis le ventre de Florian dont le rythme cardiaque et le souffle accéléraient. Il arriva finalement au niveau de l’objet de ses désirs. Il souleva l’élastique du boxer de son ami qui laissa apparaître un bout de son gland tout rose sur lequel il déposa un baiser, ce qui déclencha un petit cri aigu chez Florian. Il souleva ensuite son partenaire pour lui retirer ce dernier vêtement qui laissa apparaître une magnifique verge bandée ainsi que de petites boules imberbes. Florian, très pudique se sentait assez mal à l’aise devant son partenaire mais le désir le contrôlait par-dessus tout. Mathis n’en pouvait plus, il la voulait dans sa bouche, il voulait goûter ce trésor de la nature. Sa langue commença par caresser la peau du sexe de son copain. Ses mains tripotaient sans limites les fesses et les couilles de ce dernier, pendant que sa langue jouaient avec son gland. Il engloutissait maintenant quatre centimètres, puis neuf… et enfin la bite du jeune blond en entier. Sa langue s’appliquait sur ce long bout de chair. Les mouvements de va-et-vient étaient intenses, on voyait le sexe du garçon disparaître puis réapparaître à une vitesse hallucinante. Florian criait, hurlait, jouissait de plaisir, tout en caressant les cheveux de son prince charmant. Les «slurp» d’un enfant qui suce sa glace se faisaient entendre, le plaisir des deux adolescents était immense.

— Huuuum oh oui, mmmmmmmmm Mathis, oh je vais jouir! S’écria le jeune pianiste.

Et deux secondes plus tard, la semence du garçon vint se projeter contre le palet du suceur qui n’en perdit pas une goutte. Il lécha la moindre gouttelette sur le sexe de Florian qui rayonnait de bonheur, étendu sur son lit. Mathis se coucha à côté de lui et lui susurra dans l’oreille:

— Alors, tu as aimé, petit chenapan?

— Non, j’ai juste vécu, le moment de plaisir le plus intense de ma vie, répondit Florian encore tout étourdi.

— J’en suis ravi! Tu es tellement beau, tellement mignon, tellement sexy, tellement chou, tellement à croquer, tellement…

— À toi, je suis à toi Mathis, je veux te rendre le plaisir que tu m’as rendu, je veux te faire jouir comme jamais, coupa Florian.

Ce dernier se leva et prit possession du corps du jeune métis. Son inexpérience en la matière ne se fit même pas ressentir tellement il y mettait de la passion. Sa langue léchait les tétons de Mathis puis se posa sur les magnifiques abdos du garçon. Le jeune métis était totalement imberbe, enfin sauf à la région encore dissimulée sous le boxer.

— Tu as des pieds magnifique Florian, donne-les moi s’il te plaît.

Le jeune blond s’exécuta. Mathis frotta un des pieds de ce dernier sur son immense sexe tendu dans son boxer. Il l’enleva d’ailleurs pour dévoiler un très gros engin pour un adolescent de 15 ans, de 22cm. Son sexe tout chaud glissait maintenant entre les orteils de Florian, qui admirait la beauté de son compagnon.

— Suce-moi mon chéri, demanda Mathis.

— Oui, tout ce que tu voudras, mon ange.

Le garçon était maintenant accroupi, la tête entre les genoux du jeune métis qui était assis au bord du lit. Florian déposa un baiser sur le bout du gland humide de son amant pour finir par couvrir son membre de baiser. Ça y est, il s’était lancé, il ne pouvait plus s’arrêter, il ne voulait plus s’arrêter, le démon l'avait envahi pensa-t-il. Sa langue était maintenant revenue à hauteur du gland de Mathis qui commençait à gémir. Il suçait sa glace comme quand il était jeune, mais celle-ci était particulière, car le cône si savoureux, était placé au dessus des deux boules. Florian engloutissait maintenant plus de la moitié du sexe de son prince charmant. Il avait pris le coup ainsi que le goût, à la chose. De belles mains, posées sur ses beaux cheveux blonds bouclés, lui facilitaient la tâche. Il se débrouillait comme un chef, le jeune appenti-suceur. Ses main se baladaient sur les sorbets de son amant, mais surtout se posaient tendrement sous la plus belle paire de fesses qu’il avait vue jusqu’à maintenant. Il avalait maintenant quasiment la totalité de l’énorme bite de Mathis qui coulissait dans son palet. Il n’était pas dégoûté, oh que non! Bien qu’il eut au départ quelques relents quand le bout du gland atteignit l’entrée de sa gorge, il se sentit ensuite envahi par un désir immense de l’avaler en entier. Sa langue jouait de dextérité sur cette merveilleuse gourmandise.

— Puréeeee, Floriannnnnn, mmmmmm, oh, ouiiiiiiiiiiiiiiii, personne m’avait sucé comme ça auparavant, mmmmm, oh, t’es sûr qu c’est ta première foiiiiiiiiiiis?

Le jeune blond, se redressa, avec ses yeux bleus attendrissant et répondit:

— Je te jure que oui, mais je veux tellement te faire du bien que je crois que je me suis jamais autant appliqué à faire quelque chose.

Doué en musique, doué à l’école, doué en sport, gentil, beau comme un dieu et en plus excellent au lit, décidément ses parents ne l’avaient pas raté leur petit Florian, devenu grand à partir de cet instant.

— Florian, tes fesses sont si belles, elles me font rêver! Me permettrais-tu d’y plonger?

— Je ne suis pas sûr d’être prêt pour ça, répondit le garçon bien qu’il en mourrait d’envie. Une prochaine fois, je te les donnerai! Mais ne t’inquiète surtout pas, tu seras le premier à y pénétrer et peut-être plus vite que tu ne le penses! Et puis tu peux toujours commencer par tes doigts! Mais pour l’instant, laisse-moi finir mon travail, reprit Florian qui commençait à perdre toute pudeur et timidité face à son premier amant et dont le sexe avait repris des dimensions très intéressantes; en tout cas, assez pour que Mathis se régale de nouveau.

Le jeune garçon reprit alors le travail là où il l’avait laissé, c’est-à-dire entre les jambes de son amant. Mais cette fois-ci, les deux garçons se retrouvaient en position de 69, avec Mathis au dessus de Florian. Le jeune métis, ayant de l’expérience en sexe, aimait dominer les ébats sans pour autant être tyrannique au lit. Bien que frustré de ne pouvoir sodomiser son beau blond, il prit un pied d’enfer. Jamais personne ne l’avait sucé comme on le suce. Ses doigts pénétraient un par un, l’intimité de son amant qu’il suçait avidement. Les deux garçons hurlaient de plaisir dans la maison vide. Mathis ne put se retenir plus longtemps et inonda le palet puis le visage de Florian. Ce dernier, avec se sexe et tout ce sperme dans sa bouche, ces trois doigts au plus profond de lui-même et sa propre bite sucée par tous les bords, ne put retenir son intime breuvage qui fut une nouvelle fois avalé en entier.

— Waw, j’ai jamais connu rien de tel, souffla Florian, épuisé. C’étais magique.

— Et tu n’as pas connu le plus extraordinaire, reprit Mathis épuisé lui aussi.

— Bon on va prendre une douche et au dodo! S’exclama le pianiste.

Les deux garçons partirent sous la douche et revinrent, une demie heure plus tard, tout propre et encore un peu plus vidé que tout à l’heure! À cet âge là, on ne compte pas. Ils se couchèrent dans le même lit, en boxer car si jamais la mère de Florian les surprenait, il fallait mieux ne pas être nus. Mais à 23h30, la nuit état encore longue...


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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Dimanche 19 avril 7 19 /04 /Avr 15:08
Jeune vulcanologue en Indonésie

Léo et Quentin à Bali

10 000 mètres au-dessus du golfe du Bengale, le 10 juillet 2007. Léo sourit dans la pénombre en regardant son jeune frère profondément endormi dans la cabine du Boeing 777 de Malaysia Airlines qui les emmène en Indonésie via Kuala Lumpur. Léo, adolescent en classe prépa première année HEC, n’en revient pas de se retrouver, avec son «petit frère» de 16 ans, ado lui en première S au lycée Henri IV à Paris. Le petit frère en question, Quentin, cheveux blonds tout bouclés, visage doux et légèrement boudeur, grands yeux surmontés de longs cils, appuie son joli minois contre l’épaule de Léo, le «grand frère».

Léo sourit en voyant la tenue de son frangin qui a voulu renouveler sa garde robe avant le départ. Il est hyper fashion le Quentin avec son jean blanc slim taille basse. Léo se demande par quel miracle Quentin réussit à le conserver sur les fesses. Là, Quentin est sur le côté, les genoux ramenés presque sous le menton, offrant à qui passe dans le couloir, une jolie vue sur son caleçon fleuri aux quatre cinquièmes sorti de son abri! Un peu indécent le petit frère, ses petites fesses sont fermes et rebondies et sa raie serrée emprisonne un peu du caleçon et se dessine encore davantage. Léo constate que son frère a ouvert les trois premiers boutons de sa braguette et que l’adolescent présente une jolie érection.

Léo ressent une bouffée d’émotion en pensant à l’été 2005 au Cambodge, passé avec ses parents et son frère. Son jeune frère avait failli mourir d’une fièvre non identifiée, en pleine jungle, pendant un trekk. Léo repense à Quentin, âgé de 14 ans à l’époque, à ses cheveux bouclés trempés tellement la fièvre était forte. Son père et lui s’étaient relayés pour le rafraîchir dans une rivière, faisant tomber sa fièvre de quelques dixièmes. Léo avait eu honte quand, portant Quentin tout nu dans ses bras, il avait eu une brutale érection après avoir effleuré de son bras les testicules tout lisses, saillant entre les cuisses.

Depuis deux ans, il n’avait plus connu une telle intimité avec son frère et là, il se retrouvait en sa compagnie pour un mois, à la découverte des volcans indonésiens. Ce phénomène de Quentin, hyper crack au lycée, avait trouvé le moyen de gagner un concours américain de vulcanologie, réservé aux scientifiques en herbe; c’était la passion de Quentin depuis qu’il avait dix ans, après un voyage en Sicile. Deux places d’avion avec un séjour tout payé! Génial!

Léo venait de rompre avec son amant, un camarade de prépa, et avait envie de se changer les idées. Avant le départ, la mère des garçons, traumatisée par le voyage au Cambodge, n’a pu s’empêcher d’accabler Léo de recommandations et Léo sourit une nouvelle fois en constatant que son frère se porte très bien si l’on en juge par l’état de son entrejambe. Léo s’amuse à caresser doucement, à travers le tissu, la jeune virilité de son frère endormi. Il a chaud au visage quand il se sent durcir; au moins sa queue est-elle à l’aise, sous l’ample bermuda beige qu’il porte. La douce lumière de l’écran vidéo intégré dans le fauteuil juste devant, éclaire le visage d’ange un peu boudeur de Quentin, sa bouche si bien dessinée avec des lèvres un peu pulpeuses que tant de filles de la classe ont rêvé d’embrasser. Léo pense y voir un sourire, son coquin de frère doit faire un rêve érotique, aidé en cela par les gestes de plus en plus précis de Léo qui s’amuse maintenant à titiller le gland de Quentin qu’il a réussi à libérer du jean et du joli caleçon à fleurs; heureusement qu’il a remonté la couverture pour voiler la jolie queue de l’adolescent, de plus en plus voyante!

Tout à coup, Léo sent que son frère va venir. Il retire vite sa main, se retourne vers le hublot, faisant semblant de dormir. Il n’est pas loin d’éclater de rire quand il entend le gémissement de Quentin qui n’a pu retenir sa sève et inonde la couverture. L’adolescent, en voulant limiter les dégâts, s’en est pris plein la main; de l’autre côté de l’allée, une brave dame jette des coups d’œil plus que réprobateurs vers les deux garçons. Ce qui fait le plus marrer Léo, c’est que son frère a cru qu’il s’était fait jouir tout seul, le pauvre Quentin est rouge comme une tomate, Léo le réconforte en lui disant que blanc sur blanc, ça se verra pas et qu’à son âge, il est normal d’avoir des émissions nocturnes!

Quentin, après un rapide passage aux toilettes pour tout remettre en ordre, retrouve sa bonne humeur en dégustant son petit dej. Dans une heure, atterrissage à KL puis vol vers Jakarta, l’adolescent est de plus en plus excité en pensant aux volcans qu’il va explorer. Quelques heures plus tard, dans le hall de l’aéroport de Jakarta, les deux adolescents rencontrent leur contact local, un vulcanologue indonésien réputé qui va les accompagner durant leur périple. Derrière lui, deux frêles silhouettes intimidées, surmontées de tignasses bien noires, restent en retrait. Le vulcanologue les présente comme ses deux fils qui, en vacances, peuvent les accompagner si les deux français donnent leur accord. Quentin et Léo sentent le regard suppliant des deux garçons et donnent leur accord.

Tim et Tom sont jumeaux; leur mère est australienne d’origine grecque, les deux garçons ont l’âge de Quentin. Léo est frappé par la beauté des deux jeunes métis, la finesse de leurs traits, leur peau veloutée, leurs muscles joliment dessinés, leurs yeux noirs pétillants, immenses, leurs cheveux épais, un peu hirsutes. Léo ne peut s’empêcher de fixer leurs jambes fines mais musclées, presque nues, les deux garçons ne portant qu’un short de sport usé, vraiment trop petit pour eux et un tee-shirt lui aussi usé. Léo et Quentin sont surpris en entendant les deux garçons, parfaitement bilingues, s’exprimer dans un anglais parfait, leur père se prive de tout pour leur donner la meilleure éducation dans un lycée privé de la capitale; il enseigne dans un lycée réputé et l’été, il accompagne les touristes fascinés par les volcans.

Après les formalités, les cinq s’entassent dans un vieux 4x4 Toyota qui affronte les gigantesques embouteillages de la mégapole de plus de dix millions d’habitants. Deux heures plus tard, Léo et Quentin foncent sous la douche dans l’hôtel Novotel où on les loge; les deux frères sont trop excités, téléphonent à leurs parents, dînent dans le joli jardin de l’hôtel puis s’endorment vite fait dans leurs lits jumeaux, Léo tout nu, Quentin avec un long bermuda CK.

Le lendemain, à huit heures, le réveil sonne; pour faire enrager son frère, Léo, tout nu, saute sur le lit de Quentin et entame un combat de lutte. Quentin veut repousser son frère mais ses protestations sont vite étouffées quand les fesses de Léo écrasent son visage! Soudain, Quentin sent son caleçon CK glisser le long de ses jambes. Il veut se débattre mais il est bel et bien prisonnier sous le poids de Léo. De plus, il sent son sexe durcir. Quentin gémit doucement quand il sent la bouche de Léo prendre possession de sa verge maintenant bien tendue. La bouche de Léo ne la relâche pas avant que d’en avoir extrait tout son jus blanc qu’elle avale jusqu’à la dernière goutte. Quand tout est fini, Léo se retourne, Quentin est rouge brique et file vite vers la douche, trop troublé par ce qu’il vient de vivre.

Les deux garçons retrouvent le 4x4 devant l’hôtel, Léo s’installe devant à côté du père, Quentin, derrière, sur le fauteuil du milieu entre Tim et Tom, toujours vêtus de leur mini short bleu et d’un T-shirt. L’expédition démarre vers Bandung. «Au lycée, on a étudié la conférence de Bandung en cours d’histoire» lance Quentin; manifestement cela ne dit pas grand chose à Léo mais Jim, le prof indonésien est impressionné par les connaissances de Quentin qui commence à parler volcanisme de façon très pointue. Soudain, Léo, dans le rétroviseur, voit rougir son frère. C’est que Quentin a surpris du regard un testicule de Tim s’échappant de la lisière du short. La vue de la petite boule dorée et lisse, bien ronde l’a plus que troublé. Quentin sent bouillir ses hormones adolescentes et sent sa verge bouger, durcir. Son trouble s’accroît quand il sent la jambe nue de Tom frôler la sienne dans un virage un peu accentué.

Pendant l’arrêt à Bandoung, Léo décide d’acheter un short ample avec des poches pour son frère, vêtement plus adapté que le jean moulant; les quatre garçons filent vers une boutique Quicksilver où Quentin va essayer plusieurs modèles. Les quatre garçons s’entassent dans la même cabine d’essayage, Tim et Tom se dérident de plus en plus et rient beaucoup en voyant Quentin presque tout nu, en caleçon, la queue à demi bandée à l’intérieur! Léo, d’humeur généreuse, veut offrir un short à chacun des deux ados indonésiens. Les jumeaux se débarrassent de leur mini short pour essayer et les deux jeunes français sont suffoqués en voyant qu’ils sont tout nus et pas du tout gênés d’exposer leur jeune anatomie aux proportions parfaites! Leurs deux queues sont fines, lisses et plutôt longues, les deux garçons ne sont pas circoncis; les deux boules sont bien individualisées et pendent assez bas pour des garçons de seize ans et ce qui frappe les deux jeunes français, c’est l’absence de toute pilosité sur leur pubis.

Léo se promet de leur demander la raison et fait preuve d’un culot monstre, quand Tim se penche pour enfiler un autre short, Léo, juste derrière le jeune indonésien, glisse sa main entre ses cuisses et caresse les deux couilles de l’adolescent puis remonte la hampe qu’il sent vite durcir, atteint le prépuce qu’il fait coulisser, passe un doigt sur le gland et le méat un peu mouillé puis enfin caresse le pubis imberbe. Quentin rougit, il sait que son frère est gay mais là, il exagère trop! Léo s’attend à une réaction brutale mais Tim se retourne, le visage rieur et rigole avec son frère, échangeant quelques mots en indonésien. Tom saisit la queue de son jumeau et s’amuse à la branler quelques secondes; les deux garçons rient aux éclats. Finalement les quatre ados achètent la même tenue et discutent bruyamment dans la rue. Léo, toujours aussi direct, obtient une explication: la famille des jumeaux fait partie d’une secte proche des tantristes, une des variantes de l’hindouisme, religion dominante à Bali où est né leur père. La pureté nécessite l’absence de poils en dehors de la tête, et surtout au-dessous de la ceinture.

Direction le premier volcan! Le Merapi près de Jogjakarta, un volcan dangereux et dur à grimper. Le père, suivi des quatre ados de plus en plus complices, tous les quatre torse nu avec l’ample short à poches. Le caleçon aide Léo et Quentin à garder le leur mais Tim et Tom ont un grave problème, c’est leur seul vêtement et Léo rigole en voyant quelques centimètres apparents de la raie des fesses des deux garçons. Les shorts semblent juste retenus par la bosse du sexe des deux ados qui ont les fesses plus plates que celles des jeunes français. Léo rigole bien en marchant derrière Tim et en tirant sur son short, montrant un peu plus de ses fesses à chaque fois. Quentin, plus sérieux, préfère observer son volcan et discute de la nature et de l’âge des laves avec Jim.

Au sommet, les ados poussent des hourras tellement le spectacle du cratère fumant est somptueux; du soufre affleure par endroits et Tim promet un bain dans des sources naturelles d’eau chaude. Après le pique-nique, les quatre garçons abandonnent Jim qui fait une petite sieste et rejoignent la source chaude. Aussi sec, en trois secondes, Tim et son frère se retrouvent tout nus mis à part un petit cordon qui entoure la taille; Léo et Quentin sont encore éblouis par la beauté insolente des jeunes balinais... et par leur culot! Léo ressent une violente érection en voyant les deux petits culs et les couilles des deux ados qui plongent en écartant leurs longues jambes finement musclées. «L’eau fait 38 degrés!» crie Tom qui repique une tête sous l’eau présentant son petit cul bien ouvert avec son trou bien visible aux regards de Léo et Quentin et invitant les français à le rejoindre. Léo se met nu, bouscule un peu Quentin qui fait sa crise de timidité rougissante. «Tu es bien dur aussi, petit frère!» rigole Léo. «Tu es drôlement bien monté!» Quentin rougit encore davantage et se décide à plonger à son tour.

Pendant trente minutes, c’est la rigolade dans la piscine naturelle; Léo a trouvé un jeu très intelligent, digne d’un brillant élève de terminale, attraper ses camarades par la queue! Le pauvre Quentin répand sa semence dans le petit lac après que Tim, Tom puis son frère aient empoigné un peu trop sa queue hyper excitée. Il n’a pu résister au moment où Tom a trop tiré son prépuce en arrière à l’instant même où Léo poussait un doigt sur son anus serré. Léo fait jouir Tim, allongé sur le dos, faisant la planche; Tom réclame sa part de calins et Quentin se lance, encouragé par les autres. Léo proclame: «Je vais t’apprendre quelque chose petit frère!» puis il fait asseoir Tom sur un rocher. Léo écarte les jambes de Tom puis plonge son visage vers l’entrejambe du garçon qui ne peut retenir un cri de surprise quand il voit la moitié de son sexe englouti dans la bouche de Léo. Léo fait alors un petit cours de fellation à son frère qui s’est approché tout près. «À toi maintenant!» Léo plaque sa main sur la tignasse blonde et bouclée de Quentin et introduit le gland du jeune balinais entre les lèvres serrées de l’apprenti suceur. «Ne lui mords pas la queue! Fais gaffe!» Ce que n’avait pas prévu Léo, c’est que Tom, plus que troublé, allait exploser si vite. Quentin panique quand le jus chaud et épais de Tom envahit son palais. Léo appuie fort sur sa tête. «Avale, tu verras, c’est trop bon!» Quentin, toujours bon élève, s’applique à bien faire mais manque de s’étouffer en sentant le gland cracher encore tout au fond de sa gorge.

Mais tout le monde débande vite quand Tim sonne l’alerte! Jim est en train de les rejoindre; les ados sautent dans leurs shorts; Léo rigole en voyant du sperme couler encore des lèvres de son frère, sur son menton! «Toi qui aimes les volcans, tu as été servi avec Tom, quelle éruption!» Plus tard, en redescendant vers la voiture, Léo demande à Tim la raison du cordon serré autour de la taille; Tim lui explique que son but est d’isoler la partie impure du corps de la partie pure, au-dessus de la ceinture; c’est un rite religieux. «Tu verras à Bali, tu n'entreras pas dans les temples sans ta ceinture! C’est comme la nudité,» reprend le jeune balinais. «Tu verras des balinais se baigner entièrement nus car ils se pensent invisibles à ce moment là.» Léo rigole en voyant Tim serrer un peu plus la ceinture de son bermuda qui dévoile à nouveau le haut de ses fesses. «Ta partie impure va être bien isolée!»

Une heure de voiture plus loin, les cinq s’installent dans un petit hôtel paradisiaque, au milieu de rizières étagées et de plantations de café. «C’est un des cousins de mon père qui est le gérant,» déclare fièrement Tom. «Il y a un spa et on aura droit aux massages gratuitement!» Léo et Quentin découvrent avec plaisir les deux chambres qu’ils vont partager tous les quatre. Ils décident de réaliser l’amitié des peuples en dormant Léo avec Tim et Quentin avec Tom. Les lits sont king size et pourraient accueillir les quatre ados dans un seul.

Les jeunes foncent vers la piscine à débordement, dominant une rizière inondée, brillant sous les rayons du soleil. Le jeune riz vient d’être replanté et offre une couleur vert crue aux regards éblouis des jeunes français. «C’est plus beau qu’un champ de maïs!» remarque Quentin. Les jeunes font la course autour de la piscine et c’est la cata! Quentin trébuche et plonge direct dans la rizière sous les yeux ébahis d’un vieux paysan. Tim et Tom pleurent de rire, Léo se joint à eux quand il voit Quentin émerger, avec son beau maillot blanc de surf Quicksilver, couvert de boue liquide. «Il y a une douche pour la piscine?» Tom entraîne les trois autres garçons vers une douche en plein air, au milieu des bougainvilliers et des frangipaniers. «À poil, petit frère! On est les seuls.» Quentin ne peut faire autrement et se fait bientôt étriller par trois paires de mains couvertes de crème moussante. Quentin, qui a l’impression d’avoir 40 de fièvre tellement il est rouge de visage, préfère fermer les yeux. Il pousse de petits cris de souriceau quand il sent un doigt plein de mousse forcer son anus, d’autres doigts le décalotter, une main serrer sa hampe. «Arrêtez, je vais jouir!» gémit il plaintivement. «T’en mourras pas!» réplique son frère qui se précipite pour gober le gland plein de savon puis vite plein de la sève du garçon. «Pas mauvais ton sperme mélangé au gel douche au jasmin!» rigole encore Léo. Léo réalise soudain que les jeunes indonésiens ont perdu leur langue; il abandonne la verge de son frère, se retourne et découvre avec horreur la tronche de deux vieux américains en maillot à fleurs qui manifestement veulent utiliser la douche. «C’est beau d’être jeunes!» proclame l’un deux. «Ne vous tracassez pas, on reviendra dans cinq minutes!» Léo s’est senti rougir, cela ne lui était pas arrivé depuis un bail. Quant à Quentin, il est quasiment tombé dans les pommes et se retrouve affalé dans la cuvette de la douche. Son frère se précipite pour le relever, les deux Américains ne bougent pas, manifestement le spectacle offert par les quatre ados tout nus ne semble pas leur déplaire, l’un se propose d’aider Léo et prend Quentin par les pieds tout en gardant les yeux braqués sur la verge du garçon évanoui.

On installe Quentin dans le bungalow qu’il partage avec ses potes, le jeune français se réveille, tout étonné en voyant cinq personnes dont deux vieux, groupés autour de lui. Quentin devient écarlate et cherche sans succès quelque chose pour voiler sa nudité, heureusement les deux Américains quittent le bungalow et nos quatre amis se retrouvent entre eux. Quentin réconforté, les quatre gagnent le spa pour la séance massage offerte par l’hôtel. Tim et Tom sont tout excités et proposent aux deux jeunes français de se faire masser par eux et par leurs cousins qui ont à peu près leur âge; ils ont appris les rudiments avec le masseur officiel de l’hôtel de leur oncle. Léo et Quentin acceptent et la petite troupe gagne le parc de l’hôtel où des lits de massage sont installés à l’abri des regards, entre des haies de plantes tropicales. «Wow, c’est le paradis ici!» s’exclame Quentin. Il y a une cabine pour deux avec deux lits qui se font face, les jeunes indonésiens installent Léo et Quentin à plat ventre, une petite serviette sur leurs jolies fesses, puis ils appellent leurs cousins. «Fermez les yeux!» Léo et Quentin se retrouvent face à face, leurs bouches peuvent se toucher. Ils obéissent, attendant le cœur légèrement battant, le début de la séance.

Quentin gémit doucement quand il sent qu’on lui retire sa serviette, il sait qu’il s’expose, tout nu, au regard des deux cousins qu’il ne connaît pas; il gémit à nouveau quand il sent une huile couler le long de la raie de ses fesses écartées par deux mains inconnues. Quand l’huile atteint son anus, il sent un doigt le caresser, pousser doucement, pénétrer de quelques millimètres, puis descendre plus bas, le long de son périnée. Il respire très fort Quentin quand les doigts du masseur se sont glissés entre ses cuisses et ont tiré sa verge durcie en arrière. Les doigts experts enduisent maintenant ses boules de la même huile parfumée puis les font rouler doucement. Quentin ronronne comme un chat et croit devenir fou de plaisir quand il sent quatre mains le caresser en même temps, il ne peut retenir un petit cri quand un doigt s’enfonce résolument à l’intérieur de son petit cul rebondi puis crie plus fort en sentant quelque chose d’indéfini chatouiller son méat, pincé entre deux doigts. Quentin gémit de plaisir, pousse de petits cris continus maintenant, sent qu’on lui enfonce comme une plume à l’intérieur de sa verge, par le méat. Il explose de longs jets de crème blanche mais les doigt sur son gland ne se sont pas retirés, bien au contraire, mais continuent leur travail. Son frère a pris son visage entre ses mains puis les deux frères échangent un baiser passionné. Léo même connaît les mêmes plaisirs que Quentin, jouissant à peu près au même instant et aussi violemment. «Ouvrez les yeux et retournez vous!» dit alors Tom. «Voici mes cousins!» Léo et Quentin font la connaissance de deux beaux garçons d’à peu près leur âge, qui sourient en montrant leurs doigts pleins du sperme des deux jeunes français.

«À nous!» dit Tim et les deux jeunes balinais ôtent leur short puis s’allongent sur Quentin et Léo, entamant une sorte de danse érotique, se frottant contre leur peau huilée. Les sexes de Tim et de Tom ont vite gonflé et les deux petits diables les frottent de plus en plus fort contre ceux de Quentin et Léo. Les deux cousins restent en retrait mais ne perdent pas une miette du spectacle, une main s’activant dans leur short. Quentin et Léo ont déjà redurci et hurlent quand ils sentent leur sève monter à nouveau. Tim surprend Quentin en remontant pour jouir sur le visage du jeune français qui en prend plein les yeux, au sens propre du terme! Quentin et Léo vont jouir une nouvelle fois, cette fois dans la bouche des deux jeunes balinais.

Tard dans la nuit, la discussion continue dans le bungalow des jeunes. Les jeunes balinais ont confié un secret à Léo et Quentin, ils vont être initiés dans deux semaines dans un temple de Bali. Depuis plusieurs générations, leur famille suit les règles d’une secte proche du tantrisme, religion où sexualité et rites religieux sont intimement mêlés. Leur gourou prône la révélation par l’acte sexuel entre les adolescents mâles, après leur seizième année sur terre; les adolescents, par l’orgasme prolongé et violent, entrent dans une transe mystique les faisant entrer en communication avec les dieux. Les rites initiatiques, publics, sont tellement intenses que beaucoup de garçons s’évanouissent. «On vous a fait goûter une petite partie aujourd’hui,» révèle Tom. «Mais, si vous acceptez, vous serez initiés avec nous, cela ne vous engagera pas pour la vie, la tolérance fait partie de notre religion.» Léo et Quentin, désireux de tout connaître de la vie, acceptent avec enthousiasme. Aussitôt, Tim et Tom entreprennent le rasage intégral de Léo et Quentin, première étape vers l’initiation. Les quatre ados finissent la nuit, endormis sur le même lit, jambes et bras emmêlés.

Il faut, le lendemain, beaucoup de temps à Jim, le père des deux jeunes balinais, pour réveiller les garçons. Le pauvre Jim est plus que gêné en voyant les corps dénudés emmêlés et les jeunes sexes bien vigoureux dès le matin! La journée est consacrée à l’ascension d’un nouveau volcan où des indonésiens vont exploiter et remonter le soufre dans des paniers, un vrai travail de forçat, raconte Jim. La petite troupe passe la nuit dans une plantation de café, il fait encore près de trente degrés et les ados, sortis discrètement de leur chambrée, goûtent aux plaisirs de l’amour en plein air, au milieu des plants de café.

Le lendemain enfin, on prend le ferry pour Bali, l’île magique pour Léo et son frère. Un taxi emmène les cinq vulcanologues sur la côte est, près du volcan Agung... et près du sanctuaire où les jeunes doivent recevoir l’initiation. «Wow!», le village d’Ahmed est paradisiaque avec sa plage de sable, couverte de bateaux de pêche tout colorés. La journée plage est fantastique, Quentin et Léo, avec leur masque et leurs palmes, découvrent des poissons de toutes les couleurs; un copain des jumeaux a emmené les jeunes sur son bateau et on peut se baigner en faisant l’économie du maillot. Quentin n’a jamais été aussi bien dans sa vie, il plonge aux côtés de Tom. Léo les trouve vraiment trop mignons tout nus dans l’eau transparente, leurs queues bien dures, leurs petites fesses fermes et brunes pour Tom et blanches pour Quentin. Tim dit à Léo que les deux jeunes français doivent se préparer pour l’initiation et perdre leur aspect bicolore! Trois jours de bronzage intégral, sur une petite crique et le problème est résolu.

Enfin, deux jours après la dure ascension du mont Agang, le cœur battant, Quentin, un peu effrayé et Léo, qui essaie de le rassurer, accompagnent Tim et Tom pour le temple de la secte. Ils y séjourneront trois jours et trois nuits pour y vivre leur initiation avec des dizaines d’autres jeunes postulants. Quand les quatre garçons pénètrent dans la cour du temple, illuminée par des torches, ils sont impressionnés par la musique assourdissante des gamelans, orchestres de percussions. La musique est lancinante, toujours répétée. Les garçons se dépouillent de tous leurs vêtements, les confiant à de jeunes garçons, habillés d’un sarong. Quentin frissonne malgré la chaleur. Autour de lui se pressent une vingtaine d’adolescents nus comme le jour de leur naissance.

Les futurs initiés doivent d’abord boire une mystérieuse mixture, chargée de les emmener vers les transes mystiques puis ils doivent courir, faire douze fois le tour de l’enceinte du temple. Quentin sent sa queue battre contre son ventre dur, ses testicules voler dans tous les sens. Les deux Français constatent l’absence de toute présence féminine. Bientôt, les garçons sont en nage et doivent se purifier dans un bassin où les eaux sont sacrées. Un prêtre ceint Quentin d’un cordon rouge à la taille puis le conduit dans le bassin où il doit s’immerger. Dès ce moment, les rites tantristes ou plutôt ceux de cette secte du tantrisme, peuvent débuter.

Dans le bassin, les initiés de l’année précédente, commencent à agacer les virilités de leurs cadets, caresser leurs fesses, jouer avec leurs couilles. Quentin ne s’est jamais senti aussi dur, effet de la boisson mystérieuse et des agaceries des «prêtres en herbe». Un jeune balinais plonge entre ses jambes écartées, attrape ses couilles et les tire en arrière décalottant un peu plus le gland déjà sorti aux trois quarts. Quentin gémit un peu, mais la douleur l’excite un peu plus. Après la cérémonie du bain, les garçons doivent être rasés une nouvelle fois, oints d’une huile sacrée et massés. Quentin doit s’allonger sur une table de pierre polie, trois adolescents, juste vêtus de la ceinture rituelle, vont le raser soigneusement puis frotter tout son corps avec une mixture d’huile et de sable mêlés, le garçon doit résister pour ne pas jouir quand un garçon masse son gland avec cette pâte sableuse. Le jeune masseur lui dit en anglais que c’est pour adoucir sa peau. Après avoir absorbé un nouveau breuvage, Quentin doit s’allonger sur une dalle tellement polie qu’elle lui paraît presque aussi douce qu’un matelas. Et, pendant de longues heures, ses cuisses, ses fesses, sa queue, ses couilles vont subir les assauts de dizaines de mains plus expertes les unes que les autres. Quentin est retourné sur le ventre, sa queue frottant contre la pierre de la table. Divers objets plus insolites les uns que les autres, vont pénétrer son cul, lui arrachant soupirs, gémissements et cris. Quentin va entrer en transes, sans jamais éjaculer, son gland est devenu violet foncé.

«Il est temps!» décide le maître de cérémonie. Quentin est retourné sur son dos, un jeune prêtre saisit sa queue, il sent ses couilles se contracter violemment, un flot de semence remonte le long de l’objet puis jaillit. Les jets de sperme inondent le ventre de Quentin et atteignent même son visage, ses cheveux. L’orgasme est tellement violent que l’adolescent tombe dans les pommes. Quentin jouira quatre autres fois durant la nuit, dans la bouche ou dans le cul d’autres initiés, il recevra la semence d’une dizaine d’autres adolescents, prêtres ou initiés. Léo et son frère vont dormir près de 24 heures au milieu de leurs compagnons aussi épuisés qu’eux.

Les huit derniers jours dans l’île sont consacrés au repos. Tim et Tom initient une nouvelle fois les deux jeunes garçons... mais c’est au surf maintenant! Bali est un paradis du surf et les deux jeunes balinais écoeurent les deux français par leur niveau. Quand ils reprennent l’avion à Denpassar, Quentin et Léo ont la larme à l’œil mais ont juré aux jumeaux balinais de revenir aux prochaines vacances d’été.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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