Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:02

Lui le seul l'unique 
  
 Bon et bien à mon tour j'écris mon histoire. Je suis un jeune homme de 19 ans et je peux m'estimer avoir une bonne expérience sexuelle. Je perds ma virginité dans un train à 14 ans et passe ma vie à faire l'amour. Mais à partir de 16 ans je regarde les hommes différemment, je les juge, les relook et parfois même tard dans la nuit je me retrouve à regarder des films homo. Pour moi ce n'est que purement du jeu sexuel et je n'y prete pas garde. Pourtant à l'âge de 17 ans j'entre en première et je fais la rencontre de David. Très vite nous devenons inséparable, on se trouve des copines et passons 7/7jours ensemble. Il n'est pas très mignon mais pour l'avoir vu à poil il est superbement membré et à un corps d'athléte. Un soir après que avoir fait du stop pour rejoindre le village perdu de nos copines, nous rentrons chez sa tante qui nous avez invité à dîner et dormir chez elle. C'était proche du village alors nous avions accepter. Après le dîner la vieille tente partie se coucher nous laissant discuter toute la nuit comme nous le faisions souvent. Puis nous allâmes nous coucher pour discuter. La discution dériva sur le sexe et il m'avoua qu'il tenterait sûrement une expérience avec un mec quand il serait sûr d'être hétéro pour voir. Je répliquais que je ne savais pas tout en cachant mon jeu, franchement j'étais chaud bouillant. Puis nous changeâmes de sujet pour dériver sur des tripes. Vers 2h du mat' nous descendîmes discrètement dans le garage pour aller fumer. Nous étions en caleçon et david laissait apparaitre une demi-trique exitante. Arrivés dans le garage, après la clope il commença à se branler à travers son caleçon. Je lui souriais et lui proposait qu'on se branle sans calebut. En deux secondes les caleçons étaient par terre. Nous parlions pour nous rassurer et nous exciter. Puis je lui proposais de nous branler mutuellement il accepta. Deux minutes plus tard il était à génou devant moi. Il saisit ma queue longue et dressée et la pris dans sa bouche. Je sentis un plaisir immense m'envahir et je m'abandonnais à la jouissance. J'éjaculais au fond de sa gorge chaude et me mis en quête de lui rendre la pareil. Je me cambrais devant son énorme queue (24cm)et commença à me saisir de ce membre. Je le mis dans ma bouche et ce qui me surpris le plus c'est que j'adorais ça. Je le suçais et il ne tarda pas à éjaculer. Ensuite nous nous embrassâmes longuement. Après être retourné dans la chambre nous avons continué toute la nuit à jour un nombre de fois incalculable. Ce soir là nous sommes allé très loin. A un moment il me dit de me cambrer et il alla s'installer derrière moi pour me prodiguer un plaisir magnifique jusque là inconnu: l'annulingus. C'était délicieux et ce qu'il s'apprétait à me faire après ce doux pêché m'excitait encore plus. Puis il présenta son gros gland devant ma rondelle. Il m'avait bien relaxée et il rentra en moi vite et bien. Il me pris sans douleur et jouit en moi. Je fis de même et me vidais en lui après lui avoir prodigué les même plaisir. Pendant deux mois nous nous "rendions service" assez souvent et puis une engueulade très importante entre nous deux fit que nous devinmes très ennemi. Depuis je n'ai jamais repris et le souvenir de la fin de cette relation m'empêche de réaliser se fantasme tant souhaiter... J'espère quand le racontant cela m'aidera un peu....... 

Après plus de quinze ans, je me suis finalement décidé à reprendre la compétition cycliste, mais en amateur. Comme vous avez certainement pu le remarquer, tous les cyclistes ont les jambes rasées ; contrairement à une certaine légende, ce n’est pas pour aller plus vite, mais, en cas d’accident, il est nettement moins douloureux de se faire retirer un plâtre, ou un simple strap, sur un endroit non poilu. Dans un premier temps, je n’étais pas très convaincu de l’utilité de me raser pour de simples courses en amateur, puis, après mûres réflexions, je me suis décidé : après tout, nous ne sommes jamais à l’abri d’un accident, même sur une banale sortie dominicale.

J’avais oublié combien c’est long de se raser deux jambes ! Ou alors je manque sérieusement de pratique. En revanche, ma copine s’était beaucoup amusée à me voir faire et fut aussi très impressionnée en se rendant compte que je n’avais pas la moindre coupure une fois le travail terminé. Elle fit glisser ses mains sur mes jambes, appréciant cette douceur toute nouvelle pour elle.

- Tu as de très belles jambes, me dit-elle d’une voix suave, de quoi rendre jalouse une femme !

Tout ceci était en train de réveiller en moi une ardeur bien masculine qui, peu à peu, dessinait une belle bosse dans mon caleçon.

- Sais-tu ce que j’aimerais ? Continua-t-elle.

- Dis-moi.

- J’aimerais que tu me laisses te raser le sexe.

- Me raser ?

- Oui. J’ai très envie de voir ta verge, tes bourses, toute ta virilité débarrassée de tous ces vilains poils.

Avec ma petite amie, nous avons une relation sexuelle que l’on peut qualifier de débridée, mais je ne serais jamais attendu à une telle demande de sa part. Ma stupeur devait se lire sur mon visage car elle se mit à rougir, se confondant en excuses.

- Oublie ce que je viens de te dire… Je ne sais pas ce qui m’a pris.

- Non, non… Tout va bien, ma chérie ; c’est juste que… que je suis un peu surpris, troublé. Tu ne m’avais jamais parlé de cette envie.

- Cela veut dire que tu acceptes ?

Bien qu’adorant les femmes ayant le pubis rasé, je n’avais jamais envisagé d’en faire de même sur mon propre corps ; du reste, je n’avais jamais envisagé qu’une femme puisse aussi éprouver le désir de voir un homme au sexe épilé. Mais l’idée ne me rebutant pas plus que ça, je finis par accepter cette nouvelle expérience.

Ma copine n’attendit pas que je répète deux fois mon approbation. Elle me demanda d’ôter mon caleçon, tandis qu’elle allait chercher une paire de ciseaux et l’un de ces rasoirs dont la lame crée son propre gel en la trempant dans l’eau.

Elle se mit à genoux devant moi et, avec les ciseaux, elle commença à couper les poils trop longs pour les attaquer d’entrée au rasoir. Je voyais à l’expression de son visage qu’elle prenait un réel plaisir à cette tâche ; bien entendu, sa main libre tripotant ma verge et mes testicules en permanence, je fus très rapidement pris d’une belle érection. Ma copine me lâcha un sourire qui en disait long, puis remplaça ses ciseaux par le rasoir.

Contrairement à ce que je pensais, la lame glissait en douceur sur ma peau. Tout en rasant minutieusement chaque recoin de mon anatomie masculine pouvant cacher un poil, ma copine s’amusait à faire quelques va-et-vient sur ma verge, jamais bien longtemps, juste ce qu’il fallait pour la conserver en érection. Je commençais à prendre beaucoup de plaisir, dans tous les sens du terme, à ce petit jeu totalement imprévu.

Elle me demanda d’écarter un peu plus les jambes, ce que je fis sans me faire prier, afin de pouvoir s’assoir entre elles. Je sentais le souffle de sa respiration venir caresser mes testicules ; mon excitation était à son paroxysme, ma verge dure comme du roc. Je sentis la lame se diriger lentement vers la raie de mes fesses et compris que ma copine avait décidé d’éliminer les poils qui y étaient logés. Elle trempa plusieurs fois le rasoir dans l’eau afin d’en dégager un maximum de gel, puis s’attaqua au poil masquant l’entrée de mon anus. Je découvrais une sensation toute nouvelle ; c’était la première fois que quelqu’un venait toucher cette partie là de mon corps ; je fus surpris de découvrir que je trouvais cela très agréable.

J’eu un léger sursaut lorsque je sentis les lèvres de ma copine venir se poser dans le creux de mes fesses ; la pointe d’une langue chaude et humide se mit à flirter avec mon anus ; je me surpris à écarter un peu plus les jambes tout en me penchant légèrement vers l’avant. Je fermais les yeux, sentant un plaisir nouveau gagner tout mon corps. La langue se faisait de plus en plus hardie, pénétrant mon anus de plus en plus profond, tandis qu’une main masser tendrement mes testicules.

Ma copine finit par se relever, se glissant derrière moi, me déposant plusieurs baisers dans le cou, puis je sentis un doigt venir caresser mon anus pour finir par me pénétrer avec une grande facilité ; le gel du rasoir y était pour quelque chose. Je poussais un râle de plaisir et voyais tous mes sens s’affoler sous l’excitation. Très rapidement, un deuxième doigt vint rejoindre le premier et ma copine se mit à me fourrager avec une ardeur qui montrait son propre état d’excitation. De son autre main, elle avait saisi ma verge qu’elle branlait au même rythme que les va-et-vient qu’elle effectuait dans mon cul. Je ne fus pas très long à venir ; je ressentis une jouissance très forte, en tout cas différente de toutes celles que j’avais connu jusqu’à présent, un orgasme qui me fit tomber à genoux, le souffle court. Je levais la tête vers ma copine et je vis beaucoup de tendresse, d’amour, d’excitation dans son regard, mais aussi un peu d’inquiétude : sans doute avait-elle peur de s’être laisser aller trop loin avec moi. Je me relevais, la serra dans mes bras.

- Je t’aime comme un damné, lui dis-je.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
 Mmm j’ai envie je mouille déjà …

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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Jeudi 2 avril 4 02 /04 /Avr 00:00
Première expérience avec une femme - récit érotique 
  
 - Je dois absolument rendre ce rapport avant demain matin … Je n'y arriverai jamais ! Il est près de 16 h, me dit Leila, ma collègue de bureau, en soupirant. - Veux-tu de l'aide ? Je peux, si tu veux, m'occuper de vérification orthographique, de la mise en page et de l'impression de la partie que tu as déjà terminée. - Oh oui, Charlotte, j'accepte volontiers ton aide, me répondit-elle, un grand sourire (craquant) aux lèvres. Je t'envoie le document tout de suite par la messagerie interne. Je m'attelai aussitôt à la tâche, lui rendant le document imprimé et photocopié en nombre d'exemplaires voulu, à 17h30 précises. Leila venait juste de terminer la suite du rapport. - Veux-tu que je m'en occupe aussi ? - Tu es sûre ? Ca ne te dérange pas ? Habituellement, tu pars à 17 h, non ? - Oui, mais j'ai prévenu Gaétan, il se charge d'aller rechercher nos deux filles. Je ne vais quand même pas te laisser tomber, lui répondis-je de mon plus beau sourire. - Tu es un amour !!! Je ne l'oublierai pas. Lorsqu'une heure plus tard, nous quittâmes le bureau, nous eûmes le sentiment d'une collaboration réussie. Ma collègue me proposa tout naturellement de me remercier en m'offrant un verre. Elle m'emmena près de la rue Neuve, dans un bar arborant un drapeau arc-en-ciel. Tiens, tiens … me dis-je. Sait-elle où elle se trouve ? La patronne, blonde aux cheveux coupés très courts, vint nous tendre la carte des consommations et ma collègue commanda aussitôt une Tequila. Mon choix se porta sur un Cointreau Coca. Je lui demandai si elle venait régulièrement dans cet endroit et elle me regarda de biais, avec un petit sourire espiègle … - Pourquoi ? Ca t'étonne ? - Euh … non, en fait, je n'ai aucune opinion - Je vais te dire un secret, approche-toi ! Plus près … Elle me chuchota dans l'oreille "Il y a beaucoup de choses que tu ignores de moi, Charlotte". Son souffle chaud près mon oreille me procura un délicieux frisson. Elle s'approcha de moi, sa cuisse touchant la mienne et la main sur mon bras. Je remarquai combien ce contact était délicieux, une sorte d'électricité passant entre nos corps … C'est à ce moment-là que la serveuse apporta nos boissons. Leila se versa du sel sur la main, le lécha sans me quitter des yeux, d'une manière que je trouvai un peu provocante, bu la Tequila d'un trait, puis suça la tranche de citron … toujours en me fixant, le regard pétillant …troublant, même. - Waouh, eh bien, toi alors … Tu y vas ! - Oui, j'adore ça. Bon, où en étions-nous ? - Eh bien, tu t'apprêtais à me dire un secret … - Ma belle, il faut que tu saches une chose : j'aime beaucoup venir dans cet endroit. J'adore me faire draguer par … (elle marqua une pause de quelques secondes) des femmes ! - Mais … ton mari est au courant ? Elle éclata de rire. - Non, pour quoi faire ? C'est ma vie, ça ne le regarde pas. Tu dis tout à ton mari, toi ? - Non, j'ai mon jardin secret. - Ca te choque de me découvrir bisexuelle ? - Non pas du tout. Et quel est ton type de femme ? - Les femmes très féminines, sensuelles, aux cheveux longs, au regard intense … un peu félines. Comme toi, par exemple. Elle se leva, m'effleura le cou d'un baiser doux et se dirigea dans le fond du café, me laissant digérer le trouble provoqué par sa déclaration et prendre conscience des frissons que ce baiser avait provoqué. Mon Dieu, quel délice … Elle revint quelques instants plus tard, souriante, la démarche sûre d'elle, extrêmement belle. A contrecœur, je regardai ma montre et lui annonçai que je devais rentrer chez moi. Elle paya l'addition, mit son manteau et m'invita à sortir. - Veux-tu que je te raccompagne à ta voiture ? - Volontiers ! - J'espère que tu as passé une bonne soirée. Je te remercie encore pour ton aide précieuse. La prochaine fois, je t'invite à un petit repas chez moi, d'accord ?, me dit-elle avec un clin d'œil complice. - Avec plaisir. Elle m'enlaça, me prit délicatement le visage entre les 2 mains, m'embrassa sur les joues tout doucement puis déposa un baiser très léger sur la commissure des lèvres … - A demain, jolie Charlotte. Je m'endormirai ce soir, en pensant à toi. - A demain, Leila, fais de beaux rêves … lui répondis-je, le sang au visage. Heureuse de cette nouvelle complicité et de cette soirée inattendue. Les 3 jours suivants, je fus envoyée en renfort, dans un autre service et, à ma grande déception, n'eut donc pas beaucoup l'occasion de voir Leila. Je dus patienter pour me retrouver seule à seule avec celle qui était responsable de rêves aussi inattendus que délicieux. Elle s'assit sur le bord de son bureau puis me regarda avec insistance, sourit, fixa ma bouche, d'un air gourmand, puis promena son regard lentement vers ma gorge puis revient vers mes yeux avant de descendre vers ma poitrine dont elle devinait le galbe à travers mon chemisier très ajusté. Troublée, j'arrivai cependant à soutenir son regard et me mis à la détailler à mon tour. Sa robe en laine rouge, soulignait ses formes généreuses, les courbes délicieusement sensuelles de son corps, ses longues jambes fuselées… Ma collègue est le type de femmes qui ne passent jamais inaperçues. Un charme fou, de la classe, une démarche assurée, un visage aux traits réguliers dont les yeux grands et sombres doivent faire chavirer plus d'un coeur … J'étais dans mes réflexions, lorsqu'elle se leva et alla chercher un dossier en passant derrière mon siège… Au retour, elle me déposa un baiser léger dans le cou, puis approcha mon oreille qu'elle embrassa en appuyant ses seins contre mes omoplates. Oh mon Dieu, comme c'était bon … Vite, je jetai un œil vers la porte, de peur qu'un de nos collègues ne nous surprenne. Leila me susurra à l'oreille : "N'aie pas peur, ma belle, ils sont tous en réunion ! Tu me plais terriblement, tu sais ?" Elle me fit sentir son souffle chaud dans la nuque, puis m'embrassa tout le cou. Un frisson délicieux me parcourut le dos et s'étendit au reste du corps. "Euh non, jusqu'à la semaine passée, j'ignorais que je te plaisais. Mais ça me fait plaisir que tu me le dises" lui répondis-je. Elle tourna ma chaise pour que l'on se retrouve face à face et pris mon visage entre ses mains, avec beaucoup de tendresse. Elle me caressa les joues avec la main, puis avec sa joue et glissa tout doucement vers ma bouche dont elle embrassa la lèvre supérieure, entrouvrit doucement mes lèvres avec sa langue et caressa la mienne … Quel délice … Les sensations que ce baiser me procurait étaient très agréables. La douceur de ce baiser était incroyable … Il avait la saveur du miel… Sucré, mais épicé aussi. Nos langues se découvraient, se caressaient, jouaient, c'était absolument délicieux … et tellement différent de ce que j'avais connu jusque-là. Je me surpris à ressentir du désir. Désir qui se faisait de plus en plus présent, au fur et à mesure du baiser. Nos lèvres n'avaient plus envie de se quitter. C'était trop bon. Envoûtant, même. Jamais personne ne m'avait fait un tel effet. J'avais chaud et je frissonnais à la fois. Ma peau était moite et j'avais la chair de poule. Souhaitant sentir le corps de Leila contre le mien, je l'attirai plus près de moi. Elle en profita pour s'asseoir sur mes genoux et appuyer ses seins contre les miens. Je sentis sa main descendre doucement de mes cheveux vers mon cou, puis vers mon décolleté … Elle glissa un doigt entre mes seins, les effleura l'un après l'autre, tout en douceur … ce qui eut comme effet immédiat l'érection de mes mamelons. Son parfum subtil et léger était enivrant. Mes narines l'humaient avec délice … j'approchai ma bouche de son cou, de ses oreilles que j'embrassai délicatement … jouant avec la langue et les lèvres, tour à tour. Puis, prise par mon désir de plus en plus présent, je me décidai à prendre d'autres initiatives, tout en me félicitant intérieurement de mon courage … c'était quand même la première fois qu'une aventure au féminin m'arrivait, au bureau en plus ! La main que j'introduisis sous son profond décolleté découvrit une peau délicate, extrêmement douce, soyeuse même. Mes doigts se régalaient de ce qu'ils rencontraient. Je pris de plus en plus conscience de l'humidité de mon sexe et écartai quelque peu les cuisses. Mon amie prit ce mouvement comme un encouragement et entreprit de me caresser l'intérieur des cuisses et des genoux. Je frissonnai et eus très envie que ses caresses se poursuivent … tant je brûlais de désir. Quelques instants plus tard, après un baiser qui se faisait de plus en plus audacieux, je m'aventurai à lui remonter tout doucement la robe … Elle dut se tortiller quelque peu pour m'aider et en profita pour me jeter un regard gourmand qui ne fut pas pour me déplaire. La robe remontée, j'eus enfin accès à de jolies petites fesses qu'un string rouge mettait en valeur. Je les sentais fermes à souhait, rebondies comme de belles pommes … elles étaient douces et chaudes. Elle gémit sous la caresse, en recommençant à m'embrasser. Elle s'arrêta ensuite, en me disant "Charlotte, nous ne sommes pas à égalité, moi aussi, j'ai envie de te sentir mieux, enlève ta jupe stp." "Et si quelqu'un arrivait ?" "Ne t'inquiète pas, je vais aller verrouiller la porte, si tu préfères." J'obéis donc et en profitai pour ajuster un peu mon string, complètement trempé, dois-je le préciser, avant de m'asseoir à nouveau en face de mon bureau. Je vis Leila contourner mon bureau et se glisser dessous … et sans avoir le temps d'imaginer quoi que ce soit, je sentis ses mains remonter le long de mes jambes, très caressantes … insistantes, parcourant avec dextérité le chemin pour accéder à mon string. Elle déposa un baiser sur le minuscule triangle de tissu puis un autre plus appuyé avant d'écarter l'étoffe d'un côté. Elle glissa alors précautionneusement ses doigts sur ma vulve et la caressa, avec beaucoup de douceur et de … doigté ! Je sentais en elle l'expérience … elle connaît le corps des femmes … elle sait comment l'apprivoiser et faire monter le désir, sans rien brusquer. Ses caresses me poussaient à en réclamer davantage … je lui pris alors la main pour qu'elle m'enlève le string, devenu gênant. Elle s'était accroupie et j'en profitai pour me déchausser et approcher mon pied de son sexe, terriblement chaud et humide … et commençai à le lui caresser avec mes orteils. Aux mouvements de hanche qu'elle faisait, je sentis que cette caresse lui convenait, cette façon qu'elle avait de se tortiller et de gémir m'excitait au plus haut point … Elle dégoulinait de plaisir … Elle arrêta ses caresses pour profiter pleinement sans doute de celles que je lui prodiguais. De temps à autre, ses doigts se crispaient sur mes bras et les petits cris qu'elle laissait échapper augmentaient mon plaisir et m'incitaient à continuer à m'occuper d'elle. Quand après quelque temps, je sentis une fatigue dans mes orteils, peu habitués il est vrai à être sollicités de la sorte … j'entrepris de rejoindre ma douce sous le bureau. Heureusement qu'on disposait de meubles de bureaux spacieux … Après avoir échangé à nouveau un long baiser passionné où nos langues ne se lassaient pas de jouer, nos salives de se mélanger, nos lèvres de s'aspirer, de se mordiller, je lui enlevai son string à mon tour, puis, devenue impatiente, elle enleva sa robe d'elle-même … J'admirai le corps superbe que je devinais depuis longtemps sous ses vêtements moulants, tout en courbes gracieuses. Quel régal pour mes yeux … une véritable invitation à le parcourir à nouveau de baisers. Je lui donnai de petits coups de langue, un peu timides d'abord, … puis m'étendis sur elle pour l'embrasser à nouveau fougueusement, prenant garde à ne pas l'écraser. Je lui caressai les cheveux, dessinai le contour du visage avec l'index, lui déposai des baisers très doux sur les paupières, le nez, les joues, puis l'explorai, les yeux fermés cette fois, avec les lèvres, lui suçotai les lobes d'oreille puis glissai vers ses seins que je tins entre mes mains un instant … Leur rondeur et leur beauté me subjuguaient. Leur texture très fine me ravissait … plus douce que la plus tendre des pêches. Cette douceur, jamais je n'aurais pu l'imaginer, même si je suis une femme moi-même. Hmmmm, j'adorais tout ce que je découvrais, toute cette féminité qui s'offrait à moi. Je repris mes caresses avec mes mains, puis laissai ma bouche jouer avec les mamelons, fièrement dressés avant de la caresser avec mes seins, d'abord sur les siens puis sur tout le corps … Caresse voluptueuse qu'elle apprécia particulièrement, si je me fiais aux gémissements qu'elle fit entendre ... Je la vis se cambrer et sourire de contentement … puis écarter de plus en plus les jambes, comme une invitation explicite. La respiration de Leila se fit de plus en plus rapide et son torse commença à rougir. Je décidai de la faire attendre un petit peu, de ne pas accéder tout de suite à sa demande … Je la regardai à nouveau et lui souris. Hmmmm, quel bonheur ! Quelle joie pour moi d'unir ce corps de femme au mien, de le sentir frémir, vibrer sous mes caresses. Je l'invitai d'un geste tendre à se retourner et effleurai son dos avec le dos de la main puis avec la pulpe de mon index … Des frissons lui parcoururent le corps et elle se mit à gémir. J'alternai mes caresses, en passant de la plus douce, légère comme une plume, à des caresses appuyées bien que dosées, parfois avec la pulpe des doigts, à d'autres moments avec les ongles, lui ratissant le corps, un peu comme une musicienne lui ferait découvrir une gamme de musique. Je m'installai ensuite à califourchon au-dessus d'elle, lui caressa à nouveau le dos avec mes seins, puis en prenant appui sur mes bras et mes pieds, entrepris de lui caresser les fesses avec les miennes … Cette caresse que j'étais habituée à donner à mon mari était bien plus jouissive avec Leila : quel délice, ce frottement très doux entre nos deux parties si tendres, bien plus tendres que celles des hommes. Hmmm, un régal ! Que dis-je ? Un véritable festin pour mes sens. L'excitation ne faisait que grandir. Après quelques longs, lents et généreux mouvements, je ressentis de la fatigue et pour me reposer, je laissai mes mains reprendre possession de son corps, insistant sur la rondeur de ses fesses, sur le creux du genou où la peau si fine est très réceptive, sur ses pieds que je malaxai tout doucement, puis remontai en lui effleurant à nouveau les fesses avec les seins, passant la langue le long de sa colonne … pour atterrir sur la nuque, mon sexe effleurant ses fesses. De temps à autre, je laissai mon mamelon lui caresser le sillon fessier puis remonter entre les deux fesses … Leila frissonna de plaisir et me glissa à l'oreille : "Charlotte, dis-moi, est-ce la première fois que tu fais l'amour à une femme ? " "Euh … oui, pourquoi ?" "Mon Dieu, comme tu es douce et sensuelle … Tu dois être née pour donner du plaisir… Si j'avais su, je t'aurais draguée beaucoup plus tôt. C'est tellement bon que je me laisse complètement faire. Moi qui prends habituellement les choses en main, je suis totalement à ta merci. Je t'en supplie, continue …" me susurra-t-elle. Sur ces encouragements, j'approchai mon visage de ses cuisses, glissai le pouce délicatement sur sa vulve et découvris son clitoris érigé. Je m'émerveillai sur la beauté de son sexe, offert à mon regard et à mes caresses. J'approchai ma langue bien humidifiée de ces jolies lèvres que je comparai immédiatement à un abricot savoureux … Hmmm, quel goût exquis ! A nouveau, des odeurs d'épices … une texture douce, délicate … que mes lèvres goûtèrent avec délectation. C'était donc ça, le sexe d'une femme … Cette première découverte était un véritable trésor … Une envie de découvrir la géographie de mon amante autant avec la langue, le nez, les lèvres qu'avec les yeux. Ravie de mon initiative, elle me prit la tête entre les mains, m’approcha le visage de son clitoris et releva le bassin pour se rendre sans doute encore plus accessible. J'en profitai pour attraper sa robe et la rouler en boule en dessous de ses fesses afin de les surélever. Eh oui, si je voulais faire durer le plaisir, il fallait que je pense à m'installer le plus confortablement possible. Je passai la langue entre ses lèvres fines et légèrement foncées, les vis toutes gonflées de plaisir et les trouvai encore plus appétissantes … Je les aspirai, soufflai dessus puis les suçotai tout en décalottant d'une main son petit bourgeon que je malaxai avec 2 doigts, d'abord très doucement, puis à son invitation, un peu plus rapidement. Ma langue s'aventura alors vers son vagin, où perlaient quelques gouttes de cyprine. Elle remonta plusieurs fois vers son pubis, parcourut toute la vulve de gauche à droite et de haut en bas, en variant les rythmes, tantôt avec la pointe, tantôt de toute sa largeur, comme un chat laperait un bol de lait. Hmmm, quel délice ! J'aimais tout ce que je lui faisais et y mettais beaucoup de passion. J'avais envie de dessiner sur sa vulve tout l'alphabet tant c'était bon de sentir le plaisir grandir en elle. De temps en temps, j'arrêtai les mouvements quelques secondes, histoire de créer un manque … pour reprendre ensuite de plus belle, sous les gémissements approbateurs de ma jolie collègue. Le nez dans sa toison bouclée, j'eus ensuite l'idée de saisir entre mes lèvres son petit bouton, comme je l'aurais fait avec le sexe de mon mari, jouant avec la tige, sur toute sa longueur … le prenant complètement en bouche, le lâchant, le léchant à nouveau consciencieusement avant d'introduire dans son intimité un doigt rejoint bientôt par un deuxième, aidés par la lubrification abondante de mon amante. Leila se cambra et me donna ses instructions : "Vas-y ! Prends-moi." Habituée à me caresser, je trouvai assez rapidement son point sensible et y imprimai avec les deux doigts devenus complices de petites pressions rapides, tout en laissant mes lèvres, ma langue et mon nez continuer à lui donner, tour à tour, de délicieuses sensations clitoridiennes … Tout à coup, la respiration de Leila s'emballa, elle redressa son bassin et je sentis son corps secoué de soubresauts … "Oh oui, ça vient, je vais jouir, continue !" Gardant le même rythme, je sentis alors très vite les parois de son vagin emprisonner mes doigts et se contracter rythmiquement. Elle lâcha de petits cris d'une voix rauque et ma main fut inondée de cyprine … Percevoir son plaisir tout contre moi et l'entendre jouir me donnèrent des frissons dans tout le corps… Je me rendis compte que j'étais complètement trempée moi aussi … complètement dilatée. La caresser m'avait fait un effet incroyable … J'avais très chaud, j'étais en nage même, le visage sans nul doute tout rouge. Quand Leila reprit ses esprits, elle me dit, les larmes aux yeux "Oh , mon Dieu, Charlotte, jamais je n'ai connu un tel plaisir … Aussi vite et aussi fort ! Merci, merci … Tu m'as comblée au-delà de toutes mes espérances. Je te savais sensuelle, mais j'ignorais que tu étais une experte". Ravie du compliment, je laissai entendre un rire un peu gêné quand même, je vous l'avoue. Je me sentais vraiment heureuse de l'effet que j'avais produit sur ma complice. Je l'embrassai à nouveau avec passion. Hmmm, ces baisers … jamais je n'aurais pu me douter qu'embrasser une femme pouvait être aussi jouissif … Quel bonheur de sentir dans ma bouche cette langue douce, caressante, pénétrante, à la recherche de la mienne. J'avais vraiment l'impression d'avoir trouvé mon double. Tout était naturel entre nous … Nos caresses, nos baisers … Une complicité parfaite. J'avais conscience d'avoir vécu un moment mémorable ... J'en étais à ses réflexions quand Leila me dit : "Hmmmm, Charlotte, ta bouche sent mon sexe ! J'adore ! Laisse-moi récupérer, ma chérie, et je m'occupe de toi dans quelques instants" "Avec plaisir, je suis toute à toi. Complètement à ta merci." C'est à ce moment-là qu'on entendit des pas dans le hall … Paniquées, nous nous rhabillâmes en triple vitesse, rouges et confuses … un fou rire prêt à éclater ! Je respirai profondément plusieurs fois, essayant de me donner une contenance relativement normale lorsque notre chef, Estelle, la petite cinquantaine, chignon tiré, lunettes rondes métalliques, entra dans notre bureau. Elle nous regarda l'une après l'autre, le sourcil interrogatif, mais donna rapidement des instructions pour le reste de l'après-midi. Ouf, elle ne semblait s'être rendu compte de rien ! A peine fut-elle sortie que Leila se leva, vint me rejoindre et me glissa à l'oreille "Tu ne perds rien pour attendre, ma petite chérie ! Rendez-vous ce soir chez moi … Mon mari va voir un match de foot avec ses copains, j'aurai tout le temps de m'occuper de toi. Je te préparerai un bon petit dîner." me dit-elle d'une voix chaude, sensuelle … et prometteuse. Sans attendre la réponse, elle me lécha l'oreille puis se mit au travail. Comment refuser une telle proposition ? Bien sûr que j'allais accepter. Il fallait que je calme le feu qui brûlait en moi et que j'aille jusqu'au bout de cette délicieuse expérience ! Je pris immédiatement le téléphone pour prévenir mon mari : "Chéri, mauvaise nouvelle ! Le système informatique a buggé une bonne partie de la journée et je n'ai pas pu terminer le rapport urgent que le boss m'a demandé. Je suis bien contrariée. Heureusement, ma collègue, tu sais … Leila, me propose de l'aide (clin d'œil vers celle-ci). Je vais aller travailler chez elle. Nous allons nous débrouiller avec son portable. Peux-tu t'occuper de Molly et Sarah, stp ? Je risque de terminer tard. Ne m'attends pas spécialement. S'il y a un problème, tu peux me joindre chez elle ou sur mon portable …. Merci, tu es un chou ! A ce soir, alors." Et voilà … le sort en était jeté. Restait à essayer de me concentrer durant l'heure de travail restante et à terminer ce fichu rapport (mon fameux alibi). Leila, quant à elle, décida de terminer une heure plus tôt … pour préparer notre soirée, me dit-elle, avec un clin d'oeil. Quelque part, je ne demandais pas mieux : j'avais tellement de mal à me concentrer, avec elle, si belle, si désirable, à portée de vue. Je serais beaucoup plus efficace seule pour la rédaction de ce rapport. Mon travail achevé, je rangeai mon bureau, descendis au parking chercher ma petite Twingo et allai prendre une douche à mon appartement. J'en profitai pour me laver les cheveux, m'épiler, … Pour me mettre dans l'ambiance, je mis sur la stéréo un morceau de Georges Michaël que j'affectionne particulièrement ("Jesus to a child") et me mis à m'hydrater le corps soigneusement (langoureusement, devrais-je dire) avec de l'huile d'amande douce agrémentée de quelques huiles essentielles réputées pour leur caractère aphrodisiaque : quelques gouttes d'Ylang Ylang, 3 gouttes de Jasmin, 2 gouttes de Rose de Damas, 2 gouttes de cannelle et pour terminer 1 goutte de gingembre. Rien qu'à imaginer les mains de Leila à la place des miennes à ce moment précis me fit gonfler le sexe … J'aurais eu envie qu'elle soit déjà là, à mes côtés, dansant nue tout contre moi … Hmmmm, mon Dieu ! Comme ce serait bon … Essayant de reprendre mes esprits, je me poudrai le visage, me maquillai avec soin et regardai le résultat dans le miroir. Hmmm, pas mal … je crois que je devrais lui plaire. Il me reste juste à ajouter un peu de gloss pour rendre mes lèvres pulpeuses plus brillantes … Je choisis de me vêtir de mes jolis sous-vêtements rouges (le soutien à balconnet était du plus bel effet), enfilai ma longue jupe grise, fendue jusqu'à la cuisse, puis l'assortis à mon chemisier pêche très décolleté et me chaussai de mes plus hauts escarpins. J'inspectai une dernière fois mon image dans le miroir de la chambre à coucher. Satisfaite de mon apparence, sexy sans être vulgaire, je me rendis dans la cuisine, vérifiai en vitesse dans le frigo si tout était en ordre pour l'arrivée de ma petite famille (un plat froid copieux les y attendait), allai choisir une bouteille de Mouton à Cinq Pattes dans notre cave à vins et me rendis chez Leila, le cœur battant. Arrivée à son appartement, je remarquai la porte entrouverte, m'engageai dans le hall et tout à coup, sans que je ne m'y attende, Leila apparut derrière moi et me plaqua contre le mur. Fermement, mais sans violence. Je n'eus pas le temps de la voir qu'elle me souffla déjà dans l'oreille, tout en appuyant son corps contre mon dos "Tu sais que tu m'as manqué, ma petite Charlotte ! J'ai trouvé le temps long, très long, tu sais …" Son souffle chaud chatouilla ma nuque et un agréable frisson me parcourut l'échine. "Attends, osai-je balbutier, j'ai une bouteille dans les mains … Laisse-moi la déposer !" Elle me la prit des mains, la déposa sur le sol puis me serra encore plus fort, contre le mur, mes mains en l'air, emprisonnées dans l'une de ses mains. Son visage était tout proche du mien. Elle embrassa mes cheveux. Son parfum excita mes narines … "Ne dis rien, laisse-toi faire …". Elle sortit un foulard de je ne sais où, portant l'odeur de son parfum (que je reconnus enfin : "Fantasme". Hmmm, bon choix, j'adore !) et me banda les yeux, tout en me maintenant contre le mur. Je ne m'attendais pas du tout à cette entrée en matière, mais j'aimais sa façon de faire, directive, sûre d'elle. Je lui faisais confiance, j'attendais la suite avec impatience. Elle glissa ses mains le long de mon corps, me caressa les fesses, tout en douceur … descendit jusqu'à mes chevilles et remonta sous ma longue jupe, me caressant l'intérieur des jambes, avec beaucoup de douceur. Elle plaqua son pubis contre mes fesses et se frotta à moi … En un instant, mon entrejambe déjà tiède et humide à l'idée de la retrouver, s'enflamma … Je me sentis m'ouvrir comme une … huître ! Elle fit descendre la fermeture éclair de ma jupe, laquelle tomba à mes pieds. Je la sentis ensuite s'agenouiller, tout en gardant mes mains dans les siennes … Elle approcha sa joue de mes fesses, me les caressa avec tendresse, d'abord avec sa joue, puis avec sa bouche … puis avec ses cheveux. Hmmm, quelle légèreté, c'était délicieux. Les sensations étaient nouvelles pour moi et je les appréciai d'autant plus. Elle joua avec la ficelle de mon string, puis se décida à me l'ôter. D'une main, elle m'écarta les jambes, me caressa le sillon fessier avec la langue … puis à nouveau, lentement, toute la surface d'une fesse, puis l'autre … C'était bon, très bon même… ses caresses me mettaient au supplice. Elle me dit alors : "Aimes-tu l'apéritif que je viens de te proposer ?" "Hmmmm, oui, j'adore ! C'est le meilleur apéritif que j'ai jamais reçu. Continue …" m'entendis-je lui répondre, d'une voix un peu cassée sans doute par le trouble qu'elle avait suscité en moi. Elle entreprit alors de glisser la chair de son pouce puis toute la longueur de son avant-bras dans mon entrejambe … et caressa ma fleur toute humide, avec beaucoup de douceur, faisant tourner son bras de gauche à droite, de droite à gauche, d'avant en arrière, d'arrière en avant. Hmmm, quelles sensations agréables … J'ouvrai davantage les jambes pour lui faciliter la tâche et lui montrer mon approbation … Après quelques allées et venues, rythmées par mes soupirs de contentement, elle changea de position, s'assit sur le sol entre mes jambes écartées et son souffle chaud vint chatouiller mon intimité. Sa langue douce et humide écarta mes lèvres toutes gonflées et joua à approcher, lécher, titiller mon petit bourgeon, devenu ma fois impatient. Je commençai à ressentir des vertiges et dus appuyer mes 2 mains au mur pour ne pas chanceler. "Continue, c'est trop bon …" "Ca te plaît ?" J'éclatai de rire et répondis "Dis donc, on ne t'a jamais appris à ne pas parler la bouche pleine ?" "Très bien, je vais libérer ma bouche" "Oh nooooon, ce n'est pas ce que je voulais dire …" Elle se releva en riant "Je m'en doute, mais attends, la soirée ne fait que commencer" et elle m'amena alors, toujours les yeux bandés, à ce que je devinai être son salon. Elle alluma sa chaîne stéréo et j'entendis la voix chaude et sensuelle de Sade entonner "Smooth Operator". Hmmm, bon choix ! Décidément, nous avions des goûts en commun. Elle m'enleva alors le chemisier et s'arrêta quelques secondes durant lesquelles j'imaginai qu'elle se débarrassait de ses vêtements également. Effectivement, je sentis très vite son corps nu contre le mien … et nous commençâmes à danser langoureusement, en rythme, nos deux corps s'effleurant, s'emboîtant, en parfaite harmonie. Quelle sensualité se dégageait du salon de Leila : la musique, la danse, nos corps nus, nos caresses, nos baisers … Il y avait quelque chose de spécial entre nous. Une complémentarité, une complicité qu'il y a encore quelques jours je n'aurais pu soupçonner (en tout cas, pas sur ce plan !). Son parfum mêlé aux huiles essentielles dont je m'étais enduite le corps ne faisait qu'exacerber nos sens. Tout en dansant, nous partîmes dans un baiser plus fiévreux que jamais, nous léchant les lèvres, les mordillant, les aspirant goulûment … Puis, lui caressant le dos et la nuque, je me penchai sur son buste, lui pris un mamelon en bouche, le suçotai tout doucement, le sentant réagir immédiatement à la sollicitation. Je le lui pris en main, le caressa avec délicatesse, puis me consacrai, avec autant de douceur, au deuxième. Je lui demandai la permission d'enlever mon bandeau, pour enfin la voir … Je clignai des yeux, puis découvris une pièce éclairée d'une vingtaine de bougies, disposées ça et là, rendant l'ambiance merveilleusement chaleureuse … Tout près de notre piste de danse improvisée, une bouteille de champagne nous attendait dans un seau à glace. Elle suivit mon regard et alla nous en servir une coupe. Elle m'invita à m'asseoir à ses côtés, sur le sofa … Elle trempa ses doigts dans un des petits pots qu'elle avait placés à portée de mains puis les porta à mes lèvres. Je lui suçai les doigts, un à un. Du caviar ! Mon hôtesse avait mis les petits plats dans les grands. Elle me fit goûter ensuite tour à tour les mets fins qu'elle avait préparés avec amour … parfois avec les doigts, parfois avec une petite cuillère … Je m'en délectais ! Tout était délicieux … Elle m'observait, avec un regard que le désir rendait brillant et malicieux. Le champagne nous montait un peu à la tête, mais nous nous sentions terriblement bien … "As-tu envie d'un dessert ? Quelque chose de glacé qui rafraîchirait nos bouches …" "Avec plaisir !" Elle se rendit dans la cuisine et revint avec du sorbet au citron dont elle se badigeonna les seins, invitation implicite à les lécher. Hmmm, déjà que le sorbet au citron est un de mes préférés, mais là, servi sur sa magnifique poitrine, que demander de plus ? A mon tour, je m'aventurai à déposer une cuiller de sorbet près de mon nombril … Souriante, elle y approcha la langue, sans me quitter des yeux … puis m'écarta les cuisses et mit une autre cuiller tout près de mon sexe qu'elle lapa bruyamment … Elle descendit alors vers ma vulve et sa langue glacée me donna de nouvelles sensations … Les battements de mon cœur s'accélérèrent ! Mes cuisses tremblèrent un peu. Elle continua à me masser le pubis, me décalotta le clitoris … "Hmmm, qu'il est beau, ton petit bouton d'amour. Magnifique, même". Elle le mordilla très délicatement, puis le goba … "Tu as un goût exquis, Charlotte ! J'adore ! Tu es terriblement excitante … Sens par toi-même l'effet que tu me fais" me dit-elle, en dirigeant ma main vers son propre sexe. J'acquiesçai … car effectivement, ma douce amante était trempée. La sentir dans cet état augmenta encore d'un cran mon plaisir. Ses caresses s'accélérèrent, de plus en plus précises. "Hmmmm, comme c'est bon, continue !" Elle m'introduisit alors deux doigts qui furent aspirés immédiatement par mon vagin. Des sensations plus fortes encore me gagnèrent … Je me sentis au bord de la jouissance. Elle massa l'intérieur de ma grotte d'amour avec application, tout en me léchant le pourtour du clitoris, … et après quelques minutes de ce charmant "traitement", je ne vis plus clair … j'avais l'impression de perdre conscience … mon bassin se soulevait tout seul … C'est alors qu'une chaleur intense envahit mon vagin et je ne pus m'empêcher de lâcher un cri en sentant un orgasme exploser, suivi de plusieurs autres. Je dus supplier Leila d'arrêter, je n'en pouvais plus. Elle vint s'allonger sur moi et m'embrassa passionnément … heureuse de m'avoir donné tant de plaisir. "Leila, ma chérie, jamais je n'oublierai cette journée de ma vie ! Merci … Tu m'as comblée, je t'adore !" Avec un clin d'œil, elle me répondit : "Je crois que nous aurons encore quelques rapports à terminer le soir, ne penses-tu pas ?


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Mercredi 1 avril 3 01 /04 /Avr 23:58

1ere et unique expérience bi 

  Salut, je suis Nicolas, je vais donc vous parler de ma 1ère expérience bi lorsque j'avais 18 ans (j'en ai 26 maintenant). A 18 ans, je n'avais eu que peu d'expérience sexuelle et je cherchais donc en vain sur internet un couple me permettant d'essayer l'amour à plusieurs. Je ne cherchais pas un couple particulier mais je me disais que si dans le couple l'homme était bi pourquoi pas ne pas essayer. J'avais en effet eu ce fantasme d'essayer le sexe avec un homme. ça m'étais déjà arriver de me masturber en imaginant ce genre d'expérience. Bref cherchant sur internet, je rentre en contact avec un couple (dont l'homme bi) fort sympathique qui me propose une soirée privé, après un bref échange de photos. Emballé par cette proposition je ne pu refuser... Le soir du rendez vous arrivant, je prends ma voiture jusqu'au lieu du rendez vous (à 45min de voiture). Arrivé sur les lieux, une voiture m'attendait déjà, un homme sortit de la voiture et vient me saluer. 1er contact avec l'homme qui me parait bien sympathique ;). L'homme me propose alors de le suivre en voiture jusqu'à chez lui où sa femme nous attendait. Je reprends ma voiture et le suit jusqu'à chez lui. Je fais connaissance alors avec le couple au complet. Les 2 du couple, je les trouvais plutot attirants, la soirée s'annoncait interessante ;). On dîna tranquillement en faisant connaissance et à la fin du repas la femme proposa aux hommes de venir prendre le dessert dans la chambre (humm...). Pas de problème, on alla dans la chambre où madame décida de mettre l'ambiance avec un strip tease... Pendant son strip qui nous excita, moi et l'homme on commença à se déshabiller chacun dans son coin jusqu'à se retrouver en caleçon... A la fin du strip la femme s'approcha de moi et me caressa pendant que son mari nous regarda en se caressant. La femme enleva vite mon caleçon et commença une fellation bien excitante. Sachant que son mari nous regardait cela m'excitait encore davantage. Après quelques minutes de fellation, l'homme me proposa de prendre sa femme, chose que je ne puis refuser ;). Je prennais donc madame en levrette pendant qu'elle meme suçait son mari. Hummm un vrai régal. Ensuite, la femme se retira pour mieux s'occuper de son mari en le suçant plus attentionnée. Elle me proposa assez vite de la rejoindre en me proposant de sucer son mari. J'étais un peu inquiet par cette expérience car je ne savais pas trop comment m'y prendre, mais j'étais tellement tenté d'essayer que mes craintes se sont vite dissipées. J'entrepris donc l'idée de mettre le sexe de monsieur dans ma bouche... Quelle ne fut pas ma suprise en découvrant un sexe doux plein de chaleur et de sensualité... Bref, vous avez devinez, j'ai adoré cette sensation. Je suçais monsieur de mon mieu, quel plaisir de sentir ce va et vient dans ma bouche demandeuse! Après cette fellation, l'homme décida de me sucer à mon tour sous le regard excité de madame. J'ai trouvé qu'il s'y prenait pas mal meme si a priori c'était tout nouveau pour lui aussi... Bref la soirée à continuer comme cela dans un mélange total. Apres cette expérience mon seul regret c'était de ne pas avoir été plus loin avec l'homme, tenter la sodomie active et passive et meme de gouter à nos spermes.


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