Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:27

Goliath (1)

Quel bonheur de pouvoir courir autour de sa maison sans être obligé de faire attention aux voitures, je réside dans la banlieue bordelaise et en plus j'ai la chance d'être au bord dune piste cyclable qui traverse le médoc et permet de se rendre à vélo vers "l'océan". Je chausse mes rollers et avec mon dogue allemand nous faisons de longues ballades, j'ai réussi à lui confectionner un harnais et je me fais tracter quand la fatigue se fait sentir.

Goliath a trois ans, en pleine possession de ses moyens, 70kg et plus de 2m quand il se dresse sur ses pattes de derrière. Adorable, joueur, taquin même, il adore pousser le monde dans la piscine, il faut reconnaître qu'il impressionne énormément et pourtant c'est un monument de tendresse.

Marlène la fille de mes voisins m'accompagne souvent maintenant qu'elle maîtrise plutôt bien les rollers. C'est une gamine de 18 ans assez délurée, très brune, très grande avec une poitrine qui attire immanquablement le regard. Je sais depuis peu qu'elle fait 90C. Nous avons de plus en plus souvent envie de patiner ensemble, et j'avoue que voir cette belle plante avec ses shorts taillés dans de vieux Jean’s à la limite de l'indécence me met dans tous mes états. Nous empruntons la piste cyclable qui n'est bien fréquentée qu'en été, hors saison il n'y a que quelques vélos ce qui nous laisse tous loisirs de nous faire tracter par Goliath sans problèmes.

Marlène apprécie énormément mon chien et il le lui rend bien, elle est visiblement très troublée par l'affection qu'il lui prodigue, lors des pauses elle se couche souvent sur son flanc. Voir la tête de Goliath beaucoup plus grosse que celle de Marlène se poser délicatement sur son bras et lui faire des petites lèches laisse augurer de la complicité qui est en train de voir le jour entre eux.

Un après-midi que le soleil n'était pas trop ardent, nous sommes partis traverser la forêt, nous voulions voir les écureuils se gaver de pignons de pins avant l'hibernation mais ce jour là nous n’en avons pas vu. Après une dizaine de kilomètres, nous décidons un arrêt, une collation, une boisson énergétique un peu de repos sous les pins à l'abri du passage.

Marlène s'éloigne de trois ou quatre mètres pour satisfaire un besoin naturel, il n’y a rien pour s'isoler, pas le moindre taillis, seuls quelques grands pins pas très gros. Elle défait son short et le baisse, mon sang ne fait qu'un tour, elle ne porte pas de culotte, face à moi elle plie les genoux et écarte les jambes. D'où je suis, je ne peux rien ignorer de son sexe épilé façon timbre-poste, elle passe un doigt entre ses lèvres glabres et urine en me regardant droit dans les yeux. Mon sexe commence à être l'étroit dans mon short, elle ne peut plus ignorer la bosse qui prend des proportions que je ne peux plus empêcher. Je porte instinctivement ma main à ma braguette, j'ai envie de lui montrer mon sexe comme elle me montre le sien.

— Marlène tu te rends compte dans quel état tu me mets?

— Toi aussi, tu as envie de faire pipi?

— Oui entre autre.

— Eh bien ne te gêne pas j'aimerais bien te voir faire.

Je suis obligé de baisser mon short, la braguette est fausse, un filet faisant office de slip, mon sexe se détend dés que le short est au milieu de mes cuisses. Marlène parait fascinée par la vue de mon sexe en érection où commence à perler une goutte de liqueur, je passe un doigt dessus et je l'étale sur mon gland. Je veux uriner mais impossible, je suis trop excité. Je prends ma queue à pleine main et commence à me caresser. Marlène est toujours accroupie, elle met un doigt dans sa chatte, écarte les lèvres et touche son clito puis elle se lève. Goliath attiré par l'odeur de l'urine vient coller sa truffe sur la main qui va-et-vient doucement, un coup de langue et Marlène retire sa main. Goliath lui lèche le minou à grands coups de langue. D’abord surprise, elle se reprend vite en écartant les jambes pour lui faciliter l'accès puis elle se retourne, appuie ses mains sur l'arbre qui était derrière elle, se penche en avant et cambre bien ses reins. Goliath peut maintenant accéder à la totalité de la raie, et il ne se prive pas de lui glisser sa langue entre les fesses, visiblement, elle y prend du plaisir. Je suis toujours debout, la queue a la main, je n'ose pas prolonger ma masturbation, je sens que je vais jouir.

Marlène se redresse, me regarde, un large sourire éclaire son visage. Il y a dans son sac à dos une légère couverture qu'elle étend au pied de l'arbre et s'allonge. Goliath se rapproche, remet son mufle entre ses cuisses et reprend le léchage à grands coups de langue, le sexe de Marlène est grand ouvert et luisant. Je m’avance et m'assoie au coin du tissu. Goliath a l'air de prendre de plus en plus de plaisir si j'en juge par le gros bâton rouge qui commence à sortir de sa gangue. J'avais plusieurs fois vu mon chien en érection mais jamais d'aussi près, ce qui sort me parait énorme et ce n'est que le début. Pour je ne sais quelles raisons, il fait demi-tour et tout en continuant à lécher Marlène, il se trouve quasiment en 69, son sexe qui bande de plus en plus pend maintenant au-dessus de la tête de Marlène. Des petits jets de semence sortent en permanence et tombent sur sa poitrine. Elle le prend doucement dans sa main et le dégage complément de son fourreau, elle entame une masturbation, caresse les flancs du chien et me regarde les yeux révulsés. Elle prend son plaisir bruyamment, son corps est agité de quelques spasmes et elle retombe sur le dos.

— Ouf! Comme c'est bon, quelle langue! Et toi tu n'as pas joui?

— Non je te regardais, quelle merveille, on dirait que tu as souvent caressé un chien.

— Pas souvent, mais tu sais, ma sœur a un superbe labrador. J'ai surpris leur manège plusieurs fois, ça m'a beaucoup tentée. Un jour j'ai fait comme elle, je me suis laissée lécher ensuite je l'ai branlé mais je n'ai jamais pu le faire jouir. J’avais envie qu'il me prenne mais il est très habitué à ma sœur et n'a pas voulu. Je me suis contentée de me caresser et de me laisser lécher jusqu'à ce que je jouisse.

— Ta sœur est au courant?

— Pas à ma connaissance, mais comme c'est elle qui m'a initiée à la jouissance, elle a seulement 1 an demi de plus que moi, je crois que je serais obligée de lui dire. Son chien est aussi adorable que Goliath et j'avoue que j'en ai envie depuis longtemps.

— Goliath n'a jamais eu de rapports avec des humains que je sache et je ne voudrais pas que tu soies frustrée, il a l'air d'aimer ce que tu lui fais.

— Ma sœur taille des pipes à son chien, elle le suce longtemps, j'ai vu qu'une fois: il lui avait déchargé dans la bouche. Ça doit être formidable.

— Dis-moi Marlène, tu as l'air d'être très au courant des choses du sexe. Il y a longtemps que tu pratiques?

— Non, à 15 ans j'ai commencé à me masturber, je trouvais ça bon mais ce n'était que du plaisir je n'avais pas d'orgasme. C'est venu le jour ou j'ai vu ma sœur se masturber et jouir, j'ai compris qu'il manquait quelque chose dans mon geste. Je ne me suis pas arrêtée quand j'ai eu du plaisir et j'ai eu mon premier orgasme.

— Tu as pratiqué avec un garçon?

— Alors ça c'est une autre histoire! J'ai déjà eu des rapports mais les garçons ne m'intéressent pas, j'aime beaucoup mais je n'ai pas envie d'avoir un mec à mes trousses tout le temps. Je veux pouvoir faire ce que je veux. Pour le moment ma sexualité, je la découvre.

Je n'avais pas remis mon sexe dans mon caleçon et j'étais toujours en érection, mal assis sur ce coin de tissu. Goliath, apaisé, était couché à côté de Marlène. Mon regard s'est porté sur son entrejambe, elle a suivi mon regard, écarté les genoux et posé sa main sur son petit carré de poils, un doigt glissé entre ses lèvres luisantes.

— Tu aimes voir ma chatte? Tu as une belle queue Fred, je peux toucher?

— Bien sûr que tu peux la toucher, tu peux en faire ce que tu veux mais je te préviens, je suis au bord de la jouissance, je crois que je vais décharger.

— J'ai envie de te voir jouir et en plus j'adore le goût du sperme!

Elle pose sa main sur ma queue, baisse la tête, met sa bouche sur mon gland et lui donne comme un petit baiser et d'un seul coup elle prend entièrement mon sexe dans sa bouche. J'avais tellement envie que je n'ai pu me retenir, je me suis laissé aller et j’ai déchargé. Elle ne s'est pas dérobée en avalant, au fur et a mesure, les giclées de sperme que je lui envoyais au fond de la gorge. Pas très fier de mon geste, j'ai voulu m'excuser:

— Je t'avais dit que je ne pourrais pas me retenir, je...

— J'adore le goût du sperme et le tien est très bon. J'aime beaucoup sucer une queue mais les garçons ne veulent que ça, une pipe et ils se tirent, alors je reste sur ma faim. Tu comprends pourquoi en ce moment j'ai envie d'autre chose...

— Marlène, je suis tout à fait d'accord avec toi. Il y a longtemps que je te regarde, tu me troubles beaucoup, même mon épouse te trouve superbe.

— J'ai envie de faire l'amour sous toutes ses formes, je découvre, j'ai compris que je pouvais te parler et me laisser aller avec toi. J'ai compris ça quand je viens chez toi pour la piscine, ton épouse est très naturelle, j'adore sa façon d'être, sans elle je n'aurais jamais pris de bains nue. J'ai bien compris que vous aviez une certaine liberté quant au sexe et cela m'a beaucoup plu.

— Marlène tu es adorable, je comprends ton point de vue, je sais que tu troubles aussi Josy...

— Josy, je la trouble? Mais je t'assure que je ne fais rien pour. Tu crois que je peux rester insensible quand elle est allongée sur son transat et qu'elle se caresse de temps en temps? J'adore voir son sexe qui mouille. Un jour, je vous ai vu faire l'amour, je n'étais pas partie, je regardais la télé dans le salon. Je me suis branlée sur votre canapé. J'y pensais encore le soir en me disant que vous sentiriez peut-être l'odeur de ma chatte, je me suis fait jouir comme une folle.

— Marlène tu es très cool, ta façon de te libérer sexuellement laisse augurer un tempérament de feu. Quels sont actuellement tes fantasmes?

— Sexuels?

— Oui.

— Je ne suis plus vierge bien sûr, mais je n'ai pas une grande expérience de la pénétration avec les garçons. Je ne suis pas sure d'avoir bien joui, j'ai toujours été obligée de me masturber après. J'ai envie d'être pénétrée, de jouir avec une queue dans ma chatte, une sorte de dépucelage en somme. Tu as envie de me faire l'amour Fred?

— Oui bien sûr que j'ai envie de te faire l'amour mais je te préviens, je ne ferais rien seul, c'est à dire toi et moi. Nous avons une vie sexuelle libre Josy et moi, mais nous ne faisons jamais rien l'un sans l'autre. Comme je te disais, Josy a envie de toi certainement autant que moi, nous allons mettre sur pied une soirée où nous pourrons nous éclater. Tu aimes te faire toucher par une femme?

— Je n'ai été touchée que par ma sœur, elle m'a appris à me masturber et à me pénétrer avec un gode pour me faire jouir, mais je n'ai jamais eu d'autres relations avec une femme...

— Tout à l’heure avec Goliath, tu agissais comme si tu avais une grande expérience, il l'a bien senti et s'est laissé faire.

— Là encore c'est à cause de ma sœur. Quand je l'ai vue avec son chien ça aurait dû me dégoûter, au contraire ça m'a tellement excitée que je n'arrêtais pas de me masturber en y pensant, jusqu'à ce que je franchisse le pas et que je me laisse lécher par lui, je n'ai pas pu le sucer, il s'est laissé caresser mais sans plus. J'ai essayé plusieurs fois mais il ne s'est pas laissé faire quand j'ai voulu qu'il me pénètre, il est très attaché à ma sœur.

— Tu penses que tu pourrais te laisser pénétrer par Goliath? Tu as vu la taille de son sexe? Bien plus gros que le mien et plus long aussi, je ne suis pas sûr qu'il soit très doux pendant les relations sexuelles, il n'a pas été éduqué dans ce sens comme a pu le faire ta sœur avec son chien.

— J'ai envie de lui apprendre, je serais douce avec lui et il le sera avec moi, la taille de son sexe n'est pas un problème. Quand tu auras vu la taille des godes de ma sœur tu comprendras. J'utilise le plus gros depuis longtemps, je suis même en train de me dilater l'anus, j'ai découvert que je pouvais jouir aussi par le cul regarde...

Elle se retourne se met à genoux écarte ses fesses et me montre sa rosette, elle y glisse 2 doigts sans difficulté puis un troisième et entame un va-et-vient qui me remet en érection immédiatement.

— Tu vois comme je commence à être ouverte? J'ai envie d'une queue dans mon cul, tu m'enculeras dis? J’aimerais beaucoup.

— Je te promets.

Je bande, mon sexe me fait mal, je me branle à deux doigts du visage de Marlène, sa position a réveillé Goliath qui se remet sur ses pattes et recommence à lécher cette raie offerte. Il est positionné derrière elle, j'ai l'impression qu'il va la prendre. Son sexe est complètement sorti de son fourreau, c'est énorme, il recommence à gicler par petits jets qui arrivent sur les fesses de Marlène. Elle passe la main sur ses fesses et étale ce jus qui coule en permanence et se remet deux doigts dans le cul. Goliath s'avance et met ses pattes de chaque côté de Marlène, elle passe complètement dessous son ventre. Le sexe du chien est contre ses fesses, elle le prend et le dirige vers son cul mais hésite, le frotte sur sa raie, le chien fait des mouvements avant arrière, essaie de la pénétrer.

Je me penche et j’attrape le pal de Goliath que je dirige vers sa chatte, je n'avais jamais tenu un sexe aussi gros, ça palpite, ça gicle tout le temps. Il rentre amorce un va-et-vient, elle recule et il rentre jusqu'au bout, il la pénètre très vite, elle a un orgasme rapide et tombe à plat ventre. Goliath ne bouge pas, il gicle toujours sur le dos de Marlène Elle se retourne sous le chien, sa tête se trouve à 10cm de cet énorme morceau de chair. Elle avance et le prend dans sa bouche avec délicatesse, de plus en plus loin, elle le suce... Le suce. Je me branle, elle le suce encore, avec une main elle me touche le sexe, me branle un peu, je ne peux plus tenir et je décharge à gros jets sur son T-shirt. Elle accentue le mouvement avec sa bouche. Je vois couler de chaque côtés du sexe du chien le trop plein de sperme qu'elle ne peut avaler, Goliath vient de lui décharger dans la bouche, elle se frotte les joues avec le surplus elle est rayonnante.

— Ça y est, je me suis fait baiser par un chien, je l'ai sucé c'est super! dit-elle avant d'ajouter en me regardant: Et toi tu as bien joui?

— Très bien, j'ai adoré te voir faire. Il a failli te prendre le cul mais je l'ai empêché, j'ai pensé que c'était un peu tôt. S’il arrivait quelque chose, nous ne sommes pas à la maison.

— Pourquoi un peu tôt?

— Tu vois les grosses boules derrière le sexe, c'est à cause d'elles que les chiens restent liés aux chiennes, leur dilatation empêchent la séparation afin que le sperme reste bien dans la matrice de la chienne, ça provoque aussi l'ovulation. Tu comprends que si tu étais restée liée, ça peut durer demie heure. Maintenant que tu sais, il faudra faire très attention et te retirer rapidement sinon galère, surtout si tu te fais prendre par le cul.

— Tu aurais dû le laisser faire, j'ai envie de me faire enculer par une grosse queue, tu l'aurais empêché de rester collé c'est tout. Sa queue est plus grosse que la tienne, plus longue aussi, j'aurais adoré.

— Je sais, je l'ai prise en main, première fois que je fais ça, très excitant, je comprends maintenant.

— Tu comprends quoi?

— Ce que peux ressentir une femme qui touche la bite d'un chien. Rien à voir avec une queue d'homme.

— Tu n'as jamais touché une autre queue que la tienne?

— Si Marlène, souvent, je suis complètement bisexuel. Je me fais prendre quelques fois, moi aussi je me suis dilaté le cul car j'adore me faire enculer par un mec. Je me demande pourquoi je ne prendrais pas non plus du plaisir avec Goliath.

— Et ta femme avec Goliath, jamais?

— Autant que je sache non, mais je trouve qu’il a une bonne activité sexuelle avec les femmes, je me pose quelques questions. Tu n'auras qu'à lui demander, je pense qu'elle te le dira.

Je suis presque certain que Josy a des rapports avec Goliath, il n'y a pas longtemps mais je sens qu'il se passe quelque chose, certains indices laissent supposer qu'elle fait son éducation.

— Marlène il est plus de 5 heures, nous devons envisager de rentrer.

Elle me regarde, s'approche de moi et passe un bras autour de mon cou. Elle me donne un baiser sur la bouche je sens le goût et l'odeur du sperme de Goliath.

— Tu me prendras le cul dis? Tu me l'as promis! J'ai encore envie de jouir, tu ne veux pas me baiser?

— Non Marlène, je t'ai déjà dit que je ne ferais rien sans mon épouse. Branle-toi si tu veux.

— Tu as raison, rentrons en plus j'ai faim, mais avant, je vais faire encore un petit pipi, tu veux me voir encore? J'adore m'exhiber. Des fois quand je fais pipi, je me branle le cul en même temps, c'est hyper jouissif. Tu sais que j'aimerais voir quelqu'un faire ses besoins, quand je peux, je me regarde avec une glace en train de chier. Ma sœur dit que je suis pire qu'elle mais je sais que c'est de famille, mes parents sont très coquins, ils baisent partout dans la maison, même quand nous sommes là, cela ne les gêne pas du tout. Avec ma sœur, nous nous branlons en les épiant, je suis sure qu'ils savent que nous les regardons.

— Ta sœur c'est Rébecca? On ne la voit presque jamais, elle ne vit pas à la maison?

— Si mais elle fait ses études, elle ne rentre que le vendredi soir. Elle prépare une grande école et bosse beaucoup. Elle est très indépendante, elle avait un copain mais ils se sont quittés, il ne comprenait pas sa liberté sexuelle.

— Rébé?

— C'est le diminutif de Rébecca.

— Fais ton pipi et nous partons.

— Ok mais tu sors ta queue, je voudrais te voir pisser en même temps que moi.

Je baisse mon short, je ne suis plus en érection, mais je ne débande pas complètement. Je commence à pisser à grands jets, Marlène pisse debout un doigt sur le haut de son sexe qu'elle remonte, elle pisse aussi loin que moi, je suis très étonné mais je trouve ça plutôt amusant.

— C'est Rébé qui m'a montré ça. Devant les garçons qui disent que c'est eux qui pissent le plus loin, tu verrais leur tête!

Cette gamine me fait un effet incroyable, elle est belle, elle aime le sexe, le cul dirais-je et elle ne se prend pas la tête. Elle remet son short, va vers Goliath toujours couché sur la couverture. Elle lui prend sa grosse tête à deux mains et lui fait un gros bisou sur la truffe, Goliath la gratifie d'un coup de langue magistral.

— Toi aussi tu m'enculeras, je te le promets lui dit-elle.

Pour le retour, Goliath a tracté Marlène presque tout le long du chemin, pas trop vite en se retournant pour voir si elle suivait bien. J'étais très étonné, avec moi il tire à une vitesse que je ne peux pas toujours suivre! Une idylle est peut-être en train de naître!


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:23

Un amour de mère (1)
 
Depuis que mon père avait quitté la maison et était parti s’installer en Afrique du Sud avec sa nouvelle femme, nous venions en vacances, ma mère, ma sœur et moi dans ce petit village à une centaine de kilomètres de la capitale. Nous y passions deux délicieux mois à faire de l’escalade de parois schisteuses, du kayak, de la promenade en forêt et nous nagions dans les eaux glacées de la rivière qui coulait en contrebas. Ma sœur Héléna affectionnait le kayak par-dessus tout, en fait elle avait un petit faible pour le moniteur, un vieux (j’étais encore adolescent à l’époque) que je ne pouvais pas encaisser. Je ne le trouvais pas correct, sympa peut-être, mais comme il faisait du rentre dedans à ma mère...

Même avant que le père ne s’en aille, ma mère était l’amour suprême pour moi, ma déesse, la femme délaissée (déjà!) à protéger. J’étais son chevalier, elle était tout.

Depuis que le vieux avait déserté, maman n’avait pas une seule fois eu un amant ou un ami qui se serait attardé et aurait dormi à la maison, ni n’avait-elle découché.

J’avais développé un tel amour pour elle que je ne regardais pas les autres filles au lycée comme des femelles à conquérir contrairement à mes potes. J’avais mon amour secret pour ma mère. Aucune de toute façon n’arrivait aux chevilles de maman.

En plus, tous les hommes que je connaissais et qui fréquentaient notre grand appartement en ville s’accordaient pour le dire: comment mon père avait-il pu abandonner une si belle femme?

Pour être franc, j’avais eu des fantasmes de voyeur que je pensais honteux et scandaleux jusqu’à ces vacances bénies. J’avais remarqué que dans le placard mitoyen de la salle de bains il y avait un petit panneau qui se démontait et qui se trouvait juste à côté du chauffe-eau. Une fois entre ouvert, il permettait d’avoir une vue imprenable sur tout ce qui se passait dans la pièce. À cette époque, on ne prenait un bain qu’une fois par semaine et j’étais toujours à l’affût pour voir la nudité de ma grande sœur.

Héléna avait deux ans de plus que moi et était déjà ce que l’on appelle une belle plante. Elle avait comme moi un teint mat et légèrement basané que nous tenions de notre père, ma mère, elle, était blanche d’un ton laiteux avec des veines pleines et bleues.

Héléna avait une taille et un fessier pleins. Elle portait des cheveux qu’elle avait noirs de geai et très courts. Ses poils pubiens formaient une toison légère mais toute aussi noire. Mais le plus excitant étaient ses seins. Elle avait des seins pleins, bruns avec des mamelons protubérant brun foncé et comme ceux de maman, avec des tétons qui donnaient l’envie de les dévorer. Chaque vendredi soir, lorsqu’Héléna entrait dans la salle de bain, la chance était avec moi, c’était le jour où la plus jeune sœur de maman nous rendait visite et elles prenaient un petit verre de cognac ensemble. J’avais donc tout le temps de me cacher dans ma planque et d’admirer la beauté de ma sœur (avec laquelle par ailleurs je m’engueulais et souvent me battais - j’avais rarement le dessus, elle était costaud, la salope!). J’emmenais toujours quelques tours de papier toilette car immanquablement, je finissais mon observation en me masturbant: Héléna se caressait comme une folle dans la baignoire et comme un rituel, s’agenouillait une fois séchée devant le bidet et tout doucement après l’avoir enduit à profusion de salive, se caressait le vagin avec le manche de sa brosse à cheveux qu’elle enfonçait tout doucement en miaulant dans son vagin que je pensais alors devait être très profond. Elle était prise progressivement d’une frénésie qui lui faisait accélérer le mouvement de l’objet en elle jusqu’à ce quelle s’écroule sur le tapis, les yeux révulsés en poussant de petits cris qui allaient en diminuant. Quant à moi, à chaque fois, c’était à peu près le moment où mon pénis masturbé avec la même frénésie crachait tout son saoul de sperme dans ma main. Dieu que c’était bon!

Je n’avais jamais osé approché la sœur dans sa chambre, bien que je l’eus soupçonnée d’en laisser la porte ouverte intentionnellement quand elle se couchait nue sur son lit ou peine couverte d’un drap en hiver et qui laissait tout deviner de sa splendide anatomie alors qu’elle savait que je devais passer devant pour rejoindre ma chambre... qu’elle savait surtout que maman était déjà dans sa chambre.

Lorsque ma tante partait vers 9h30-10h, toutes deux, et maman sûrement un peu plus que sa sœur, étaient légèrement éméchées. Elles s’embrassaient à profusion avant que la tante Eva ne se décide à partir. C’est pas trop tôt, pensais-je à chaque fois, car dès qu’elle était partie, maman se dirigeait enfin vers la cuisine, prenait la bouteille de cognac et allait dans la salle de bain. Quel bonheur, qu’elle était belle! Elle se déshabillait toujours très lentement devant le miroir, était-ce la douceur de l’ivresse ou le bonheur d’admirer son corps si beau et toujours si jeune, maman avait à peine 35 ans? Elle caressait toutes les parties de son corps avec volupté. J’en étais tout remué jusque dans les tréfonds de mon ventre. Lorsqu’elle enlevait son soutien, ses seins merveilleux et puissants en sautaient comme libérés de la pression, des petites marques comme des chaînettes restaient pendant quelques minutes là où les armatures l’avaient serrées, ces marques m’excitaient à en devenir fou... pourquoi, je ne saurais le dire même aujourd’hui, je les sentaient comme une agression sur le corps chéri. Elle prenait alors ses seins à deux mains et en couvrait les mamelons de coups de langue rapides, longs et circulaires. Elle en avalait les bouts avec nervosité, se malaxait les mamelles jusqu’à en avoir un mini orgasme qui la laissait les yeux dans le vague quelques minutes. Ensuite maman enlevait sa culotte. Elles n’étaient pas du tout du genre sexy, mais je ne les en trouvais que plus divines.

À ce moment-là, je fermais immanquablement les yeux, retenais ma respiration et les rouvrais pour admirer son fessier, sa fente et j’attendais qu’elle se retourne enfin pour admirer son vagin. Dieu quelle beauté: son mont de Vénus était énorme, comme gonflé et ses lèvres étaient charnues et si longues. À ce moment-là, je ne savais pas ce qu’était un clitoris. Ma mère alors pour entrer dans la baignoire soulevait sa jambe et je voyais enfin son doux vagin s’ouvrir en une fente rose, profonde, brillante et agressive. Mon pénis arrivait à sa taille maximum et un liquide qui ressemblait à du sperme commençait à couler. Je tirais dessus pour ralentir l’excitation. Maman rentrait dans le bain et plongeait sous l’eau. Elle aussi portait les cheveux assez courts, elle restait ensuite immobile, mais je pouvais voir ses mains bouger sur son corps à travers l’eau. Elle caressait la pointe de ses seins de ses deux mains, puis elles descendaient lentement vers la touffe des poils de son entrejambe et s’y attardaient un très long moment, massant toutes les parties de son vagin, l’une entrant très profondément à l’intérieur (d’où je me tenais, je n’en voyais plus que le poignet, j’en avais la gorge sèche, dieu quel bonheur!), l’autre jouant sur les lèvres (je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de son clitoris). Après de longues minutes, le mouvement de ses mains s’accélérait et maman était prise d’un tremblement grandissant qui semblait ne pas vouloir s’arrêter, qui augmentait, augmentait puis sur un cri qu’elle étouffait en se mordant l’épaule, tout se calmait. Je me retenais mais je n’arrivais jamais à me retenir et j’éjaculais de longs jets de bonheur.

Maman sortait du bain et se séchait dans sa grande robe de bain puis s’asseyait sur le bord de la baignoire. Elle se versait un grand verre de cognac qu’elle avalait d’un trait, passait sa robe de nuit, sa robe de chambre et quittait la salle de bains, éteignait toutes les lumières de la maison et allait se coucher.

Mais je ne suis pas là pour vous parler de la frangine ni des bains de ma mère: cet été-là, il m’est arrivé une aventure inouïe.

Héléna était partie pour une excursion de trois jours en kayak, quant à moi, j’avais préféré rester à la maison. J’avais des examens à présenter à la rentrée, alors autant avancer un peu. Je ne voulais redoubler à aucun prix. Déjà que j’étais le plus grand de ma classe, imaginez que je me retrouve avec les plus petits...

Après le déjeuner, j’avais pris l’habitude de faire une petite sieste dans le salon sur le matelas pneumatique, maman allait lire et se reposer jusqu’à l’heure du thé sous la véranda, elle trouvait la maison trop chaude.

Je me couchais toujours à plat ventre sur le matelas, coinçant mon pénis entre deux des boudins et comme presque chaque jour, je me couvrais d’un drap pour ne pas être vu et je faisais le mouvement de l’amour en frottant ma verge jusqu’à ce que je jouisse dans ma main. Le plus souvent, j’avais emporté un mouchoir mais parfois je buvais mon sperme tout chaud, surtout depuis que maman avait trouvé des taches dans mes draps et m’en avait fait la remarque. Je pensais toujours comme une idée fixe au vagin de maman au moment où elle entrait dans le bain et je le voyais s’ouvrir, se fermer, bouger, onduler... jusqu’à ce que mon sexe explose.

Je n’entendis pas entrer maman. Elle s’approcha des pieds du matelas où j’étais en train de me remuer de plus en plus vite...

— Patrice, chéri?

Je sursautai et étais bouleversé d’avoir été surpris.

— Mon chéri, ce n’est rien, remets-toi, tu n’as pas peur de moi quand même?

Elle s’approcha et s’assit à côté de moi. Elle me caressa la tête. Je me retournai vers elle et timidement, levai la tête. Elle avait un sourire doux. Sa main descendit vers mon cou et elle caressa mes épaules.

— Mon chéri, mon chéri, je t’ai déjà dit qu’il valait mieux garder ta semence pour plus tard, pour tes amies. Tu sais, ce n’est pas que ce soit sale ou que je veuille t’interdire de te masturber, mais je trouve qu’un si joli garçon ne doit pas gaspiller son énergie comme tu le fais de plus en plus souvent.

— Maman, quelles amies? Tu sais que je n’aime que toi. Jamais je ne les suivrai. Elle sont tellement connes.

— Veux-tu arrêter d’être vulgaire?

Elle se laissa tomber sur mon épaule et embrassa mon front. Elle avait des larmes aux yeux.

— Maman, tu pleures?

Je me retournai sur le dos et pris sa tête dans mes mains. Je commençai à l’embrasser sur tout le visage, mêlant ses quelques larmes à la salive de mes baisers mouillés. Quand je fus près de ses lèvres, je ne sais ce qui me prit, je les embrassai, mouillant les miennes de plus en plus et les pressant sur celles de maman. C’est alors qu’elle ouvrit sa bouche et soudainement se mit à m’embrasser violemment, pénétrant ma bouche de sa langue ferme, nerveuse et toute excitée, poussant ce qui me semblait être des litres de sa salive délicieuse que j’avalais religieusement et qui débordait tout autour de nos bouches. Elle avait collé son corps tout contre le mien et me serrait dans ses bras alors que je tenais toujours son visage entre mes mains, l’embrassant comme un fou lui susurrant «Maman, ma petite maman, je t’aime, je te veux pour moi, je suis à toi, je veux t’aimer, maman, s’il te plait.»

Quand la fièvre tomba, ma mère me regarda. J’avais soudain peur qu’elle ne se fâche...

— Mon tout petit, tu es devenu un homme depuis tout ce temps. Je l’oublie trop souvent.

Et elle me donna quelque longs et tendres baisers sur tout le visage.

Elle portait ce jour-là (comment l’oublier: notre première fois?) un blouson de satinette et un short, le short ample qu’elle appelait ‘mon pantalon de jardin’.

Je lâchai son visage et en un mouvement soudain, entourai sa taille, juste entre le blouson et le short, sur sa douce peau nue. Je restai comme cela quelques longues secondes. Elle serra son étreinte encore plus fort et je commençai doucement à caresser le bas de son dos du bout de mes doigts, je sentais que tout doucement elle attrapait la chair de poule.

— Oh toi, où as-tu appris cela, c’est bon, tu sais.

Je continuai, si gentiment encouragé et remontai jusqu’à la frontière infranchissable de son soutien, j’en fis le tour d’une main, me retrouvant sous son bras humide. Elle se souleva tout doucement, me regarda et bondit sur ma bouche, m’embrassant à nouveau encore plus goulûment. Je pris sa langue, la suçai et de mes deux mains, passai vers l’avant de son buste. Au moment où mes doigts restèrent coincés entre nos deux poitrines, elle se releva:

— Patrice, j’ai si peur, je ne sais pas. Je sais que tu es si sensible...

— Et toi maman, tu sais j’ai toujours rêvé de t’aimer, mais je ne savais pas que ce serait comme ça et que c’est ce serait si bon. Je t’en prie, maman, apprends-moi à t’aimer.

Elle se tut et d’un geste rapide dégrafa son soutien qui s’ouvrit d’un coup libérant les seins adulés. J’ouvris le blouson tout grand, descendis le long de son corps et me jetai sur son sein gauche, l’embrassant fougueusement, le léchant, salivant et le mouillant tant que je pouvais. Arrivé au mamelon, je me mis à le sucer comme si je voulais l’avaler et qu’il ne voulait pas se décrocher.

— Aïe, tu me fais mal mon bébé!

— Pardon, ma petite maman.

Elle laissa sa main descendre le long de mon dos et le caressa, arrivé à la fente de mon cul, elle s’arrêta comme si elle cherchait son chemin. Je suçais son sein tout doucement maintenant.

De ma main droite, je descendis aussi vers le bas de son dos.

Soudain, elle se dégagea, se leva et me prenant par la main, elle me tira vers le sofa géant qui occupait le salon, elle s’y assit, et enleva son blouson, me regardant la bouche entre ouverte, le souffle court: elle était devant moi, ses seins nus, pleins! Qu’elle était belle, qu’elle était jeune et elle m’appelait de ses beaux yeux, me tendant les bras. Je me jetai à ses pieds et me retrouvais en face de ses beaux grands seins, je me mis à les caresser, les masser tout doucement, puis, me relevant, je me lovai contre le corps tant aimé, et me mis à l’embrasser dans le cou.

Elle m’attira sur le sofa et je m’assis à ses côtés. Elle m’entoura le cou de son bras gauche, m’embrassa l’oreille, puis de sa main droite, caressa longuement mes tétons et doucement descendit le long de mon ventre. Arrivée à l’élastique de mon slip, je compris où elle voulait en venir et mon sexe se gonfla complètement de sang, présentant une érection énorme et dure. Maman souleva le slip et attrapa le bout de mon pénis, glissa sa main le long de la hampe et descendit jusqu’au sac de couilles. Elle caressait doucement, montant et descendant du bord de mon anus au bout de mon gland.

«O mon amour!» souffla-t-elle et elle se mit à me lécher le torse, descendant vers mon slip et y arrivant, retira sa main et commença à mordiller ma bite à travers le tissus. Je devenais fou, quelle merveilleuse aventure: maman allait embrasser mon pénis, me sucer...

Je crus devoir lui rendre la pareille et m’étendis sur le divan, elle en profita pour faire glisser mon slip, j’étais nu et elle revint vers mon sexe gonflé et prise d’une gourmandise féroce et soudaine comme si elle attendait ce moment depuis trop longtemps, l’enfourna en une fois dans sa bouche en faisant des petits bruits de bonheur étouffés. Elle se trémoussait, remuait de son cul magnifiquement rond et je la vis glisser sa main libre sous son ventre puis s’enfoncer vers son vagin trempé, elle se mit à bouger sa bouche dans tous les sens, de bas en haut, entraînant ma bite de gauche à droite, la mordillant, attrapa mes couilles d’une main et les caressant, elle les serra tendrement entre ses doigts: elle jouait et je sentais que j’allais venir, qu’une énorme quantité de sperme se préparait à jaillir.

— Maman, je t’en prie, arrête, je vais venir, arrête...

— Je t’en supplie, chéri, viens, viens, maintenant!

Et, tenant sa tête de toutes mes forces, je jouis en hurlant «Je t’aime, je t’aime, je t’aimerai pour toujours...»

Elle continuait à sucer ma verge, avalant tout le jus qui en sortait en giclées puissantes et je devinais dans un demi coma qu’elle frottait son vagin de plus en plus vite de sa main, puis s’arrêtait, épuisée. Tout était sorti et elle suçait encore. Elle rouvrit les yeux et entre ouvrant la bouche, elle relâcha ma verge. Elle me sourit, sa bouche et ses dents brillaient de mon sperme, je la rejoignis et l’embrassai follement, partageant avec elle les restants de ma semence comme elle l’appelle, dans un baiser qui dura une éternité. Pendant que nous nous embrassions, nos deux corps se rapprochèrent et s’unirent.

Lentement, je la couvris de mes bras et ma main descendit le long de son flanc, dépassa son short puis remonta entre ses fesses à l’intérieur de la culotte... J’allais atteindre le sanctuaire du vagin de ma mère. Elle se blottit encore plus contre moi, suçant ma langue pour l’amener au fond de sa gorge. Elle m’attendait entre ses jambes! Tout doucement, ma main remonta entre ses cuisses et arrivée au slip qui était trempé de son jus odorant, elle écarta ses jambes, laissant mes doigts entre ouvrir sa petite culotte et s’enfoncer dans la toison conduisant aux longues lèvres de son vagin. Elle me mordit tout doucement. Elle commença à rire doucement. J’ouvris les yeux, elle ouvrit les siens. Elle me sourit.

— Vas-y mon chéri, tu es l’homme... Je suis toute à toi... Je t’aime, vas-y, sers-toi! Caresse-moi fort, fais de moi ce que tu veux!

Quand elle comprit que je voulais faire glisser son short et finir de la déshabiller, elle m’aida d’un seul coup, s’écartant de moi, elle enleva le short, me regarda dans les yeux.

— Le slip aussi, mon Seigneur? dit-elle, comme lorsque nous jouions aux jeux de rôle il y a quelques années.

— Évidemment, ma Reine et immédiatement, je veux vous faire goûter ce qu’il en coûte de me rendre l’esclave de votre corps de déesse.

Nous rîmes tous les deux, et lorsque son slip fut sur le sol, elle plongea dans mes bras et m’embrassa comme si cela faisait des lunes qu’elle n’avait plus embrassé.

Elle était là, blottie dans mes bras, m’embrasant furieusement, nue, splendide, frémissante et offerte, les jambes doucement écartées, le vagin pris de palpitations lentes... je croyais rêver! Je me dis qu’elle se sentait peut-être quand même un peu gênée de se retrouver tout à fait nue à présent. Je l’embrassai, la tins serrée dans mes bras et elle me rendit mon étreinte, je faillis étouffer.

— Je t’aime, je t’aime, que se passe-t-il? C’est si bon, ô mon Patrice, aime-moi, aime-moi comme je t’aime.

Je desserrai mon étreinte et doucement la couchai tout à fait sur le dos, profitant qu’elle se mit un instant sur un coude, je plongeai vers son sexe trempé, énorme, luisant, ouvert et qui sentait si bon. Lorsqu’elle me vit commencer à lécher le haut de son mont, elle écarta encore plus ses jambes, presqu’à l’horizontale, s’abandonnant pleinement et comme pour toujours à ma volonté et mes désirs. Faisant courir ses doigts sur sa poitrine vers son vagin, elle écarta ses lèvres des deux mains d’un coup violent comme si elle voulait se les arracher, m’offrir tout ce qui s’y cachait, c’est là que je vis ce petit bouton rose qu’elle me montra du bout d’un ongle. Je me mis à lécher avidement ce petit bout de chair tendre et si sensible enrobé d’un liquide divin et parfumé comme ses slips que je suçais en cachette. Je restai là à sucer interminablement, ignorant ses lèvres gigantesques que je chérissais d’embrasser et le trou vertigineux de son vagin où je voulais tant plonger.

Maman commença à gémir, tenant ma tête à deux mains, s’accrochant à mes touffes de cheveux, elle me faisait mal mais cela m’excitait encore plus. Je suçais, suçais à en devenir fou et soudain, elle se mit à trembler de plus en plus fort et un jus au goût merveilleux gicla d’entre ses lèvres un peu plus bas que son clitoris, inondant mon menton et je me précipitai pour le boire, l’aspirer entre mes lèvres: ce parfum si fort, ce goût salé enivrant... je ne savais pas que les femmes éjaculaient aussi. Maman maintenant hurlait, s’agrippait des deux mains au tissus du sofa, secouait la tête et le bassin dans tous les sens, j’avais toutes les peines du monde à rester accroché à son vagin, je me cramponnai des lèvres aux siennes qui semblaient encore s’être allongées.

— Arrête mon amour, arrête, je deviens folle, arrête, viens m’embrasser, viens, viens à moi, je t’en supplie!

Je n’avais jamais vu maman avec un visage si beau, elle est belle c’est vrai mais là, elle l’était encore mille fois plus, ses yeux me regardant comme si c’était la première fois qu’elle me voyait elle se mit à sourire, le bonheur se lisait sur son visage.

— C’était merveilleux, mon amour. Qu’est-ce qu’on s’aime, hein, mon bébé? dit-elle après un long moment.

— Oui, mon bel amour, on s’aime...

Et on s’endormit, corps contre corps, lèvre contre lèvres, sexe contre sexe.

 


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:11

Séductions adolescentes

ette histoire, en partie autobiographique, s'est déroulée au temps où le SIDA était une plaie inconnue. Seuls les risques de maternité demeuraient, et l'IVG existait pour celles et ceux qui désiraient y recourir. D'où la nécessité de rappeler le caractère indispensable de la seule protection qui soit: le préservatif!

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J'ai eu mon fils, Adrien, beaucoup trop tôt. Une seule erreur de jeunesse, à 15 ans, en raison de pressions d'une famille révulsée par l'idée de recourir à l'IVG et je me suis retrouvée enceinte d'un adorable petit garçon qui, même entré dans l'adolescence et malgré la dureté relative de l'existence, ne m'a donné que des satisfactions.

Il a quinze ans maintenant, j'en ai trente-un et il est fréquent, lorsque nous sortons ensemble, qu'on me prenne pour sa grande soeur. Jusqu'ici, Adrien était tout pour moi et malgré mon jeune âge, j'ai consacré mon existence à lui d'une part, à ma carrière professionnelle d'autre part - cela afin de gravir suffisamment d'échelons pour être en mesure de lui assurer une existence matérielle décente et des études de qualité.

De simple caissière à temps partiel, je suis devenu responsable des ventes d'un supermarché proche de chez moi - tâche absorbante mais qui me permet de me consacrer encore à mon garçon aussi longtemps que je le souhaite et de lui assurer la sécurité et le confort matériel.

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Eh! Oui, la plupart des parents d'adolescents auront du mal à me croire, mais Adrien, bien qu'entré dans l'adolescence, bien qu'intégré dans une bande de copains et de copines que j'apprécie plus ou moins (j'en adore certains, d'autres m'indisposent relativement) a toujours autant de plaisir à me consacrer quelques instants à moi, sa mère, à m'accompagner au restaurant, à partager une toile avec moi (tantôt je me farcis des films d'ados qui ne me m'intéressent guère, tantôt c'est lui qui se plie à mes désirs du moment, me charriant gentiment à la sortie sur mes "goûts à chier grave").

Il nous arrive de manger un Big Mac dans l'établissement fréquenté par sa bande de copains sans qu'il n'éprouve le besoin de me cacher à leurs regards (tous les parents d'adolescents ou presque, savent à quel point il leur est interdit de se présenter devant leur relations).

Adrien est économe de gestes de tendresse, mais ils n'en ont que plus de prix. Comme tout "jeune mâle dominant", il adore se faire servir - mais il suffit que je montre un ou deux jours de suite un visage plus marqué que d'habitude en raison de soucis professionnels ou d'un foutu rhume de cerveau, et en rentrant le soir je découvre une maison rangée à la perfection, l'aspirateur passé, un dîner qui répand ses effluves dans tout le rez-de-chaussée. Dans ces situations, ne surtout pas le complimenter sinon j'ai droit à la sempiternelle réflexion:

— Fais pas chier, M'man, sinon c'est la dernière fois!... - cela pour bien me montrer qui est le mâle dominant, si jeune soit-il... avant de m'embrasser tendrement et d'ajouter:

— Largue donc ton boulot demain, reste à la maison et repose toi un peu!

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Mon fils a la chance d'être doué sur le plan scolaire, ce qui lui permet d'assimiler rapidement et d'obtenir d'excellents résultats sans y consacrer tout son temps. Sportif sans excès, il passe quelques heures sur un court de tennis et à la piscine, non pour devenir un champion mais pour entretenir un corps dont il sait que la nature l'a doté de tous les attributs nécessaires pour qu'il séduise... Et son temps libre ainsi gagné, il le passe (sans excès) à tondre des pelouses, à faire quelques livraisons - ce qui lui permet avec ses gains de s'habiller avec les marques du moment, donc de faire son petit effet sans pour autant ponctionner mes économies guère élevées: mon salaire est confortable mais nullement excessif. Comme le disent nombre de mes rares relations adultes:

— Une perle comme ça, veille à ce qu'elle ne change jamais!

Son alter-ego, son frère, je dirais presque, c'est Guillaume, de trois mois plus jeune, aussi brun qu'Adrien est blond, mais tout aussi beau et tout aussi gentil. Ils se connaissent depuis le jour où, en maternelle, ils ont été surpris à soulever les jupes des petites filles pour examiner concrètement la différence sexuée, ce qui leur a valu de passer une partie de la récréation au piquet avec une sévère réprimande de la part des "maîtresses" - elles mêmes aiguillonnées par les parents des gamines qui, à mon avis, en faisaient beaucoup trop puisque ces gosses n'avaient nullement été forcées.

Depuis la nuit des temps, il n'y avait pas d'anniversaire de Guillaume fêté sans la présence d'Adrien, et réciproquement. Quand j'achetais un jouet à mon fils, je téléphonais auparavant à la mère de Guillaume pour m'assurer que son petit garçon (elle l'élevait seule lui aussi) ne le possédait pas puisqu'ils se prêtaient tout mutuellement. J'emmenais Guillaume en vacances au mois d'août, tout comme elle emmenait Adrien aux sports d'hiver.

Enfin, il leur arrivait de passer nombre de week-ends ensemble chez l'un ou chez l'autre, et je m'étais habitué de tout temps à les voir dormir chez moi dans le même grand lit, à prendre leur douche ensemble, à communiquer devant moi dans ce curieux sabir adolescent destiné autant à faire enrager les parents qu'à ne pas se faire comprendre de ces derniers.

Adrien a toujours été élevé dans le respect de la nudité: il m'avait toujours vu nue et lui même se montrait, pendant l'enfance, dans le plus simple appareil. Il en était devenu de même de Guillaume et ce n'est que vers leur treizième année qu'ils évitèrent de m'exposer leurs anatomies respectives - à l'aube de la puberté qui vous change un enfant en jeune homme en moins de six mois. J'ai bien dit "évitaient": la maison était petite et si je pénétrais par erreur dans une salle de bain pleine de deux jeunes mâles rigolards en pleine toilette, je n'avais pas droit à des cris d'orfraie - simplement à un rire amusé le temps que mes lascars prennent une serviette pour masquer une nudité que je devinais prometteuse, bien qu'à peine ébauchée.

J'avoue que c'est à cette époque que mes sens se réveillèrent quelque peu: depuis la naissance d'Adrien, j'avais en quelque sorte "sublimée", et mon fils représentant tout pour moi, je me passais fort bien de présence masculine. Tout au plus - et rarement - me caressais-je le soir pour détendre des pulsions purement mécaniques que m'envoyaient mon organisme. Quant aux trois aventures que j'ai eues en dix ans avec des hommes, elles furent chacune sans lendemain tant elles m'avaient peu apporté - hormis un certain dégout de moi même et la peur que mon fils le vive mal.

Mais là, j'avais très souvent sous les yeux ce fils (avec lequel évidemment je n'envisageais aucune liaison incestueuse mais que je ne pouvais m'empêcher d'admirer - Dieu qu'il ressemblait à son père biologique, celui qui m'avait littéralement fait craquer à l'age actuel d'Adrien!) ainsi que son meilleur ami, torses nus sur le canapé devant la télévision, parfois dans le plus simple appareil dans la salle de bain,ou se livrant à des joutes fraternelles entre jeunes mâles qui étaient des plus excitantes pour moi...

Faisant le ménage un lundi matin après que Guillaume soit rentré chez lui à la fin d'un weekend passé avec son ami, je découvris quelques mouchoirs en papier froissés, humides, sous leur lit commun (je savais qu'ils dormaient torse nu ensemble, pour leur avoir souvent porté leur petit déjeuner) et l'odeur qui s'échappait de ces mouchoirs ne laissait aucun doute quant à leur finalité. C'étaient des petits hommes, avec des besoins d'homme.

À ma grande stupeur, et comme malgré moi, je me sentis rougir d'excitation. Mes seins se gonflèrent et durcirent, appelant mes caresses qui les faisait vibrer de bonheur, pendant que je m'allongeais sur leur lit, me repaissant de l'odeur de leurs draps. Et c'est en pensant à ces jeunes corps imberbes et finement musclés, qui sentaient bon le jeune mâle dégageant une fine odeur de musc adolescent, en train de se donner du plaisir (chacun pour soi, ou de façon réciproque?) que je dirigeai ma main vers mon clitoris et me masturbai frénétiquement. En moins de deux minutes, une immense chaleur me parcourut et je râlai de bonheur, pantelante sur leur lit. Il me fallut changer de sous-vêtement, reprendre une douche tellement j'avais transpiré, et lutter contre le trouble immense qui m'avait m'envahi. Ma vie prenait malgré moi une autre dimension.

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Je n'étais pas au bout de mes peines quand Adrien vint me voir un soir, embarrassé - ce qui ne lui ressemblait pas. Le rouge au font, après le dîner, il me dit:

— M'man, tu m'as bien dit un jour que je pouvais tout de dire, que tu te moquerais jamais de moi?

Je souris...

— Évidemment Adrien, j'ai dû te le répéter environ quinze milles fois, avec à chaque fois pour toute réponse: "Ça va, ça va, je sais!"

— Ouais bah là c'est du lourd, qu'il me répliqua... C'est... c'est sexuel!

Je pris un air à la fois attentif et détendu - il fallait en même temps que je lui montre que je le prenais au sérieux sans avoir l'air trop inquiète ou concernée: nous parlions de choses de l'ordre du quotidien, n'est-ce pas?

— Voilà... je crois que j'ai un truc qui marche pas correctement, ajouta-t-il enfin. Tu peux me donner ton avis?

— Bien sûr, que je peux, mais si c'est purement médical et si tu préfères consulter un homme, je te rappelle que notre médecin de famille en est un...

— Non justement, je préfère en parler à quelqu'un que je connais bien, et après tout c'est toi que je connais le mieux. Ça t'embête vraiment de me le donner, toi, ton avis? Si tu me dis après que c'est médical, alors OK, j'irai le voir.

Sans attendre ma réponse, il retira son t-shirt et abaissa son bermuda, puis son caleçon, faisant apparaître un sexe que je voyais de face, sans la moindre dissimulation. Il s'offrait à mon jugement en toute confiance et j'en étais émue...

— Dis m'man, commença-t-il, d'abord... je sais que t'es pas... experte en hommes... enfin que t'en as pas connu des masses, mais tu crois que je suis... assez membré?

Je souris, et ne pus que lui répondre:

— Si c'est ça le problème, mon garçon, il est inexistant. Tu n'es pas un étalon comme ceux que l'on voit sur les cassettes que tu regardes assidument avec Guillaume (il éclata de rire sans la moindre gêne) mais tu es parfaitement doté par la nature - surtout pour ton âge. Peut-être pas très poilu, mais cela a tout le temps de changer!

J'ajoutai en rougissant:

— Nous avons déjà parlé de ton père, que tu ne connais pas, et je peux te dire qu'il avait un an de plus que toi, qu'il était moins... développé de ce côté, moins poilu aussi, et que ça ne l'empêchait pas de me rendre folle à chaque fois que... que nous faisions l'amour! Alors si ça peut te rassurer... Je t'ajoute que lui n'avait que cette qualité là qui n'est pas la plus importante, contrairement à toi qui n'est ni égoïste, ni menteur, et qui est le plus gentil garçon que je connaisse! J'ai fait une grosse bêtise en me laissant avoir par ce type, mais la vie est mal faite parce qu'au lieu d'être punie, je déguste tous les jours une récompense qui s'appelle Adrien!

Il ferma un instant les yeux, encaissant ce que je lui avais dit (nous parlions souvent de son père qu'il ne connaissait que par ce que je lui en disais, sans éprouver d'animosité particulière vis à vis de lui).

— Bon m'man, le problème vient de là, quand je veux décaloter: regarde!

Il se rapprocha et me montra le bout de sa verge.

— Quand j'étais petit, le bout sortait facilement et je pouvais le nettoyer à chaque toilette comme tu me l'as appris. Mais depuis que ma bite... enfin, ma verge a grossi, le fourreau est resté à la même taille et quand je... quand je bande ça me fait un peu mal au bout!

Effectivement, sous les manipulations qu'il avait opérées devant moi, il avait atteint la pleine érection: un superbe pénis encore assez fin de quinze centimètres environ, relativement épais et surmonté d'une fine toison blonde, dont le gland ne parvenait à sortir qu'au tiers environ.

— Ça m'empêche pas de jouir quand je me br... enfin quand je me masturbe, mais ça fait un peu mal et j'ai lu que pour faire l'amour à fond, il fallait bien décalotter... Tu crois pas que je dois me faire circoncire? En tout cas, on a comparé avec Guillaume: lui il sort son gland sans difficulté. Rien que quand il bande, tout est dehors...

— Tu me permets? demandé-je, attendrie par cette preuve de confiance totale qu'il affichait en moi. Et je tentai de rétracter doucement le fourreau qui effectivement résistait modérément. Moi, dis-je, cela ne me semble pas relever d'une opération, mais de simples manipulations poussées... Ton... ton père a eu le même problème et ça s'est résolu ainsi, par des tractions progressivement plus insistantes, jusqu'à conclusion du problème. Je vais te trouver une crème apaisante, tu opéreras ainsi à chaque toilette sans forcer excessivement, surtout, pour ne pas te déchirer le frein. Et si d'ici à quelques jours il n'y a pas d'amélioration, nous irons consulter. D'ailleurs, s'il faut te faire circoncire ou entamer le frein, sache que ça n'entamera nullement ta virilité, et qu'en plus, on peut le faire "a minima".

Nous n'eûmes pas l'opportunité d'en reparler: je ne voulais pas donner l'impression de faire preuve de trop d'insistance, et il me dit un soir, en souriant:

— Tu sais, pour ma b... enfin, ma verge, tu avais raison, tout est normal maintenant! Merci m'man parce que ça m'emmerdait vraiment qu'on lui file un coup de sécateur!

Seulement insidieusement, cette matinée récemment passée à fantasmer sur les deux garçons à la suite de ma découverte fortuite comme cette conversation intime avec mon propre fils avaient fait leur oeuvre sur mes sens jusque là peu satisfaits. Adrien projetait-il d'avoir prochainement des relations sexuelles? En outre, mes fantasmes se portaient de plus en plus sur leurs réunions, plus particulièrement sur Guillaume qui était un fort beau jeune homme, délicieusement sensuel et amical.

C'était devenu totalement incontrôlable. Quand il venait nous voir et qu'il me faisait la bise, je ne pouvais m'empêcher de me serrer un peu contre lui, mes seins frôlant sa poitrine, sans qu'il ne recule. Je lui faisais de l'effet et loin d'être gêné, il semblait partager ces moments sensuels encore très discrets. Quand il avait l'occasion de passer près de moi, il multipliait les occasions, lui aussi, de me frôler sans qu'Adrien semble remarquer quoi que ce soit. Guillaume dégageait une entêtante odeur de jeune mâle - d'aucun dirait des phéronomes - qui me rendait folle, et mes fantasmes nocturnes se nourrissaient de ce garçon pourtant de quelques mois plus jeune que mon fils. La raison aurait dû l'emporter, c'était à moi d'être sage pour deux, de prendre mes distances, mais le dilemne était cruel: casser toute relation avec Guillaume au risque de blesser mon fils Adrien à qui je ne pouvais décemment pas expliquer pourquoi j'agirais ainsi ou bien continuer "advienne que pourra" et risquer de rompre leur amitié et de m'attirer le mépris justifié de la personne qui comptait le plus au monde pour moi - mon fils?

Je "n'aimais" pas Guillaume, du moins je ne le croyais pas encore mais il m'affolait sexuellement, et je mettais cela sur le compte de ma frustration des années passées, de sa proximité avec mon fils comme, bien entendu, de ses charmes personnels. Mais le fait est qu'il hantait mes nuits et bientôt mes jours...
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C'est ce que je crus être le hasard - qui décidément fait bien les choses - comme l'esprit d'initiative qui décida pour nous.

Un samedi, Guillaume était chez nous pour le week-end, quand Adrien fut appelé au téléphone: son club de tennis qui déplaçait son équipe pour un tournoi relativement éloigné se retrouvait dans l'impossibilité de fournir son quota d'arbitres et de juges de lignes, et risquait une sévère pénalité financière. Or s'il est une chose que Guillaume et Adrien ne partagent pas, c'est la passion du tennis. La décision fut rapidement prise: Adrien irait à ce tournoi qui durerait samedi et dimanche, et Guillaume resterait avec moi - sa mère étant partie visiter ses parents en province.

Je savais que ce n'était pas une bonne idée. Mais comment le dire, sur quels arguments me justifier, surtout quand mes seins durcissaient à la perspective de cette promiscuité, que mon bas-ventre irradiait d'une douce chaleur incontrôlable?

Je décidai d'éviter au maximum tout contact rapproché. Guillaume jouait sur l'ordinateur de mon fils, je jardinais. Puis nous prîmes un court diner, devisant aimablement de choses et d'autres, moi étant persuadée que je parvenais à cacher mon désir et mon malaise face à ce garçon superbe, simplement vêtu d'un bermuda et d'un débardeur et chaussé de sandales. Il manifesta le souhait de regarder la télévision, et moi de monter me coucher en prétextant un petit coup de fatigue.

— Bonne nuit Isabelle, me dit-il en m'embrassant sur la joue pendant que je ne pouvais m'empêcher de l'étreindre un peu plus que de raison.

Sous la douche, je me caressai vigoureusement, m'arrachant un orgasme déchirant qui loin de ma calmer sembla décupler ma frustration. Je me parfumai et me couchai sous un drap fin, vêtu d'une simple nuisette, en pleurant sur ce désir impossible.

Je n'ai jamais su dormir dans le noir, aussi est-ce grâce à la petite lampe de chevet que je vis la porte s'ouvrir et Guillaume entrer, un sourire mal assuré aux lèvres qui faisait contraste avec une démarche somme toute résolue. Il était pied nus, en caleçon et en débardeur, les cheveux encore humides de la douche qu'il venait de prendre.

C'est dans la lumière, sans rien dire, qu'il se mit torse nu: il était aussi musclé et imberbe que mon fils, peut être même plus frêle - ce qui ne l'empêchait pas de dégager une sorte de virile assurance juvénile.

— Mais... qu'est-ce-que tu fais, balbutiai-je, sachant que je serais incapable de résister à ses initiatives, terrorisée à cet égard mais en même temps espérant follement qu'il irait jusqu'au bout.

— Je fais ce... ce que tu penses et... ce que tu veux, Isabelle, dit il en se mettant complètement nu, sexe déjà érigé.

Dieu qu'il était beau, que je le désirais! Il se glissa sous le drap à côté de moi et immédiatement ses mains chaudes se portèrent sur mes seins qu'ils coiffèrent en cloche et qui durcirent, m'irradiant de plaisir, pendant que ses lèvres cherchaient les miennes. Un bref instant d'hésitation, de tâtonnement, et nos langues se mélangèrent pendant que ses mains parcouraient avidement mon corps tendu à l'extrême, et que mes ongles griffaient légèrement la peau douce de son dos. Nous haletions de bonheur, lui couché sur moi, et je sentais sa jeune virilité durcie contre mon mont de vénus, ce qui m'électrisait.

C'était un petit mâle que j'avais avec moi. Peut-être un peu maladroit, mais soucieux de bien faire, de me contenter autant qu'il prendrait son plaisir. Ses mains exploraient chaque recoin de mon corps, et notaient les zones érogènes que je lui communiquais par le biais de petites gémissements; il notait soigneusement la zone pour y repasser de façon plus subtile, parfois en l'effleurant à peine, parfois la main posée bien à plat, parfois en pétrissant les chairs avec vigueur.

Pendant ce temps, sa bouche descendait peu à peu, me léchant, déposant de petits baisers, tétant une à une mes aréoles,puis glissant sur mon ventre avant de s'attarder dans mon pubis que j'entretenais soigneusement avant de faire le tour de mes lèvres... puis de se fixer sur mon bouton - ce qui m'arracha un cri de plaisir. Là encore, la langue tâtonna avant de lécher, de tourner pendant que je me tordais de délire jusqu'à ce qu'un foudroyant orgasme me renverse pendant que je criais, accroché à ses cheveux.

Je retombai inerte, jambes écartées, quand il se redressa, et sans le moindre préambule, après un tâtonnement un peu surprenant après tant d'assurance, planta sa verge dans mon vagin parfaitement lubrifié qui se contracta de plaisir autour de ce jeune morceau de chair turgescente et palpitante. Je sentis bien que je l'avais brûlé, que son désir avait été près de le faire exploser... Il tremblait de tous ses membres, son poids pesant sur moi jusqu'à presque m'étouffer: il se retenait désespérément pour ne pas jouir par anticipation, attentif à me redonner encore et toujours du plaisir. J'écartai à fond les jambes, les nouant derrière lui, attentif à ne pas accélérer la cadence des va-et-vient qu'il avait entamés. Il compensait habilement la taille relativement modeste de sa verge en pratiquant de larges mouvements circulaires qui, à chaque fois, me stimulaient le clitoris.

Mais le désir de jouir me reprenait... et c'est moi qui, en le resserrant contre ma poitrine, en gémissant, le poussai à renforcer son assaut, qui nous amena à une conclusion parfaitement synchrone. Il explosa en moi, râlant de bonheur, pendant que mon vagin se contractait autour de sa tige, et que mon bas-ventre se contractait, agité de soubresauts inouïs... Nous restâmes l'un dans l'autre, haletants, nous caressant, en sueur, juste capables de nous embrasser doucement. C'est lui qui s'excusa...

— Pardon Isabelle, je... je t'ai fait prendre un risque, je n'ai pas pu me retenir!

Je souris...

— Ne t'inquiète pas, je suis parfaitement réglée et je ne pense pas qu'il y ait de danger à ce moment du mois... Sinon j'assumerai et je prendrai mes dispositions. C'est moi l'adulte, c'était à moi de penser à cela. Dis, Guillaume, ajoutai-je inquiète... Qu'est-ce qui va se passer, maintenant? Je pense à... Adrien et à ta mère! Tu sais que je ne ferai rien qui fasse de la peine à Adrien, et votre amitié...

— Tu crois pas qu'on a le temps de penser à cela demain? me dit-il en souriant. Regarde ça, me dit-il en montrant sa verge à nouveau droite comme un I, et en se mettant sur le dos.

Je le chevauchai alors, m'empalant sur cette verge après avoir tendrement caressé le sac qu'elle surmontait pendant que ses mains palpaient mes seins durcis, redescendaient sur mon ventre, effleuraient mon bouton... Trois fois, ce démon me fit jouir avant d'exploser à nouveau! D'un commun accord (nous étions trempés de sueur), nous allâmes prendre une douche commune pendant laquelle il parvint à me reprendre en levrette, et nous finîmes nus, épuisés, dans les bras l'un de l'autre en compagnie de Morphée.

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Dire que je n'étais pas à mon aise le lendemain, quand je m'éveillai vers neuf heures, c'est un euphémisme. C'est une bonne odeur de café chaud qui me tira du lit, et je descendis en peignoir, le rouge au front pour voir Guillaume s'activer: il avait fait des oeufs au jambon, avait pressé des oranges, fait le café et me regardait en souriant, en peignoir lui aussi.

Je mélangeais les arguments sans parvenir à en tirer quoi que ce soit de cohérent. C'était fou, nous étions égoïstes, mon fils me mépriserait, sa mère me haïrait si elle ne portait pas plainte contre moi, c'en serait fini de leur amitié... À côté de cela, c'était si bon, pour lui comme pour moi... Je savais fort bien, in petto, que jamais je ne résisterais à un tel appel de la chair... Le téléphone sonna deux fois, s'interrompit puis retentit de nouveau.

— C'est pour moi, dit Guillaume d'une voix impérieuse.

Il embarqua le combiné et disparut pendant un long quart d'heure dans le salon, pendant que je ruminais mes pensées en grignotant. C'est un garçon souriant qui revint...

— Je sais ce que tu vas me dire, Isabelle: toi et moi, c'est de la folie, l'amitié d'Adrien, ma mère, etc. Alors écoute-moi bien. Pour la première fois de sa vie, ton fils t'a menti pour une chose importante. Il sait très bien ce qui devait se passer cette nuit et je viens de le lui confirmer. D'ailleurs, il n'était pas avec son club de tennis, mais avec maman, et il s'est passé la même chose entre eux. Cela fait des mois que je rêve de toi, poursuivit-il, et cela fait des mois qu'Adrien flashe sur ma mère. Et on n'est pas débile, on a vu que ça semblait réciproque mais que vous étiez trop coincées pour faire le premier pas, alors on a goupillé cela... Et rassure toi, termina-t-il. Si ça n'avait pas collé d'un côté ou de l'autre, si l'une de vous n'avait pas marché dans la combine, on se serait téléphonés pour tout arrêter. On a été quasiment synchrones, et ma mère est au courant comme toi, et elle le vit bien... comme toi j'espère. Je sais pas, mais à votre place je discuterais pour organiser le futur... Pourquoi ne vivrait-on pas en colocation tous les quatre pour faire taire les rumeurs? En tout cas, dit-il en tremblant et en me prenant dans ses bras... Cette nuit a été la plus belle de ma vie et si tu me dis que c'est la dernière, je sais pas comment je le prendrai... et je sais qu'Adrien pense comme moi de son côté!

J'avais les larmes aux yeux, je crevais tant de désir que d'amour pour ce môme, d'admiration pour ces deux jeunes qui avaient si bien dirigé les évènements, qui changeaient nos vie pour notre plus grand profit. C'est néanmoins avec une toute petite pointe de jalousie que je ne pus m'empêcher de lui demander:

— Mais où donc et avec qui as tu bien pu apprendre à si bien faire l'amour, à ton âge?

Il ouvrit de grands yeux surpris; j'adorais le côté naïf de ce jeune macho qui savait rester môme par certains aspects:

— C'était si bien que ça? En rougissant il murmura... J'ai appris tout seul... Tu es la première. Puis, avec un petit air gêné: bon d'accord, on a fait quelques trucs ensemble, Adrien et moi, comme presque tous les garçons. Mais le sexe, le vrai, je l'ai découvert cette nuit. Et je voulais tant te rendre heureuse...

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Dès la semaine suivante, je me faisais prescrire la pilule. Quelques mois plus tard, nous abandonnions nos appartements respectifs pour emménager dans une grande villa commune où officiellement chacun vivait de son côté. Mais à part de rares intimes, personne ne savait que les garçons nous rejoignaient dans l'intimité...

Catherine et moi, nous avons décidé de profiter de l'instant présent - sachant fort bien qu'un jour, il est vraisemblable que nos fils prendront leur envol. Notre seul voeu - mais cela ne dépend pas de nous - c'est que ça se passe plus ou moins au même moment, pour que nous puissions nous appuyer l'une sur l'autre.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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