Lundi 25 mai 1 25 /05 /Mai 11:52
1ere fois au sauna

 Il y a environ 6 mois, je suis allé pour la première fois au sauna pour voir comment cela était, car j'en avais dialogué plusieurs fois avec des mecs sur minitel et l'expérience me tentait beaucoup. Je suis arrivé sur le coup de 14h et il n'y avait pas grand monde et aucune femme malheureusement. Après avoir pris une petite douche rapide, je me suis installé dans le hammam et étant seul, j'ai commencé à me masturber histoire de me mettre en appétit en espérant qu'une femme arrive et me surprenne. Au bout de 5 minutes de branlette, quelqu'un est entré mais je n'ai pas vu si c'était une femme ou un homme car il y avait beaucoup de vapeur. Sachant que je n'étais plus seul, je me suis mis à gémir doucement tout en continuant de me masturber pour faire connaître mes intentions à la personne qui était rentrée. Cela à fonctionné car peu de temps après, j'ai senti une main se poser sur ma cuisse et me caresser doucement. Je bandais comme un fou mais je me suis vite rendu compte qu'il s'agissait d'un homme (tant pis me dis-je, cela faisait longtemps que je voulais essayer) quand j'ai senti une bite toucher mes lèvres. Fou d'excitation, j'ai fait ni une ni deux et je l'ai tout de suite enfourné comme si je faisais des pipes depuis des années. Le mec était gâté par la nature son sexe devait fait dans les 20 cm de long pour 4 ou 5 de diamètre, j'étais gâté pour ma première pipe. Et je me suis mis à le pomper goulûment lui léchant et caressant les couilles et son trou tout en continuant à me masturber. Au bout de 10 minutes de fellation, le mec c'est retiré puis m'a retourné et a présenté son gourdin à l'entrée de mon trou du cul. Il a bien essayé de forcer la passage mais étant vierge de ce côté, il n'y est pas arrivé. Alors il est sorti du hammam pour aller se mettre du savon sur la bite et sur les mains. De retour, (j'avais gardé la même position), il commença à me caresser le cul tout en y introduisant un doigt, puis un deuxième. Il me sodomisa comme ça pendant environ 10 minutes puis représenta sa queue. Cette fois-ci elle rentra, difficilement mais il réussi tout de même à m'enfiler complètement sa grosse bite. C'était divin, je n'avais jamais bander aussi dur qu'a ce moment là. Il allait et venait dans mon cul lentement puis donnant des grands coups de reins. Je sentais ses couilles venir taper contre mes fesses, j'étais au bord de l'explosion lui aussi d'ailleurs. Sentant qu'il allait décharger, il se retira et se masturba sur mon cul puis me gicla dessus. Je sentis son foutre chaud sur mes fesses et dégouliner le long de ma raie. C'était un régal. Puis il est sorti comme si de rien n'était je n'ai même pas vu son visage. Je me suis assis (j'avais terriblement mal au cul mais c'était si bon) et j'ai recommencé à me masturber. Je n'ai pas mis longtemps avant de gicler à mon tour. Depuis, je n'ai qu'une envie c'est de recommencer mais avec une femme en plus pour que je puisse la lécher pendant que je me ferais sodomiser.


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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES GAY
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Mercredi 20 mai 3 20 /05 /Mai 00:33

1. Une gloutonne de bites

Je n’en reviens pas du pot que j’ai ces temps.

Tout d’abord de tomber sur Cécile et Gilles, puis maintenant de passer un long week-end avec eux dans la villa de ce couple d’amis de mes parents.

Ca fait pas longtemps qu’on baise ensemble, mais j’en ai plus appris avec eux qu’avec toutes les filles que j’ai connu avant.

Il faut dire que ça a tout de suite démarré fort la première fois qu’on s’est vu. C’était à une soirée bien arrosée chez un copain. J’ai tout de suite flashé sur elle. Une plante magnifique, hyper sensuelle avec une super classe, sa longue chevelure marron répandue sur ses épaules dénudées. Elle était avec ce beau noiraud  balèze, Gilles, qui lui caressait les cuisses, et moi j’étais seul. Elle m’a déshabillé du regard quand je me suis assis près d’eux et ce qu’elle a imaginé à dû lui plaire car son expression était sans équivoque quand nos regards se sont croisés. Il faut dire que je suis plutôt beau gosse, plutôt baraqué, bien pourvu coté bite, et quand je bande, c’est difficile à dissimuler dans un jean moulant. Je l’ai bouffée des yeux le reste de la soirée et elle me le rendait bien.

J’ai avalé de travers quand elle m’a dit, assez fort pour que son copain l’entende, qu’elle avait besoin de deux queues pour jouir cette nuit et comme j’avais l’air bien monté, qu’elle avait envie d’essayer la mienne. Je ne sais pas ce que j’ai marmonné en réponse, mais ma gaule a encore doublé de volume et je les ai suivis de peu quand ils sont montés à l’étage.

Quand je suis entré dans la chambre faiblement éclairée, le gars était déjà couché sur le lit, pieds sur le tapis, complètement à poil, son grand corps musculeux mis en valeur par une monumentale érection. Il aidait Cécile à dégrafer son soutif d’où s’échappa la plus belle paire de seins que ma jeune carrière sexuelle m’ait donné à voir: oblongs et fermes au galbe parfait. Pendant qu’il la libérait de son slip, découvrant son cul d’enfer et me laissant entrevoir les lèvres saumonées de son sexe ourlé de poils bouclés, Cécile m’attira à sa portée et déboutonna fébrilement mon jean d’ou jaillit mon massif engin bandé à mort. Elle me fit m’agenouiller la queue en étendard entre les jambes écartées du mec, s’empara de nos deux manches turgescents et se mit à les branler doucement ensemble, les pressant gentiment avant d’y appliquer ses lèvres satinées. Expérience nouvelle de sentir battre les veines d’une autre queue contre la mienne, mes balloches roulant sur les couilles d’un autre mec, pendant que je me faisais sucer la bite par cette superbe femelle dont les cheveux me caressait les parties. Je n’ai pas résisté à effleurer au passage la poitrine musclée aux poils blonds de ce beau mâle, avant de m’emparer des seins magnifiques de Cécile dont je couvris de baisers mouillés de salive les bouts contractés. Le beau blond avait glissé un doigt explorateur dans sa chatte pulpeuse et lui massait le clitoris d’pouce expert.

Lorsque Cécile s’est dégagée pour venir enfourcher Gilles et se coucher dos sur son ventre, j’ai pensé que je devrais attendre mon tour pour la baiser, mais les deux m’ont retenu en place et elle s’est enfourné nos deux biroutes dans son vagin dilaté à l’extrême. Sentir nos mastards accolés distendre les parois de cet espace moelleux qui avait peine à les contenir m’a tellement excité que j’ai déjà déchargé ma purée après trois bourrées de queue, irrigant du même coup la grotte ou coulissait de concert nos grosses pines maintenant lubrifiées de mon sperme. Nous avons continué à limer ensemble et j’ai bientôt ressenti le long de ma bite la montée de sève dans celle du mec archi tendu, et la giclée de son foutre qui nous a tous inondé en rafales. Cécile s’est mise à pousser de petits gémissements affolés, elle a serré les cuisses, étreignant nos deux queues et a lâché une puissante rasade de jus dont le jet impressionnant a giclé mon nombril et ruisselé sur mon bas-ventre.

2. Lubrifiants bienvenus

Après cette entrée en matière, nous avons décidé de continuer à nous voir pour baiser ensemble à trois, et l’occasion s’est présentée ce week-end avec l’invitation à la villa.

Nous avons embarqué ce matin dans mon vieux cabriolet BMW, capote baissée. Il fait très chaud, je conduis torse nu. Cécile est à côté de moi, en mini-jupe et cache-cœur croisé, et Gilles est affalé en travers du siège arrière, en short, les pectoraux à l’air. Il nous faudra bien deux heures pour atteindre la villa, par de toutes petites routes à travers une cambrouse idyllique mais paumée.

Nous avons mis la sono à fond pour couvrir le bruit du vent. Voilà une heure que nous roulons quand le voyant d’huile se met à tirer dangereusement sur le rouge, et que ma vieille tire se met à fumer. J’avise un bosquet d’arbres au bord de la petite route et parque la voiture à l’ombre. Je baisse un peu le volume sonore, saute hors de la voiture et prends un bidon d’huile dans le coffre arrière. Je n’en ai pas pour long, les autres peuvent rester dans la voiture à écouter la zique.

J’ouvre le capot et me penche sur le moteur. Il me faudra attendre quelques minutes qu’il refroidisse avant de pouvoir remettre de l’huile. Comme je ne vois pas mes copains avec le capot ouvert, je leur crie d’avoir un peu de patience. J’en profite pour vérifier le niveau d’eau. Puis je verse le bidon d’huile. Sans entonnoir, je m’en fous plein sur les mains.

Je referme le capot, et découvre à travers le pare-brise que les deux vicieux n’ont pas perdu leur temps: Gilles est couché à poil le dos sur le capot arrière, les pieds sur les sièges jambes écartées, le bassin tendu en avant, les mains dans les cheveux de Cécile penchée sur lui par dessus les sièges avants qui lui pompe la teub. Le spectacle est bien bandant, mais ce qui mène mon excitation à son comble, c’est qu’elle est à cheval entre les deux sièges avant, un genou sur chaque siège, jupe relevée et seins à l’air, et se ramone lentement avec le levier de vitesse gainé de cuir planté dans le con.

La vision de ses fesses largement écartées qui vont et viennent en laissant poindre la rosace de son anus rosé m’attire irrésistiblement. J’expédie mon froc, j’enjambe la portière et me coule sous le tableau de bord. Je prends en main pleine d’huile mon sexe enflammé, graisse son trou du cul de mon index maculé d’huile de moteur et, la base du levier entre les cuisses, je lui enfonce doucement ma barramine en fusion par à-coups jusqu’au fond du cul. C’est la première fois que j’encule, et je découvre l’immense plaisir d’être enserré dans ce très étroit fourreau soyeux. Après s’être contractée quand je l’ai pénétrée, Cécile a relâché les muscles de son fessier et a repris son va et viens sur le levier dont je sens le cuir mouillé me frotter les couilles baignées de son jus qu’elle vient de lâcher en une vague tiède. A l’aveugle, ses mains viennent triturer mes muscles fessiers contractés. Au travers de la fine membrane qui sépare les deux cavernes, le renflement du pommeau qui coulisse dans son vagin masse ma trique sur toute sa longueur à chaque passage. Mes mains sont remplies de ses seins dont j’entreprends de triturer les tétons durcis entre mes doigts gras. Mon ventre et ma poitrine en sueur sont plaqués contre son dos, nos têtes côte à côte.

Elle a abandonné la queue de Gilles et lui suce le sac avec application, l’étirant entre ses dents. Son phallus luisant de salive se dresse insolent juste devant mon visage, émergeant d’un buisson de poils drus. Je n’ai encore jamais goûté de bite mais ce gros morceau obscène au gland suintant et à la forte odeur attire ma bouche comme un aimant, et je l’aspire goulument. J’en ressens un frisson qui court le long de mon échine jusqu’au creux de mes reins. Ma langue lèche le frein du gland et s’enroule autour, et je commence à le pomper comme j’aime qu’on me suce. Il m’a empoigné par la tignasse et me donne le rythme. Je sens qu’il va me découiller dans la bouche, mais je découvre que ça m’excite et que je n’attends que ça. Ma succion devient frénétique et il m’envoie en gueulant une rasade de sperme qui me tapisse le palais, englue ma langue et m’envahit la gorge. Je suis au paroxysme, et redouble d’ardeur à défoncer le cul de Cécile  Mes couilles bouillonnent de foutre et un dernier coup de biroute à fond de cul suffit à me faire éjaculer avec l’impression d’exploser son derche.

Nous restons un moment écroulés les uns sur les autres à reprendre nos esprits. Une fois grossièrement essuyés, nous nous remettons en route sans nous rhabiller, musique à donf, le vent chaud séchant nos poils frissonnants. Tous les fluides sont de nouveau à niveau.

3. Plongeon dans le stupre

Une fois la voiture arrêtée dans la cour de la propriété que je connais déjà pour y avoir passé un week-end de baise avec l’amie de mes parents, je me jette sur la porte que j’ouvre d’un tour de clé, et nous nous ruons à travers la maison vers le jardin, pressés de plonger à poil dans la piscine pour nous rafraichir autant que nous laver.

En ressortant la tête de l’eau, je découvre que le plongeoir est occupé. Le jeune gars qui s’occupe de l’entretien du jardin et de la piscine quand les propriétaires sont absents y est allongé nu, en train de se branler avec délectation, les yeux fermés. Les écouteurs de son ipod sur les oreilles, il ne nous a pas entendus arriver. Je fais vibrer la planche du plongeoir du plat de la main et il manque en tomber en sursautant. Il se redresse, nous jette un regard affolé, et essaie vainement de cacher son érection carabinée sous ses paluches. Il est super gêné. Il nous explique qu’il ne nous attendait que dans l’après-midi, et qu’il a l’habitude de …se sécher au soleil sur le plongeoir après les 50 bassins qu’il nage chaque matin. De nous voir aussi à poil le rassure sans doute un peu. 

J’avais déjà rencontré Angel lors de mon premier séjour. C’est un jeune éphèbe très sympa, pas Einstein, mais démerde, qui se fait un pécule pendant l’été. En habits de travail, je n’avais remarqué que sa belle gueule auréolée de longs cheveux en broussaille, mais son corps juvénile bronzé aux longs muscles saillants est très harmonieux et ne laisse pas indifférente Cécile qui fend l’eau jusqu’au plongeoir et se hisse ruisselante au côté du grand ado. Gilles et moi nous sommes assis jambes dans l’eau sur la margelle qui lui fait face.

Elle le prend par l’épaule et le force à se recoucher, puis lui caresse l’aine du revers de la main et lui commande doucement de continuer à se branler devant nous en la regardant se caresser les seins. Il nous jette un regard incrédule puis émoustillé et reprend lentement ses caresses solitaires, les yeux rivés sur les seins somptueux de Cécile qui lui demande s’il est encore puceau. «Ben, j’ai jamais baisé avec une fille, mais mon grand frère m’a prêté son cul quelques fois». Cécile lui promet qu’elle va lui ouvrir ses cuisses et se charger de le déniaiser avant la fin de la matinée.

En entendant ça, une vague de désir monte en un délicieux picotement dans mes couilles et je vois ma verge gonfler en se dressant entre mes jambes écartées. Gilles se prend lui aussi une trique monumentale. Cécile, s’allonge sur la planche le long du corps du branleur, les poils du pubis collés à sa hanche, une jambe passée sur sa cuisse, et explore de ses mains baladeuses son sexe, ses abdos, sa poitrine et s’arrête aux tétons, qu’elle pince et tire entre ses doigts. D’une main Il s’empare des seins qui pointent devant lui et les presse contre ses lèvres pendant que son autre poignet accélère le rythme de sa masturbation.

Gilles se laisse glisser dans l’eau et rejoint le plongeoir. Je le suis et nous nous hissons sur le bord de la piscine de part et d’autre de la planche.

Du côté ou je suis, j’ai le fessier écarté de Cécile devant les yeux, la rosace de son cul bien épanouie, la vulve gonflée affleurant des poils pressés contre la cuisse du jeune. Comme aimanté, je me penche entre ces fesses alléchantes, colle ma langue aux lèvres entrouvertes de son vagin qui s’y infiltre et lèche la ciprine qui en suinte déjà, mes mains caressant la peau de pêche de son fessier charnu.

Agenouillé de l’autre côté du plongeoir, Gilles détourne le poignet d’Angel vers sa bite à lui pour qu’il le branle pendant qu’il se penche sur l’ado et aspire sa biroute à pleine bouche pour la pomper à grandes succions bruyantes, les mains bien actives à lui masser les burnes.

Mais Cécile, reprenant l’initiative, renverse Angel sur elle en se mettant à plat dos, cuisses écartées, les jambes pendant de chaque côté de la planche, s’emmanche son phallus visqueux de salive dans sa chatte ruisselante, et commence un lent va et vient qui fait ployer le plongeoir en cadence.

Gilles, que je découvre attiré par la chair fraîche mâle, a contourné la tête du plongeoir, et toujours à genoux, dirige d’une main ferme son dard turgescent qu’il enfonce lentement entre les fesses d’Angel déjà bien écartées. Le jeune étalon accuse le coup d’un râle de molle protestation avant de reprendre sa besogne maintenant cadencée par les coups de boutoir de Gilles qui lui claque en plus méchamment les fesses, son autre main agrippée à sa crinière blonde ébouriffée.

Spectateur complètement en rut de cette scène, je ne peux me contenter de me branler comme je le fais depuis un moment. Il faut que ma verge orpheline trouve aussi un orifice où s’épanouir. Je viens m’accroupir derrière le beau Gilles, j’écarte à deux mains ses fesses tendues, lâche un long filet de bave qui coule le long de la raie de son cul et vient humecter la fleur rosée de son anus à peine ouvert, et prenant en main mon vit impatient, je l’embroche en une poussée douloureuse qui m’amène au fonds de son derche étriqué. Nous limons tous quatre en un même élan qui fait osciller le plongeoir à grande amplitude. Je bande tellement que j’ai l’impression que c’est aussi mon braquemart démesuré qui coulisse en enfilade dans le cul d’Angel et la moule de Cécile. Les mains bien à plat sur les épaules charpentées de ma monture, je suis le dessin de ses muscles dorsaux qui saillent sous la peau bronzée, jusqu’à atteindre les reins et palper ses fesses musclées. Défoncer ce rectum nerveux est une expérience bien différente et plus bestiale que de baiser le cul voluptueusement charnu de Cécile.

Le jeune puceau brame comme un cerf en rut. Il lui faut très peu de temps pour atteindre le point de non-retour, décharger bruyamment dans une série de spasmes qui nous secouent tous les trois et fait vibrer la planche, et s’écrouler sur la fille qui l’enserre dans ses bras. Aux contractions de ses muscles fessiers, je sens que Gilles lâche lui aussi sa purée et baptise le trou de balle de l’ado maintenant doublement dépucelé et qui s’écroule sur Cécile. Je suis au comble de l’excitation, redouble mes coups de piston et éjacule à mon tour avec des râles de plaisir pervers en un feu d’artifice qui tapisse de foutre le fondement relâché de Gilles qui s’est affalé sur le dos d’Angel. Je me retire et laisse dégorger mon mandrin baveux au creux de ses reins. Au vu de la mare qui inonde la planche maintenant immobile, Cécile a aussi pris son pied à dépuceler l’éphèbe.

4. Ying-Yang et big bangs

Tous quatre vautrés les uns sur les autres à même le plongeoir, le corps baigné de nos sécrétions laiteuses, nous devons former un tableau assez lubrique. C’est le moment que choisit Loana, l’amie de mes parents à qui appartient la villa, pour débarquer au jardin. Elle pensait sans doute me trouver seul et du même coup rééditer le week-end de baise sauvage que nous nous étions payé à l’insu de son mari. Je vais à sa rencontre, ma queue débandante luisante de foutre, et fais les présentations comme si de rien n’étais. Manifestant sa surprise, elle lâche: «Je ne m’attendais vraiment pas à toute cette chair fraîche étalée sur mon plongeoir. C’est pas gentil de t’amuser comme ça sans moi, tu aurais pu m’inviter, surtout que mon petit jardinier m’avais caché qu’il était aussi appétissant et que tes copains ont l’air pleins de ressources». Je l’assure qu’elle est la bienvenue et que nous allons nous occuper sérieusement d’elle. Ce ne sera pas un sacrifice; à quarante cinq ans, c’est une négresse magnifique et une baiseuse se première. Une robe noire moulante à bretelles qui dégage ses épaules met en valeur sa poitrine plantureuse. La forte cambrure de ses reins fait ressortir ses belles fesses rebondies. Elle ne porte visiblement rien sous sa robe moulante, comme le soir où, venue dîner avec son mari chez mes parents, elle m’avait littéralement violé sur le tapis de ma chambre au fonds de l’appartement que je lui faisais visiter. Ses cheveux de jais moussent autour de son beau visage aux lèvres pulpeuses et sensuelles. Elle s’approche du plongeoir et laisse glisser au sol sa robe de jersey, dévoilant ses seins d’ébène pointés comme des obus, ses hanches généreuses, son pubis à la toison crépue, et ses cuisses fuselées. Les deux mâles se sont relevés et la bouffent des yeux, leur sexe en main, déjà en train de reprendre vigueur. Mais c’est Cécile, toujours étendue sur la planche, genoux relevés, qui intéresse Loana pour l’instant. Elle l’enfourche à quatre pattes, lui présentant sa figue violacée et la fleur de son anus à déguster, et plonge sa tête entre ses cuisses largement écartées pour lui pourlécher la chatte qui coule encore, ses gros seins aux aréoles marron pressés contre le nombril de la jeune jouisseuse qui lui explore le con et le cul d’une langue agile. Leurs deux corps forment un Ying et un Yang noir et blanc des plus excitants, d’où sortent des bruits de succion et de lèche qui me font saliver.

Laissés pour compte, nous sommes les trois mecs à bander à nouveau comme des boucs au dessus des deux femelles, astiquant nos trois massifs polars inutiles d’un poignet souple. Gilles choisit de s’aventurer sur le bout du plongeoir qui plie dangereusement vers l’eau, s’y assied à califourchon au niveau de la tête de Loana, et aide de la main sa grosse bite durcie à s’introduire dans le vagin humecté de salive de Cécile, léchée au passage par la langue gourmande de la suceuse éjectée du con qu’elle barattait. Balançant son bassin d’avant en arrière, le gars tringle à grands coups de reins, ressort sa queue pour l’enfourner dans la bouche de la négresse qui l’engloutit couilles comprises, puis continue en alternant ses visites en force de la bouche de l’une et la chatte de l’autre, toutes les deux en attente avide de ce piston insaisissable qui s’en échappe sans cesse pour y revenir encore. Il choisit finalement le vagin de Cécile pour y décharger son foutre en une série de spasmes qui la secouent furieusement.

Sans perdre des yeux cette scène qui me fait mal à la queue d’excitation, je viens m’agenouiller en tête de plongeoir entre les fesses de Loana accroupie, au dessus de la tête renversée de Cécile qui laisse glisser sa langue enveloppante le long de ma bite jusqu’aux couilles qu’elle happe de sa bouche goulue et baigne de salive. De mon gland hypersensible, j’entrouvre les lèvres de la figue boursouflée et gorgée de jus de la belle noire, et me fraie un chemin le long de ce sillon humide en remontant jusqu'à dégager le clitoris en érection et le branler délicatement avec mon bout suintant. Je sens que le fruit est mûr à point, et, écartelant ses cuisses de mes paumes, je lui enfonce mon madrier jusqu’au seuil de la matrice d’un coup de reins rageur. La négresse pousse un rugissement de plaisir à demi étouffé par la bite de Gilles qui lui obstrue la bouche, et contracte les muscles de son vagin qui enserre ma bite dure comme de l’acier. Cécile concentre maintenant ses efforts sur mes couilles en béton qu’elle aspire dans sa bouche et fait rouler sous sa langue et dont elle tire la peau ensalivée entre ses lèvres à presque les arracher. J’ai introduit l’index dans le cul de Loana tendu vers moi, et l’enfonce en vrille dans cet antre douillet. Je la ramone énergiquement du doigt et de la bite et elle m’encourage en remuant son bassin en cadence. Mais je ressors mon braquemart de sa chatte qui ruisselle de ciprine, j’en enduis copieusement son trou du cul, et guidant de la main mon engin en folie à ce gouffre béant je m’y enfonce d’une poussée insistante. Je reste un moment à coulisser dans ce fourreau qu’on dirait ajusté à ma grosse pine, avant de revenir investir pour un moment son vagin pantelant. Je continue mon manège jouissif, alternant le moelleux du vagin et le soyeux du cul, les couilles affolées par les succions de Cécile. Arrivé au summum de l’excitation, je n’en peux plus et je décharge ma purée en giclées frénétiques qui éclabousse le pubis et le dos de Loana, et dégouline sur la figure de Cécile qui s’en pourlèche.

Fatigué de se branler, Angel vient se glisser derrière moi, lui aussi à genoux, et colle sa poitrine duveteuse contre mon dos. Il presse son gros phallus entre mes fesses et je le sens qui palpite le long de ma raie écartée. Récoltant dans ses doigts mon foutre qui dégouline de la toison pubienne de Loana et de mon sexe luisant, il s’en enduit la bite et m’en lubrifie le trou de balle. Je réalise que je vais recevoir le baptême de mon cul, et ce n’est pas pour me déplaire. Ma queue retrouve le chemin du con de Loana, et je m’affale sur son dos, écartant à deux mains mes fesses relevées et offertes. Je sens le gland du jeune jardinier qui force l’entrée de mon derche, et s’enfonce millimètre par millimètre dans mon fondement distendu. J’ai l’impression que son gland est démesuré et que son poteau d’airain trop gros pour cet espace étroit va m’éclater le fion écartelé. Mais les parois de mon anus se détendent peu à peu pour s’ajuster à l’intrus et je commence à ressentir un plaisir douloureux aux mouvements de ce piston qui coulisse avec insistance jusqu'à presser à chaque va et viens son gland contre ma prostate. Ses couilles bien pendues battent contre les miennes que les lèvres de Cecile ont retrouvé et qu’elle lèche avec application par en dessous. Du coup, je me reprends une érection solide au fonds de la moule gluante de Loana. Je passe une main derrière la cuisse d’Angel, éprouve la fermeté de ses muscles fessiers, empoigne à pleine main son sac par l’arrière et lui malaxe méchamment les couilles, les ongles plantés dans sa chair. Je les sens gonfler en même temps que son dard se rigidifie encore dans mon anus qui manque exploser quand il découille en longues rasades et tapisse de sperme bouillant ma prostate stimulée à l’extrême. Son foutre refoule de mon cul obstrué par sa grosse bite et coule le long de mes balloches où il est léché bruyamment par Cécile. Le petit enculeur ne sait pas qu’il m’a défloré le cul, mais je le lui glisse à l’oreille.

Nos mouvements se ralentissent jusqu’à s’arrêter. Angel appuie son torse sur mon dos et nous restons un moment vautrés les uns sur les autres à revenir sur terre. Cécile, comprimée contre la planche par le poids de nos corps affalés est la première à réagir. D’un coup de hanches de côté, elle nous débarque du plongeoir et nous nous retrouvons au fonds de la piscine qui nous rafraichit et nous épure une nouvelle fois.

J’ai pris un pied géant et je crois que je ne suis pas le seul. Je suis sûr que nous allons passer le reste du week-end tous les cinq à jouir par tous les orifices dans toutes les configurations possibles, mais je te raconterai çà mon retour. D’ici là, imagine ce qui t’excitera le plus.


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES BISEX
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Mardi 19 mai 2 19 /05 /Mai 16:35
Deux étudiants dépucelés ensemble

D'abord, pour ceux qui s'astiquent le poireau devant leur écran en lisant mes histoires, je précise la description de mes bijoux de famille: j'ai une verge assez petite au repos (8cm environ), assez brune, terminée par un bon centimètre de ce que les anglosaxons appellent un overhang du prépuce. Malgré cette grosse tétine qui ferme ma verge vers l'avant, je décalotte sans problème à fond sous la douche tous les matins car mon prépuce est bien large et laisse coulisser mon gros gland d'homme hétéro sans problème. Mon gland est gros et rond, avec un bourrelet (couronne) très marqué que l'on devine bien sous la peau de ma verge quand le pépuce n'est pas décalotté, et qui donne beaucoup de plaisir à ma femme (et aux quelques filles avec qui j'ai baisées avant de me marier). C'est ce qu'on appelle un gland en champignon. Mes couilles sont assez grosses, bien rondes et fermes, couvertes de poils abondants que je tonds régulièrement avec ma tondeuse à barbe. Je bande bien et ma queue atteint 18cm en érection. Sauf si je tire dessus pour décalotter, mon prépuce reste bien en place sur la queue bandée, recouvre tout le gland et ne laisse deviner que le méat du gland. Il m'arrive de me branler sans décalotter, le sperme coulant alors du prépuce lors de l'éjaculation. Mais je décalotte sans problème, par exemple pour permettre à ma femme d'enfiler le préservatif. Dans ce cas, le prépuce retroussé forme un col roulé autour de mon gros gland mauve et humide. Comme j'ai la couronne du gland bien en relief, je peux garder le prépuce retroussé plusieurs heures dans mon slip, mais je le fais rarement, sauf quand je sais que ma femme veut être baisée le soir, je reste décalotté plusieurs heures avant pour que mon gland soit bien sec et inodore avant la pénétration (c'est comme cela qu'elle préfère). Nicolas me ressemble un peu, en plus petit et en plus musclé, cheveux et poils noirs et ses yeux sont bleus. Sa bite est comme la mienne, environ 8cm au repos avec un prépuce complètement fermé et pointu. Sa queue et et ses couilles sont très blanches, ce qui forme un joli contraste avec ses poils pubiens. À 20 ans, il avait déjà un beau losange de poils noirs entre les tétons, et un fil de poils qui menaient de son nombril à ses poils pubiens. On a perdu notre virginité ensemble un samedi soir d'octobre, à Lille. On avait décidé, Nico et moi, de passer la soirée à la fête foraine. On avait 20 ans tous les deux et nous étions encore puceaux. On avait fait nos études dans un collège catho assez strict, qui encourageait le sport et l'amitié entre mecs et surtout pas les sorties avec les filles... Ça nous obsédait et on en parlait tous les jours. La mécanique fonctionnait sans problème (on se branlait une à deux fois par jour, comme la pupart des jeunes hommes de cet âge), mais à cette époque, dans les années 70, le problème était de trouver des filles qui acceptent de coucher. Avec Nico, on avait bu une ou deux bières, mangé des frites et fait plusieurs tours sur les autos tamponneuses. À un moment donné, Nico m'a dit qu'il devait pisser et il s'est dirigé de son pas viril de mec de 20 ans vers un groupe de buissons à l'écart du champ de foire. J'ai suivi mon copain et me suis mis juste à côté de lui pour pisser aussi. Comme à son habitude, Nico déboutonnait son pantalon et sortait sa queue et ses couilles pour pisser mais il ne décalottait pas. — Putain Denis! me dit il quand il eut finit de pisser. J'ai les couilles pleines à raz-bord mon vieux, j'ai tellement envie d'enfiler une gonzesse, c'est pas juste qu'on l'aie pas encore fait à 20 ans. J'ai été super occupé cette semaine, je me suis plus branlé depuis cinq jours, ça va exploser si on se trouve pas une nana ce soir... — Oui, moi aussi Nico, j'en ai marre de me branler dans mon coin, et j'en ai raz le bol des moqueries des copains qui l'ont déjà fait. Ce soir, j'ai vraiment envie de devenir un homme et de perdre cette fichue virginité. On a secoué nos bites pour en faire tomber les dernières gouttes de pisse, on a rentré nos paquets dans nos jeans, et on est retourné sur le champ de foire. Devant la baraque à frites, on a rencontré une femme d'une quarantaine d'années, Monique. Après quelques bières, nous avons sympathisé, et Monique a proposé de nous ramener chez elle pour nous dépuceler ensemble. Nico était comme un frère pour moi, nous avions passé ensemble toutes les étapes de l'adolescence (la première fois qu'on s'est rasé la moustache, avec le même rasoir, la première fois que notre semence a coulé pendant notre sommeil, à un mois d'intervalle (on s'est raconté tous les détails), et nous avons trouvé chouette de perdre notre pucelage le même soir, avec la même femme. Une belle preuve d'amitié entre mecs. Arrivés chez Monique, celle-ci mit un disque de blues et nous dit: "Voilà les gars, déshabillez vous!" Nico défit sa chemise et son pantalon frénétiquement. Au fur et à mesure qu'il se déshabillait, je sentais l'odeur familière et ennivrante de mon meilleur copain me chatouiller les narines. Et ce soir, son odeur était extra piquante, il n'avait sans doute pas eu le temps de se doucher aujourd'hui et il devait être particulièrement excité à l'idée de son dépucelage imminent. Devenir un homme, enfin! Je distinguais bien l'odeur de son haleine, l'odeur de ses cheveux, celle assez aigre qui émanait de ses aisselles poilues, celle poivrée qui sortait de son slip et, bien sûr, ses pieds qui avaient transpiré toute la journée dans les mêmes baskets. Quand nous fûmes tous les deux à poils, Nico vint se mettre debout à côté de moi. Sa queue était à moitié bandée, un bout de gland mauve et huileux sortait des plis de son prépuce rose. Il se pencha à mon oreille, et me chuchota: — Denis, mon vieux, c'est le plus beau jour de notre vie. Mais quelques formalités devaient d'abord prendre place. — Allez les puceaux! dit Monique. On va d'abord vous examiner et vous nettoyer le poireau avant le grand moment. Je connais les garçons de 20 ans, ça ne se lave en général pas bien dans les coins... Allez, mettez vous côte à côte au bord de l'évier, mais d'abord, je veux vérifier vos slips les gars, j'aime que les gars qui me baisent soient propres de devant ET de derrière... Monique ramassa mon slip par terre et examina l'intérieur. J'étais rouge de honte qu'elle examine l'intérieur de mon slip devant mon copain. — Bon, toi Denis ça va, quelques taches d'urine sur le devant, mais ton cul est propre. Lève les bras que je vérifie si tu t'es lavé là aussi ce matin... Mmmmm oui, bon ça peut aller, tu es dans la moyenne du mec français de 20 ans et j'aime assez bien ces petites odeurs d'homme qui commencent à émaner des aisselles de puceau avant de passer à l'acte. Et toi Nico? dit Monique. Elle avait dit cela en regardant mon copain avec un grand sourire et en prenant le slip qu'il venait de jeter en boule dans un coin de la pièce. Nico avait débandé d'un coup. Sa quéquette pendouillait misérablement entre ses cuisses poilues, et il regardait par terre d'un air gêné. — Pouaah, tu as vu ces traces brunes dans le fond de ton caleçon? C'est dégueulasse mon gars, tu dois te laver après avoir chié et ces traces jaunâtres sur le devant: t'as plus changé de slip depuis quand? Le pauvre Nico était devenu cramoisi de honte. — Monique, je te demande pardon, j'ai chié après le déjeuner, je me suis torché rapidement, j'étais pressé. C'est pas grave, d'habitude je suis propre, je te promets... — Allez mon gars, tu vas nous montrer à Denis et à moi que tu sais te laver. Elle plaça Nico face à l'évier rempli d'eau savonneuse, et l'encouragea à enduire un gant de toilette de savon et à se le passer dans la raie des fesses. Le pauvre garçon fixait le plancher de confusion. Sa bite ne bandait plus du tout et s'était ratatinée dans le petit boudin que je connaissais si bien pour l'avoir souvent vu à la gym, ou en mettant sa culotte de pyjama quand nous partagions un lit en vacances.. Une fois le cul de Nico lavé, rincé et séché, Monique changea l'eau de l'évier et nous demanda de décalotter pour examiner l'hygiène de nos glands. L'odeur habituelle d'ammoniac et de vieux fromage de Munster qui s'échappe des glands des jeunes hommes non circoncis quand on les décalotte, emplit la pièce. Je connaissais l'odeur de Nico, elle me faisait tourner la tête de bonheur, j'étais à côté de mon frère au moment de devenir un homme... Je connaissais mon copain Nico, il ne décalottait pas souvent sous la douche et il arrivait souvent (je l'avais remarqué quand nous pissions côte à côte) que des traces de fromage de gland jaune ou gris blanchâtre tapissaient régulièrement les plis intérieurs de son prépuce... Nico et moi dûmes nous savonner le gland et les replis de nos prépuces au savon de Marseille, sous le regard attentif de Monique, qui souriait. — Vous savez, les gars, vous devriez vous faire circoncire tous les deux. J'ai l'habitude de voir défiler les jeunes mecs à poils ici. Encore la semaine dernière, j'ai dépucelé deux jeunes arabes de 19 ans, leurs bites étaient circoncises très haut, sans rien laisser du prépuce ni du frein. Deux beaux glands bien propres, bien secs, absolument sans odeurs, un vrai bonheur pour la femme qui doit se les enfiler... Quand nous fûmes bien propres, toujours nus et debouts dans la chambre, Monique appela une amie au téléphone. — Allo, Patricia! Salut mon chou. Je t'appelle parce que j'ai à nouveau deux grands puceaux de vingt ans devant moi, et je m'apprête à faire d'eux des hommes ce soir. Oui, c'est comme la semaine dernière, mais ces deux ci ne sont pas circoncis, j'ai dû les laver à fond... Si tu veux boire du foutre de dépucelage, viens vite, je t'en laisserai un peu. En se tournant vers nous, Monique nous demanda: — Dites les gars, vous ne vous êtes plus branlés depuis quand? — Depuis trois jours Monique, répondis-je. — Moi aussi, dit Nico en souriant. On est pleins à raz bord... En attendant Patricia, Monique se déshabilla et s'étendit sur son lit, sur le dos, jambes écartées. Elle écarta ses grandes et petites lèvres avec les doigts afin de bien nous montrer à quoi ressemblait le sexe d'une femme (Nico et moi, on en avait déjà vu en photos, mais jamais pour de vrai). Une légère "odor di femina" émanait de son corps mais Monique était très propre. Nico et moi, on bandait comme des ânes, les yeux fixés sur cette moule mauve et gluante de mouille qui s'offrait à nous. Patricia arriva rapidement: c'était une femme forte d'une quarantaine d'années, comme Martine, avec de gros seins qui gonflaient sous son chemisier. — Approche-toi Pat, dit Martine. Inspecte les avant de procéder au dépucelage! Patricia nous dévisagea en souriant, puis elle nous renifla sous toutes les coutures, l'un après l'autre: nos cheveux, nos nuques, sous les bras, nos mains, nos glands gonflés qu'elle décalotta doucement et inspecta soigneusement avant de les embrasser, nos fesses et nos anus, nos jambes et nos pieds. Nico et moi, toujours bandés à fond, on commençait à s'impatienter... — Alors les gars, dit Patricia. Qui veut être le premier à devenir un homme? — Vas-y Nico, dis-je à mon copain en souriant. Je te donne la priorité. — Merci vieux, dit Nico en s'agenouillant sur le lit entre les jambes de Monique, et en approchant lentement sa bite d'âne vers la grottre à plaisir. Monique cracha sur son pouce et son index, décalotta Nicolas à fond et enduisit rapidement le gland de mon ami de salive. Puis, elle saisit le poireau du puceau et le fit lentement pénétrer dans son vagin. Nico commença son va-et-vient en criant: — Ça y est Denis! Regarde, je suis un homme maintenant! Mais après trois ou quatre coups de piston, Monique retira fermement le poireau bandé de Nico de sa moule. Patricia s'assit sur le lit à côté d'eux, avec un petit bol de verre à la main, comme chez le docteur. Martine orienta le gland de Nico vers le bol et le branla rapidement pendant que Patricia lui serrait les couilles d'une main ferme. Un ou deux décalottage suffirent pour que les couilles de mon copain dégorgent six puissants jets de jute jaunâtre et épaisse dans le bol. — Hmmm! dit Monique en souriant. Ton sperme est bien épais et gras, Nico, c'est super et en plus, il a un parfum extraordinaire! dit-elle en humant profondément le contenu du bol. C'est de la jute de puceau les gars. Des études scientifiques ont démontré que la concentration d'hormones mâles dans le sang est telle chez le puceau au moment où il va pénétrer pour la première fois un vagin de femme que le sperme qu'il s'apprête à éjaculer a un parfum et un goût uniques. Monique et moi sommes folles de ce nectar. Nico était maintenant debout à côté du lit, la bite racrapotée dans ses dimensions normales, c'est-à-dire une bite assez large de 8cm de long, un filet de jute coulant entre les plis de son long prépuce en tétine. Le pauvre était évidemment déçu du tour des événements. — Ne t'inquiète pas Nico, lui lança Monique. On dépucèle ton copain et puis je te reprendrai pour de bon, et tu jouiras enfin dans le corps d'une femme. Tiens, prends ce kleenex pour t'essuyer. Assieds-toi sur cette chaise, ce ne sera pas long... À ton tour Denis, me dit alors Monique avec un grand sourire sur le visage. La queue bien bandée et complètement décalottée, j'approchai le coeur battant mon gros gland, mauve et luisant comme une prune, des lèvres de son sexe. L'odeur forte de mon copain Nico m'enivrait: l'odeur de son corps nu assis à deux mètres de moi, l'odeur que son sexe avait laissée dans le lit et surtout, le parfum profond de son éjaculat que je fixais intensément dans la coupole de verre sur la table de nuit. Je pénétrai lentement la moule de Monique et je commençai mes aller-retours en pensant que la muqueuse de mon gland devait frotter pas mal de cellules de la muqueuse du gland de Nico sur les parois du vagin de Monique. Après quelques mouvements de piston, Patricia qui était agenouillée derrière moi et me tenait les couilles d'une main ferme, me sortit le poireau de la moule de Monique, m'introduisit le majeur gauche dans l'anus et serra la base de mon gland décalotté en faisant un anneau avec son pouce et son index. Monique s'approcha de son amie en tenant la coupe de verre où brillait la jute odorante de mon copain. Quelques aller et retours du doigt de Patricia, accompagnés d'un mouvement imperceptible sur la base de mon gland, suffirent à lancer le geyser: du fond de mes entrailles, je sentis monter ma semence, pour la première fois entre les mains d'une femme. Je lançai en criant quatre ou cinq jets de sperme gras et jaunâtre dans la coupe. — Bon, c'est bien mon gars! Tu es un homme maintenant, va t'asseoir à côté de ton copain. On s'occupe de vous tout de suite, dit Patricia en souriant. Monique avait sorti une cuiller d'argent du tiroir de la table de nuit. Elle versa quelques gouttes de vodka d'une bouteille qui était sagement rangée à côté du lit, et elle mélangea vigoureusement nos spermes de jeunes hommes dans la coupe. Elles burent toutes les deux ce mélange, en fermant les yeux. — Mmmmm, c'est délicieux! dit Monique. Vous savez, les gars, vous n'êtes pas les premiers à passer ici. Monique drague des mecs dans votre genre tous les vendredis soirs en ville, et on en dépucèle deux ou trois par mois, seuls ou souvent avec leur meilleur ami, comme vous deux ce soir. J'étais assis à côté de Nicolas, sur une banquette un peu petite pour nous deux. Ma cuisse touchait la sienne et je ne parvenais pas à détourner mon regard de la grosse bite de mon pote, désormais une vraie bite d'homme. Le prépuce s'était déroulé dans sa position normale quand Nico avait débandé, il recouvrait le 4/5 du gland de mon copain, et un mince filet de sperme à moitié séché pendouillait du bout du gland. Sa queue portait des traces des sécrétions vaginales de Monique, la preuve qu'il était devenu un vrai mec. Quant à moi, j'étais toujours décalotté, une goutte de sperme sur le méat, le gland encore rouge et turgescent de la masturbation experte que je venais de subir. L'odeur de mon copain m'envahissait la tête, odeur forte de ses aisselles, son torse couvert d'une légère transpiration, son gland et ses couilles et ses grands pieds, aux ongles coupés courts et nets... Quand elles eurent fini de boire leur potion, les deux filles s'allongèrent sur le dos, côte à côte, jambes écartées. À la vue de ces vulves brillantes, nos bites se remirent au garde-à-vous et nous nous jetâmes sur elles. On s'en est donné à coeur joie ce soir là et, ce coup-ci, elles nous ont laissé éjaculer dans leurs vagins, comme de vrais mecs qui font l'amour à de vraies nanas...


Rencontres très sulfureuses, très très chaud !
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Par meet68 - Publié dans : HISTOIRES HETERO
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