Goliath (1)
Quel bonheur de pouvoir courir autour de sa maison sans être obligé de faire attention aux voitures, je réside dans la banlieue bordelaise et en plus j'ai la chance d'être au bord dune piste cyclable qui traverse le médoc et permet de se rendre à vélo vers "l'océan". Je chausse mes rollers et avec mon dogue allemand nous faisons de longues ballades, j'ai réussi à lui confectionner un harnais et je me fais tracter quand la fatigue se fait sentir.
Goliath a trois ans, en pleine possession de ses moyens, 70kg et plus de 2m quand il se dresse sur ses pattes de derrière. Adorable, joueur, taquin même, il adore pousser le monde dans la piscine, il faut reconnaître qu'il impressionne énormément et pourtant c'est un monument de tendresse.
Marlène la fille de mes voisins m'accompagne souvent maintenant qu'elle maîtrise plutôt bien les rollers.
C'est une gamine de 18 ans assez délurée, très brune, très grande avec une poitrine qui attire immanquablement le
regard. Je sais depuis peu qu'elle fait 90C. Nous avons de plus en plus souvent envie de patiner ensemble, et j'avoue que voir cette belle plante avec ses shorts taillés dans de vieux Jean’s à la
limite de l'indécence me met dans tous mes états. Nous empruntons la piste cyclable qui n'est bien fréquentée qu'en été, hors saison il n'y a que quelques vélos ce qui nous laisse tous loisirs de
nous faire tracter par Goliath sans problèmes.
Marlène apprécie énormément mon chien et il le lui rend bien, elle est visiblement très troublée par l'affection qu'il lui prodigue, lors des pauses elle se couche souvent sur son flanc. Voir la tête de Goliath beaucoup plus grosse que celle de Marlène se poser délicatement sur son bras et lui faire des petites lèches laisse augurer de la complicité qui est en train de voir le jour entre eux.
Un après-midi que le soleil n'était pas trop ardent, nous sommes partis traverser la forêt, nous voulions voir les écureuils se gaver de pignons de pins avant l'hibernation mais ce jour là nous n’en avons pas vu. Après une dizaine de kilomètres, nous décidons un arrêt, une collation, une boisson énergétique un peu de repos sous les pins à l'abri du passage.
Marlène s'éloigne de trois ou quatre mètres pour satisfaire un besoin naturel, il n’y a rien pour s'isoler, pas le moindre taillis, seuls quelques grands pins pas très gros. Elle défait son short et le baisse, mon sang ne fait qu'un tour, elle ne porte pas de culotte, face à moi elle plie les genoux et écarte les jambes. D'où je suis, je ne peux rien ignorer de son sexe épilé façon timbre-poste, elle passe un doigt entre ses lèvres glabres et urine en me regardant droit dans les yeux. Mon sexe commence à être l'étroit dans mon short, elle ne peut plus ignorer la bosse qui prend des proportions que je ne peux plus empêcher. Je porte instinctivement ma main à ma braguette, j'ai envie de lui montrer mon sexe comme elle me montre le sien.
— Marlène tu te rends compte dans quel état tu me mets?
— Toi aussi, tu as envie de faire pipi?
— Oui entre autre.
— Eh bien ne te gêne pas j'aimerais bien te voir faire.
Je suis obligé de baisser mon short, la
braguette est fausse, un filet faisant office de slip, mon sexe se détend dés que le short est au milieu de mes cuisses. Marlène parait fascinée par la vue de mon sexe en érection où commence à
perler une goutte de liqueur, je passe un doigt dessus et je l'étale sur mon gland. Je veux uriner mais impossible, je suis trop excité. Je prends ma queue à pleine main et commence à me
caresser. Marlène est toujours accroupie, elle met un doigt dans sa chatte, écarte les lèvres et touche son clito puis elle se lève. Goliath attiré par l'odeur de l'urine vient coller sa truffe
sur la main qui va-et-vient doucement, un coup de langue et Marlène retire sa main. Goliath lui lèche le minou à grands coups de langue. D’abord surprise, elle se reprend vite en écartant les
jambes pour lui faciliter l'accès puis elle se retourne, appuie ses mains sur l'arbre qui était derrière elle, se penche en avant et cambre bien ses reins. Goliath peut maintenant accéder à la
totalité de la raie, et il ne se prive pas de lui glisser sa langue entre les fesses, visiblement, elle y prend du plaisir. Je suis toujours debout, la queue a la main, je n'ose pas prolonger ma
masturbation, je sens que je vais jouir.
Marlène se redresse, me regarde, un large sourire éclaire son visage. Il y a dans son sac à dos une légère couverture qu'elle étend au pied de l'arbre et s'allonge. Goliath se rapproche, remet son mufle entre ses cuisses et reprend le léchage à grands coups de langue, le sexe de Marlène est grand ouvert et luisant. Je m’avance et m'assoie au coin du tissu. Goliath a l'air de prendre de plus en plus de plaisir si j'en juge par le gros bâton rouge qui commence à sortir de sa gangue. J'avais plusieurs fois vu mon chien en érection mais jamais d'aussi près, ce qui sort me parait énorme et ce n'est que le début. Pour je ne sais quelles raisons, il fait demi-tour et tout en continuant à lécher Marlène, il se trouve quasiment en 69, son sexe qui bande de plus en plus pend maintenant au-dessus de la tête de Marlène. Des petits jets de semence sortent en permanence et tombent sur sa poitrine. Elle le prend doucement dans sa main et le dégage complément de son fourreau, elle entame une masturbation, caresse les flancs du chien et me regarde les yeux révulsés. Elle prend son plaisir bruyamment, son corps est agité de quelques spasmes et elle retombe sur le dos.
— Ouf! Comme c'est bon, quelle langue! Et toi tu n'as pas joui?
— Non je te regardais, quelle merveille, on dirait que tu as souvent caressé un chien.
— Pas souvent, mais tu sais, ma sœur a un superbe labrador. J'ai surpris leur manège plusieurs fois, ça m'a beaucoup tentée. Un jour j'ai fait comme elle, je me suis laissée lécher ensuite je l'ai branlé mais je n'ai jamais pu le faire jouir. J’avais envie qu'il me prenne mais il est très habitué à ma sœur et n'a pas voulu. Je me suis contentée de me caresser et de me laisser lécher jusqu'à ce que je jouisse.
— Ta sœur est au courant?
— Pas à ma connaissance, mais comme c'est elle qui m'a initiée à la jouissance, elle a seulement 1 an demi de plus que moi, je crois que je serais obligée de lui dire. Son chien est aussi adorable que Goliath et j'avoue que j'en ai envie depuis longtemps.
— Goliath n'a jamais eu de rapports avec des humains que je sache et je ne voudrais pas que tu soies frustrée, il a l'air d'aimer ce que tu lui fais.
— Ma sœur taille des pipes à son chien, elle le suce longtemps, j'ai vu qu'une fois: il lui avait déchargé dans la bouche. Ça doit être formidable.
— Dis-moi Marlène, tu as l'air d'être très au courant des choses du sexe. Il y a longtemps que tu pratiques?
— Non, à 15 ans j'ai commencé à me masturber, je trouvais ça bon mais ce n'était que du plaisir je n'avais pas d'orgasme. C'est venu le jour ou j'ai vu ma sœur se masturber et jouir, j'ai compris qu'il manquait quelque chose dans mon geste. Je ne me suis pas arrêtée quand j'ai eu du plaisir et j'ai eu mon premier orgasme.
— Tu as pratiqué avec un garçon?
— Alors ça c'est une autre histoire! J'ai déjà eu des rapports mais les garçons ne m'intéressent pas, j'aime beaucoup mais je n'ai pas envie d'avoir un mec à mes trousses tout le temps. Je veux pouvoir faire ce que je veux. Pour le moment ma sexualité, je la découvre.
Je n'avais pas remis mon sexe dans mon caleçon et j'étais toujours en érection, mal assis sur ce coin de tissu. Goliath, apaisé, était couché à côté de Marlène. Mon regard s'est porté sur son entrejambe, elle a suivi mon regard, écarté les genoux et posé sa main sur son petit carré de poils, un doigt glissé entre ses lèvres luisantes.
— Tu aimes voir ma chatte? Tu as une belle queue Fred, je peux toucher?
— Bien sûr que tu peux la toucher, tu peux en faire ce que tu veux mais je te préviens, je suis au bord de la jouissance, je crois que je vais décharger.
— J'ai envie de te voir jouir et en plus j'adore le goût du sperme!
Elle pose sa main sur ma queue, baisse la tête, met
sa bouche sur mon gland et lui donne comme un petit baiser et d'un seul coup elle prend entièrement mon sexe dans sa bouche. J'avais tellement envie que je n'ai pu me retenir, je me suis laissé
aller et j’ai déchargé. Elle ne s'est pas dérobée en avalant, au fur et a mesure, les giclées de sperme que je lui envoyais au fond de la gorge. Pas très fier de mon geste, j'ai voulu
m'excuser:
— Je t'avais dit que je ne pourrais pas me retenir, je...
— J'adore le goût du sperme et le tien est très bon. J'aime beaucoup sucer une queue mais les garçons ne veulent que ça, une pipe et ils se tirent, alors je reste sur ma faim. Tu comprends pourquoi en ce moment j'ai envie d'autre chose...
— Marlène, je suis tout à fait d'accord avec toi. Il y a longtemps que je te regarde, tu me troubles beaucoup, même mon épouse te trouve superbe.
— J'ai envie de faire l'amour sous toutes ses formes, je découvre, j'ai compris que je pouvais te parler et me laisser aller avec toi. J'ai compris ça quand je viens chez toi pour la piscine, ton épouse est très naturelle, j'adore sa façon d'être, sans elle je n'aurais jamais pris de bains nue. J'ai bien compris que vous aviez une certaine liberté quant au sexe et cela m'a beaucoup plu.
— Marlène tu es adorable, je comprends ton point de vue, je sais que tu troubles aussi Josy...
— Josy, je la trouble? Mais je t'assure que je ne fais rien pour. Tu crois que je peux rester insensible quand elle est allongée sur son transat et qu'elle se caresse de temps en temps? J'adore voir son sexe qui mouille. Un jour, je vous ai vu faire l'amour, je n'étais pas partie, je regardais la télé dans le salon. Je me suis branlée sur votre canapé. J'y pensais encore le soir en me disant que vous sentiriez peut-être l'odeur de ma chatte, je me suis fait jouir comme une folle.
— Marlène tu es très cool, ta façon de te libérer sexuellement laisse augurer un tempérament de feu. Quels sont actuellement tes fantasmes?
— Sexuels?
— Oui.
— Je ne suis plus vierge bien sûr, mais je n'ai pas une grande expérience de la pénétration avec les garçons. Je ne suis pas sure d'avoir bien joui, j'ai toujours été obligée de me masturber après. J'ai envie d'être pénétrée, de jouir avec une queue dans ma chatte, une sorte de dépucelage en somme. Tu as envie de me faire l'amour Fred?
— Oui bien sûr que j'ai envie de te faire l'amour mais je te préviens, je ne ferais rien seul, c'est à dire toi et moi. Nous avons une vie sexuelle libre Josy et moi, mais nous ne faisons jamais rien l'un sans l'autre. Comme je te disais, Josy a envie de toi certainement autant que moi, nous allons mettre sur pied une soirée où nous pourrons nous éclater. Tu aimes te faire toucher par une femme?
— Je n'ai été touchée que par ma sœur, elle m'a appris à me masturber et à me pénétrer avec un gode pour me faire jouir, mais je n'ai jamais eu d'autres relations avec une femme...
— Tout à l’heure avec Goliath, tu agissais comme si tu avais une grande expérience, il l'a bien senti et s'est laissé faire.
— Là encore c'est à cause de ma sœur. Quand je l'ai vue avec son chien ça aurait dû me dégoûter, au contraire ça m'a tellement excitée que je n'arrêtais pas de me masturber en y pensant, jusqu'à ce que je franchisse le pas et que je me laisse lécher par lui, je n'ai pas pu le sucer, il s'est laissé caresser mais sans plus. J'ai essayé plusieurs fois mais il ne s'est pas laissé faire quand j'ai voulu qu'il me pénètre, il est très attaché à ma sœur.
— Tu penses que tu pourrais te laisser pénétrer par Goliath? Tu as vu la taille de son sexe? Bien plus gros que le mien et plus long aussi, je ne suis pas sûr qu'il soit très doux pendant les relations sexuelles, il n'a pas été éduqué dans ce sens comme a pu le faire ta sœur avec son chien.
— J'ai envie de lui apprendre, je serais douce avec lui et il le sera avec moi, la taille de son sexe n'est pas un problème. Quand tu auras vu la taille des godes de ma sœur tu comprendras. J'utilise le plus gros depuis longtemps, je suis même en train de me dilater l'anus, j'ai découvert que je pouvais jouir aussi par le cul regarde...
Elle se retourne se met à genoux écarte ses fesses et
me montre sa rosette, elle y glisse 2 doigts sans difficulté puis un troisième et entame un va-et-vient qui me remet en érection immédiatement.
— Tu vois comme je commence à être ouverte? J'ai envie d'une queue dans mon cul, tu m'enculeras dis? J’aimerais beaucoup.
— Je te promets.
Je bande, mon sexe me fait mal, je me branle à deux doigts du visage de Marlène, sa position a réveillé Goliath qui se remet sur ses pattes et recommence à lécher cette raie offerte. Il est positionné derrière elle, j'ai l'impression qu'il va la prendre. Son sexe est complètement sorti de son fourreau, c'est énorme, il recommence à gicler par petits jets qui arrivent sur les fesses de Marlène. Elle passe la main sur ses fesses et étale ce jus qui coule en permanence et se remet deux doigts dans le cul. Goliath s'avance et met ses pattes de chaque côté de Marlène, elle passe complètement dessous son ventre. Le sexe du chien est contre ses fesses, elle le prend et le dirige vers son cul mais hésite, le frotte sur sa raie, le chien fait des mouvements avant arrière, essaie de la pénétrer.
Je me penche et j’attrape le pal de
Goliath que je dirige vers sa chatte, je n'avais jamais tenu un sexe aussi gros, ça palpite, ça gicle tout le temps. Il rentre amorce un va-et-vient, elle recule et il rentre jusqu'au bout, il la
pénètre très vite, elle a un orgasme rapide et tombe à plat ventre. Goliath ne bouge pas, il gicle toujours sur le dos de Marlène Elle se retourne sous le chien, sa tête se trouve à 10cm de cet
énorme morceau de chair. Elle avance et le prend dans sa bouche avec délicatesse, de plus en plus loin, elle le suce... Le suce. Je me branle, elle le suce encore, avec une main elle me touche le
sexe, me branle un peu, je ne peux plus tenir et je décharge à gros jets sur son T-shirt. Elle accentue le mouvement avec sa bouche. Je vois couler de chaque côtés du sexe du chien le trop plein
de sperme qu'elle ne peut avaler, Goliath vient de lui décharger dans la bouche, elle se frotte les joues avec le surplus elle est rayonnante.
— Ça y est, je me suis fait baiser par un chien, je l'ai sucé c'est super! dit-elle avant d'ajouter en me regardant: Et toi tu as bien joui?
— Très bien, j'ai adoré te voir faire. Il a failli te prendre le cul mais je l'ai empêché, j'ai pensé que c'était un peu tôt. S’il arrivait quelque chose, nous ne sommes pas à la maison.
— Pourquoi un peu tôt?
— Tu vois les grosses boules derrière le sexe, c'est à cause d'elles que les chiens restent liés aux chiennes, leur dilatation empêchent la séparation afin que le sperme reste bien dans la matrice de la chienne, ça provoque aussi l'ovulation. Tu comprends que si tu étais restée liée, ça peut durer demie heure. Maintenant que tu sais, il faudra faire très attention et te retirer rapidement sinon galère, surtout si tu te fais prendre par le cul.
— Tu aurais dû le laisser faire, j'ai envie de me faire enculer par une grosse queue, tu l'aurais empêché de rester collé c'est tout. Sa queue est plus grosse que la tienne, plus longue aussi, j'aurais adoré.
— Je sais, je l'ai prise en main, première fois que je fais ça, très excitant, je comprends maintenant.
— Tu comprends quoi?
— Ce que peux ressentir une femme qui touche la bite d'un chien. Rien à voir avec une queue d'homme.
— Tu n'as jamais touché une autre queue que la tienne?
— Si Marlène, souvent, je suis complètement bisexuel. Je me fais prendre quelques fois, moi aussi je me suis dilaté le cul car j'adore me faire enculer par un mec. Je me demande pourquoi je ne prendrais pas non plus du plaisir avec Goliath.
— Et ta femme avec Goliath, jamais?
— Autant que je sache non, mais je trouve qu’il a une bonne activité sexuelle avec les femmes, je me pose quelques questions. Tu n'auras qu'à lui demander, je pense qu'elle te le dira.
Je suis presque certain que Josy a des rapports avec Goliath, il n'y a pas longtemps mais je sens qu'il se passe quelque chose, certains indices laissent supposer qu'elle fait son éducation.
— Marlène il est plus de 5 heures, nous devons envisager de rentrer.
Elle me regarde, s'approche de moi et passe un bras autour de mon cou. Elle me donne un baiser sur la bouche je sens le goût et l'odeur du sperme de Goliath.
— Tu me prendras le cul dis? Tu me l'as promis! J'ai encore envie de jouir, tu ne veux pas me baiser?
— Non Marlène, je t'ai déjà dit que je ne ferais rien sans mon épouse. Branle-toi si tu veux.
— Tu as raison, rentrons en plus j'ai faim, mais avant, je vais faire encore un petit pipi, tu veux me voir encore? J'adore m'exhiber.
Des fois quand je fais pipi, je me branle le cul en même temps, c'est hyper jouissif. Tu sais que
j'aimerais voir quelqu'un faire ses besoins, quand je peux, je me regarde avec une glace en train de chier. Ma sœur dit que je suis pire qu'elle mais je sais que c'est de famille, mes parents
sont très coquins, ils baisent partout dans la maison, même quand nous sommes là, cela ne les gêne pas du tout. Avec ma sœur, nous nous branlons en les épiant, je suis sure qu'ils savent que nous
les regardons.
— Ta sœur c'est Rébecca? On ne la voit presque jamais, elle ne vit pas à la maison?
— Si mais elle fait ses études, elle ne rentre que le vendredi soir. Elle prépare une grande école et bosse beaucoup. Elle est très indépendante, elle avait un copain mais ils se sont quittés, il ne comprenait pas sa liberté sexuelle.
— Rébé?
— C'est le diminutif de Rébecca.
— Fais ton pipi et nous partons.
— Ok mais tu sors ta queue, je voudrais te voir pisser en même temps que moi.
Je baisse mon short, je ne suis plus en érection, mais je ne débande pas complètement. Je commence à pisser à grands jets, Marlène pisse debout un doigt sur le haut de son sexe qu'elle remonte, elle pisse aussi loin que moi, je suis très étonné mais je trouve ça plutôt amusant.
— C'est Rébé qui m'a montré ça. Devant les garçons qui disent que c'est eux qui pissent le plus loin, tu verrais leur tête!
Cette gamine me fait un effet incroyable, elle est belle, elle aime le sexe, le cul dirais-je et elle ne se prend pas la tête. Elle remet son short, va vers Goliath toujours couché sur la couverture. Elle lui prend sa grosse tête à deux mains et lui fait un gros bisou sur la truffe, Goliath la gratifie d'un coup de langue magistral.
— Toi aussi tu m'enculeras, je te le promets lui dit-elle.
Pour le retour, Goliath a tracté Marlène presque tout le long du chemin, pas trop vite en se retournant pour voir si elle suivait bien. J'étais très étonné, avec
moi il tire à une vitesse que je ne peux pas toujours suivre! Une idylle est peut-être en train de naître!
Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
Mmm j’ai envie je mouille déjà …
Depuis que mon père avait quitté la maison et était parti s’installer en
Afrique du Sud avec sa nouvelle femme, nous venions en vacances, ma mère, ma sœur et moi dans ce petit village à une centaine de kilomètres de la capitale. Nous y passions deux délicieux mois à
faire de l’escalade de parois schisteuses, du kayak, de la promenade en forêt et nous nagions dans les eaux glacées de la rivière qui coulait en contrebas. Ma sœur Héléna affectionnait le kayak
par-dessus tout, en fait elle avait un petit faible pour le moniteur, un vieux (j’étais encore adolescent à l’époque) que je ne pouvais pas encaisser. Je ne le trouvais pas correct, sympa
peut-être, mais comme il faisait du rentre dedans à ma mère...
Héléna se caressait comme une folle dans la baignoire et comme un rituel,
s’agenouillait une fois séchée devant le bidet et tout doucement après l’avoir enduit à profusion de salive, se caressait le vagin avec le manche de sa brosse à cheveux qu’elle enfonçait tout
doucement en miaulant dans son vagin que je pensais alors devait être très profond. Elle était prise progressivement d’une frénésie qui lui faisait accélérer le mouvement de l’objet en elle
jusqu’à ce quelle s’écroule sur le tapis, les yeux révulsés en poussant de petits cris qui allaient en diminuant. Quant à moi, à chaque fois, c’était à peu près le moment où mon pénis masturbé
avec la même frénésie crachait tout son saoul de sperme dans ma main. Dieu que c’était bon!
Elle aussi portait les cheveux assez courts, elle restait ensuite immobile, mais je pouvais voir
ses mains bouger sur son corps à travers l’eau. Elle caressait la pointe de ses seins de ses deux mains, puis elles descendaient lentement vers la touffe des poils de son entrejambe et s’y
attardaient un très long moment, massant toutes les parties de son vagin, l’une entrant très profondément à l’intérieur (d’où je me tenais, je n’en voyais plus que le poignet, j’en avais la gorge
sèche, dieu quel bonheur!), l’autre jouant sur les lèvres (je compris plus tard qu’il s’agissait en fait de son clitoris). Après de longues minutes, le mouvement de ses mains s’accélérait et
maman était prise d’un tremblement grandissant qui semblait ne pas vouloir s’arrêter, qui augmentait, augmentait puis sur un cri qu’elle étouffait en se mordant l’épaule, tout se calmait. Je me
retenais mais je n’arrivais jamais à me retenir et j’éjaculais de longs jets de bonheur.
— Mon chéri, mon chéri, je t’ai déjà dit qu’il
valait mieux garder ta semence pour plus tard, pour tes amies. Tu sais, ce n’est pas que ce soit sale ou que je veuille t’interdire de te masturber, mais je trouve qu’un si joli garçon ne doit
pas gaspiller son énergie comme tu le fais de plus en plus souvent.
Elle se tut et d’un geste rapide dégrafa son
soutien qui s’ouvrit d’un coup libérant les seins adulés. J’ouvris le blouson tout grand, descendis le long de son corps et me jetai sur son sein gauche, l’embrassant fougueusement, le léchant,
salivant et le mouillant tant que je pouvais. Arrivé au mamelon, je me mis à le sucer comme si je voulais l’avaler et qu’il ne voulait pas se décrocher.
Elle m’entoura le cou de son bras gauche, m’embrassa l’oreille, puis de sa main droite, caressa longuement mes tétons et doucement descendit le long de mon ventre. Arrivée à
l’élastique de mon slip, je compris où elle voulait en venir et mon sexe se gonfla complètement de sang, présentant une érection énorme et dure. Maman souleva le slip et attrapa le bout de mon
pénis, glissa sa main le long de la hampe et descendit jusqu’au sac de couilles. Elle caressait doucement, montant et descendant du bord de mon anus au bout de mon gland.
Elle continuait à sucer ma verge, avalant tout le
jus qui en sortait en giclées puissantes et je devinais dans un demi coma qu’elle frottait son vagin de plus en plus vite de sa main, puis s’arrêtait, épuisée. Tout était sorti et elle suçait
encore. Elle rouvrit les yeux et entre ouvrant la bouche, elle relâcha ma verge. Elle me sourit, sa bouche et ses dents brillaient de mon sperme, je la rejoignis et l’embrassai follement,
partageant avec elle les restants de ma semence comme elle l’appelle, dans un baiser qui dura une éternité. Pendant que nous nous embrassions, nos deux corps se rapprochèrent et s’unirent.
Eh! Oui, la plupart des parents d'adolescents auront du mal à me
croire, mais Adrien, bien qu'entré dans l'adolescence, bien qu'intégré dans une bande de copains et de copines que j'apprécie plus ou moins (j'en adore certains, d'autres m'indisposent
relativement) a toujours autant de plaisir à me consacrer quelques instants à moi, sa mère, à m'accompagner au restaurant, à partager une toile avec moi (tantôt je me farcis des films d'ados qui
ne me m'intéressent guère, tantôt c'est lui qui se plie à mes désirs du moment, me charriant gentiment à la sortie sur mes "goûts à chier grave").
Son alter-ego, son frère, je dirais
presque, c'est Guillaume, de trois mois plus jeune, aussi brun qu'Adrien est blond, mais tout aussi beau et tout aussi gentil. Ils se connaissent depuis le jour où, en maternelle, ils ont été
surpris à soulever les jupes des petites filles pour examiner concrètement la différence sexuée, ce qui leur a valu de passer une partie de la récréation au piquet avec une sévère réprimande de
la part des "maîtresses" - elles mêmes aiguillonnées par les parents des gamines qui, à mon avis, en faisaient beaucoup trop puisque ces gosses n'avaient nullement été forcées.
Et c'est en pensant à ces jeunes corps imberbes et finement musclés, qui sentaient bon le jeune mâle dégageant une fine odeur de musc adolescent, en train de se donner du
plaisir (chacun pour soi, ou de façon réciproque?) que je dirigeai ma main vers mon clitoris et me masturbai frénétiquement. En moins de deux minutes, une immense chaleur me parcourut et je râlai
de bonheur, pantelante sur leur lit. Il me fallut changer de sous-vêtement, reprendre une douche tellement j'avais transpiré, et lutter contre le trouble immense qui m'avait m'envahi. Ma vie
prenait malgré moi une autre dimension.
— Dis m'man, commença-t-il, d'abord... je sais
que t'es pas... experte en hommes... enfin que t'en as pas connu des masses, mais tu crois que je suis... assez membré?
Sous la douche, je me caressai vigoureusement,
m'arrachant un orgasme déchirant qui loin de ma calmer sembla décupler ma frustration. Je me parfumai et me couchai sous un drap fin, vêtu d'une simple nuisette, en pleurant sur ce désir
impossible.
Je retombai inerte, jambes écartées, quand il se
redressa, et sans le moindre préambule, après un tâtonnement un peu surprenant après tant d'assurance, planta sa verge dans mon vagin parfaitement lubrifié qui se contracta de plaisir autour de
ce jeune morceau de chair turgescente et palpitante. Je sentis bien que je l'avais brûlé, que son désir avait été près de le faire exploser... Il tremblait de tous ses membres, son poids pesant
sur moi jusqu'à presque m'étouffer: il se retenait désespérément pour ne pas jouir par anticipation, attentif à me redonner encore et toujours du plaisir. J'écartai à fond les jambes, les nouant
derrière lui, attentif à ne pas accélérer la cadence des va-et-vient qu'il avait entamés. Il compensait habilement la taille relativement modeste de sa verge en pratiquant de larges mouvements
circulaires qui, à chaque fois, me stimulaient le clitoris.
— Tu crois pas qu'on a le temps de penser à cela
demain? me dit-il en souriant. Regarde ça, me dit-il en montrant sa verge à nouveau droite comme un I, et en se mettant sur le dos.




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